Une manifestation pro-mort : une manifestation antinaturelle
Manifestation de pro-avortement polonais à Londres devant l'ambassade de Pologne, 24 octobre 2020, en protestation de la décision du tribunal constitutionnel de Pologne qui a interdit l'avortement eugénique — ils s'agitent encore maintenant en 2021 pour la même raison.
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : BeŻet/Wikimedia Commons
« Les partisans d’une libéralisation de l’avortement en Pologne étaient à nouveau dans la rue dans de nombreuses villes de Pologne le samedi 6 novembre... c’est la nouvelle du décès d’une femme enceinte dans un hôpital de Pszczyna, en Silésie, qui a déclenché ces manifestations » rapporte Visegrád Post.
Nul ne peut nier que nous avons tous un instinct naturel de vivre. Une personne en train de se noyer se débat pour rester à la surface de l’eau. Et pourtant, il y a des personnes qui luttent résolument contre la vie.
En plus d’aller contre l’instinct naturel de vivre et de défendre la vie, ces manifestants Pro-Mort en Pologne n’ont pas basé leur combat macabre sur une raison logique.
Les circonstances précises encadrant le décès n’étaient pas connues. De plus, la femme aurait pu légalement avoir un avortement puisque selon la loi polonaise, « en cas de danger pour la vie et la santé physique de la femme enceinte, l’avortement est autorisé à tout moment de la grossesse. »
Une soif pour la mort devient de plus en plus manifeste dans la société parce que l’éloignement de la nature humaine devient de plus en plus présent. Le précipice dans lequel sont tombés ces manifestants en Pologne et tous ces militants pro-avortement, pro-euthanasie, pro-LGBT... etc. est un précipice antinaturel.
Pour se tirer de ce précipice il n’y a autre solution qu’un retour sur le chemin de notre vraie nature humaine, la nature qui nous a été donnée. Et ce chemin nous mènera sans aucun doute à Dieu, une fin qui nous a été destinée, et qui seule nous rendra heureux.
Un juge néo-zélandais considère que le meurtre d’une femme handicapée par sa mère était un « meurtre par compassion »
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Comstock/Picspree
Une femme néo-zélandaise qui a assassiné sa fille handicapée s’est vu épargner une peine de prison à vie par une juge qui a qualifié ce meurtre de « meurtre par compassion ».
La juge Cheryl Gwyn a condamné Cherylene Lawrence à une peine de six ans et demi pour avoir tué sa fille, Chevana Marie Fox. La sentence était très inhabituelle car la peine de prison à vie est obligatoire en Nouvelle-Zélande dans les cas de meurtre, à moins qu’un juge ne détermine que la sentence serait « manifestement injuste ».
Selon le New Zealand Herald, Lawrence a admis avoir infligé des blessures mortelles à Fox, âgée de 28 ans, qui souffrait de la maladie de Huntington juvénile, une affection qui entraîne une dégénérescence progressive des cellules nerveuses du cerveau, et des problèmes physiques, psychiatriques et cognitifs. Lawrence s’occupait de sa fille à la maison, ce qui, de son propre aveu, était très stressant pour elle. Dans un texte adressé à sa propre mère, Lawrence a écrit : « Je vais finir par tuer Chevana. J’en ai assez. »
Après s’être arrangée pour que l’aide-soignante quitte la maison afin qu’elle puisse être seule avec Fox, Lawrence a étranglé sa fille. Elle a ensuite appelé une ambulance et a admis l’avoir agressée, puis a dit à la police que Fox « souffrait », n’avait « aucune qualité de vie » et était « coincée dans des délires, des délires torturants ». Fox est décédée de ses blessures plusieurs semaines plus tard.
Lire la suiteDes salons funéraires canadiens deviennent des lieux d’euthanasie pour les malades et les personnes âgées
Par Pete Baklinski — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : bakhurmikele-adobestock
29 octobre 2021 (Campaign Life Coalition) — Certains salons funéraires canadiens ont commencé à offrir des salles où les personnes âgées et les malades consentants peuvent être tués avant leur veillée funèbre et leur enterrement.
Ces nouveaux lieux de mise à mort sont désormais en mesure d’offrir un forfait tout-en-un ─ mort, veillée, enterrement ─ grâce au protocole d’aide médicale à mourir (AMM) du pays, légal depuis 2016, et étendu en 2021 aux personnes souffrant de maladies mentales.
