Le déclin de la population mondiale
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pxfuel
Une étude publiée dans The Lancet et financée par la Fondation Bill et Melinda Gates annonce le déclin de la population mondiale à partir de 2064, l’étude attribue cette chute à la contraception et à l’avortement, entre autres, selon Michel Janva sur Le Salon Beige :
La population mondiale pourrait décliner dès la deuxième moitié du siècle pour atteindre 8,8 milliards en 2100, soit deux milliards de moins que les projections de l’ONU, selon une étude du Institute for Health Metrics and Evaluation (IHME) à Seattle (financé par la Fondation Bill et Melinda Gates), publiée mercredi 15 juillet dans The Lancet. A prendre donc avec des pincettes…
Ce déclin sera lié en grande partie à la culture de mort par la contraception, qui va faire baisser le taux de fécondité à 1,66 enfant par femme en 2100 contre 2,37 aujourd’hui.
Le dépeuplement mondial devrait se ressentir, s’il faut en croire une étude financée par Bill Gates, fortement en Chine, qui devrait perdre la moitié de sa population d’ici 2100, ainsi que 23 pays européens, qui devraient subir une perte semblable. Selon les chercheurs de l’IHME, rapporte Gènéthique :
Ainsi, « la Chine pourrait perdre près de la moitié de ses habitants (1,4 milliard aujourd’hui, 730 millions en 2100), avec un déclin du nombre de personnes en âge de travailler qui va “entraver” sa croissance économique ». Ce qui pourrait amener les Etats-Unis à « repasser devant la Chine d’ici la fin du siècle, si l’immigration continue à pallier la fécondité en baisse ».
Si le cours des choses se poursuit comme il se présente actuellement (le mieux serait un retour aux mœurs normales, ce qui comprend la protection de l’enfant à naître), Gènéthique poursuit :
D’autres pays pourraient voir, à l’instar de la Chine, « leur population réduite au moins de moitié ». Parmi eux : le Japon (128 à 60 millions), la Thaïlande (71 à 35), l’Espagne (46 à 23), l’Italie (61 à 31), le Portugal (11 à 4,5), ou encore la Corée du Sud (53 à 27). La population de la France devrait au contraire augmenter selon l’étude, de « 65 à 67 millions ».
À cause de l’immigration… Gènéthique continue :
L’Afrique subsaharienne pourrait de son côté voir « tripler sa population (1 à 3 milliards), tirée notamment par le Nigeria (206 à 790 millions d’habitants), qui deviendrait en 2100 le deuxième pays le plus peuplé au monde derrière l’Inde mais devant la Chine » d’après l’étude.
Où est donc passée la terrible surpopulation qui menaçait le monde ? Dans les oubliettes (ou plutôt les égouts…) de la Culture de Mort.
Légère baisse de la fécondité en 2019 au Québec : 1,58 enfant par femme
C'est ce qu'on appelle un hiver démographique...
Par Pour une école libre au Québec ― Photo : PxHere
Alors que l’indice synthétique de fécondité au Québec s’établissait en 2018 à 1,59 enfant par femme (nettement insuffisant pour remplacer les générations), cet indice a encore légèrement diminué en 2019 pour atteindre 1,58 enfant par femme.
L’indice synthétique de fécondité au Québec est inférieur à 1,6 enfant par femme pour une deuxième année consécutive. Il s’était maintenu au-dessus de ce niveau de 2006 à 2017, atteignant un maximum de 1,73 enfant par femme en 2008 et en 2009. Depuis 11 ans, il est en légère baisse continue. La fécondité au Québec est sous le seuil de remplacement des générations (2,1 enfants par femme) depuis 1970.
La fécondité demeure la plus élevée dans le Nord-du-Québec (2,6 enfants par femme) et les territoires amérindiens et esquimaux, alors qu’elle est la plus faible dans les grandes villes de Montréal (1,38 enfant/femme) et de Québec (1,48 enfant/femme).
L’indice synthétique de fécondité correspond au nombre moyen d’enfants qu’auraient un groupe de femmes si elles connaissaient, tout au long de leur vie féconde, les niveaux de fécondité par âge d’une année donnée.
