Cérémonie de suicide assisté dans un lieu de culte de Winnipeg
Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : aijiro/Adobe Stock
21 avril 2022, Winnipeg, Manitoba (LifeSiteNews) — Une église « progressiste » et faisant de l'« affirmation » LGBT à Winnipeg a utilisé son sanctuaire comme un lieu où les membres peuvent volontairement mettre fin à leur vie par le biais du suicide assisté.
Selon le Winnipeg Free Press, une femme âgée de 86 ans souffrant de sclérose latérale amyotrophique (SLA), également connue sous le nom de maladie de Lou Gehrig, a reçu l’autorisation de mettre fin à ses jours par suicide médicalement assisté le 9 mars au cours d’une « simple cérémonie de passage » à l’église unie Churchill Park de Winnipeg.
En raison de la nature hautement progressive de la SLA, qui affecte le système nerveux au point de provoquer une paralysie et finalement la mort, la femme âgée a décidé qu’elle voulait mettre fin à sa vie avant de perdre le contrôle de toutes ses facultés, selon sa fille.
Comme l’euthanasie est légale au Canada et que la confession de l’église unie Churchill Park avait voté en 2017 pour autoriser cette pratique très controversée au « cas par cas », la femme a souhaité mettre fin à ses jours dans l’église où elle a élevé sa famille.
En fin de compte, l’église progressiste a tenu compte de la demande de cette femme et, selon sa nécrologie, elle est morte « alors que le soleil traversait les vitraux du sanctuaire empli de musique. »
L’avortement est souvent considéré comme la question pro-vie prééminente pour les chrétiens, et la position doctrinale communément admise sur le suicide assisté a été similaire à travers les siècles, cette pratique étant largement condamnée dans la plupart des confessions.
Par exemple, la plus grande Église chrétienne, l’Église catholique, condamne carrément l’euthanasie dans le Catéchisme comme « gravement contraire à la dignité de la personne humaine et au respect dû au Dieu vivant, son Créateur ».
Lire la suiteUn couple avorte un bébé en bonne santé de 6 mois suite à une erreur d’implantation d’embryon
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Rawpixel.com/Adobe Stock
Un couple a avorté un bébé en bonne santé à six mois de grossesse après avoir appris que la clinique de fertilité leur avait donné l’embryon d’une autre personne.
Selon le Daily Beast, une plainte déposée par une femme et son mari à Manhattan cette semaine indique qu’ils auraient pu avorter le bébé plus tôt si le New York Fertility Institute ne les avait pas menés en bateau, leur disant qu’aucune erreur n’avait été commise malgré les tests d’ADN prouvant que le bébé n’était pas biologiquement lié à eux. C’est la deuxième fois que cette clinique de fertilité et ce médecin mélangent sciemment des embryons. Mais ce type d’erreur s’est produit de nombreuses fois dans l’industrie non réglementée de la fertilité.
« Les défendeurs ont l’habitude de mélanger, de mal étiqueter ou de perdre purement et simplement le matériel génétique de leurs patients », affirme le couple désigné sous le nom de M. et Mme Doe.
Ils ont subi trois prélèvements d’ovules en avril 2020 et ont fait implanter un embryon en juillet 2021. Leur gynécologue a recommandé un test génétique pour le bébé afin de déterminer si des problèmes de santé chromosomique étaient présents. Mais les résultats ont indiqué que Mme Doe n’était pas liée au bébé qu’elle portait. Cependant, la clinique a déclaré que c’était impossible et a suggéré que Mme Doe pourrait présenter un « mosaïcisme », une condition dans laquelle quelqu’un possède deux formes d’ADN, comme celui d’un jumeau mort in utero et absorbé par l’autre jumeau.
« Ce résultat n’avait aucun sens, puisque Mme Doe était censée porter son propre embryon », indique la plainte.
Une amniocentèse a permis de vérifier que le bébé n’était pas génétiquement lié au couple. Selon l’action en justice, « Mme et M. Doe ne savaient pas quoi faire. Ils avaient appris à aimer ce bébé, qui avait déjà commencé à donner des coups de pied. D’un côté, ils ne voulaient pas le perdre, même s’il n’était pas génétiquement lié à eux. D’autre part, ils ne pouvaient pas s’imaginer porter le bébé d’un étranger jusqu’à terme, pour éventuellement le perdre plus tard dans des batailles juridiques avec ses parents biologiques, ce qui serait dévastateur pour toute la famille. »
Lire la suiteBanalisation et hausse de l’euthanasie au Québec
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Fxquadro/Adobe Stock
Depuis les dernières années, les demandes d’euthanasie ont visiblement augmenté au Canada, une augmentation qui trahit la baisse nationale de respect pour la vie. Un article de Radio-Canada indique qu’« en 2017, 2 838 personnes ont reçu l’aide médicale à mourir. » Tandis qu’« En 2020, ils étaient 7 383. »
Au Québec, le phénomène est visible. Selon le Quotidien numérique, « De plus en plus de demandes d’aide médicale à mourir sont formulées au Saguenay–Lac-Saint-Jean. Le nombre de personnes y faisant appel a plus que triplé dans les quatre dernières années. »
Pourquoi une telle augmentation ?