Paul Needham, de la chapelle funéraire Northview à London, en Ontario, a déclaré cette semaine à CBC News qu’il avait reçu tellement d’appels pour offrir un endroit où les gens pouvaient être tués qu’il a finalement décidé de profiter de l’occasion. Il a commencé à louer des chambres dans son salon funéraire où les personnes âgées et malades peuvent venir se faire tuer, soit de leur propre main, soit, plus couramment, avec l’aide d’un médecin ou d’une infirmière.
Rien que l’année dernière, le funerarium de Needham a facilité la mise à mort de 23 personnes malades et âgées.
« Les membres de la famille peuvent être présents auprès de leurs proches », a déclaré Needham à CBC News. « Je leur suggère de faire les choses comme ils le souhaitent, d’apporter un peu de leur musique préférée, d’apporter des fleurs, d’apporter de la nourriture ou si vous le souhaitez, d’apporter une bouteille de vin. C’est le dernier jour de cette personne sur Terre. Vous voulez tout prendre en compte et considérer autant de choses que possible. »
David Mullen, propriétaire du A. Millard George Funeral Home en Ontario, a également remarqué la tendance et a transformé son ancienne salle d’exposition de cercueils en une salle de mise à mort joliment décorée où les amis et les membres de la famille peuvent être avec la victime pendant son décès. Il espère que tout sera opérationnel d’ici la nouvelle année.
Lire la suitePartout dans le monde, de jeunes couples hésitent à avoir des enfants par « anxiété climatique »
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : zinkevich/AdobeStock
S’il est une chose qui me paraît étrange, c’est de ne pas vouloir d’enfants ou même d’hésiter à en avoir par « anxiété climatique ». Pourquoi donc craindre une menace hypothétique qui reste encore à démontrer ? Un réchauffement climatique pourrait même s’avérer bénéfique. Toujours est-il que partout dans le monde, de jeunes couples hésitent à avoir des enfants à cause de la « crise climatique » (qu’on leur rabâche sans cesse) selon une étude menée auprès de jeunes de 16 à 25 ans dans dix pays différents : Australie, Brésil, Finlande, France, Inde, Nigéria, Philippines, Portugal, Royaume-Uni et États-Unis. Selon France Soir :
Selon une enquête mondiale, menée dans 10 pays, la plupart des 16-25 ans s’inquiètent beaucoup au sujet de l’avenir, et se sentent livrés à eux-mêmes, abandonnés par les gouvernements.
L’anxiété climatique pourrait avoir un impact sur la natalité
Les forêts en flammes, les cadavres d’animaux marins pris dans les déchets ou encore les inondations, suscitent une sensation d’anxiété, et cette détresse psychologique est en hausse.
Et où me direz-vous ces jeunes ont-ils vu ces forêts incendiées, ces charognes échouées ou ces débordements aquatiques ? Sans doute à la télévision… La plupart d’entre eux n’ont sans doute que rarement vu directement quelque chose de tel, ce qui signifie qu’il ne s’agit pas d’une menace les concernant vraiment. Il faudrait à mon humble avis qu’ils s’abstiennent de suivre les nouvelles sur les gros médias, cela calmerait grandement leur anxiété.
Victimes de la propagande réchauffiste, les trois quarts des jeunes interrogés répondent que l’« avenir est effrayant » :
Les trois quarts des répondants sont d’accord avec l’énoncé « l’avenir est effrayant », et plus de la moitié estiment qu’ils auront moins d’opportunités que leurs parents. Cela explique le fait que quatre jeunes sur dix ne sont pas rassurés par l’idée d’avoir des enfants, dont la santé sera touchée par la dégradation climatique.
Ce qui me sidère, c’est que cette mentalité pourrait amener un nombre non négligeable à saborder l’avenir de la prochaine génération en s’abstenant d’engendrer un nombre non moins négligeable de ses futures membres, par crainte d’hypothétiques catastrophes.
Pour ma part, si quelque chose pouvait éveiller quelques alarmes en moi (si je prévoyais d’avoir des enfants), ce serait bien plutôt la dégradation de l’Église catholique, ce serait la dictature covid qui sévit actuellement, ce serait la culture de mort qui règne en maîtresse dans notre société, ce serait l’indigente rareté d’écoles réellement catholiques, ce serait les maux engendrés par la dénatalité et le remplacement des populations, mais certainement pas un certain mythe du « changement climatique anthropique ». Mais que je sache, sous la tyrannie soviétique les jeunes gens chrétiens se mariaient et avaient des enfants, aussi rien ne devrait arrêter ceux de maintenant d’agir de même.
