Une ex-transgenre qualifie les interventions de « transition » de « pseudoscience » et de « charlatanisme »
Prisha Mosley.
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
9 janvier 2025 (LifeSiteNews) — Une jeune femme qui a été persuadée de subir des interventions hormonales et chirurgicales pour « devenir » un « homme » et qui a, depuis, détransitionné, s’élève contre ce processus transgenre qui repose sur du « charlatanisme » et de la « pseudo-science ».
Prisha Mosley, maintenant âgée de 26 ans, luttait, à l’âge de 17 ans et à la suite d’un viol, contre l’anorexie et des idées suicidaires. Des conversations en ligne avec des activistes transgenres l’ont convaincue que sa détresse était due au fait que son « corps se battait pour être un garçon », comme elle l’a déclaré à Fox News.
Lorsqu’elle a fait part de ses idées aux professionnels de la santé qui tentaient de résoudre son anorexie, on lui a « presque immédiatement » donné des pilules hormonales qui ont perturbé son cycle menstruel.
Mme Mosley a mis en évidence l’irrationalité et le double standard absurde auxquels la profession médicale a recours lorsqu’elle aborde la dysphorie de genre.
« J’ai été traitée pour des croyances délirantes pendant un certain temps », a expliqué Mme Mosley à Fox News Digital. Mais lorsque j’ai exprimé un délire différent, à savoir « je suis né dans le mauvais corps » au lieu de « je suis grosse », alors que j’étais en train de mourir d’anorexie, j’ai été traitée médicalement pour cela.
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Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Adobe Stock
18 juillet 2024 (LifeSiteNews) — Alors que le débat sur la transition de genre fait rage dans les législatures des États à travers l’Amérique, de plus en plus de « détransitionneurs » se présentent pour raconter leurs histoires brutales. Ces histoires mettent toujours plus en évidence la réalité terrifiante que nous sommes au milieu de l’un des plus grands scandales médicaux depuis l’eugénisme. En effet, le terme « détransitionneur » lui-même est nouveau, car il fallait inventer un mot pour décrire ceux qui ont été broyés dans le complexe médical transgenre et qui ont survécu pour raconter leur histoire.
« Je suis née de sexe féminin et j’ai grandi en Caroline du Nord », écrit Prisha Mosley, 26 ans. « J’ai découvert la communauté transgenre en ligne lorsque j’étais adolescente et j’ai été persuadée de faire une transition sociale ». Cette histoire s’est répétée des milliers de fois aux États-Unis et au Canada. Des centaines de parents ont contribué anonymement à la lettre d’information de Substack « Parents With Inconvenient Truths About Trans (PITT) » (Parents avec des vérités dérangeantes sur le transgenrisme) et ils sont unanimes à désigner Internet comme un facteur clé dans la conversion de leurs enfants au culte transgenre.
Mais au cours de la dernière décennie, les institutions médicales ont été envahies par les activistes — et les enfants et adolescents en difficulté peuvent trouver des professionnels de la santé prêts à les aider à changer de sexe avec une facilité déconcertante. « Je n’avais que 17 ans lorsque les médecins ont commencé à m’injecter de la testostérone », se souvient Mosley. « Rétrospectivement, j’étais la victime idéale. J’étais jeune, impressionnable, isolée et je souffrais de graves problèmes de santé mentale, notamment d’anorexie, d’automutilation et de tentatives de mettre fin à mes jours. Les médecins m’ont dit que la transition était le remède à ma douleur émotionnelle ».
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Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : sergign/Adobe Stock
30 mai 2024 (LifeSiteNews) — Un juge de Caroline du Nord a décidé que le procès d’une femme de 25 ans, contre les médecins qui l’ont « fait changer de sexe » alors qu’elle était adolescente, peut avoir lieu, ouvrant la porte à un précédent potentiellement transformateur pour l’établissement médical américain.
