Décès de Gilles Noël
Gilles Noël.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (côtés flous rajoutés) : Robert Manon/La Presse/Bibliothèque et Archives nationales du Québec
Gilles Noël, né en 1950, homme politique québécois, a étudié à l’École polytechnique de Montréal, il a été professeur de physique au Cégep du Vieux-Montréal et a enseigné au Cégep de Saint-Jean-sur-Richelieu. Il est décédé d’un problème cardiaque le 21 juillet 2023.
M. Noël était un solide pro-vie qui a fidèlement appuyé Campagne Québec-Vie. Il a notamment participé à la conférence de CQV en 2011 à Québec. Il a participé pendant une décade à une manifestation périodique devant un avortoir de Montréal depuis les années 1990.
Il a rédigé en 2002, en tant que président du Centre national Robert Rumilly, un mémoire contre la législation légalisant les unions civiles entre personnes de même sexe qui a été envoyé à la Commission permanente des institutions de l’Assemblé nationale du Québec chargée d’examiner le projet de loi. Il a également témoigné en personne devant la commission.
M. Noël était partisan de l’aide psychologique pour les personnes désirant se défaire de l’attirance pour les personnes de même sexe — le Québec et le Canada ont depuis malheureusement interdit ces pratiques, sous l’appellation « thérapie de conversion ». M. Noël prônait également l’abstinence pour empêcher la propagation du sida.
Il a fondé en 2000 le parti Démocratie chrétienne du Québec (devenu par la suite Parti unité nationale). Ce parti, comme son fondateur, s’oppose à l’avortement et au « mariage gay », tout en proposant une aide financière directe aux mères afin de favoriser la famille et la natalité.
Ses funérailles seront célébrées à 11 h le 29 juillet en l’église St-Jean-Baptiste, 1251, 5e Avenue, Shawinigan, (secteur Grand-Mère), G9T 2N6.
Que son âme repose en paix.
Décès du cardinal George Pell : la réaction attristée du cardinal Burke, qui lui avait rendu visite la veille
Le cardinal George Pell.
Le blog de Jeanne Smits — Photo : EWTN/YouTube
Je publie volontiers ci-dessous le communiqué du cardinal Raymond Burke publié le 11 janvier à la suite du décès du cardinal George Pell, mort à l’âge de 81 ans de complications cardiaques au cours d’une opération de la hanche.
Avec le cardinal Pell disparaît un grand serviteur du Christ, un prince de l’Église profondément atteint par la confusion régnant aujourd’hui. — J.S.
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Décès du Cardinal George PELL
11 janvier 2023
Le décès soudain du cardinal George Pell a privé l’Église du compagnonnage terrestre d’un pasteur sage et aimant, plein de joie et de courage. J’ai quant à moi perdu le compagnonnage terrestre d’un grand ami, qui fut un exemple au sein du Sacré Collège des Cardinaux. J’ai longuement rendu visite au cardinal Pell l’après-midi qui a précédé son hospitalisation pour une opération de remplacement de la hanche, et j’en garde le vif souvenir de son amour ardent pour le Christ et pour l’Église, son Épouse.
Le cardinal Pell était un défenseur infatigable et intrépide des vérités de la foi, à commencer par les préceptes fondamentaux de la loi morale relatifs à l’inviolabilité de la vie humaine innocente et sans défense, à la sauvegarde du sens intégral du mariage et de sa fructification dans la famille, et à la liberté de pratique de la religion, non pas en raison de quelque conviction idéologique mais parce que, prêtre du Christ, il L’aimait et désirait Le servir fidèlement. La « divine jalousie » de saint Paul à l’égard de l’Eglise l’animait, il ne cessait d’œuvrer pour la « présenter au Christ comme une vierge pure » (2 Co 11, 2). Je l’ai ainsi trouvé, à la veille de son hospitalisation, plein d’énergie pour aider toutes ces personnes qui souffrent aujourd’hui de la confusion et de la division qui règnent dans l’Eglise et qui sont, par conséquent, profondément découragées, se sentant même abandonnées par ceux qui ont été ordonnés pour être leurs pères spirituels.
