Elon Musk dans une entrevue avec Tucker Carlson déclare que la société doit cesser de « faire peur » aux femmes d’avoir des enfants
Elon Musk.
Par l’équipe de LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/Tucker Carlson/X
8 octobre 2024 (LifeSiteNews) — Dans une entrevue avec Tucker Carlson, le magnat de la technologie Elon Musk a une fois de plus encouragé les gens à avoir des familles, exhortant la société à cesser de « faire peur aux femmes » d’avoir des enfants.
Lors de l’entretien de près de deux heures avec Carlson le 7 octobre, Elon Musk a déclaré au célèbre journaliste que la société « doit cesser d’effrayer les femmes en leur faisant croire qu’avoir un enfant détruit leur vie », affirmant catégoriquement qu’une telle notion est « fausse ».
« Nous terrifions les filles [...] en leur disant que si elles deviennent enceintes, leur vie est finie, c’est ce que les écoles enseignent », a déploré le milliardaire, père de 12 enfants.* Il a ajouté que, même s’il reconnaît que les grossesses chez les adolescentes ne sont pas idéales, « avoir un enfant est l’une des choses les plus délicieuses et génératrices de bonheur que l’on puisse faire », ce à quoi M. Carlson, qui a lui-même quatre enfants, a répondu : « Bien sûr ».
Outre des commentaires sur le fait d’avoir des enfants, la longue interview a permis à Musk d’aborder la question des vaccins, le besoin de religion, l’intelligence artificielle et Donald Trump.
Lire la suiteLe gouvernement Trudeau lance un portail en ligne sur l’avortement pour en faciliter l’accès
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : valeria aksakova/Freepik
7 octobre 2024, Ottawa (LifeSiteNews) — Quelques jours seulement après s’être vanté du bilan pro-avortement de son gouvernement, le gouvernement fédéral canadien du premier ministre libéral Justin Trudeau a lancé un nouveau portail en ligne « Avortement au Canada », qui comprend toutes les « ressources » nécessaires pour les femmes qui cherchent à tuer leurs enfants à naître, a déclaré le principal groupe pro-vie du Canada.
Le portail sur l’avortement semble avoir été mis en ligne le 26 septembre, mais n’a été découvert que récemment à la fois par les militants pro-avortement et par ceux qui défendent la vie. Le principal groupe pro-vie du Canada a immédiatement dénoncé le portail comme facilitant la tâche des « Canadiens qui veulent tuer leurs enfants à naître ».
« Les libéraux de Trudeau viennent de lancer un nouveau “portail de services d’avortement” pour permettre aux Canadiens de tuer plus facilement leurs enfants à naître », a déclaré Pete Baklinski, directeur des communications de la Coalition nationale pour la vie (CNV), sur X, jeudi dernier, à propos du portail.
Baklinski a fait remarquer que le portail est « rempli de rhétorique pro-avortement qui pourrait facilement avoir été élaborée par des activistes de l’avortement » et que « les députés libéraux pro-avortement se font les champions du site ».
Lire la suiteTrudeau se vante à nouveau de l’engagement inébranlable de son gouvernement en faveur de l’avortement
Justin Trudeau.
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pete Baklinski/LifeSiteNews
1er octobre 2024, Ottawa, Ontario (LifeSiteNews) — Le principal groupe pro-vie du Canada critique sévèrement le premier ministre Justin Trudeau d’avoir à nouveau défendu l’avortement lors de la « Journée internationale de l’avortement sans risque », dont le nom relève de l’oxymoron.
Le 28 septembre, Trudeau — en contradiction avec son baptême catholique — a publié une déclaration célébrant la soi-disant « Journée internationale de l’avortement sans risque », proclamant son soutien inébranlable à l’avortement et celui de son parti libéral.
« Notre gouvernement est fièrement pro-choix et le sera toujours. C’est pourquoi nous prenons des mesures pour étendre les soins de santé sexuelle et reproductive (SSR) à l’ensemble du pays », a déclaré M. Trudeau.
« En cette Journée internationale de l’avortement sans risque, nous réaffirmons sans équivoque le droit de chaque femme à prendre des décisions concernant son corps, sa vie et son avenir », a-t-il ajouté, en utilisant le langage typique des partisans de l’avortement, qui présentent le meurtre des enfants à naître comme un « droit des femmes » concernant « leur corps ».