En 2019, on estime à 84 200 le nombre de naissances au Québec, un nombre légèrement supérieur à celui enregistré en 2018 (83 840). Cette faible augmentation (environ 0,4 %) est la première observée depuis 2012. La hausse du nombre de naissances observée entre 2018 et 2019 s’explique par une augmentation du nombre de femmes en âge d’avoir des enfants, due principalement à l’immigration, et non par une hausse de la fécondité.
Le cadeau nuisible des Gates aux pays pauvres
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Quelle est l’importance de l’« aide » apportée par beaucoup des gouvernements de pays mieux nantis et des organismes internationaux aux pays plus pauvres ? Je ne veux pas mentionner par là la quantité d’argent faramineuse qui y est mise, mais l’effet de cet investissement qui aura forcément des effets à long terme. Pour répondre à cette question il serait sans doute plus pertinent de demander aux Africains ce qu’ils en pensent qu’à, par exemple, la Fondation Bill et Melinda Gates ou au gouvernement canadien.
Je vous résume donc un article écrit par une femme d’Afrique subsaharienne écrit en 2015. Il faut garder à l’esprit que si l’action des puissances susmentionnées dans les pays plus pauvres n’est pas bienfaisante, elle le sera sans doute sous la plupart des formes qu’elle pourra prendre, à moins que leur perception du monde ne change.
Dans une lettre adressée à Melinda Gates, Obianuju Ekeocha montre un fort trait de la culture subsaharienne en général, les gens aiment les bébés (ce qui est après tout normal) ! Ils peuvent se plaindre de toutes sortes de choses ouvertement, mais non pas de leur descendance. Un nouveau-né est accueilli avec joie par tout le village. C’une société qui aime les enfants, malgré les difficultés de la vie. Mme Ekeocha continue, selon Culture of Life Africa :
Lire la suiteMême avec des soins médicaux de qualité inférieure dans la plupart des milieux, les femmes sont vaillantes durant leur grossesse. Et une fois que le bébé est arrivé, elles se mettent en mode maternel avec grâce et héroïsme.
J’ai suivi une formation et j’ai travaillé pendant près de cinq ans dans le milieu médical en Afrique, mais je n’avais jamais entendu parler du terme clinique de « dépression post-partum » avant de venir vivre en Europe. Je n’en ai jamais entendu parce que je ne l’avais jamais vécue ou vu, même avec le taux de natalité relativement élevé m’environnant.
Coronavirus, vaccin et stérilisation
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Savez-vous quelle panacée universelle Bill Gates nous propose, quand il l’aura fait concocter ? Un vaccin contre le coronavirus.
Ce milliardaire prétend que la vie ne pourra pas retourner à la « normale », c’est-à-dire à ce qu’elle était avant les bouleversements causés par le coronavirus, ou ce qu’on en fait, sans cet incontournable préventif.
Et ce fameux vaccin ne sera pas « prêt » avant dix-huit mois au minimum, ce qui laisse pas mal de temps pour de nombreux gouvernements de mettre leur pays sens dessus dessous et leur économie tout à fait en l’air. Selon LifeSiteNews :
« Notre fondation travaille beaucoup sur les diagnostics et les vaccins », déclare Gates. Les producteurs de vaccins sont ceux « qui peuvent vraiment remettre les choses en place sans que nous ayons à nous soucier des grands rassemblements publics ».
Selon M. Gates, « il y a beaucoup de dialogue entre les experts de notre fondation et le gouvernement », au sujet du retour à la vie et aux activités normales après que la pandémie fût mise sous contrôle.
« Quelles activités, comme les écoles, présentent un grand avantage et peuvent être menées de manière à ce que le risque de transmission soit très faible ? Et quelles activités, comme les rassemblements de masse, peuvent être — dans un certain sens — plus facultatives ? Et ainsi de suite tant que tous ne sont pas largement vaccinés, elles peuvent ne pas revenir du tout ».
Si tel était le cas, ce qui ne l’est sûrement pas, plusieurs gouvernements n’instaureront-ils pas une obligation de se faire vacciner, d’abord pour le coronavirus, puis pour d’autres maladies ?