Lire la suiteLe pape Benoît XVI, fervent défenseur de la vie
Le pape Benoît XVI.
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Sergey Gabdurakhmanov/Wikimedia Commons
Le pape émérite Benoît XVI, qui avait démissionné de la papauté en 2013, est décédé à l’âge de 95 ans, a annoncé le Vatican samedi. Le pape Benoît XVI est né Joseph Aloisius Ratzinger en Bavière et a été élu pape en avril 2005, succédant au pape Jean-Paul II.
« C’est avec tristesse que je vous informe que le pape émérite, Benoît XVI, est décédé aujourd’hui à 9 h 34 au monastère Mater Ecclesiae au Vatican », a déclaré le directeur du bureau de presse du Vatican, Matteo Bruni. Il a ajouté que le pape Benoît avait reçu le sacrement de l’onction des malades le 28 décembre. Sa messe de funérailles aura lieu le 5 janvier sur la place Saint-Pierre.
Le pape Benoît a continuellement rappelé aux catholiques, et au reste du monde, la valeur de la vie humaine, de la fécondation à la mort naturelle. En 2007, il a averti les politiciens catholiques pro-avortement qu’ils risquaient d’être excommuniés de l’Église et qu’ils ne devaient pas recevoir la communion, se rangeant ainsi du côté des dirigeants catholiques mexicains qui avaient menacé d’excommunier les parlementaires pro-avortement qui avaient voté pour la légalisation de l’avortement à Mexico. Il a déclaré : « L’excommunication n’est pas une chose arbitraire, mais elle est prévue par le Code [de Droit canonique]. Il est donc tout simplement écrit dans le Droit canonique [de l’Église] que le meurtre d’un enfant innocent est incompatible avec la communion dans laquelle on reçoit le Corps du Christ. »
Il a ajouté : « L’égoïsme et la peur sont à la base de la législation [pro-avortement]. Dans l’Église, nous avons un grand combat à mener pour défendre la vie... la vie est un don et non une menace. »
À propos de l’avortement, le pape Benoît a également déclaré : « L’amour de Dieu ne fait pas de différence entre celui qui vient d’être conçu et se trouve encore dans le sein de sa mère, et l’enfant, ou le jeune, ou bien encore l’homme mûr ou âgé. Il ne fait pas de différence, car en chacun d’eux il voit l’empreinte de sa propre image et ressemblance (cf. Gn 1, 26). »
Lire la suitePrions pour que Dieu accorde sa miséricorde à la reine, elle qui avait donné son assentiment à la légalisation de l’avortement
La reine Elizabeth II du Royaume-Uni et du Commonwealth.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : The Royal Family/Twitter
La Reine Elizabeth II du Royaume-Uni et des Royaumes du Commonwealth, dont le Canada, est décédée tout récemment, hier en fait. Elle était ma souveraine, bien que je sois Canadien français et catholique et que son règne fut somme toute symbolique ; aussi ai-je un certain devoir à son endroit de prier pour le repos de son âme.
Combien de gens ne l’aimaient-ils pas autrement dans le monde anglophone et parmi ses sujets ! – tendresse qui rayonnait sans doute plus loin que la Grande-Bretagne et ses colonies. Nombre d’Anglais ont pleuré la mort d’Elizabeth II, elle qui avait régné pendant 70 ans !
Mais il y a une raison encore plus importante de prier pour que Dieu étende spécialement sa miséricorde à elle, particulièrement qu'Il lui pardonne d'avoir signé la Loi sur l’avortement (Abortion Act) en 1967, permettant le meurtre des enfants à naître jusqu’à la 28e semaine de grossesse.
