Une clinique d’avortement « bénite » par des dirigeants religieux
Par Reinformation.tv
La clinique Whole Woman’s Health de Fort Worth a été le théâtre d’une cérémonie religieuse où les avorteurs, les donateurs, le personnel de la clinique et les patientes ont chanté « Hallelujah » et prié avec des prêtresses et des révérendes.
Celles-ci voulaient mettre l’accent sur la présence de « gens de foi progressistes, même au Texas » et contrer le discours d’« extrême droite » sur le refus religieux de l’avortement. « Les femmes ont un droit donné par Dieu de prendre des décisions par rapport à leur propre vie », a indiqué une responsable de la « justice reproductive » au Religious Institute.
C'est une honte : Le gouvernement français vote pour l'interdiction des sites Web pro-vie
François Hollande, chef du Parti socialiste (PS) et président de la France
Par Pete Baklinski (LifeSiteNews) - traduit par Campagne Québec-Vie
PARIS, le 2 décembre 2016 - Le gouvernement socialiste de France a adopté un projet de loi après une journée de débat qui criminalise les sites Web qui pourraient dissuader les femmes de l'avortement.
Le projet de loi sur les «délits d'entrave à l'IVG» vise à réprimer les sites français qui, selon les termes du projet de loi, «trompent délibérément, intimident et / ou exercent une pression psychologique ou morale pour décourager le recours à l'avortement».
Les propriétaires de sites Web visés pourraient être condamnés à deux ans de prison et des amendes allant jusqu'à 30 000 euros (41 684 dollars canadiens).
La majorité a voté pour le projet de loi tandis qu’une minorité de droite a formé un bloc contre elle.
Lire la suiteUne clinique d’avortement fournit “des cerveaux entiers” pour un camp d’été de jeunes
Par Kristi Burton Brown de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Aujourd’hui, le Comité d’enquêtes sur la vie des enfants mis sur pied par la Chambre a publié un rapport effrayant contenant un journal de notes (journal of “Procurement Notes,” ) qu’il avait reçu de l’Université du Nouveau Mexique. Les notes furent écrites par un technicien de laboratoire travaillant au Centre des Sciences de la Santé du Nouveau Mexique (CSSNM). Le CSSNM s’associa avec la clinique d’avortement Southwestern Women’s Options; cette dernière leur fournirait les enfants avortés et les parties de leurs corps.
Le journal décrit de façon détaillée les multiples organes d’enfants avortés et dans certains cas, il décrit ce qui leur arriva.
La révélation du journal la plus éprouvante serait peut-être celle de la description des cerveaux d’enfants livrés à quelqu’un qui voulait s’en servir dans un camp d’été pour jeunes.
La page couverture du rapport.
Si, les handicapés ‘vivent audacieusement’- et il vaudrait mieux qu’ils soient vivants
Extrait d'un article de Cassy Fiano de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Il est fort probable que vous ayez vu la publicité d’un nouveau film qui a été lancé. Elle exhorte les cinéphiles à “vivre audacieusement”, “Avant Toi” est un drame qui est dépeint comme la prochaine grande romance.
En réalité, ce n’est qu’un film médiocre qui défend l’idée selon laquelle mieux vaut mourir que vivre handicapé. Basé sur un roman de l’écrivain anglais Jojo Moyes, l’intrigue est sévèrement critiquée par les défenseurs des handicapés qui invitent les gens à boycotter le film.
Dans “Avant Toi”, Louisa Clark est une fille excentrique menant une vie sans but. Elle est engagée par la mère de Will Traynor, un quadraplégique. Will avait été un homme valide, actif, prospère et heureux…jusqu’à ce qu’il eut un accident qui le confina dans un fauteuil roulant. Il devint renfermé, déprimé, suicidaire. Il avait envie d’aller à Dignitas – la célèbre clinique de suicide assisté – afin de se faire tuer. C’est la raison pour laquelle la mère de Traynor engagea Louisa dans l’espoir de lui booster le moral et lui rappeler que la vie vaut la peine d’être vécue.
Lire la suiteAttentats de Paris: Chronique d'une guerre annoncée
Par Jeanne Smits
Ce n’était pas une question de « si », mais de quand et comment. Depuis le « 13-11 » et – à l’heure d’écrire – ses 128 victimes d’un terrorisme déterminé, et 99 blessés en « état d’urgence absolue », nous savons que la guerre est là. Avec l’entrée de milliers et de milliers de jeunes hommes depuis des terres où l’on prêche la conquête islamique, nous savons que cette guerre peut-être terrible. Qu’elle peut s’organiser. Depuis hier, elle ne vise plus des ennemis déclarés, comme l’attentat contre Charlie, mais un style de vie. L’homme de la rue. Le jeune qui s’éclate, dans un macabre « retour à l’envoyeur ».
La réponse doit-elle être politique ? Oui, certainement. Il appartient aux responsables des Etats d’y assurer la sécurité en les défendant contre les attaques extérieures et intérieures, et la paix, qui est « tranquillité de l’ordre ». Quel « ordre » ? Dans un pays où l’« ordre moral » est proscrit, où le désordre le plus fondamental est inscrit dans les lois et prêché dans les écoles, la tâche prend une allure singulière. Il s’agit de sauver et de protéger des vies, urgence vitale. Mais après ? Que défendons-nous ? Un « vivre-ensemble » qui traîne d’année en année son propre bilan de destruction, ce carnage propre, sûr et caché de plus de 200.000 victimes par an, par avortement légal ?