Non seulement l’utilité des vaccins est-elle discutable, surtout quand on considère toutes les cochonneries que l’on met dedans, comme l’aluminium pour affaiblir le système immunitaire afin que celui-ci accepte plus facilement le vaccin, mais parce que le but des fabricants de vaccins n’est pas forcément de combattre la seule maladie, mais de poursuivre d’autres objectifs… comme la réduction de la population :
Gates, partisan de l’avortement et du contrôle de la population, a parlé de l’utilisation de vaccins dans le passé pour réduire la population mondiale.
« Aujourd’hui, si nous faisons un excellent travail sur les nouveaux vaccins, les soins de santé et les services de santé reproductive, nous la réduisons [la population] de 10 ou 15 % », a-t-il déclaré lors d’une conférence TED (Technology, Entertainment, Design) en 2010.
Évidemment on pourrait se demander quel est le rapport direct entre les vaccins et la réduction de la population, si ce n’est justement à cause de ce que l’on met dedans, comme dans ce vaccin contre le tétanos néonatal, fourni par l’OMS et injecté à la population féminine du Kenya par le ministère de la Santé du Kenya en 2014, qui contenait l’hormone chorionique gonadotrope humaine ou hCG (de l’anglais : human chorionic gonadotropin). Or, ouvrons une large parenthèse, l’hCG est une « hormone féminine produite pendant la grossesse, qui, si elle est injectée avec des traces de tétanos, fera produire au corps des anticorps. De la même façon que ces anticorps réagiront à une véritable infection au tétanos, ils réagiront à une grossesse, provoquant une fausse couche », rapporte un deuxième article de LifeSiteNews, autrement dit un avortement voulu si le but recherché était de provoquer la fausse-couche.
Lire la suiteL’«aide médicale à mourir» et la «logique» macabre de la Culture de Mort
Par le Père Shenan J. Boquet (Human Life International) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : ulleo/Pixabay
La connexion mortelle entre les questions morales et la Culture de Mort
Beaucoup d’individus s’identifiant aux mouvements pro-vie et pro-famille n’apprécient pas pleinement l’étendue des connexions profondes qui lient ensemble divers problèmes sociaux. La contraception, l’avortement, l’euthanasie, le divorce, la pornographie, le mariage « homosexuel », l’idéologie du genre (pour ne nommer que les plus importants) ne tombent pas uniquement dans la catégorie des problèmes sociaux ou spirituels. Ils sont bien plutôt liés ensemble, et plus important encore, ils s’entretiennent les uns les autres.
Il y a une logique interne à la Culture de Mort, si celle-ci n’est pas court-circuitée par un retour aux vérités pérennes, l’amenant à se mordre la queue pour ainsi dire. La mort entraîne la mort, la solitude et l’isolement, entraînant de plus en plus de solitude et d’isolement. Une dynamique dont était pleinement averti le fondateur de Human Life International, le Père Paul Marx, OSB. Il dit dans From Contraception to Abortion que, « Dans chaque pays, sans exception, la contraception a mené à l’avortement, l’avortement à l’infanticide et celui-ci à l’euthanasie à part entière. » Lorsque l’objet de la sexualité n’est plus la procréation ou la famille, le mouvement de pression homosexuel montre sa tête hideuse.
L’alarme démographique
Un des domaines les plus sous-estimés où nous voyons cette logique perverse en action, telle qu’évoquée par le Père Marx, est la relation entre la contraception, la mentalité anti-natale et la demande grandissante de la légalisation de l’euthanasie et de l’aide médicale à mourir.
Beaucoup d’activistes anti-vie croient qu’ils défendent la légalisation de l’euthanasie, croyant défendre les principes de la « liberté » et de « l’autonomie ». Ce qu’ils ne réalisent pas, c’est qu’ils répondent à la pression de la nécessité de trouver une « solution » à un problème croissant, qui n’existe en bonne partie que parce que leur idéologie l’a créé ; par la destruction de la structure de la famille et par la promotion d’une mentalité antinatale qui a dérobé les enfants, dont les familles et la société ont désespérément besoin.
