Jordan Peterson : chrétiens, « Défendez vos droits, entrez en politique » !
Jordan Peterson.
Par Clémentine Jallais (reinformation.tv)
Pas une semaine, désormais, sans que le célèbre psychologue canadien Jordan Peterson n’agite un journaliste ou ne prenne la parole dans quelque média encore ouvert à son discours… Même le New York Times lui a consacré un portrait le 18 mai dernier. On ne passe pas à côté d’un phénomène médiatique. Au bout d’un moment, il faut s’y mesurer, dans un sens ou dans un autre, pour louer sa réticence au politiquement correct ou au contraire stigmatiser ses « fioritures régressives » comme j’ai pu lire — la seule indifférence ne suffit plus. Il faut se situer par rapport à lui, en justifiant sa position : rien qu’en cela, le « curseur Peterson » est remarquable au sens littéral du terme. Pas étonnant que le point Godwin fut si vite atteint : le psychologue à succès des réseaux sociaux vient de porter plainte pour s’être fait traiter de nazi.
Mais ses ardeurs restent les mêmes : aux chrétiens canadiens à qui on vient de refuser une université de droit trop… chrétienne, il dit de se lever et de s’engager — sous peine d’être bientôt submergés.
Lire la suiteArchevêque de San Francisco : « Les Etats-Unis peuvent endurer le mensonge du mariage homosexuel. Mais nous, nous n'y participerons pas, ni ne nous tairons »
Par Lisa Bourne de LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Saint Louis, lundi 19 juin 2015. Si la Cour Suprême des Etats-Unis d'Amérique décide de redéfinir le mariage dans les prochains jours, rien n'empêche la conférence épiscopale américaine de proclamer la vérité, explique l'archevêque, qui fait le point sur la question.
« Quoiqu'il arrive à la fin du mois, rien de ce que la Cour Suprême dira ne peut changer ce qu'est le mariage. Aussi continuerons-nous à le promouvoir et à le défendre ». Ainsi s'est exprimé l'archevêque de San Francisco, son Em. Salvatore Cordileone, porte-parole du Comité pour la promotion et la défense du mariage (Subcommittee for the Promotion and Defense of Marriage) de la conférence épiscopale américaine (USCCB, United States Conference of Catholic Bishops).
Lire la suiteDécision ou absence de décision de la Cour Suprême sur les droits de l'enfant à naître au Canada
Sur le site de Radio-Canada du 3 mai 2013:
(Cour Suprême du Canada)
La Cour suprême du Canada a ordonné vendredi la tenue d'un nouveau procès pour une Ontarienne accusée d'avoir fait disparaître le cadavre d'un enfant dans l'intention de cacher sa naissance. Le plus haut tribunal du pays ne s'est toutefois pas avancé sur la controversée question des droits du foetus dans le Code criminel canadien.La cause à l'origine de ce jugement implique Ivana Levkovic, une femme de Mississauga, en Ontario, accusée d'avoir jeté le corps de son nouveau-né dans une rivière. La femme, qui alléguait que son enfant était déjà mort à la naissance, avait été acquittée par un juge de première instance, qui avait expliqué que l'article 243 du Code criminel canadien était vague au point d'en être inconstitutionnel.Or, comme le foetus n'a pas de statut légal au Canada, le juge s'était dit incapable dans cette cause de concilier les concepts légaux « d'enfants » et « avant la naissance » puisqu'avant de naître, le bébé n'est tout simplement pas considéré comme une personne au sens de la loi. On ne peut donc accuser quiconque d'avoir attenté à sa vie.La cause avait été portée en appel par la Couronne. La Cour d'appel de l'Ontario a alors statué que l'article 243 n'était pas imprécis au point d'être inconstitutionnel. Les avocats de Mme Levkovic avaient poursuivi jusqu'en Cour suprême, alléguant que l'imprécision l'article 243 du Code brimait les droits et libertés constitutionnels de leur cliente.L'article 243 du Code criminel stipule : « Est coupable d'un crime quiconque fait disparaître le cadavre d'un enfant pour cacher la naissance que l'enfant soit mort avant, pendant ou après la naissance ».La Cour suprême du Canada a validé vendredi la décision de la Cour d'appel de l'Ontario, qui a statué qu'en dépit de la définition controversée que fait le Code criminel d'un foetus, un citoyen n'a tout simplement pas le droit de dissimuler la dépouille d'un nouveau-né, que la mort soit survenue avant, pendant ou après la naissance.La Cour suprême a par conséquent ordonné la tenue d'un nouveau procès pour Ivana Levkovic.