La justice croate ordonne à un centre de remettre la garde d'un mineur à un «couple» homosexuel
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info) ― Photo : Ake/rawpixel
Un duo homosexuel croate « s’unit » civilement puis demande au centre d’assistance sociale de Zagreb la garde d’un mineur. Le Centre refuse car la loi interdit la garde par des couples homosexuels. Le duo va donc au tribunal et le juge donne raison au couple. Mais le Centre résiste, alors intervient la Cour constitutionnelle qui confirme la décision du juge ordinaire et déclare également que la loi sur la garde contient « une discrimination constitutionnellement inacceptable ». Ainsi, à l’avenir, les juges devront interpréter cette loi conformément aux principes exprimés par la Cour.
Cette affaire croate nous fait comprendre que « l’homoparentalité » est devenue un phénomène mondialisé et que les dynamiques pour légitimer des soi-disant « familles » se ressemblent d’un pays à l’autre : des sentences judiciaires gay friendly au Parlement qui doit s’adapter à ces sentences et à une pratique jurisprudentielle en contraste avec la législation. Et ainsi avance mondialement la révolution arc-en-ciel en marche…
La Croatie, le seul pays à produire une pièce de monnaie à l’effigie d’un enfant à naître
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Afin de célébrer le nouveau millénaire de l’an 2000, la Croatie a émis une pièce de monnaie présentant l’image d’un enfant à naître. Le fœtus [humain], un être humain vivant les premiers instants de sa vie, est un symbole de « nouveau départ » pour le peuple de Croatie, c’était donc l’image parfaite pour marquer le début du 21e siècle. La Croatie, majoritairement catholique, a des lois très strictes contre l’avortement, lequel est un sujet largement controversé.
Environ 85 % des Croates sont catholiques, et l’avortement devient illégal après dix semaines de grossesse. Un grand nombre de Croates insiste pour que l’avortement soit complètement interdit. En 1952, lorsque la Croatie faisait partie de la Yougoslavie, l’avortement était permis. Puis, en 1974 la Constitution fédérale de la Yougoslavie déclara que la décision quant au moment d’avoir un enfant constituait un droit humain, et ainsi en 1978, une loi acceptant la contraception, la stérilisation, l’avortement et les traitements d’infertilité a été mise en place. Essentiellement, elle stipule que les désirs des adultes concernant le moment et la façon de créer ou détruire les vies de leurs enfants éclipsent les droits de ces enfants, même leur droit à la vie.
Lire la suitePlus de 20 000 pro-vie marchent pour la vie en Croatie
Marche pour la vie à Zagreb
Par Ivan Mihanovié traduit par Campagne Québec-Vie
Zagreb, Croatie, 23 mars 2017 (LifeSiteNews) - des milliers de Croates, ayant parmi eux le vice-premier ministre de Croatie, ont marché dans Zagreb, capitale de la Croatie, et dans la ville de Split située au sud du pays, lors de la seconde marche nationale annuelle pour la vie.
Selon les estimations, 20 000 pro-vie ont marché à travers le centre-ville de Zagreb et plus de 5 000 à travers celui de Split. La marche, dans chacun des deux lieux, a attiré l’attention des média, alors que la Cour constitutionnelle de Croatie a rendu plus tôt cette année une décision qui demande au parlement de changer la loi sur l’avortement en dedans des deux prochaines années.
Plus précisément, la Cour constitutionnelle, après 26 ans de délais, s’est finalement prononcé sur la « constitutionnalité » de la loi sur l’avortement, qui a été instituée en 1978 pendant le régime communiste. La Cour a déclaré en substance, que la loi était inconstitutionnelle et a demandé un changement de la loi. En attendant, la loi actuelle qui autorisait l’avortement sur demande jusqu’à 10 semaines de grossesse, reste en place.
Lire la suiteVoici comment venir à bout des ennemis du mariage naturel
Par Steven Mosher du Population Research Institute - traduit par Campagne Québec-Vie
1er février 2016 (POP) – L’une des meilleures interventions lors de notre conférence en Australie a été l’œuvre de Vice Vincent Batarelo (prononcé Vee-che), l’homme qui a dirigé la lutte pour la défense du mariage naturel en Croatie.
Dr Batarelo était aussi invité à notre conférence comme autochtone, puisqu’il est né à Sydney d’immigrants croates et a grandi en Australie. Après l’obtention d’un baccalauréat et d’une maitrise à l’université Macquarie, il décida cependant de retourner au pays de ses ancêtres qui venait juste de se libérer de la domination serbe dans la Yougoslavie communiste. Il y obtint un doctorat et devint le responsable du programme Famille et Vie de l’archidiocèse de Zagreb.
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