Même les médias principaux et les politiciens libéraux se rendent compte de cette série de problèmes causés par l’hiver démographique, résultat de la conjuration des alarmistes de la surpopulation et de la révolution sexuelle. Prenons ce récent article du Globe and Mail canadien, un journal d’extrême gauche, mais largement lu de tous. Dans cet article, l’auteur John Ibbison prévient que le tsunami social et financier est imminent et qu’il est dû à un niveau de fertilité très bas.
L’accroche en-dessous du titre le résume bien : « Chaque génération a de moins en moins d’enfants, donc moins de personnes pour prendre soin de nous dans nos vies qui sont de plus en plus longues. Une situation grave que nous ignorons à notre propre péril. » Cette crise est une simple question mathématique. Plusieurs de nos structures sociales et financières ont été bâties sur la supposition qu’il y aurait une grande population de jeunes en santé, qui entreraient sur le marché du travail, qui paieraient leurs taxes et subviendraient aux besoins de leurs parents et familles. Malheureusement, les jeunes n’y sont plus.
Lire la suiteN’avoir qu’un ou aucun enfant pour sauver la planète ? Une fausse solution…
Billet de blogue d’augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Martin Vorel/Libreshot
Une idée incongrue circule ces temps-ci, n’avoir qu’un enfant, mieux, n’en avoir aucun pour sauver le climat et la planète. L’homme occidental doit avoir moins d’enfants, ce riche pollueur ne doit plus en avoir. C’est dans un texte paru sur Valeurs Actuelles que le philosophe Olivier Rey démonte cette proposition, qui est aussi un argument (bidon), en faveur d’un néo-malthusianisme.
Ce sont deux chercheurs qui démontrèrent, dans une étude sur les moyens de réduire son « empreinte carbone », qu’avoir un enfant de moins était le facteur possible, de loin le plus important, dans la réduction de « l’empreinte carbone ».
Cette étude, et l’idée qu’elle véhiculait, fut reprise et annoncée à renfort de tambours et de trompettes par l’AFP, et proclamée sur tous les toits par le monde médiatique : un enfant de moins est égal à 58,6 tonnes de carbone en moins dans l’atmosphère !
Évidemment, comme beaucoup sont convaincus que la théorie du « changement climatique » est vraie, véritable et véridique, et que la culture de mort règne en maître dans la société occidentale, une telle assertion ne pouvait trouver que des échos favorables, tiens-je à souligner.
Olivier Rey souligne dans son texte le manque de pertinence de mettre sur le même pied le fait d’avoir des enfants et des modes de consommations :
D’abord, il y a quelque chose de profondément malsain à mettre sur le même plan, dans un graphique, d’une part des modes de consommation et d’autre part le fait d’avoir des enfants — comme si cela relevait du même ordre.
Et il est entendu que l’enfant en question est supposé être éduqué dans un complet consumérisme, dans un luxe antiéducatif, regardant la télévision sur un écran se mesurant en pieds, recevant le dernier modèle de téléphone [in]intelligent, roulant en VUS, et voyageant en avion plusieurs fois par an.
Remarquez que ce n’est pas en faisant venir des millions d’étrangers en Occident que l’on réglera le problème, tant de la démographie que du « climat », ceux-ci venant chez nous précisément pour vivre d’une façon plus aisée et adoptant le train de vie local.
Lire la suiteLe taux de natalité en Italie tombe à son niveau historique le plus bas
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : pxfuel
Voilà le résultat de l’avortement, de la contraception, du divorce, etc. Selon LifeSiteNews :
L'Italie a enregistré son plus petit nombre de nouveau-nés en 2019, ce fait amenant son président à augurer du malheur du pays.
« C'est un problème qui concerne l'existence même de notre pays », a déclaré Sergio Mattarella, âgé de soixante-dix-huit ans.
« L'étoffe de notre pays s'affaiblit, et tout doit être mis en œuvre pour contrer ce phénomène ».
Selon l'Istituto Nazionale di Statistic (Istat), il n'y a eu que 435 000 naissances en Italie l'année dernière, le nombre le plus bas jamais enregistré dans le pays, contre 647 000 décès.
