Vous êtes le Canada — Hommage aux camionneurs du Convoi de la liberté
Par Douglas Farrow (Douglas Farrow), 26 janvier 2021 — Traduit par Campagne Québec-Vie
Hommage aux camionneurs du Convoi de la liberté
Desiderantes meliorem patriam
[Ils aspirent à une patrie meilleure, devise de l’Ordre du Canada]
Cela fait longtemps que je n’ai pas conduit de camion ni d’autobus. Je n’ai jamais eu de permis de classe 1 ; je n’ai pas pu aller plus loin que la classe 2 avec air [freins pneumatiques], bien que j’aie traversé une grande partie du continent avec ce permis et même la mer du Nord [North sea] une fois, aller et retour, dans la cale d’un traversier. Mais si j’avais un camion aujourd’hui, je me joindrais certainement à vous. Vous êtes le Canada.
Le Canada que je croyais connaître, le Canada que mes ancêtres ont aidé à coloniser de l’Île-du-Prince-Édouard à la péninsule Bruce jusqu’à la Colombie-Britannique, semble soudainement s’être évanoui dans le brouillard du syndrome du dérangement covid (SDC), disparaissant de façon aussi rapide et spectaculaire que le soleil disparaissait dans la mer du Nord derrière ce traversier.
Une alliance de corrompus et de lâches ─ dont beaucoup sont ici avec moi dans le milieu universitaire, hélas, où ceux dont la pensée est supposément articulée ne savent même pas ce qu’est un camion articulé ─ a exigé que nous nous prosternions tous devant les nouveaux dieux de la santé publique, les dieux qui détruisent notre pays.
Ces dieux ne se soucient pas de vous. Pour eux, vous n’êtes qu’un point de données. Ils veulent, non pas que vous soyez en bonne santé, mais que vous vous soumettiez aux appareils de traitement de chiffres et aux systèmes de données des riches et des puissants ; que vous ne vous conformiez pas seulement aux normes de sécurité sur la route, mais aussi dans votre propre corps ; que vous ne bougiez que lorsqu’ils vous disent de bouger et que vous n’alliez que là où ils vous permettent d’aller.
Lire la suiteCanada : le convoi des camionneurs pour la liberté
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Note : je rectifie le passage où j'écris que les camionneurs ne semblent pas avoir de chefs officiels, du moins ils semblent extrêmement bien organisés. — Mise à jour : 1er février 2021.
Depuis le 23 janvier 2022, un colossal convoi de camions parti de Colombie-Britannique se dirige lentement (comparativement à la circulation ordinaire) vers la capitale canadienne. Ayant franchi la frontière ontarienne le 26 janvier, les camionneurs de l’ouest convergent vers Ottawa avec le convoi de l’est, qui traverse actuellement la Nouvelle-Écosse, ainsi que d’autres convois de partout au Canada.
Le Freedom Convoy 2022 compte, dans son contingent occidental seulement, plus de 50 000 camions et 500 000 participants, dont des partisans enthousiastes qui suivent en voitures, formant une file de plus de 70 km. Partout où les camionneurs passent, la population les acclame, montrant son soutien à ce formidable mouvement qui a pour but de forcer, en bloquant la capitale, le gouvernement fédéral à lever toutes les mesures « sanitaires » qu’il impose depuis près de deux ans aux Canadiens.
While @JustinTrudeau dismisses history in the making, the world is watching Canadian truckers lead the charge against vaccine mandates. #FreedomConvoyCanada #FreedomConvoy2022 #freedomconvoy22 pic.twitter.com/Q9UYsrxzHH
— Bright Light News (@BLNewsMedia) January 27, 2022
L’élément déclencheur de cette manifestation pacifique et légale a été l’imposition de la vaccination obligatoire aux camionneurs pour la traversée de la frontière canado-américaine, d’abord le 15 janvier par le gouvernement canadien, puis le 22 janvier par celui américain ; jusqu’à maintenant, les camionneurs bénéficiaient d’une exception en vertu de leur service essentiel leur permettant de voyager à l’étranger. Ce fut la goutte qui fit déborder le vase. Ce dernier coup menace directement l’approvisionnement en denrées essentielles des Canadiens, depuis l’imposition de la vaccination aux camionneurs des pénuries se font déjà sentir dans les commerces, aussi bien à l’ouest en Alberta qu’à l’est au Québec ; le premier ministre de l’Alberta affirme sur Twitter avoir reçu des rapports de pénuries dans sa province :
Je reçois des photos comme celle-ci des épiceries de l’Alberta ce matin.