Lire la suiteElon Musk charge le Los Angeles Times qui s’interroge sur la « moralité » d’avoir des enfants
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : gpointstudio/Freepik
17 septembre 2024 (LifeSiteNews) — Le magnat de la technologie favorable à la liberté d’expression, Elon Musk, a critiqué un média d’extrême gauche pour avoir fait honte aux parents d’avoir des enfants.
Dans un message publié le 14 septembre sur X, Elon Musk a blâmé le Los Angeles Times d’avoir dénigré les personnes qui souhaitent mettre des enfants au monde, sous prétexte que cela pourrait aggraver le « changement climatique ».
« Les extinctionnistes veulent un holocauste pour toute l’humanité », a déclaré Elon Musk.
Ce message était une réponse à un article publié le 11 septembre par le Los Angeles Times, intitulé « Il est presque honteux de vouloir avoir des enfants ».
L’article, rédigé par un professeur d’« études sur le genre et la sexualité », remet en question la moralité d’avoir des enfants, compte tenu de la situation politique et « climatique » actuelle.
Lire la suiteUne femme handicapée est critiquée parce qu’elle a eu un enfant : « Je suis tout à fait capable de prendre soin de ma fille »
Sydney Anne Barrett et sa fille.
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : the.annegirl/Instagram
Sydney Anne Bennett, connue sous le nom de « Annie Girl » sur les réseaux sociaux, est atteinte d’un trouble neurologique fonctionnel (TNF), qui affecte la façon dont son cerveau communique avec son système nerveux central. Elle a récemment dénoncé les attaques dont elle a fait l’objet en raison de sa décision d’avoir un enfant.
Sur son site internet, Mme Bennett explique : « En moins d’un an, je suis passée d’une santé parfaite à un fauteuil roulant la plupart du temps. Cela a été un long chemin de confiance dans le Seigneur pour en arriver là, mais il est fidèle. J’espère pouvoir vous encourager ici et vous donner plus de confiance, de joie et d’espoir dans votre maladie chronique ou avec votre aide à la mobilité. Votre vie n’est pas terminée lorsque vous devenez handicapé. J’en suis la preuve vivante. »
Sur son compte Instagram, Bennett a partagé que depuis qu’elle a un bébé, elle reçoit des commentaires discriminatoires. « Nous sommes en 2024 et les gens ne sont toujours pas prêts à ce qu’une femme handicapée ait un bébé », écrit-elle. Elle a ensuite partagé un échantillon des commentaires horribles qu’elle a reçus.
Lire la suiteDans l’ère post-Roe, il faut s’attendre à ce qu’Hollywood continue à glorifier l’avortement
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Angelov/Adobe Stock
13 août 2024 (LifeSiteNews) — Le détournement d’Hollywood par le mouvement LGBT — décrit dans la série documentaire « Visible : Out On Television » (Visible : à la télévision) — est désormais bien connu. Les cinéastes et les producteurs de télévision ont fait le gros du travail culturel dans la croisade visant à normaliser les modes de vie sexuels alternatifs et à persuader le public d’accepter le programme du mouvement LGBT ; même le président Joe Biden, le premier démocrate de premier plan à approuver la redéfinition du mariage, a attribué à la série télévisée « Will & Grace » le mérite d’avoir fait bouger les choses.
Mais l’industrie du divertissement a eu davantage de mal à vendre l’avortement. Pendant des décennies, même le très libéral Hollywood a refusé de normaliser l’avortement à l’écran. Les raisons en étaient faciles à discerner. Les téléspectateurs ne voulaient pas regarder les histoires d’avortement, car même la plupart des personnes pro-choix y voyaient un « mal nécessaire » — et le fœticide n’est jamais considéré comme une fin heureuse. Comme l’a fait remarquer Jonah Goldberg, même si les personnes travaillant dans l’industrie du divertissement sont ouvertement favorables à l’avortement, « lorsqu’elles sont enceintes, presque tous les personnages féminins de télévision traitent leur enfant à naître comme s’il s’agissait déjà d’un être humain ». Les grossesses en situation de crise se terminent généralement par la naissance d’un enfant vivant, aimé par ses parents. Les téléspectateurs veulent des fins heureuses, pas des avortements.