Le nombre de naissances a diminué de 5 000 par rapport à 2018, et le nombre de décès a augmenté de 14 000.
Selon Reuters, la population totale d'Italie a diminué de 116 000 personnes, pour atteindre 60,3 millions d'habitants, malgré le nombre croissant de naissances chez les « migrants »* dans le pays. L'agence de presse a également noté que « la population italienne avait augmenté pratiquement chaque année depuis la Première Guerre mondiale, atteignant un pic en 2015 avec 60,8 millions, mais depuis a commencé à diminuer ».
L'espérance de vie est passée à 85,3 ans pour les italiennes et à 81 ans pour les italiens. La diminution des naissances et l'augmentation de l'espérance de vie ont fait que l'âge moyen est de 45,7 ans.
Lorsque le faible nombre de naissances en Italie en 2018 fut annoncé, le ministre de l'intérieur à l'époque, Matteo Salvini, avait déclaré : « Nous sommes dans un état catastrophique ».
*Guillemets rajoutés. — A. H.
Un professeur féministe qui pratique l’occultisme en appelle à l’extinction de l’humanité pour sauver la planète
Patricia MacCormack.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Image (capture d'écran) : CUNTemporary Events/YouTube
La personne qui promeut un tel agenda ne se cache pas même pas de ses pratiques occultes. On voit bien d’où lui vient son inspiration pour promouvoir la disparition de l’Homme, ou de l’espèce humaine si vous préférez : le démon. « La gloire de Dieu est l’Homme vivant », c’est pourquoi celui qui est homicide depuis le commencement veut sa destruction. Selon LifeSiteNews :
Le 23 janvier 2020, Bloomsbury Academic a publié un appel à l’action pour tous ceux qui se soucient du « changement climatique ». The Ahuman Manifesto: Activism for the End of the Anthropocene de Patricia MacCormack, professeur de philosophie continentale à l’Université Angelia Ruskin, va droit au but et plaide pour la solution finale au réchauffement climatique : la fin de la race humaine. Pour MacCormack, la « Rébellion de l’extinction » a un tout autre sens.
MacCormack admet être une « magicienne occultiste ». Elle a en fait donné des conférences — souvent dans une tenue censée imiter celle d’une sorcière et ressemblant étrangement aux costumes que l’on voit fréquemment aux lectures drag queen — sur l’« invocation » ou la « convocation » des démons, ce qui, selon elle, est une pratique féministe ou queer importante. L’invocation des démons, dit-elle, n’est pas entièrement sans risque, car « la folie est aussi probable que l’extase ». Le tout dit sur un ton sérieux.
MacCormack n’est pas le genre de militant climatique bêlant qui croit que nous devrions sauver la planète pour nos enfants. En fait, elle pense qu’il ne devrait pas y avoir d’enfants.
[...] MacCormack a déjà soutenu que les animaux étaient égaux aux êtres humains. Aujourd’hui, elle soutient que les humains devraient être complètement écartés.
11 000 scientifiques exigent un contrôle de la population pour «urgence climatique»
Par Claire Chretien ― traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo : Capture d'écran d'une vidéo du CELJ
5 novembre 2019 (LifeSiteNews) ― 11 000 scientifiques ont signé un article déclarant que « la population mondiale doit être stabilisée et, idéalement, progressivement réduite », car une « urgence climatique » menace « le destin de l'humanité ».
Rédigé par l'Alliance of World Scientists et rempli d'un langage alarmiste et apocalyptique, l'article a été publié aujourd'hui dans BioScience.
« Toujours augmentant d'environ 80 millions de personnes par an, soit plus de 200 000 personnes par jour... la population mondiale doit être stabilisée, et, idéalement, progressivement réduite, dans un cadre qui assure l'intégrité sociale », ont écrit les auteurs.