Le Washington Examiner rapporte que Prisha Mosley a été incitée à « transitionner » à l’âge de 16 ans pour faire face aux graves problèmes mentaux dont elle souffrait à l’époque. « À l’âge de 16 ans, on m’a diagnostiqué un trouble dépressif majeur, un trouble obsessionnel compulsif et un trouble de l’alimentation », explique-t-elle. « Je me suis automutilée en me coupant, ce qui est devenu si grave que j’ai été emmenée aux urgences ».
Sur les conseils des médecins, elle a commencé à prendre des injections importantes de testostérone et a subi une ablation chirurgicale des seins. Mais le fait de se transformer pour ressembler à un garçon n’a fait qu’aggraver ses souffrances.
« Ma voix a changé de façon permanente ; je ne suis plus capable d’élever ma voix et de chanter, ce que j’aimais faire auparavant », explique Mme Mosley. « J’ai ressenti de fortes douleurs dans les épaules, le cou et la région génitale. Je ne sais pas si je pourrai concevoir et donner naissance à un enfant. À la suite de l’opération mammaire, je dois vivre sans mes seins et je ne pourrai pas allaiter d’enfant, si toutefois je parviens à en concevoir un. J’ai des douleurs dans la poitrine à l’endroit où se trouvaient mes seins ».
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Par John-Henry Westen — Traduit par Campagne Québec-Vie
Note de John-Henry Westen : Il est conseillé aux téléspectateurs de faire preuve de discernement. Cette émission n’est pas destinée aux enfants. Cependant, elle est certainement destinée à vos adolescents.
4 avril 2024 (LifeSiteNews) — Si vous êtes un lecteur régulier de LifeSiteNews, vous savez à quel point l’idéologie du genre s’est emparée de notre culture. Mais beaucoup d’entre nous ne connaissent pas le côté « interne » de l’idéologie du genre — les histoires des jeunes qui ont été égarés par elle et qui en ont subi d’horribles conséquences physiques, mentales et émotionnelles.
Mon invité dans l’épisode d’aujourd’hui du John-Henry Westen Show est Brandon Showalter, journaliste au Christian Post et animateur d’une émission en ligne dénonçant les méfaits de l’idéologie du genre, intitulée « Generation Indoctrination ».
Showalter, qui dit avoir été « jeté » dans la couverture des questions LGBT lorsqu’il a commencé à travailler au Christian Post en 2016, commence par décrire la montée en flèche des « cliniques de genre » aux États-Unis et les choses « atroces » qu’elles font aux enfants. Par exemple, la combinaison de bloqueurs de puberté et d’hormones du sexe opposé « rendra presque certainement un enfant stérile [de façon permanente] ».
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Par Jeanne Smits (reinformation.tv) — Photo : Freepik
Quoi qu’en dise la gauche, les interventions hormonales et chirurgicales sur les transgenres ne règlent pas les problèmes de santé mentale des enfants souffrant de dysphorie de genre, révèle une nouvelle évaluation de la littérature scientifique disponible sur le sujet. L’analyse d’une soixantaine d’études par l’American College of Pediatricians l’affirme carrément : « Il n’existe pas d’études à long terme démontrant les avantages ni d’études évaluant les risques associés aux interventions médicales et chirurgicales pratiquées sur ces adolescents. Il n’existe aucune preuve à long terme que les problèmes de santé mentale diminuent ou s’atténuent après une thérapie d’affirmation du genre. » Avant comme après la thérapie, les jeunes concernés, dont l’« identité de genre » ne correspondrait pas au sexe dit « biologique », présentent un risque plus élevé de psychopathologie que ceux ne souffrant pas de cette discordance. Le traitement ne change rien à leur mal-être, en somme…
L’étude note une véritable explosion du nombre de jeunes qui se disent eux-mêmes « bisexuels, gays ou en questionnement », en se fondant sur les statistiques des Centers for Disease Control : le pourcentage est passé de 11 % en 2015 à plus du double (25 %) en 2021. Parmi ceux-ci, les mineurs diagnostiqués comme souffrant de « dysphorie de genre » sont ceux qui présentent des taux plus élevés de problèmes de santé mentale, allant jusqu’aux tendances suicidaires. L’étude Adolescent Brain Cognitive Development Study a étudié les cas de plus de 11 000 enfants de 9 et 10 ans…
Lire la suiteUne éminente chercheuse sur les « transgenres » fait volte-face et soutient désormais les « détransitionneurs »
Par Mary Zwicker — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pormezz/Adobe Stock
16 mars 2023 (LifeSiteNews) — Une éminente chercheuse pro-LGBT et professeur « trans » dans une université canadienne a déclaré qu’elle avait changé de position et qu’elle appelait à plus de soutien pour ceux qui cherchent à inverser les effets de leurs prétendues procédures de « réassignation de genre ».