Son rôle est peut-être, me direz-vous, assez mineur puisque les souverains du Royaume-Uni apposent systématiquement la Sanction Royale aux lois votées par le parlement britannique depuis plusieurs siècles, et que, cela étant devenu une tradition fermement établie, elle ne pouvait en pratique empêcher aucune loi qui lui était présentée.
Oui et non. Même si le gouvernement qui exerce le pouvoir (ou gouvernement « réel ») aurait pu sans doute contourner le gouvernement officiel de la reine, elle pouvait, en théorie du moins, mettre son veto à toute loi déplaisant à Sa Majesté. Qu’en eût-il résulté ? Sans doute un ternissement de l’image « démocratique » du système britannique ; mais ne vaut-il pas mieux sauver monarchiquement ses sujets que de ratifier démocratiquement leur meurtre ? La fin de la monarchie ou du moins la perte du statut de législateur suprême eût peut-être été l’aboutissement d’un tel geste.
Mais la popularité de la reine aurait peut-être aussi suffi à faire reculer parlement et ministres avec leurs lois macabres, du moins en Grande-Bretagne ; a contrario, la reine use de sa popularité pour soutenir des lois immorales.
Lire la suiteLa reine Elizabeth II est décédée
La Reine Elisabeth II du Royaume-Uni et des Royaumes du Commonwealth.
Par LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : portrait d'État par Ranald Mackechnie
8 septembre 2022, Balmoral Castle, Écosse — Elizabeth II, reine du Royaume-Uni et de nombreux autres pays dont le Canada, est décédée aujourd’hui dans sa résidence d’été en Écosse après une courte maladie.
Elle avait 96 ans.
La Reine fut le monarque le plus longtemps en fonction dans l’histoire britannique, son règne ayant duré 70 ans.
Née en 1926 d’Albert, duc d’York, et de Lady Elizabeth, née Bowes-Lyon, Elizabeth Alexandra Mary ne s’attendait pas à devenir reine. Elle était troisième dans l’ordre de succession au trône, derrière son oncle David, prince de Galles et futur Édouard VIII, et son père, frère cadet de David. Cependant, une nouvelle voie s’ouvre à elle en décembre 1936 lorsque son oncle, qui a succédé à son père George V mais n’avait pas encore été couronné, abdique. Le père de la princesse Elizabeth prend le nom de George VI et règne jusqu’à sa mort d’une thrombose coronaire en février 1952. Elizabeth devient ainsi reine à l’âge de 25 ans.
Elizabeth avait épousé le prince Philippe de Grèce et du Danemark à l’abbaye de Westminster en novembre 1947, et le couple eut quatre enfants : Charles (1948), Anne (1950), Andrew (1960) et Edward (1964). Le prince Philip est décédé en avril 2021, après 73 ans de mariage. Au moment de sa propre mort, la Reine avait huit petits-enfants et douze arrière-petits-enfants.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, alors que la famille royale refuse de quitter la Grande-Bretagne pour la sécurité du Canada, la princesse Elizabeth, âgée de 14 ans, prononce un discours sur les ondes de la BBC pour remonter le moral de la population. En 1945, alors qu’elle avait 19 ans, la princesse a insisté pour rejoindre les services territoriaux auxiliaires féminins (ATS) de l’armée britannique, où elle a servi comme chauffeur de camion et mécanicien.
Le fait le plus marquant de son règne de 70 ans est peut-être qu’en 1967, elle a donné son assentiment royal à ce qui est devenu la Loi sur l’avortement (Abortion Act). Comme son nom l’indique, il s’agit de la loi qui a rendu l’avortement légal dans un grand nombre de situations jusqu’à 28 semaines de gestation.
Le premier ministre britannique du début de son règne fut Winston Churchill, celui de sa fin — et le 15e — Liz Truss, qu’Elizabeth a officiellement rencontrée en début de semaine au château de Balmoral. (Son premier premier ministre canadien était Louis St-Laurent ; Justin Trudeau était son 12e).
Son fils aîné, Charles, également connu sous le nom de prince de Galles et, en Écosse, de duc de Rothesay, lui succède en tant que monarque.