« Il existe des politiques éprouvées et efficaces qui renforcent les droits de l'homme tout en abaissant les taux de fécondité et en atténuant l'impact de la croissance démographique sur les émissions de gaz à effet de serre et la perte de biodiversité. Ces politiques rendent les services de planification familiale accessibles à tous, éliminent les obstacles à leur accès et accomplissent une pleine équité entre les sexes, y compris l'éducation primaire et secondaire comme norme mondiale pour tous, en particulier les filles et les jeunes femmes », poursuivaient-ils, citant une étude réalisée par John Bongaarts, un activiste en faveur du contrôle démographique qui a pris la parole au Vatican en 2017.
Le PDG et milliardaire de Tesla, Elon Musk, a cependant publiquement déclaré que le « plus grand problème » auquel le monde est confronté n'est pas l'explosion démographique, mais l'« effondrement de la population » dû à la chute libre des taux de natalité.
« La plupart des gens pensent que nous sommes trop sur la planète, mais en fait c'est une vision dépassée », déclarait M. Musk lors d'un débat en direct en direct le 19 août avec Jack Ma, président d'Alibaba Group Holding Ltd à la World Artificial Intelligence Conference de Shanghai.
Depuis des années déjà, les démographes mettent en garde les pays occidentaux, dont le taux de natalité est inférieur au taux de remplacement, contre ce que certains appellent « l'hiver démographique ». Dans un tel effondrement, les personnes âgées sont plus nombreuses que les jeunes, ce qui crée de graves déséquilibres. Les économies en souffrent. Certaines pourraient même s'écrouler. Le résultat pourrait avoir un impact négatif sur certaines des principales infrastructures — comme les systèmes financier et de soins de santé — qui contribuent à la vie de la démocratie occidentale.
Lire la suiteElon Musk: «L’effondrement de la population» est le «plus grand problème» auquel le monde est confronté
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Et quelles sont certaines causes qui devraient être pointées du doigt ? L’avortement, environ 50 millions d’avortements (connus) en 2018, la contraception, le divorce et le concubinage (les familles décomposées et recomposées ne sont pas favorables à la natalité). D’après LifeSiteNews, Elon Musk, PDG de la compagnie Tesla, dénonce l’implosion démographique :
Le « plus grand problème » auquel le monde est confronté n’est pas l’explosion de la population, mais « l’effondrement démographique », a déclaré le PDG de Tesla, le milliardaire Elon Musk.
M. Musk émit ce commentaire lors d’un débat en direct avec Jack Ma, président d’Alibaba Group Holding Ltd., lors de la World Artificial Intelligence Conference le 29 août à Shanghai.
Lorsque Ma fit une réflexion sur le faible taux de natalité en Chine, qui avait autrefois une politique de l’enfant unique, mais qui a maintenant une politique de deux enfants, Musk acquiesça qu’il y avait un problème de « taux de natalité ».
« La plupart des gens pensent que nous avons trop de gens sur la planète, mais en fait c’est une vision dépassée, » a déclaré Musk. [Une vision qui n’a en fait jamais été vraie.]
« En assumant que l’intelligence artificielle est correcte, nous supposons qu’il y a un avenir favorable avec l’AI [un avenir favorable ne dépendra sûrement pas de cet outil, qui n’est par ailleurs pas intelligent, qui n’apportera des bienfaits que s’il est manié à bon escient], je pense que le plus gros problème auquel le monde sera confronté dans les 20 ans à venir est l’effondrement démographique, » a-t-il poursuivi.
« L’Effondrement : Je tiens à le souligner. Le plus grand problème dans les 20 ans à venir sera l’effondrement de la population, pas l’explosion, l’effondrement », a-t-il ajouté.
[...]
Dans un tweet de juillet 2017, Musk a noté que la population mondiale « accélère sa chute vers l’effondrement, mais peu de gens semblent le remarquer ou s’en soucier ».
Son commentaire se rapportait à un article du New Scientist, datant de novembre 2016, intitulé « The world in 2076: The population bomb has imploded » (Le monde en 2076 : La bombe démographique a implosé) qui prévoyait un déclin déterminé de la population mondiale au cours des 60 prochaines années, la moitié des pays du monde ayant des taux de fécondité inférieurs au taux de remplacement. Le taux de fécondité de remplacement est de 2,1 enfants par femme. La plupart des pays développés se situent bien en deçà de ce chiffre.