Le Canada vote en 2021 : pourquoi craindre s’exprimer ?
Par Everyday for Life — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : deagreez/AdobeStock
Avez-vous peur de vous exprimer sur cette « pandémie » et surtout sur les enjeux de cette élection fédérale ? Les grands partis nous ont dit quelle était leur position sur les questions morales, le port du masque, les confinements, les passeports vaccinaux et les mandats. Dans une démocratie, les croyants ne devraient pas s’autocensurer par peur des conséquences. Si c’était la règle, nous n’aurions pas de martyrs chrétiens.
Pourquoi cette peur ? Est-ce la perte d’un emploi bien rémunéré ? De ne pas obtenir une bonne pension ? Le risque d’offenser la famille, les amis et les autres personnes avec lesquelles nous interagissons quotidiennement ?
Cependant, si nous ne nous exprimons pas et ne nous impliquons pas pour défendre ce que nous croyons, d’autres le feront, et ils feront la promotion de choses que nous ne soutenons pas. C’est parce que nous restons de côté que nous en sommes là où nous en sommes aujourd’hui. Où sont les actes des apôtres d’aujourd’hui ? Le silence ne nous mène nulle part en termes de morale solide. Le Canada est déjà une nation anti-chrétienne et anti-vie. La croyance et le culte religieux sont acceptables en privé, mais ne sont plus les bienvenus sur la place publique.
Considérez le projet de loi C-16. Cette loi a modifié la Loi canadienne sur les droits de la personne et le Code criminel. Cette loi non seulement contredit la vision catholique et chrétienne de la personne, mais rend également cette position illégale. Elle ajoute l’identité de genre, l’orientation sexuelle et l’expression de genre à la liste des motifs de discrimination interdits. Cette loi est entrée en vigueur en 2019.
Ensuite, il y a le projet de loi C-14. Cette loi a modifié le Code criminel pour permettre l’aide médicale à mourir. En bref, elle a légalisé l’euthanasie et le suicide assisté par un médecin. Le projet de loi a été adopté en 2016. Plus de 20 000 Canadiens ont été tués intentionnellement depuis que l’euthanasie est devenue légale. Et combien d’autres ont été tués pendant cette « pandémie », sans que nous le sachions ?
Lire la suiteLe PDG d’une société de jeux vidéo contraint de démissionner après avoir fait l’éloge de la loi texane protégeant l’enfant à naître
John Gibson
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie
7 septembre 2021 (LifeSiteNews) — Le PDG et copropriétaire d’une société de développement de jeux vidéo a été contraint de quitter son poste après avoir fait des commentaires sur Twitter en faveur de l’interdiction de l’avortement, récemment promulguée au Texas, dès que les battements de cœur du fœtus sont détectés.
« Fier de la Cour suprême des États-Unis qui confirme la loi du Texas interdisant l’avortement des bébés dont le cœur bat », a écrit John Gibson le 4 septembre sur Twitter. « En tant qu’artiste, je ne fais pas souvent de politique. Pourtant, avec tant de pairs faisant entendre leur voix de l’autre côté de cette question, j’ai pensé qu’il était important de m’exprimer en tant que développeur de jeux et pro-vie. »
« Merci de défendre la VIE ! Des enfants continueront à vivre grâce à votre courage de vous exprimer », a écrit l’organisation pro-vie Live Action sur Twitter.
Le commentaire de Gibson a été aimé plus de 16 000 fois. L’ancien PDG, qui se présente toujours comme le « président » de Tripwire, a aimé plusieurs commentaires en faveur de sa position.
« J’aime ce que vous vous exprimiez ! Ma femme et moi avons eu le cœur brisé par deux fausses couches, je ne sais pas pourquoi tant de gens sont déterminés à croire que tuer un autre être humain in utero est acceptable », a déclaré une personne à Gibson.
« Beaucoup plus de gens dans cette industrie ont probablement la même opinion, mais n’ont pas le courage de le dire », a déclaré Ian Fisch, le créateur du jeu vidéo Road Redemption. Ses récents tweets indiquent qu’il est lui-même opposé à la loi texane.