Selon Valérie Faucher, la gestionnaire médicale dans le dossier du Saguenay–Lac-Saint-Jean, « de nombreux facteurs expliqueraient cette augmentation, dont le fait que cette pratique est désormais acceptée par une plus grande partie de la population et moins taboue. »
L’euthanasie est moins taboue tout simplement parce que la vie est moins respectée. Maintenant, c’est la souffrance qui est devenue taboue.
Un article de Radio-Canada décrit le cadre dans lequel les personnes euthanasiées se trouvent. « Le grand départ est ainsi orchestré selon les souhaits de la personne qui a choisi de se prévaloir de l’aide médicale à mourir. Allongé dans son lit ou confortablement installé dans son fauteuil préféré, le patient amorce son périple vers le trépas entouré de ses proches, dans l’amour. Et si tel est son désir, il peut savourer un dernier verre de champagne. »
Pourtant, une personne interrogée par Radio-Canada a déclaré au sujet de l’euthanasie qu’« Accepter de partir, ça demande beaucoup de courage... »
Refuser de souffrir et s’enlever la vie un verre de champagne à la main requiert-il vraiment plus de courage que d’accepter la souffrance et respecter sa vie ?
L’accès à l’avortement payé par les grandes entreprises
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : standret/Adobe Stock
Saviez-vous que « de grandes entreprises telles que Citigroup, Apple, Bumble et Hewlett Packard proposent à leurs employées de couvrir leurs frais de déplacement si elles souhaitent se rendre dans un autre État pour avorter (Généthique) » ?
En réaction aux nouvelles lois pro-vie aux États-Unis, certains « géants » américains ont lancé des programmes pour financer leurs employés qui veulent avorter. La cofondatrice de la start-up new-yorkaise Alloy, Laura Spiekerman « s’est déclarée “surprise” que davantage d’entreprises ne fassent pas de même. »
Los Angeles Times détaille que, « L’entreprise — qui compte une poignée d’employés dans des États dotés de lois restrictives sur l’avortement comme la Floride, l’Arizona et le Mississippi — a déclaré en janvier qu’elle paierait jusqu’à 1 500 $ pour les frais de déplacement des employés ou de leurs partenaires devant voyager hors de l’État pour des avortements. »
Non seulement de telles puissantes compagnies supportent l’avortement, mais elles le financent et encouragent leurs employés à y accéder. Alloy l’affirme ouvertement : « Alors que les droits reproductifs sont critiqués par notre gouvernement, l’équipe de direction d’Alloy estime qu’il est essentiel que nous adoptions une position plus explicite en faveur des droits reproductifs et que nous offrions à nos employés des directives plus complètes pour soutenir leur santé reproductive à l’avenir. »
Pendant que le droit des enfants à naître aux États-Unis avance lentement au plan légal, les entreprises influentes redoublent leurs efforts pour garantir l’avenir pro-mort de la société : raison de plus pour continuer à lutter pour la vie !
Le mouvement « Stop Having Kids » s’étend à travers les États-Unis, appelle à la fin de la reproduction humaine
Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Une organisation basée à Portland qui exhorte les gens à ne pas avoir d’enfants est devenue nationale. Stop Having Kids a acquis une notoriété locale avec des panneaux d’affichage érigés dans la région de Portland, mais elle s’étend désormais à d’autres villes du pays.
Ashley Riddle, porte-parole de Stop Having Kids, a déclaré au Willamette Week que leur groupe est « antinataliste » et constitue un « mouvement de libération collective » opposé à toute reproduction humaine. Les panneaux d’affichage ont été réalisés grâce à des donateurs anonymes. « Il a été difficile de trouver une entreprise qui accepte d’aller jusqu’au bout », a déclaré Riddle. « Les entreprises semblaient toutes d’accord, puis elles ne répondaient plus. »
Selon le site Internet de Stop Having Kids, choisir de ne pas se reproduire est un moyen de montrer que l’on se soucie vraiment des autres. Le groupe appelle à normaliser et à déstigmatiser la stérilisation et l’avortement, et affirme qu’il est cruel de donner naissance à des enfants dans la situation mondiale actuelle. Les raisons de ne pas avoir d’enfants vont d’affirmations dépassées et démystifiées : de l’idée qu’il y a déjà assez de monde à l’idée carrément discriminatoire de prévenir les malformations congénitales.