LifeSiteNews invite ses lecteurs à prier pour son âme et pour sa famille.
Un cardinal nommé pour enquêter sur la corruption au Vatican meurt à 98 ans, sans que ses conclusions aient été rendues publiques
Le Cardinal Jozef Tomko.
Par Louis Knuffke — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Twitter
12 août 2022 Citée du Vatican (LifeSiteNews) — Le jeudi 11 août 2022, le cardinal Giovanni Battista Re, doyen du Collège des cardinaux, a célébré la messe de funérailles du cardinal Jozef Tomko à l’autel de la Chaire dans la basilique Saint-Pierre de Rome. Le Saint-Père, qui était présent, a présidé la Commendatio et la Valedictio finales.
Le défunt cardinal, d’origine slovaque, est décédé à Rome le 8 août. Il était le préfet émérite de la Congrégation pour l’évangélisation des peuples et avait été créé cardinal par Jean-Paul II en 1985.
Comme Vatican News l’a rapporté hier, dans son homélie funèbre, le cardinal Re a fait l’éloge de la vie toute de dévouement du cardinal Tomko, consacrée « à la création de nombreux nouveaux diocèses, à la construction de nouvelles églises, de centres éducatifs, de centres sociaux et au développement de la coopération missionnaire des sociétés missionnaires pontificales dans de nombreux pays ».
Le cardinal défunt a également été loué par le cardinal Joseph Zen dans son livre For the Love of My People I Will Not Keep Silent [Pour l’amour de mon peuple, je ne me tairai pas], pour la clarté et l’intégrité avec lesquelles il a aidé l’Église en Chine et traité avec le parti communiste chinois pendant son mandat à la Congrégation pour l’évangélisation des peuples.
Le cardinal Tomko avait été préparé à ce travail par son expérience avec les communistes dans son propre pays, la Slovaquie. Il a été ordonné prêtre en 1949 à Rome, pendant l’oppression communiste de l’Église catholique en Slovaquie. En raison de la persécution de l’Église, il n’a pas pu retourner dans l’archidiocèse de Kosice et, en 1962, il a commencé à travailler à la Congrégation pour la doctrine de la foi au Vatican, dont il a assumé la direction en 1966. À la Curie romaine, il a ensuite été sous-secrétaire de la Congrégation pour les évêques en 1974, secrétaire général du Synode des évêques en 1979, puis préfet de la Congrégation pour l’évangélisation des peuples en 1985. En 1985, il a également été élevé au Collège des cardinaux.
Fort de sa longue expérience au sein de la Curie romaine, le cardinal Tomko, ainsi que les cardinaux Julian Herranz et Salvatore De Giorgi, ont notamment été chargés en 2012 par le pape Benoît XVI d’une enquête sur la corruption de la Curie autour du scandale « Vatileaks » de 2011, dans lequel des documents papaux confidentiels avaient été volés et divulgués à la presse.
Lire la suiteDr Zelenko : vrai médecin
Le Dr Vladimir Zelenko.
Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Rumble
Le Dr Zelenko était un vrai médecin, il respectait la vie humaine pour son être et non pour ses capacités, parce que crée à l’image de Dieu : « Les principaux concepts de la “vie centrée sur Dieu” comprennent que “nous sommes faits à l’image de Dieu, et c’est la base de la loi naturelle, ce qui signifie que puisque nous sommes faits à l’image de Dieu nos vies sont sacrées, simplement parce qu’elles le sont, et non pour une autre raison” », rapportait de lui LifeSiteNews le 8 décembre 2021. C’est ce que je qualifierais de convictions pro-vie — A.H.
30 juin 2022 (LifeSiteNews) — Le Dr Vladimir Zelenko, pionnier du traitement précoce covid, est décédé d’un cancer à l’âge de 48 ans.
Le Dr Vladimir Zelenko, médecin nommé au prix Nobel et militant des droits médicaux, est décédé à l’âge de 48 ans après un long combat contre le cancer.
