Un bébé à naître sourit en entendant la voix de son père lors d’une échographie
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran/YouTube
1er octobre 2024 (LifeSiteNews) — Une vidéo virale d’un bébé à naître réagissant à la voix de son père met en lumière la beauté et l’humanité des enfants à naître.
Dans une vidéo téléversée par le New York Post, on voit une petite fille de 32 semaines sourire en entendant son père lui parler lors d’une échographie dans un hôpital de Xanxere, au Brésil.
Les bébés à naître, qui sont des personnes humaines dès le moment de la conception, commencent à entendre des sons à l’intérieur du corps de leur mère vers la 18e semaine. Entre la 27e et la 29e semaine, les bébés peuvent entendre des voix à l’extérieur du corps de leur mère, comme la sienne et celle des personnes qui l’entourent.
Lire la suiteDes militants pro-avortement et pro-LGBT attaquent la projection du film pro-vie « Bébé Olivia » en Italie
Michael Haynes — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Flickr/Wikicommons
25 juillet 2024, Bologne (LifeSiteNews) — Au cours d'une projection publique d'un court métrage sur les bébés à naître, le principal groupe pro-vie d'Italie a été attaqué par des militants pro-avortement violents qui tentaient de perturber l'événement.
Le 19 juillet, des membres et des bénévoles de Pro Vita e Famiglia (Pro-vie et famille) ont organisé une projection publique de la vidéo de trois minutes de Live Action intitulée « Baby Olivia ». La vidéo décrit le développement d'un enfant à naître dès ses premiers jours, en détaillant la croissance du bébé à chaque étape.
L'événement organisé par Pro Vita s'est déroulé sur une place publique de Bologne, afin de maximiser l'impact et l'exposition du film.
Dans une déclaration sur les réseaux sociaux publiée mardi, Pro Vita a expliqué que son événement avait été rapidement pris pour cible par des manifestants pro-avortement : Peu après le début de la projection, une contre-manifestation non autorisée, composée de quelques dizaines de personnes appartenant à des collectifs féministes, des groupes LGBTQAI+ et des « centres sociaux », s'est rassemblée sur la même place. Quelques conseillers municipaux du Parti démocrate italien étaient également présents avec eux. »
Selon le groupe pro-vie, le groupe pro-avortement semblait être arrivé tôt sur les lieux et tentait « de perturber et d'empêcher l'événement de débuter en criant des insultes et des blasphèmes ».
Comme cela ne dissuadait pas les volontaires pro-vie de montrer la vidéo, les manifestants se sont approchés de la scène et du grand écran « pour jeter des tracts et des préservatifs sur les organisateurs » et ont « même tenté de débrancher les câbles alimentant le système audio-vidéo pour interrompre la diffusion et censurer “Baby Olivia”, coupable de raconter l'histoire de leur propre origine ».
Lire la suiteLa vie avant la naissance : le statut de personne de l’enfant à naître
Par Liam Gibson (Voice of the Family) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : SciePro/Adobe Stock
Dans un geste politique destiné à faire avancer la campagne pour la dépénalisation de l’avortement jusqu’à la naissance en Angleterre et au Pays de Galles, le Royal College of Obstetricians and Gynaecologists (RCOG) a publié le 25 janvier 2024 un document intitulé Involvement of the police and external agencies following abortion, pregnancy loss and unexpected delivery guidance for healthcare staff (Implication de la police et des agences externes à la suite d’un avortement, d’une fausse-couche ou d’un accouchement inopiné). Ce document, rédigé avec la participation de l’industrie de l’avortement, indique au personnel médical que, quelles que soient les circonstances ou le stade de la gestation, « il n’est jamais dans l’intérêt public d’enquêter sur une patiente soupçonnée d’avoir mis fin à sa propre grossesse ». [1] Il menace ensuite de sanctions disciplinaires toute personne qui, sans raison valable, informe les autorités d’un cas potentiel d’avortement illégal, en déclarant :
« Lorsqu’il s’agit de déterminer s’il existe une justification valable pour rompre la confidentialité afin de protéger la sécurité d’autrui, la “sécurité du fœtus” n’est pas une raison valable, car, en droit, le fœtus n’a pas le statut de personne ». [2]
Pour illustrer la dissonance cognitive qui s’est emparée de la vie publique au Royaume-Uni, quatre semaines plus tard, le 22 février, le ministère de la Santé et des Affaires sociales a lancé un programme visant à offrir des « certificats de perte de bébé » aux parents d’enfants décédés avant d’avoir atteint la 24e semaine de grossesse. Il était déjà possible d’enregistrer comme mort-nés les enfants nés d’une fausse-couche après ce stade. Bien qu’un certificat de perte de bébé ne soit pas un document légal, ce programme signifie qu’il existe désormais une reconnaissance officielle, tout au long de la grossesse, « d’une vie perdue » [3], ce qui contredit manifestement l’affirmation du RCOG selon laquelle « le fœtus n’a pas le statut de personne ».