La stratégie du mouvement en faveur de l’avortement a évolué, tout comme celle des conteurs. Dans les années 1990, les militants ont défendu la nécessité d’un avortement « sûr, légal et rare ». La plupart d’entre eux affirmaient, à l’intention du public, que l’avortement n’était pas une bonne chose, mais une malheureuse nécessité sociale. Cependant, lorsque les guerres de l’avortement se sont intensifiées dans les années 2000, la stratégie a changé. L’avortement a été défendu comme étant non seulement une nécessité sociale, mais aussi un bien social. Les activistes ont fixé l’ordre du jour ; les conteurs ont suivi le programme (les activistes et les conteurs étaient souvent les mêmes personnes). « Obvious Child » (L’enfant évident) (2014) a été présenté comme la toute première « comédie sur l’avortement », dans laquelle une jeune femme devient enceinte, se fait avorter et est très heureuse de sa décision, tout comme son étrange petit ami au charme maladroit. Le film a fait un flop.
Lire la suiteUn médecin met en garde contre les liens effrayants entre la « mort cérébrale » et le prélèvement d’organes
Par John-Henry Westen — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : moodboard/Adobe Stock
Note du traducteur : Les passages entre crochets sont des citations du Dr Byrne provenant de la vidéo de son entrevue. Ces passages ont paru essentiels à la bonne compréhension du sujet.
16 juillet 2024 (LifeSiteNews) — Nous vivons tous dans une culture désormais saturée par le concept d’euthanasie. Or, nous en sommes arrivés là en partie à cause du concept de « mort cérébrale ». Le problème de ce concept, cependant, est que la « mort cérébrale » n’est pas vraiment la mort.
Le Dr Paul Byrne, néonatologiste à la retraite, m’accompagne dans cet épisode important du John-Henry Westen Show pour discuter des questions relatives à la « mort cérébrale » et de son lien avec le don d’organes.
Le Dr Byrne a commencé à s’intéresser à cette question en 1975, lorsque l’un de ses patients, Joseph, a cessé de réagir alors qu’il était sous respirateur.
Après qu’un test d’ondes cérébrales ait donné des résultats suggérant que Joseph souffrait de « mort cérébrale », ce qui a été confirmé par un second test, Byrne a continué à traiter son patient, objectant que Joseph n’était pas mort. [Éventuellement, Joseph n’a plus eu besoin du respirateur, il a été à l’école où il a obtenu des notes excellentes, il s’est marié et il est devenu père de trois enfants]. Lorsque Joseph a eu environ cinq mois, [constatant qu’il était toujours vivant], Byrne a commencé à étudier la question et a fini par découvrir que le concept de « mort cérébrale » n’avait pas de véritable fondement scientifique.
Le concept lui-même, me dit-il, a été « inventé » après l’échec d’une transplantation cardiaque illégale entre deux bébés à Brooklyn, dans l’État de New York. Un comité de Harvard a publié un rapport intitulé « A Definition of Irreversible Coma » dans lequel il identifie le « coma irréversible » à la mort, sans aucune donnée sur le patient ni aucun test de laboratoire. [« Or, vous ne pouvez pas être dans le coma si vous êtes mort. »]
Lire la suiteUne canadienne atteinte d’infirmité motrice cérébrale affirme qu’une infirmière l’a traitée d’« égoïste » pour avoir refusé l’euthanasie
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : prostooleh/Freepik
18 juillet 2024 (LifeSiteNews) — En 2019, une infirmière de l’Alberta aurait dit à l’auteure chrétienne Heather Hancock qu’elle était « égoïste » de ne pas avoir mis fin à sa vie par le biais du programme d’euthanasie « Aide médicale à mourir » (AMM).
Dans une entrevue accordée le 12 juillet au Daily Mail, Heather Hancock, une auteure chrétienne de 56 ans qui souffre de paralysie cérébrale, a déclaré qu’elle avait été humiliée par une infirmière en 2019 pour avoir refusé le programme d’AMM à l’hôpital régional de Medicine Hat, en Alberta.