Zelenko, qui a exercé la médecine pendant 20 ans, est devenu un nom mondialement connu pendant la prétendue pandémie de covid-19 lorsqu’il a été le premier à mettre au point le protocole de traitement précoce qui a permis de sauver des vies, aujourd’hui appelé « protocole Zelenko ».
Annonçant son décès, America’s Frontline Doctors a écrit tôt le matin du 30 juin :
C’est avec une immense tristesse que nous annonçons le décès de notre fondateur, le Dr Vladimir « Zev » Zelenko. Le Dr Zelenko était médecin, scientifique et militant des droits médicaux qui a touché la vie de millions de personnes. Certaines ont été sauvées grâce à son rôle de médecin, et d’autres encore ont été inspirées par ses paroles. Son « protocole Zelenko » a sauvé des millions de personnes, lui a valu une nomination au prix Nobel et l’admiration d’un président américain et d’autres dirigeants mondiaux de premier plan.
Zelenko, juif orthodoxe né en Union soviétique, a été largement couvert par LifeSiteNews, à la fois pour son protocole Zelenko loué par Donald Trump, qui lui a valu une nomination au prix Nobel, et pour son franc-parler concernant les graves méfaits des injections expérimentales d’ARNm covid.
Dans une vidéo, datée du 21 septembre 2021, le Dr Vladimir Zelenko prenait un grand risque en racontant tout !, le Dr Zelenko témoigna devant un tribunal rabbinique des horreurs causées par les injections expérimentales à modification génétique, et en quoi leur application à des enfants — qui ne courent aucun risque avec le covid — n’est rien d’autre qu’un sacrifice d’enfant.
Dans un entretien accordé à LifeSiteNews en juillet dernier, Zelenko a expliqué ce qui a fait le succès de son protocole à base d’hydroxychloroquine (HCQ) et de zinc pour traiter le covid, tout en évoquant le « groupe de sociopathes » qui a ignoré et censuré son traitement efficace et qui a préféré imposer un « liquide expérimental » (le vaccin à ARNm) à l’ensemble de la population mondiale.
Lire la suiteDécès du président des veillées pour la vie
Éric Angier de Lohéac, fondateur des veillées pour la Vie.
Par Emmanuel d’Hardemare (Veillées pour la Vie) — Photo : Facebook
Le 19 mai 2022
Chers amis,
C’est le cœur lourd et triste que nous vous écrivons aujourd’hui. Éric Angier de Lohéac, fondateur et président des veillées pour la Vie, a remis son âme à Dieu dans la soirée du 17 au 18 mai, jour de la saint Éric, après avoir reçu les derniers sacrements, à l’âge de 37 ans. Très discret sur la rechute de son cancer à l’automne dernier, il n’a cessé de porter les veillées pour la Vie dans son cœur et dans son apostolat. Avec émotion, il rappelait la phrase d’Anne-Dauphine Julliand : « Il faut ajouter de la vie aux jours, lorsqu’on ne peut plus ajouter de jours à la vie. »
Convaincu de la nécessité de prier, de ne jamais séparer foi et charité, il a fondé l’association des veillées pour la Vie en 2010 après l’appel du Pape à prier pour la vie naissante. Petit à petit, cette prière s’est étendue à la défense de la vie, de sa conception jusqu’à sa fin naturelle. Malgré les tempêtes et les doutes, Éric, en bon marin est « resté à bord » de l’association jusqu’au bout, priant sans relâche, téléphonant, écrivant. Il puisait sa force dans l’Amour de Jésus-Eucharistie, communiant et adorant aussi souvent qu’il le pouvait, mais aussi dans le chapelet quotidien. Rendons grâce pour sa vie donnée.
La messe aura lieu vendredi à 10 h à Carnac, nous vous invitons à nous rejoindre si vous le pouvez ou à vous unir à cette eucharistie dans la prière.