Bien entendu, cette tentative de nier l’humanité des enfants à naître n’est que le dernier exemple en date de l’utilisation de la sémantique pour justifier la violence meurtrière à l’encontre d’un groupe vulnérable. Avant que l’État nazi n’ait déclaré que les Juifs ne sont pas des personnes, le juriste Karl Binding et le psychiatre Alfred Hoche avaient publié conjointement Die Freigabe der Vernichtung lebensunwerten Lebens — « La permission de détruire la vie indigne de la vie » [4] — qui justifiait, d’un point de vue compassionnel et économique, l’utilisation du terme « mort mentale » pour justifier le meurtre des personnes profondément handicapées en les qualifiant de « leere menschliche Ärmel » — « manches humaines vides ». [5] La désignation moderne d’« état végétatif persistant » est à peine moins déshumanisante. Bien qu’elle soit censée faire référence à leur état de conscience, elle est fréquemment utilisée pour décrire les patients. En 1993, dans l’affaire qui a autorisé les médecins britanniques à affamer et à déshydrater leurs patients, l’équipe médicale de Tony Bland a fait valoir que la nourriture et les liquides qui lui étaient administrés artificiellement constituaient un traitement médical futile, incapable d’inverser la lésion catastrophique de son cerveau. La Chambre des Lords a consciencieusement accepté, le juge Hoffman décrivant le jeune Bland, âgé de 22 ans, comme « grotesquement vivant ». [6]
Mis à part les tests fastidieux de la « personnalité », un observateur impartial n’aurait aucune difficulté à reconnaître que le fœtus est pleinement vivant, conscient et qu’il est un être humain à part entière.
Lire la suiteLa Chambre des représentants de l’Iowa adopte le projet de loi sur l’éducation « Bébé Olivia »
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Les législateurs de la Chambre de l’Iowa ont voté 59 à 35 mercredi pour montrer une vidéo sur le développement du fœtus, comme « Baby Olivia » de Live Action, aux élèves des écoles secondaires et des collèges.
La loi HF2617 exige que les classes de croissance et de développement humain et de santé, à partir de la deuxième année du secondaire jusqu’au niveau collégial (lycée), visionnent soit « Baby Olivia », soit une vidéo similaire.
« Bébé Olivia » utilise une animation révolutionnaire pour présenter des informations médicalement exactes sur la vie dans l’utérus, du moment de la fécondation jusqu’à la naissance. La vidéo permet aux élèves de comprendre que le développement humain commence bien avant la naissance, car elle met en évidence des aspects importants de la croissance et du développement de l’enfant à naître pour chaque semaine de la grossesse, tels que le cœur, le cerveau et les poumons du bébé.
Lire la suiteL'Odyssée de la Vie
Photo : L'Odyssée de la Vie/YouTube
Loin d'être un « amas de cellules », l'être humain à ses débuts parcourt un long et extraordinaire cheminement pour atteindre son plein développement. Le documentaire « L'Odyssée de la Vie » retrace le développement de l'être humain depuis la fécondation jusqu'à la naissance :
Pourquoi les scientifiques soulignent-ils les merveilles de l'embryon de grillon mais ignorent l’humanité des enfants à naître ?
Par John Horvat II — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :
(LifeSiteNews) — Je ne me suis jamais intéressé aux grillons, si ce n’est pour écouter leurs stridulations en été. Ces insectes représentent une partie de la réalité qui n’a pas d’impact significatif sur ma vie quotidienne. Parmi tant d’autres préoccupations, les grillons ne figurent pas en tête de liste de mes priorités.
Cependant, j’ai été intrigué par un long reportage du New York Times intitulé « La mystérieuse danse des embryons de grillon » au début du mois d’août. Il y était question d’une réunion en juin de 100 scientifiques sur l’île grecque de Crète, réunis pour discuter des embryons de grillons. Je n’avais jamais imaginé que quelqu’un, et encore moins cent personnes, se réunirait quelque part pour discuter d’un tel sujet.
Les grillons semblent être l’organisme idéal pour étudier le fonctionnement et le développement de la vie. Le grillon provençal ne jouit pas de la popularité de la drosophile commune comme objet de recherche en laboratoire. Cependant, de nouvelles preuves suggèrent qu’il possède des qualités uniques qui en font un sujet de discussion fascinant pour ces scientifiques.