Le groupe a son siège à Portland, mais il est en pleine expansion. Des chapitres se forment dans des villes comme Houston et Boulder, tandis que la page Facebook du groupe fait état de l’intérêt de villes comme San Francisco et New York City. Le groupe s’engage aussi fréquemment dans des actions de sensibilisation à travers le pays, et s’est récemment rendu au SXSW à Austin, au Texas, pour diffuser son message anti-enfants.
Lire la suiteDes activistes pro-avortement font irruption dans la cathédrale de San Francisco durant la messe
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie)
« Le dimanche 27 février, des manifestantes pro-avortement ont perturbé la messe à la cathédrale Sainte-Marie de l’Assomption à San Francisco. » selon LiveAction. Elles ont affirmé que l’objectif de leur geste était « d’accuser le rôle de l’Église catholique dans la pression pour interdire l’avortement et asservir les femmes ».
L’une des femmes pro-mort proclamait en hurlant que l’Église cherche, « à nier l’humanité de toutes les femmes et à éliminer un droit fondamental, le droit à l’avortement. » Mais comment l’Église peut-elle nier l’humanité des femmes alors qu’au contraire, elle affirme et défend la nature maternelle de la femme ?
Ne serait-ce pas plutôt les « féministes » pro-avortement qui nient non seulement l’humanité de l’enfant à naître, mais aussi leur propre humanité en rejetant violemment la maternité naturelle de la femme ?
En ayant comme objectif constant de défendre le « droit fondamental à l’avortement », les militantes pro-mort se trouvent victimes d’un mirage. Puisqu’un droit ne peut pas être injuste, et qu’objectivement tuer un être humain innocent est injuste, ce fameux « droit » à l’avortement est inexistant et sera toujours inexistant.
De plus, l’avortement n’est absolument pas compatible avec le droit fondamental à la vie qu’ont tous les êtres humains.
Elles portaient des pancartes sur lesquelles étaient écrits divers messages, dont « Brisez toutes les chaînes ».
Oui, brisez toutes les chaînes qui empêchent les femmes d’êtres fidèles à leur maternité. Brisez toutes les chaînes qui rendent les femmes prisonnières du culte de la mort. Brisez toutes les chaînes de l’égoïsme qui empêchent des millions d’êtres humains de voir le jour chaque année.
Le féminisme « entré dans le courant dominant » au Canada ?
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : lightfield studios/Adobe Stock
Selon un article récent de Radio-Canada sur un sondage d’opinion national, « Le nombre de femmes canadiennes, particulièrement les jeunes adultes, qui se décrivent comme féministes a explosé... Au total, 57 % des Canadiennes se proclament comme étant féministes, une augmentation spectaculaire par rapport au tiers des femmes qui se décrivaient ainsi au cours des décennies précédentes. »
Mais s’il y a une augmentation de féministes, il y a certainement une augmentation de pro-avortement, puisque le combat féministe est étroitement lié au combat pro-mort.
Selon Cosmopolitan, c’est en partie à la féministe Simone de Beauvoir, « qu’on a accès à l’avortement, au divorce et à la contraception. » Et Le Devoir rapporte que selon Isabelle Duplessis, professeure spécialisée en droit des femmes à la Faculté de droit de l’Université de Montréal, « l’avortement a été obtenu au terme d’une “grande bataille qui a été menée dans les années 1960-1970 dans la deuxième vague féministe.” »
Si l’avortement a été la première cause de décès en 2021, verrons-nous augmenter encore plus le meurtre des enfants à naître avec ce nombre croissant de féministes ?
« “Il est gratifiant d’apprendre que l’objectif de l’égalité des femmes et le mouvement des femmes restent une force significative dans la société canadienne, y compris chez les jeunes femmes”, a déclaré la sénatrice Donna Dasko, qui a commandé le sondage. Selon elle, le féminisme est entré dans le courant dominant. », rapporte Radio-Canada.
Ce courant dominant dans lequel est entré le féminisme n’est autre qu’un courant mortel de fausses idéologies, et de mensonges. Ce courant prône non seulement l’abolissement de la culture (« cancel culture »), mais aussi l’abolissement de la vie humaine à ses premiers instants.
Le Collège des médecins du Québec se prononce pour l’euthanasie des enfants
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Gorodenkoff/Adobe Stock
Dernièrement, le Collège des médecins s’est prononcé en faveur de l’élargissement de l’aide médicale à mourir ; et cet élargissement n’impliquerait pas qu’un simple pas anodin, mais plutôt un bond significatif.
L’une des conditions requises pour recevoir l’aide médicale à mourir est que la personne doit être âgée d’au moins 18 ans.