Lire la suiteL’heure du martyre a sonné, il faut s’y préparer
Ce mois-ci, le dernier mois de l’été avant que ne débutent les activités parlementaires et avant que ne reprenne le rythme habituel de nos vies après les vacances, je veux proposer une sorte de lettre ouverte à tous les artisans d’une culture de vie qui constatent qu’il y a de sérieux problèmes dans notre société et qui tentent d’y remédier à leur façon. Je pense surtout à ceux qui ont la charge de contrer la culture de mort (l’euthanasie, l’avortement, les déformations récentes du mariage, l’éclatement de la famille, etc.) dans une perspective de foi – c’est-à-dire au nom de Jésus-Christ.
Les efforts de plusieurs individus et organismes sont très louables, à plusieurs niveaux. Il ne faut pas hésiter à les féliciter pour leur engagement, leur patience, leurs sacrifices envers cette cause. Par contre je vois que domine en ce moment, chez trop de gens parmi nous – et c’est une tentation constante pour nous tous – un certain aveuglement sur l’ampleur du problème et sur les remèdes à y apporter.
D’abord un mot sur l’ampleur du problème. Est-il si difficile d’avouer ce simple fait que nous sommes, au Québec en 2013, en terre païenne ? Que seulement, je dirais, 5% de la population est à proprement dite « chrétienne » selon le cœur de Dieu ? Que même si, en principe, les normes morales sont inscrites dans le cœur même de l’être humain, que cette inscription de nos jours est tellement salie par des mensonges et par des idolâtries puissamment véhiculés par les médias de masse et par le système d’éducation qu’il devient, en réalité, rarissime qu’une personne non pratiquante puisse discerner le bien du mal et agir en conséquence ?
Nous ne pouvons plus prendre pour acquis une vision saine et commune de ce qu’est l’être humain, son bien ultime, sa vocation, sa dignité. S’il existe une vision de l’homme partagée par la majorité de la population, c’est celle d’un homme réduit à une volonté enrobée d’une boule de matière formable ou déformable à souhait. Son but dans la vie est de s’amuser et de mourir sans douleur ! Voilà la vision du monde de plusieurs de nos contemporains. Dégradante et déprimante, cette vision entraîne un surcroît de distractions (alcool, drogue, musiques assourdissantes) pour masquer l’effroi et le manque d’espoir devant une vie sans sens et sans issue.
Alors quel remède apporter ? Tous ceux qui nous lisent savent qu’il n’existe qu’un seul médecin de l’âme, un seul maître pour montrer le chemin du salut à chaque humain et à l’ensemble de la société, et son nom est Jésus. Mais trop d’acteurs pro-vie et pro-famille de nos jours font ce que Pierre tenta de faire ce jour où Jésus annonça qu’il s’en ira à Jérusalem pour être crucifié : ils veulent « protéger » Jésus, protéger l’Église et, au bout du compte, se protéger eux-mêmes – ils ne veulent pas être malmenés.
Et, pour la première fois, [Jésus] leur enseigna qu’il fallait que le Fils de l’homme souffre beaucoup, qu’il soit rejeté par les anciens, les chefs des prêtres et les scribes, qu’il soit tué, et que, trois jours après, il ressuscite. Jésus disait cela ouvertement. Pierre, le prenant à part, se mit à lui faire de vifs reproches. Mais Jésus se retourna et, voyant ses disciples, il interpella vivement Pierre : « Passe derrière moi, Satan ! Tes pensées ne sont pas celles de Dieu, mais celles des hommes. » (Mc 8, 31-33)
Plusieurs acteurs pro-vie et pro-famille pratiquent cette même prudence toute mondaine que Jésus qualifia de « satanique ». Ils jouent au faux politiciens, ils scrutent sondages et opinions pour bien « cibler » leur message. Quand une vérité évangélique fait scandale, malgré leurs efforts, dans un quotidien ou bien à la télé, ils font du damage control, ils cherchent à « réparer les dégâts » causés par ce « dérapage » car, selon ces gestionnaires de l’Évangile, les non-croyants accueilleront toujours les vérités sur la vie, la famille et Dieu avec sérénité et joie si elles sont présentées habilement. Les réactions colériques ou hystériques seraient toujours le résultat d’un manque de jugement de la part du messager.
Je ne suis pas ici pour condamner en bloc tous ceux qui tentent de faire passer le message de l’Évangile sur la vie et la famille dans la paix et la sérénité. Toutefois, l’expérience des évangélisateurs de l’histoire et les faits rapportés dans les Saintes Écritures nous montrent que souvent – très souvent – l’annonce de la vérité sur la vie telle que voulue par Dieu est reçue avec colère, mépris et persécutions multiples et violentes. Pour le prouver, il ne faut qu’un exemple qui récapitule et contient tous les autres : l’exemple de Dieu lui-même qui est mort sur la croix. Voilà où ses « efforts d’évangélisation » l’ont mené ! Nous croyons-nous plus habiles que lui, plus fins connaisseurs de la nature humaine, plus fins psychologues ? Même lui fut rejeté … Serions-nous meilleurs que Celui qui fut rejeté ? Car sa vérité sur la vie et la famille est tellement bouleversante qu’elle dérange terriblement les gens. Quiconque ne dérange pas comme lui et ne se fait pas martyr comme lui ne fait simplement pas le travail voulu par Dieu pour le salut des hommes et de la société.
C’est pourquoi la Croix est au centre de notre vie et c’est pourquoi nous sommes dès aujourd’hui appelés au MARTYRE. Pour ceux qui persistent à faire comme Pierre et à « protéger » Jésus, en empêchant l’Église de souffrir, ils empêchent en fait l’Église de ressusciter. Ils bloquent le relèvement de la société. Ils sont en cela des traitres et non des serviteurs de Jésus.
Eh oui, l’heure du martyre a sonné, il faut s’y préparer; rien de moins fera l’affaire : il n’y a que le Christ pour sauver notre âme et celle de notre société à la dérive.
Pour la Vie !
Georges Buscemi