Le fait de le savoir n’a cependant pas réussi à piquer mon intérêt pour cet insecte bruyant.
Il peut aussi être une merveille de la création de Dieu
J’ai commencé à m’y intéresser lorsque l’article a annoncé que le thème de la conférence internationale était le développement de l’embryon de grillon. L’article expliquait comment l’embryon de grillon nous aide à comprendre tous les embryons puisque le développement de chaque animal suit un schéma de croissance similaire. Après la formation de la cellule fécondée originale, d’autres cellules se forment autour de la surface de l’œuf, « fournissant un plan précoce pour toutes les parties du corps adulte ».
Les scientifiques ont constaté que si toutes les cellules ont le même génome, elles font toutes des choses différentes avec les mêmes informations. Et les scientifiques ne savent pas pourquoi cela se produit.
Comme dans une danse, l’embryon de grillon semble faire tout ce qu’il faut sans que personne ne dise aux noyaux cellulaires ce qu’ils doivent faire. Seth Donoughe, un biologiste de l’université de Chicago, décrit ce processus comme la création « des bonnes parties au bon endroit et au bon moment ».
Cette description m’a aidé à comprendre que même le grillon est une merveille de la création divine. Les scientifiques ont passé des heures à observer le processus de division et de déplacement des noyaux cellulaires qui se déplaçaient d’une manière qui dépassait la simple physique et la chimie. J’ai même été fasciné par les simulations informatiques présentées dans l’article, qui montraient l’ensemble du processus de développement, de l’œuf à la naissance.
Lire la suiteUn professeur de neurobiologie confirme que les bébés à naître souffrent lorsqu’on les tue lors d’un avortement
Maureen Condic.
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Après bientôt 50 ans de légalisation de l’avortement à la demande, les scientifiques disposent désormais d’un « énorme corpus de données » confirmant que les bébés à naître peuvent ressentir la douleur dès 12 semaines de grossesse, selon un professeur de neurobiologie de l’Université de l’Utah.
Dans un article publié dans National Review, le professeur Maureen Condic révèle que les scientifiques en savent beaucoup plus sur le développement des bébés à naître qu’en 1973, lorsque la Cour suprême des États-Unis a statué sur l’arrêt Roe vs Wade.
Il est désormais clair que les bébés dans l’utérus peuvent ressentir la douleur dès la douzième semaine de grossesse et très certainement dès la dix-huitième semaine, a-t-elle ajouté.
« Il existe désormais des preuves solides que les fœtus, dès la douzième semaine, ont un comportement conscient et intentionnel et qu’ils font activement la distinction entre des expériences sensorielles similaires », affirme Mme Condic.
Elle a cité les recherches de Stuart Derbyshire, un chercheur en cartographie cérébrale très respecté, que les militants de l’avortement avaient l’habitude de désigner comme « une voix de premier plan contre la probabilité de la douleur fœtale ».
En 2020, Derbyshire a déterminé que ses conclusions précédentes étaient erronées, et il croit maintenant que « même sans un cortex entièrement formé, les connexions neuronales du thalamus à la sous-plaque pourraient être suffisantes pour la perception de la douleur », indique Mme Condic.
Selon les nouvelles recherches de Derbyshire, « ... une lecture équilibrée de ces preuves indique une expérience immédiate et irréfléchie de la douleur, médiée par la fonction en développement du système nerveux, dès la douzième semaine. »
Lire la suiteLa pilule abortive tue des êtres humains vivants dont le cœur bat
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : PixieMe/AdobeStock
La vidéo « Baby Olivia » de Live Action révèle les détails du développement humain pendant la grossesse, dans l’utérus. Ce remarquable parcours, de la fécondation à 38 semaines, montre l’humanité des enfants à naître et, par là même, l’horreur de l’avortement, et même de la pilule abortive ─ pourtant présentée comme sûre et simple par l’industrie de l’avortement. En réalité, elle est dangereuse pour les femmes et mortelle pour les bébés à naître.
La pilule abortive, également appelée avortement chimique, est approuvée pour une utilisation jusqu’à 10 semaines de grossesse ou semaines d’aménorrhée SA (huit semaines après la fécondation). Selon l’Endowment for Human Development, au cours de ces huit premières semaines, l’enfant à naître s’est rapidement transformé d’un être humain unicellulaire en un être humain embryonnaire. Bien que sa mère ne soit pas consciente des mouvements de son bébé et qu’elle ne sache peut-être même pas encore qu’elle est enceinte, le bébé a grandi par bonds… et il rebondit dans l’utérus. Il n’est pas l’amas de cellules ou de tissus que l’industrie de l’avortement prétend qu’il est.