« Kinnon » MacKinnon, professeur adjoint de travail social à l’université York de Toronto et femme biologique* qui a « transité » en homme, est une chercheuse bien connue sur la question des « détransitionneurs ». Bien qu’elle ait nié par le passé la pertinence d’une telle question, MacKinnon plaide aujourd’hui en faveur d’une meilleure prise en charge des personnes en détransition et appelle les experts à prendre la question plus au sérieux.
« Il est très important de comprendre cette expérience », a déclaré MacKinnon lors d’un symposium sur la détransition organisé par l’Université York le 21 novembre. « Le modèle actuel de soins liés au genre doit vraiment s’adapter afin de reconnaître et de répondre aux besoins des personnes qui “détransitionnent” ».
Au cours du symposium, MacKinnon a déclaré que les professionnels de la santé doivent commencer à se pencher sérieusement à la question des détransitionnistes, que le nombre de ceux qui cherchent à obtenir des soins soit grand ou petit.
« La détransition est complexe et souvent source d’isolement », a-t-elle déclaré. « Les gens peuvent perdre le soutien de leur communauté. Certains peuvent éprouver de la méfiance à l’égard des prestataires de soins de santé... et aussi de la peine ou du deuil pour les changements permanents apportés à leur corps par les interventions d’affirmation du genre ».
Si MacKinnon défend aujourd’hui la cause des personnes qui inversent leur processus de « réassignation sexuelle », elle n’a pas toujours eu les mêmes convictions.
Dans un entretien avec Reuters, Mme MacKinnon a déclaré qu’elle n’avait pas toujours pensé que la détransition était un problème. Elle a déclaré qu’elle croyait auparavant que ceux qui choisissaient d’inverser le processus de « transition » le faisaient uniquement en raison d’un manque de soutien, et qu’en écoutant une présentation universitaire sur les détransitionnistes en 2017, elle s’était dit « Cela n’arrive même pas vraiment » et « nous ne sommes pas censés en parler ».
Cependant, depuis ce temps, MacKinnon a connu un changement de cœur, réalisant que les détransitionneurs ont besoin d’aide, mais que beaucoup de gens ont peur de les soutenir.
Lire la suiteUne Ontarienne « détransitionnée » poursuit les médecins qui l’ont amputée de ses seins et de son utérus
Michelle Zacchigna.
Par Mary Zwicker — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Post Millennial Live/Rumble
22 février 2023, Orillia, Ontario (LifeSiteNews) — Une Canadienne qui regrette ses opérations de prétendues « réassignation de genre » poursuit maintenant les professionnels de la santé impliqués dans son processus de « transition ».
Michelle Zacchigna, 34 ans, d’Orillia, en Ontario, qui a subi un traitement hormonal et des opérations chirurgicales il y a plus de dix ans afin d’apparaître comme un homme, a lancé le tout premier procès canadien de dé-transition, poursuivant les huit médecins et « experts en santé mentale » qui l’ont accompagnée dans ce processus d’automutilation.
« Je tiens cette carte près de ma poitrine depuis un moment, et je suis prête à la montrer », écrivit Zacchigna mardi sur Twitter. « En novembre 2022, j’ai entamé une action en justice contre les prestataires de soins de santé canadiens qui ont facilité ma transition médicale en Ontario. »
Cela fait un moment que je garde cette carte près de ma poitrine, et je suis prête à la montrer. En novembre 2022, j’ai entamé une action en justice contre les fournisseurs de soins de santé canadiens qui ont facilité ma transition médicale en Ontario.