Mais le Collège veut pousser les limites plus loin. Selon La Presse, « Le Collège croit … que les “mineurs matures”, soit les enfants âgés de 14 à 17 ans, devraient être admissibles, à certaines conditions, à l’AMM ... “Le Collège appuie sa position sur le fait que la souffrance ne tient pas compte de l’âge et que chez les mineurs, elle peut être aussi intolérable que chez les adultes”, indique le Collège dans son avis. »
L’élargissement ne s’appliquerait pas seulement aux enfants. « Contrairement à la Commission spéciale, le Collège des médecins croit [dans des cas restreints] que les patients atteints de maladie mentale devraient pouvoir avoir recours à l’AMM. »
Voilà ce que notre système médical encourage, rendre la mort de plus en plus accessible, sous prétexte que la souffrance porte atteinte à tous les âges. Mais la mort est-elle vraiment la solution à la souffrance ? À quoi sert la médecine sinon à soigner pour préserver la vie ?
Palier par palier, le règne de la mort s’installe. Au début visant seulement les vieillards, il vise maintenant les enfants.
Le gouvernement n’a pas encore donné son avis public. La Presse rapporte qu’il « doit se prononcer publiquement en 2022 sur l’élargissement de sa loi sur l’aide médicale à mourir. », mais serons-nous surpris s’il se prononce en faveur de cet élargissement ?
La Californie : « un abattoir plutôt qu’un sanctuaire »
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : standret/Adobe Stock
En panique devant un possible renversement de Roe vs Wade, les pro-avortement tentent de renforcer leurs campagnes de mort.
Selon Radio-Canada, « … une coalition de fournisseurs de service d’avortement, soutenue notamment par le gouverneur démocrate de l’État, veut faire de la Californie un refuge pour les femmes d’États conservateurs qui se verraient interdire d’interrompre leur grossesse. »
Le gouverneur Gavin Newson, « Disant souhaiter étendre les protections au droit à l’avortement … a affirmé que son État pourrait devenir un “refuge” non seulement pour les Californiennes, “mais aussi pour les femmes et les filles de tout le pays”. »
Cet état, l’un des plus « progressistes en matière d’avortement », deviendrait alors le lieu de rassemblement de ceux qui s’apprêtent à tuer volontairement des êtres innocents. Comme l’a dit la présidente de Live Action, Lila Rose, la Californie serait « un abattoir plutôt qu’un sanctuaire ».
Non seulement la Californie accueillerait des femmes voulant avorter mais elle les aiderait aussi financièrement. Les implications concrètes de ce projet seraient, « l’augmentation du financement des cliniques d’avortement, la création d’un programme de subventions dédié à la formation dans des régions mal desservies et la mise en place de protections légales des cliniciens qui fournissent un avortement à des patientes, y compris celles qui viennent d’États restreignant le droit à l’avortement. » De plus, « les patientes originaires d’autres États n’auraient pas à assumer des frais comme l’hébergement et le transport. »
Le temps, l’énergie, l’argent, et la passion déréglée que ces pro-avortement sont prêts à consacrer à cette cause ne font que prouver leur aveuglement. Tout cela pour encourager le meurtre d’innocents ? Tout cela alors qu’ils pourraient l’utiliser pour financer des centres pour femmes enceintes, pour développer des centres d’adoption, pour aider ces femmes à accepter le don précieux qu’est un enfant, ou tout simplement pour défendre la vie plutôt que de combattre pour la mort ?
Les « valeurs » du monde moderne
Peter Singer.
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Joel Travis Sage/Wikipédia
Une autre preuve que le respect de la vie et de la famille se fait de plus en plus piétiner est l’« honneur » et la « gloire » donnés aux anti-vie et antifamille.
Pour ne citer que quelques exemples,
« Peter Singer, le père du mouvement pour les droits des animaux, qui soutient l’infanticide des nouveau-nés handicapés, a remporté le prix Berggruen, un prix d’un million de dollars décerné chaque année à un penseur dont les idées ont “profondément façonné la compréhension de soi et l’avancement dans un monde en évolution rapide” », rapporte LifeSiteNews.
Black Lives Matter (BLM), le mouvement pro-avortement qui a causé tant d’émeutes et de morts, a été proposé pour le prix Nobel de la paix 2021. (The Guardian)
« Le prix Nobel de chimie 2020 a été décerné à deux scientifiques… afin de couronner des travaux jugés décisifs en matière de manipulation génétique », rapporte FSSPX news.
Ce sont ces personnes qu’on nomme les héros d’aujourd’hui. Mais comment la manipulation génétique, le meurtre des plus vulnérables et des handicapés, et toutes les autres violations de la loi naturelle peuvent-ils être héroïques ?
Ce sont ces valeurs-là, des « valeurs » contre la famille, contre la vie, contre la loi naturelle qui définissent notre monde aujourd’hui.