Après s’être implanté dans l’utérus de sa mère environ trois à quatre semaines après la fécondation, le cerveau, la moelle épinière et le cœur du bébé commencent tous à se développer. À environ cinq semaines et un jour, le cœur bat déjà et, à la sixième semaine, il pompe son propre sang vers son cerveau et son corps, avec déjà plus d’un million de battements de cœur à son actif. Les quatre chambres de son cœur sont présentes et ses bras et ses jambes sont visibles.
À six semaines et demie, les hémisphères cérébraux du cerveau sont présents et à sept semaines et demie, le bébé peut répondre à un léger toucher sur son visage. Bien qu’il ne mesure qu’un demi-pouce (1,27 cm) de la tête à la croupe, ses doigts se forment sur ses petites mains. À huit semaines, ses ondes cérébrales peuvent être enregistrées.
Lire la suiteCombattez le programme anti-vie : diffusez cette vidéo rare et étonnante sur l’enfant à naître
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie
25 août 2021 (LifeSiteNews) — Nous sommes maintenant au summum d’une attaque mondiale de type Goliath contre la vie et la fertilité ; c’est pourquoi il est temps de lutter pour la vie avec toutes les « pierres » à notre disposition. Les séquences vidéo montrant l’être humain à naître dans ses moindres détails sont l’une de ces pierres ─ une pierre qui n’amène pas la destruction, mais la préservation de la vie.
The Biology of Prenatal Development (Biologie du développement prénatal), que le Père Frank Pavone, directeur national de Priests for Life (Prêtres pour la vie), a qualifié de « vidéographie la plus vivante, la plus puissante et la plus saisissante qui soit sur l’enfant à naître », en est un excellent exemple.
Dave Andrusko, du National Right to Life News, a déclaré que ce documentaire primé du National Geographic « est si beau, si impressionnant, qu’il vous coupe presque le souffle ».
Bien que le film soit longtemps resté dans l’ombre, ses séquences vidéo du bébé à naître, qui capturent de façon saisissante même les battements de son cœur embryonnaire rouge vif, visible à travers la peau transparente, demeurent à la fine pointe de l’imagerie fœtale. Le documentaire a été filmé grâce à une technique rare, l’embryoscopie, qui fait appel à une caméra minuscule de la taille d’une pointe de stylo.
Le documentaire capture d’étonnantes séquences en couleur semaine après semaine, de 4,5 semaines à 5 mois, après quoi il passe aux images échographiques. Le film montre systématiquement des images vidéo de 4,5 semaines de gestation à 12 semaines, période au cours de laquelle la grande majorité des avortements sont pratiqués. Le CDC a indiqué en 2018 que 92,2 % des avortements étaient pratiqués dans les 13 premières semaines de gestation.
Lire la suiteÀ quoi ressemble un être humain de 15 semaines dans l’utérus ?
Bébé née par fausse-couche à 15 semaines.
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
La Cour suprême des États-Unis a accepté de se saisir du cas de la restriction de 15 semaines imposée par le Mississippi en matière d’avortement. La loi stipule que le délai de 15 semaines a été choisi pour deux raisons principales :
- La forme d’avortement la plus couramment utilisée au deuxième trimestre est la procédure d’avortement D&E, également appelée avortement par démembrement. L’avortement D&E est violent et consiste à arracher les bras et les jambes d’un bébé avant de lui écraser le crâne. Cette procédure est carrément inhumaine et, selon des recherches récentes, les enfants à naître sont susceptibles de ressentir de la douleur avant la fin du premier trimestre.
- Les risques physiques de l’avortement pour la femme augmentent avec l’âge gestationnel de son enfant à naître.
Mais le plus important est peut-être le fait qu’à 15 semaines l’humanité de l’enfant à naître ne peut être niée*.
Alors, à quoi ressemble un enfant à naître de 15 semaines et où en est-il dans son développement ?
14 semaines
Il ressemble à un être humain
La loi du Mississippi sur l’âge gestationnel définit 15 semaines comme l’âge de l’enfant à naître après la dernière période menstruelle (semaines d’aménorrhée ou SA) de la mère. Cela correspond à 13 semaines après la fécondation. Un enfant à naître de 15 semaines d’âge gestationnel ressemble à un être humain ─ parce qu’il est un être humain et qu’il l’est depuis le moment de la fécondation. Son nez et ses lèvres sont complètement formés et il peut réaliser des mimiques complexes. Il a des jambes qu’il peut faire gigoter et des bras qu’il peut agiter. Il a même le hoquet. Il est minuscule, mais la taille ne détermine pas l’humanité.
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