Selon Mme Hancock, lors d’un long séjour à l’hôpital en 2019 pour une crise de spasmes musculaires, une infirmière lui a dit, tout en l’aidant à aller aux toilettes, qu’elle « devrait faire ce qu’il faut et envisager l’AMM », et que son refus de l’AMM était « égoïste » et qu’elle « ne vivait pas », mais « se contentait d’exister ».
Mme Hancock se souvient s’être sentie « abasourdie » et a dit à l’infirmière que sa vie avait de la valeur même si elle passait la plupart du temps dans un fauteuil roulant.
« Vous n’avez pas le droit de me pousser à accepter l’AMM », a-t-elle dit à l’infirmière.
« Ils me considèrent simplement comme un fardeau pour le système médical et pensent que l’argent de mes soins de santé pourrait être [mieux] dépensé pour une personne valide », a déclaré Mme Hancock au Daily Mail.
Lire la suiteLes effets néfastes de la culture du suicide assisté dépassent largement les portes des cliniques
Par Alex Schadenberg (Coalition pour la prévention de l’euthanasie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
Ronny Reyes, Joe Hutchinson et Rory Tingle ont publié un article dans le Daily Mail du 7 juillet concernant certains décès controversés survenus dans une clinique de suicide en Suisse. Comme je ne veux pas faire la promotion de cette clinique, je n’en donnerai pas le nom.
Le décès le plus controversé est sans doute celui d’une femme de New York qui a prétendu être allée mourir à la clinique de suicide pour punir son mari dont elle était séparée. Les auteurs ont écrit :
Catherine Kassenoff, originaire de Westchester dans l’État de New York, s’est rendue à Bâle en mai dernier pour mettre fin à ses jours à la clinique de suicide assisté qui facture 11 000 dollars (8 600 livres sterling) pour ce qu’elle annonce comme une mort avec un minimum de « bureaucratie ».
L’avocate de 54 ans a affirmé que son mari, Alan, avait abusé d’elle et de leurs enfants pendant des années, et que cela l’avait poussée à mettre fin à ses jours au cours de leur bataille pour la garde des enfants, bien que M. Kassenoff ait nié avoir abusé d’elle.
Les auteurs poursuivent :
Lire la suiteParmi les centaines de personnes qui ont mis fin à leurs jours dans cet établissement l’année dernière, on peut citer le professeur de chimie britannique Alastair Hamilton, qui a pris une surdose mortelle de médicaments sans en parler à sa famille et qui ne souffrait d’aucune maladie apparente, et deux sœurs américaines qui étaient devenues « fatiguées » de la vie.
Un projet de loi monstrueux du Massachusetts permettrait aux mères de vendre leurs enfants à naître au plus offrant
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : tirachardz/Freepik
13 juin 2024 (LifeSiteNews) — La Chambre des représentants du Massachusetts vient de voter à l’unanimité un projet de loi monstrueux qui autoriserait ostensiblement les femmes à vendre leurs enfants à naître au plus offrant.
Cette mesure chosifie les femmes et permet de traiter les enfants comme des biens meubles — comme des objets à vendre — bien qu’aucun des législateurs ne le dise à voix haute.
Connue sous le nom de « Parentage Equality Bill » (Projet de loi sur l’égalité parentale) ou H.4672, cette loi bannit diaboliquement la vérité immuable selon laquelle les enfants doivent être élevés dans un foyer aimant par leurs parents biologiques, tout en effaçant les termes « mère » et « père », les remplaçant par « personne qui donne naissance » et « autre parent », ou « source génétique ». Même le pronom « son » est abandonné au profit d’un « leur » plus ambigu et non genré.
La loi est rédigée comme si la complémentarité des sexes était une construction sociale dépassée.
Ce projet de loi redéfinit la parentalité « sur la base de l’intention d’une personne d’être le parent d’un enfant », note Patience Griswold de Them Before Us (TBU), une organisation consacrée à la protection des droits de l’enfant, dans The Federalist. « Ce faisant, elle supprime toute mention des mères et des pères dans la loi sur la filiation, remplaçant ces rôles familiaux vitaux par un langage qui ne tient pas compte de la différence des sexes ».
Ses promoteurs affirment que le projet de loi protégera les relations entre parents et enfants, mais en réalité, il protège les droits des parents qui obtiennent des enfants par l’intermédiaire d’une mère porteuse. Et nombre de ces parents, si ce n’est la plupart, seront des hommes homosexuels.
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