Lire la suiteLa conscience personnelle
Par Paul-André Deschesnes — Photo : jiradet ponari/AdobeStock
Nous vivons maintenant dans un monde postmoderne où l’être humain s’autoproclame autonome, roi et maître de lui-même, de sa destinée et de la création ; sa vie lui appartient du commencement jusqu’à la fin et il n’y a personne au-dessus de lui.
Nous vivons dans une ère toxique, infestée de sophismes, de mensonges, de faussetés et de relativismes tous azimuts. L’orgueil règne en maître dans nos sociétés complètement déboussolées, où les lois naturelles, les commandements de Dieu, les dogmes, l’éthique, la morale catholique, l’enseignement sur les péchés capitaux et les vertus théologales sont méprisés et ridiculisés. Chaque personne est devenue dieu et gère sa propre vie à sa convenance. De toute façon, l’au-delà n’a pas d’importance. Pour une grande partie de la population, l’athéisme et l’agnosticisme sont maintenant la nouvelle religion. Quant aux croyants, une époustouflante pastorale à l’eau de rose leur annonce qu’il n’y a ni enfer, ni purgatoire ; alors, tout le monde ira directement au ciel. Dans ce contexte jovialiste, il n’y a aucune raison de préparer sérieusement son éternité sur cette terre.
Pendant que la confusion règne allègrement dans notre monde dit civilisé et très avancé, ne faudrait-il pas se poser une question existentielle et fondamentale : « Où en sommes-nous rendus avec la notion de conscience personnelle » ?
Malheureusement, à moins d’avoir de grandes œillères, nous devons constater que cette petite voix (la conscience) ne parle plus très fort à beaucoup de monde. Elle nous abreuve très souvent de mensonges et de fausses doctrines. Elle est très manipulée par les nouvelles valeurs de notre monde moderne. Elle est même livrée très souvent au pouvoir du Malin !
On peut se demander aujourd’hui comment, en toute conscience, les êtres humains peuvent accepter comme normaux et banals l’avortement (un meurtre) et l’euthanasie (un assassinat). Les consciences ont-elles été lessivées, fluorées, anesthésiées, intoxiquées et transformées par nos nouvelles idéologies barbares ? Les individus sont-ils devenus des êtres inconscients, tellement manipulés par les forces du mal que leur conscience ne leur dit plus rien ? Sont-ils peut-être équipés maintenant d’une conscience post-moderne à toute épreuve qui leur crie haut et fort que le Mal est devenu le Bien ?
Mais qui aujourd’hui forme ou déforme la conscience de nos populations vulnérables ? Les médias, l’intelligentsia athée, les artistes, les maisons d’enseignement, la télévision, le cinéma, l’internet, les politiciens, la publicité mensongère, les grands spécialistes de tout acabit, etc. qui nous alimentent continuellement d’une nourriture nocive pour prendre possession de notre conscience afin de faire triompher leur idéologie satanique.
Attention ! La rectitude politique nous oblige actuellement de passer tout cela sous silence, car il faut bien plaire à la foule en délire. Il ne faut surtout pas faire de vagues, ni de débats sur tous ces sujets à controverses ! Voilà une timide position qui est devenue très populaire, même dans notre Église catholique.
Lire la suiteLes avorteurs profitent de l’irresponsabilité des hommes
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : wayhomestudio/Freepik
25 août 2021 (LifeSiteNews) — La raison pour laquelle l’industrie de l’avortement utilise constamment des slogans tels que « pas d’utérus, pas d’opinion », c’est pour faire taire les hommes pro-vie. En effet, les avorteurs sont heureux de recevoir le soutien des hommes pro-choix et ne se privent pas de le demander quand ils le jugent opportun. Lorsqu’ils disent que les hommes doivent se taire sur cette question, ils parlent en réalité des hommes qui cherchent à défendre les enfants à naître. Ces hommes nuisent à leur chiffre d’affaires, et lorsque les femmes se font moins avorter, ils gagnent moins d’argent.