C’est en train de devenir une crise. Elle exige une action immédiate de la part des gouvernements canadien et américain.
Lire la suiteI’m getting pictures like this from grocery stores across Alberta this morning.
— Jason Kenney (@jkenney) January 24, 2022
This is turning into a crisis. It requires immediate action by the Canadian & US governments. pic.twitter.com/nEmbSgX2BU
Des catholiques canadiens lancent une croisade de prière publique pour mettre fin aux mandats covid
Groupe de chapelet dans le cadre de l'initiative « Le Québec prie » à Beaumont.
Par Pete Baklinski — Traduit par Campagne Québec-Vie
Note : Campagne Québec-Vie a lancé l’initiative Le Québec prie, avec un groupe Telegram pour s’inscrire ou indiquer le lieu d’un groupe de prière, ainsi qu’une carte pour trouver l’emplacement d’un groupe de prière à proximité. — A.H.
25 janvier 2022 (Campaign Life Coalition) — Les catholiques du Canada se tournent vers la Sainte Vierge Marie en récitant chaque semaine le chapelet en public afin d'implorer son intercession pour la fin des confinements draconiens, l'abolition des mandats de vaccination COVID qui bafouent la liberté, et le rétablissement de la paix et de l’ordre dans les foyers, les villes et les provinces du pays.
La campagne de prière, organisée par Le Canada Prie, débute le mercredi 26 janvier, à 18 h. Les catholiques, partout dans le pays, prieront le chapelet en public lors de l’événement en des lieux désignés [par les participants eux-mêmes]* pour confier le pays à la Très Sainte Vierge Marie et l’implorer de venir en aide au peuple canadien.
La récitation publique du chapelet aura lieu chaque semaine, le même jour et à la même heure, jusqu’à ce que la crise soit résolue et que la paix et la liberté reviennent dans le pays.
« Le Canada prie, qui fait partie d’une initiative mondiale, a pour objectif immédiat de mettre fin au régime politique indûment restrictif et injuste mis en place sous le prétexte du covid, un régime qui rend obligatoires les injections contenant l’avortement et punit l’objection de conscience à ces injections par des amendes, des restrictions de mouvement ou la perte d’emploi », a déclaré Georges Buscemi, organisateur de l’initiative, à Campaign Life Coalition.
M. Buscemi a déclaré que la crise est devenue si grave que le moment est venu de « placer le domaine public sous la protection de la Sainte Vierge » en faisant « un acte public de prière et de témoignage de notre foi et donc en récitant le chapelet en public partout au Canada ».
Alors que le Canada a vu des figures protestantes et évangéliques héroïques comme le pasteur Artur Pawlowski et le pasteur James Coates lutter contre les mandats COVID, il y a eu très peu de résistance de la part des instances catholiques. Pour les catholiques qui cherchent à s’impliquer, cette initiative est la bienvenue.
L’initiative Le Canada prie fait suite à des initiatives similaires qui ont vu le jour un peu partout dans le monde, notamment en Autriche, où elle a vu le jour, et en Allemagne, en Suisse, en Italie, aux États-Unis, en Ouganda, en Belgique, au Royaume-Uni, au Portugal, au Liban, en Irlande, en France, en Espagne, en Croatie, en République tchèque et en Roumanie [ainsi qu’au Québec]*.
Lire la suiteLe pape François parle encore d'« obligation morale » de prendre les vaccins covid — liés à l'avortement
Le pape François.
Par Michael Haynes — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Vatican News/YouTube
10 janvier 2022, Citée du Vatican (LifeSiteNews) — Le pape François a une fois de plus fortement poussé les gens à accepter les injections COVID-19, un produit contaminé par l’avortement, qualifiant les soins de santé et la vaccination « d’obligation morale », à la fois pour la santé personnelle de chacun et celle des autres, tout en continuant à ignorer les préoccupations morales.
Dans son discours annuel au corps diplomatique, le pape François a abordé un large éventail de sujets, dont la promotion des injections COVID liées à l’avortement, prononçant à ce sujet « certains de ses mots les plus forts à ce jour »
Le pontife de 85 ans a appelé à des réponses « personnelles, politiques et internationales » quant à la santé mondiale, affirmant qu’il est « donc important de poursuivre l’effort de vaccination de la population générale autant que possible ».