– Michelle (@somenuancepls) 21 février 2023
« Je vivrai le reste de ma vie sans seins, avec une voix grave et une calvitie de type masculin, et sans la capacité de devenir enceinte », a-t-elle déclaré.
« L’ablation de mon utérus entièrement sain est mon plus grand regret », a déploré Mme Zacchigna.
Dans une déclaration, Zacchigna a expliqué qu’elle a pensé pour la première fois à la transition en 2009, alors qu’elle n’avait que 21 ans. Dépressive, anxieuse et autodestructrice, elle a trouvé une communauté en ligne où elle s’est enfin sentie chez elle.
« En ligne, j’ai été aspirée dans un monde où j’avais l’impression d’être enfin à ma place », se souvient-elle. « Dans des endroits comme Tumblr, on me rassurait constamment en me disant que seules les personnes trans passent autant de temps à penser à leur genre (ce qui n’est pas vrai en réalité) et que chaque personne trans a des doutes sur sa transition. »
Lire la suiteUne femme qui a vécu comme «homme» explique comment l’internet pousse les adolescents à suivre l’idéologie transgenre
Helena Kerschner.
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Michael Knowles/YouTube
28 mars 2022 (LifeSiteNews) — L’animateur du Daily Wire, Michael Knowles, a mis en lumière dans son émission l’histoire d’une femme nommée Helena Kerschner qui a « détransitionné » après avoir pris des hormones et vécu comme si elle était un homme pendant plusieurs années.
Elle a raconté à Knowles que des problèmes d’estime de soi à l’adolescence l’ont conduite sur Internet, où elle a commencé à s’informer sur le transgenrisme. Kerschner a pris des hormones à 18 ans, mais à 22 ans, elle a cessé de le faire et ne prétend plus être un homme. Elle a déclaré que la pression exercée par des groupes en ligne l’a amenée à croire à tort qu’elle devait effectuer une transition.
« Vers l’âge de 15 ans, je traversais une période de ma vie où je n’avais pas beaucoup d’amis, où je me sentais mal dans ma peau et cela me tourmentait, et cela m’a amenée à aller souvent sur Internet », a raconté Mme Kerschner.
Cela l’a conduite sur le site de blogues Tumblr, où, selon elle, l’« idéologie du genre » est omniprésente.
« L’idéologie du genre y est très présente », a-t-elle indiqué. Selon elle, il existe de nombreuses « incitations sociales » à changer ses pronoms et à adopter l’idéologie du genre pour rester dans ces communautés en ligne.
Elle a ajouté que ces types de « communautés Internet » peuvent « donner l’impression d’être acceptée » et jouer un rôle malsain dans la vie d’une jeune fille. « C’est grâce à elles que vous vous sentez acceptée et que vous voulez vous intégrer, alors vous êtes prête à faire presque n’importe quoi pour vous conformer à ce groupe social », a déclaré Mme Kerschner.
Les communautés en ligne de ce type encouragent les adolescents à explorer le transsexualisme et leur disent que les problèmes normaux d’estime de soi chez les adolescents sont en fait des signes de dysphorie de genre. « Il y a des gens dans ces communautés qui diront, si tu n’aimes pas ton corps, c’est un signe de dysphorie de genre, si tu ne t’intègres pas aux autres filles, c’est un signe de dysphorie de genre, si tu n’aimes pas la façon dont ta voix sonne dans un enregistrement, c’est un signe de dysphorie de genre. »
« En tant qu’adolescente, vous ne réalisez pas vraiment à quel point c’est universel [de ne pas aimer son corps ou sa voix] », a expliqué Kerschner à Knowles.
Les pairs ont « validé » la décision de Kerschner de commencer à prendre des hormones et à vivre comme un homme.
Lire la suiteExplosion de jeunes adolescents qui se disent « transgenres » à l’école... Épidémie psychologique à la mode ?