J’ai souvent affirmé que le débat sur l’avortement avait besoin de plus d’hommes, pas de moins. Si chaque homme qui rend une femme enceinte jurait de la défendre, elle et son enfant, et de les soutenir contre vents et marées, je pense que le taux d’avortement chuterait du jour au lendemain. De nombreuses femmes avortent sous la pression d’hommes mauvais — le genre d’hommes qui ont besoin de l’avortement pour échapper aux conséquences de leur style de vie. L’avortement n’a rien à voir avec le droit des femmes de choisir pour elles — il s’agit de leur droit de choisir, celui des hommes. Ils veulent que les femmes soient sexuellement disponibles pour eux sans avoir d’enfant.
Pour citer un exemple, l’attaquant de la Ligue nationale de hockey, Evander Kane, qui joue pour les Sharks de San Jose, est en procès après avoir été poursuivi par son ancienne partenaire Hope Parker. Kane aurait accepté de lui verser 2 millions de dollars pour qu’elle avorte un bébé qu’ils ont conçu ensemble, mais il a changé d’avis sur le montant juste avant qu’elle ne lui donne la preuve qu’elle l’avait fait. Les deux autres enfants de Kane avec Parker auraient également été avortés, le joueur de hockey lui ayant versé 125 000 dollars pour le deuxième avortement. Pour le troisième, Parker a exigé des millions. Ce serait très coûteux, mais le père de l’enfant avait promis de payer la mère pour faire tuer l’enfant.
Quel monde affreux pour les enfants dans l’utérus.
Ce ne sont pas les seules accusations d’avortement qui ont fait l’actualité cette semaine. Lors du procès pour trafic sexuel du chanteur R. Kelly, l’accusatrice Jane Doe N° 5 a déclaré que le chanteur a tenté de contrôler tous les aspects de sa vie à partir de l’âge de 17 ans et qu’il la punissait si elle ne lui obéissait pas. Cela consistait en violences physiques tous les deux ou trois jours ; le chanteur l’a infectée avec l’herpès ; et lorsqu’elle est devenue enceinte de leur enfant en 2017, Kelly l’a poussée à se faire avorter. « Il a dit : “Tu dois te pencher sur cette histoire d’avortement parce que tu dois garder ce corps” », a-t-elle déclaré au tribunal.
Les avortements dans le monde des célébrités ne sont pas rares ; certains hommes exigent même que les femmes signent des « contrats d’avortement » afin que tout enfant qui vient au monde en sorte rapidement par l’aspirateur d’un avorteur. Les hommes utilisent les femmes ; les femmes utilisent les hommes ; les enfants meurent, victimes des cruels jeux de guerre sexuelle auxquels se livrent leurs parents.
Au milieu de tout cela, l’industrie de l’avortement informe tout homme qui souhaite protéger son enfant à naître de fermer sa gueule et de soutenir l’avortement. Tant de femmes attendent désespérément que les hommes se lèvent et soient des hommes ; tant de femmes choisiraient la vie si elles avaient le soutien nécessaire pour le faire. Dans une culture où l’avortement est normal et le sexe occasionnel attendu, une génération d’hommes défendant leur propre progéniture constituerait un changement culturel énorme et bienvenu. L’industrie de l’avortement, bien sûr, ne veut pas de cela. Les avorteurs préfèrent un monde rempli d’Evander Kane et de R. Kellys.
Des hommes comme ceux-là leur rapportent de l’argent. De l’argent sanglant, oui. Mais de l’argent.
Une revue médicale encourage l’utilisation d’un implant d’euthanasie programmée pour les malades mentaux
Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : motortion/AdobeStock
Une prestigieuse revue médicale spécialisée dans l’éthique a publié un article prônant l’utilisation d’implants euthanasiques pour les personnes atteintes de démence.
Rédigé par Margaret Battin, philosophe, éthicienne médicale et professeur émérite de l’université de l’Utah, âgée de 80 ans, et Brent Kious, professeur adjoint à l’université de l’Utah, l’article Ending One’s Life in Advance [Mettre fin à sa vie à l’avance] demande aux lecteurs d’envisager l’idée d’un « implant de directive anticipée » (IDA) qui permettrait à une personne d’utiliser un implant doté d’une minuterie qui la tuerait automatiquement sans l’aide de quiconque.
Le Hastings Center Report est une revue médicale évaluée par des pairs qui examine les questions de bioéthique. Il souligne que des millions d’Américains souffrent chaque année de la maladie d’Alzheimer ou de démence. Cette maladie est dépeinte par les auteurs comme un sort pire que la mort, ainsi qu’ils l’expliquent : « Certains d’entre nous, du moins lorsqu’ils sont en possession de leurs facultés, pensent qu’ils ne voudraient pas vivre avec la démence. » Ils estiment que le fait d’être atteint de démence transformerait la personne en un fardeau, entraînant des coûts financiers et émotionnels pour les membres de sa famille, mais que se suicider alors que l’on est encore lucide gâcherait la « vie encore bonne » de la personne.