Le plus bel hommage que nous pouvons lui rendre aujourd’hui est sans nul doute de poursuivre son œuvre, c’est-à-dire de continuer à prier pour la vie, dans la communion des saints, avec ceux qui nous ont précédés dans le combat.
En union de prière
Deo gratias
Emmanuel d’Hardemare
Vice-président
Décès de la philosophe catholique Alice von Hildebrand
Alice von Hildebrand, née le 11 mars 1923, décédée le 14 janvier 2022.
Par Dorothy Cummings McLean — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Hildebrand Project
14 janvier 2022, New Rochelle, New York (LifeSiteNews) — Alice von Hildebrand, philosophe catholique, théologienne et championne de la messe traditionnelle en latin, est décédée ce matin à son domicile après une brève maladie.
Elle avait 98 ans.
Von Hildebrand, née Alice Jourdain le 11 mars 1923 à Bruxelles, en Belgique, était la veuve de l’influent philosophe catholique Dietrich von Hildebrand.
Alice von Hildebrand, connue sous le nom de « Lily » par ses amis, s’est installée aux États-Unis en tant que réfugiée en 1940. En 1947, elle entame une longue carrière d’enseignante au Hunter College de New York. Elle y a été nommée professeur de philosophie et a pris sa retraite en 1984.
Dans les années 1940, Alice Jourdain poursuit des études supérieures à l’université Fordham de New York et suit 18 cours avec Dietrich von Hildebrand, un autre réfugié. Alice était à la fois la secrétaire et la collaboratrice de Dietrich, et ils se sont mariés en 1959, deux ans après la mort de sa première femme, Margarete. Dietrich lui-même est décédé en 1977 et a fait l’objet d’une remarquable biographie rédigée par Alice, The Soul of a Lion : Dietrich von Hildebrand, publiée en 2000 par Ignatius Press.
Alice von Hildebrand a écrit plusieurs autres livres, dont The Privilege of Being a Woman, Man & Woman : A Divine Intervention, By Love Refined : Letters to a Young Bride ; Memoirs of a Happy Failure [son autobiographie] ; et une traduction anglaise de conférences radiophoniques données par son mari dans l’Allemagne des années 30, The Art of Living. Ses travaux ont également été publiés dans des revues telles que la New Oxford Review, Homiletic and Pastoral Review, Crisis et The Wanderer. Alice von Hildebrand a également écrit pour Catholic News Agency et a fait au moins 80 apparitions sur EWTN.
En tant qu’enseignante et conférencière, Von Hildebrand est restée très demandée jusqu’à la fin de sa vie. Elle a enseigné à la Franciscan University of Steubenville dans l’Ohio, à l’Ave Maria College dans le Michigan et à Notre Dame Graduate School du Christendom College en Virginie.
Lire la suitePrès de 50 000 patients de Medicare sont décédés peu après avoir reçu l'injection COVID dénonce un lanceur d’alerte
Thomas Renz privé
Par Patrick Delaney - Traduit par Campagne Québec-Vie - Photo : LifeSiteNews
28 septembre 2021 (LifeSiteNews) –Un lanceur d’alerte a fourni des données gouvernementales documentant 48 465 décès dans les 14 jours suivant la vaccination contre le COVID-19 parmi les seuls patients de Medicare, selon Me Thomas Renz, un avocat spécialisé dans la défense des droits à la liberté médicale.
L’annonce en a été faite samedi par Me Renz ─ basé en Ohio ─ qui reste impliqué dans plusieurs affaires majeures intentées contre des agences fédérales pour fraude et violation des droits à la liberté médicale.
Dans sa présentation, Renz a exprimé sa reconnaissance aux lanceurs d’alerte qui se manifestent pour fournir au public ces informations si importantes provenant des Centers for Medicare & Medicaid Service (CMS). Il a décrit la base de données du CMS comme étant la plus importante disponible aux États-Unis pour l’étude des tendances du COVID-19, car elle contient les données d’environ 59,4 millions de bénéficiaires de Medicare.
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