Par Pour une école libre au Québec ― Photo : Pikist
Le nombre d’adolescents qui se présentent aux cliniques d’identité de genre avec une dysphorie du genre a grimpé en flèche ces dernières années au Canada. Alors qu’un nombre croissant de jeunes disent avoir besoin d’aide, certains parents, des professionnels de la santé mentale et d’autres s’inquiètent de la façon dont ils sont traités.
La fille de Mary était à l’école primaire lorsqu’elle s’est dite d’abord bisexuelle, puis lesbienne. Mais ce qui s’est passé lorsque la fille est entrée en 9e année dans une école secondaire en Ontario était inattendu. La jeune femme a voulu rencontrer d’autres élèves LGBTQ, dont un garçon transgenre. Puis, l’année suivante, cet automne, le garçon n’était plus seul : au moins une demi-douzaine d’autres filles biologiques¹ du même groupe d’amis élargis, y compris la fille de Mary, se sont dites transgenres.
« C’est devenu beaucoup plus important en un an », a déclaré la mère, qui a demandé que son nom complet et celui de l’école ne soient pas divulgués au National Post pour protéger la vie privée de la famille. « Cela ne semble pas statistiquement possible. » Pourtant, une école primaire de l’est de l’Ontario a connu le même phénomène il y a quatre ans. Quelques mois après la présentation d’un groupe extérieur sur l’identité de genre à une classe de 7e année [habituellement 12-13 ans], au moins cinq des 32 élèves ont déclaré qu’ils étaient transgenres, a déclaré Carolyn, un parent de l’école. Son fils de 11 ans était parmi eux, annonçant qu’il était une « demi-fille ». « On leur a dit en quelque sorte (à l’école) que si vous n’êtes pas à l’aise dans votre corps, vous pourriez être transgenre », a déclaré la mère, qui est également assistante sociale et conseille les jeunes en difficulté. « Cela a fait tilt pour plusieurs enfants dans cette classe. »
Ces surprenantes éclosions de dysphorie de genre — le sentiment d’avoir une identité de genre différente de son sexe de naissance — sont apparues alors que le nombre d’adolescents canadiens qui se présentent aux cliniques d’identité de genre avec dysphorie a grimpé en flèche ces dernières années, une grande majorité d’entre eux étant des filles.
Certains experts expliquent cette soudaine poussée par des facteurs comme une « contagion sociale » au sein de groupes de connaissances. Voir à ce sujet.
Lire la suiteTransgenre : des centaines de jeunes cherchent de l’aide
Par Antoine Béllion (Avenir de la Culture) ― Photo (rognée) : dashu83/Freepik
En Angleterre, la fondatrice de l’association The Detransition Advocacy Network qui vient en aide aux jeunes transgenres, indique que « des centaines [d’entre eux] recherchent de l’aide pour retrouver leur sexe d’origine ».
Elle-même « ancienne transgenre », après avoir retrouvé le sexe de sa naissance, Charlie Evans décide de rendre son histoire publique. Elle est alors « stupéfaite du nombre de personnes dans une situation similaire » qui se sont manifestées suite à son témoignage. Elle a été contactée par « des centaines » de personnes cherchant de l’aide — 30 personnes dans sa seule région de Newcastle.
« Des jeunes de 19 – 20 ans regrettent d’avoir subi l’intervention chirurgicale qui les a fait changer de sexe, celle-ci ne les ayant pas soulagés de leur dysphorie » explique-t-elle.
Charlie Evans accuse le système mis en place dont la seule réponse à la dysphorie est « voici vos hormones, voici votre opération, allez-y ». Des organismes, comme le Tavistock and Portman NHS Trust, offrent des « services d’identité genrée » aux mineurs, parfois même « pour des patients âgés seulement de 3 ou 4 ans » !!! Et le nombre de leurs patients connaît une croissance spectaculaire : 3 200 % de plus qu’il y a 10 ans — avec une augmentation de 5 337 % pour les filles. Des chiffres ahurissants.
Le nombre de cas de « détransition » devrait donc augmenter aussi.
Quelle aide pourra être proposée à ces personnes, alors que plusieurs états européens, dont la France, souhaitent interdire les thérapies de conversion ? [Le gouvernement britannique a interdit la « transition » des mineurs.]