Ils affirment qu’une meilleure alternative à la vie avec la démence serait d’implanter, essentiellement, une bombe à retardement à l’intérieur de soi. L’article indique :
Lire la suiteSupposons qu’il existe un dispositif médical simple, basé sur la triple technologie de la capsule à libération retardée, de l’implant contraceptif sous-cutané et d’un médicament euthanasique indolore et à action rapide mis au point aux Pays-Bas, où l’euthanasie est légale. Il s’agit d’un implant euthanasique indolore, à action rapide et à action retardée. Toute personne chez qui on vient de diagnostiquer la maladie d’Alzheimer ou une autre démence progressive irréversible, alors qu’elle est encore lucide et compétente, peut en demander un. Placé de manière indolore et invisible dans le corps, l’implant est conçu pour libérer instantanément son médicament mortel après un délai déterminé — disons deux ou trois ans, ou cinq, ou dix, selon ce que stipule le patient qui demande l’implant.
Mgr Schneider : Le sang des enfants à naître crie vers Dieu depuis les vaccins et les médicaments liés à l’avortement
Mgr Athanasius Schneider.
Par Mgr Athanasius Schneider, évêque auxiliaire de l’archidiocèse de Sainte-Marie à Astana (Gloria.tv) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Les vaccins contaminés par l’avortement et la culture de la mort
Les puissances mondiales antichrétiennes qui font la promotion de la culture de mort cherchent à imposer à la population mondiale une collaboration implicite — bien que lointaine et passive — avec l’avortement. Cette collaboration éloignée, en soi, est également un mal en raison des circonstances historiques extraordinaires dans lesquelles ces mêmes puissances mondiales encouragent le meurtre d’enfants à naître et l’exploitation de leurs restes. Lorsque nous utilisons des vaccins ou des médicaments qui utilisent des lignées cellulaires provenant de bébés avortés, nous bénéficions physiquement des « fruits » de l’un des plus grands maux de l’humanité — le cruel génocide des enfants à naître. Car si un enfant innocent n’avait pas été cruellement assassiné, nous n’aurions pas ces vaccins ou médicaments concrets. Nous ne devrions pas être naïfs au point de ne pas voir que ces vaccins et médicaments n’offrent pas seulement un avantage pour la santé, mais qu’ils promettent également de promouvoir la culture de mort. Bien sûr, certains affirment que même si les gens ne prennent pas ces vaccins, l’industrie de l’avortement continuera à exister. Il se peut que nous ne réduisions pas le nombre d’avortements si nous cessons de prendre ces vaccins ou ces médicaments, mais là n’est pas la question. Le problème réside dans l’affaiblissement moral de notre résistance au crime de l’avortement, et au crime du trafic, de l’exploitation et de la commercialisation des parties du corps des enfants à naître assassinés. L’utilisation de ces vaccins et médicaments soutient d’une certaine manière moralement — bien qu’indirectement — cette horrible situation. En observant la réponse de l’Église catholique, les avorteurs et les responsables de la recherche biomédicale concluront que la hiérarchie a donné son accord à cette situation, qui comprend toute une chaîne de crimes contre la vie et peut être décrite à juste titre comme une « chaîne de mort ». Nous devons nous éveiller aux dangers réels, aux conséquences et aux circonstances de la situation actuelle.
Théories justifiant l’utilisation de vaccins contaminés par l’avortement
Les documents du Saint-Siège (de 2005, 2008 et 2020) qui traitent des vaccins développés à partir de lignées cellulaires provenant d’enfants à naître assassinés ne sont pas des décisions infaillibles du Magistère. Les arguments avancés dans les documents susmentionnés concernant la licéité morale de l’utilisation de vaccins contaminés par l’avortement sont finalement trop abstraits. Nous devons aborder ce problème de manière plus profonde, et ne pas rester dans un positivisme juridique et un formalisme de théories abstraites de coopération avec le mal, de bénéfice des mauvaises actions d’autrui, de double effet ou de tout ce que l’on veut appeler de telles théories justificatives.
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