« Chacun de nous a la responsabilité de prendre soin de soi et de sa santé, ce qui se traduit par le respect de la santé de ceux qui nous entourent », a déclaré François. « Les soins de santé sont une obligation morale ».
Décriant le « monde des forts clivages idéologiques », le pape s’est attaqué à ce qu’il a décrit comme des « informations sans fondement ou des faits mal documentés » concernant le COVID-19.
« Toute déclaration idéologique rompt le lien de la raison humaine avec la réalité objective des choses », a-t-il poursuivi, affirmant que le COVID-19 a indiqué la nécessité d’une « thérapie de la réalité » qui combattrait ces « informations sans fondement ».
Lire la suiteLa question du fameux « angle mort » des CHSLD doit être résolue
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Rawpixel.com/Freepik
L’enquête de la coroner Géhane Kamel sur les décès en CHSLD continue, mais elle témoigne de sa frustration devant l’incompétence et l’inexactitude des témoignages.
« Il me semble que les gens devraient être capables de nous dire en toute franchise qu’ils ont peut-être eu un angle mort envers les CHSLD... » dit-elle.
L’incapacité de l’ex-directeur de la sécurité civile au ministère de la Santé, Martin Simard, de répondre aux questions concernant le manque d’équipement de protection dans les CHSLD, et de semblables incohérences empêchent la résolution de l’histoire ; la coroner n’en peut plus.
Selon Le Journal de Montréal, la commissaire Castonguay a dit qu’elle « pense qu’entre le rapport de la Protectrice du citoyen, le rapport à venir de la coroner et (ses propres) rapports, on a tout ce qu’il faut pour s’engager dans une transformation et regarder vers l’avenir. »
Mais avant de regarder vers l’avenir, le passé doit être examiné. La question du fameux « angle mort de l’angle mort » du gouvernement doit être résolue.
« Trois témoins, dont l’ex-ministre de la Santé Danielle McCann, ont déclaré qu’ils connaissaient les risques concernant les personnes âgées dès le mois de janvier » rapporte Radio-Canada, ce qui nous porte à croire que l’angle n’était pas invisible aux yeux de tous.
Les faits démontrent pourtant un nombre non négligeable de décès dans les CHSLD, et une négligence évidente dans les soins apportés aux personnes âgées.
La journaliste Josée Legault commente, « Si des milliers d’enfants étaient morts ici dans les mêmes conditions abominables, nous aurions été des millions à envahir les rues pour le dénoncer. Pour les aînés, il n’y a pas eu de manifestations » ; commentaire qui reflète le jugement sélectif d’une société pro-avortement puisqu’en effet, non seulement des milliers, mais des millions d’enfants meurent chaque année dans les « conditions abominables » de l’avortement et pourtant, des « millions » n’envahissent pas les rues pour le dénoncer.
Un juge québécois suspend les droits de visite d’un père auprès de ses enfants parce qu’il n’est pas vacciné
Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : kostia/Adobe Stock
13 janvier 2022, Montréal (LifeSiteNews) — Un père québécois a vu ses droits de visite temporairement suspendus après que la mère eût dit à un juge qu’il est « anti-vaccin » et qu’il affiche des théories du « complot » sur les médias sociaux.
Le juge Jean-Sébastien Vaillancourt de la Cour supérieure du district de Montréal a rendu un jugement le 23 décembre 2021 qui a interdit « temporairement » à un père québécois de visiter ses trois enfants, âgés de 12 ans, 4 ans et 7 mois, parce qu’il n’est « pas vacciné » et qu’il publie des messages sur les médias sociaux qui expriment son opposition aux tyranniques et prétendues mesures de santé publique du Québec.
« Il serait normalement dans le meilleur intérêt d’un enfant d’avoir des contacts avec son père, mais il n’est pas dans son meilleur intérêt d’avoir des contacts avec lui s’il n’est pas vacciné et s’il s’oppose aux mesures de santé dans le contexte épidémiologique actuel », a écrit M. Vaillancourt dans sa décision.
Selon le National Post, le père avait demandé au juge un jour de visite supplémentaire pendant les vacances de Noël auprès de son enfant de 12 ans. La mère a alors déclaré au juge que la demande devait être rejetée car elle avait « récemment » appris que l’homme n’était pas vacciné et, selon le jugement, qu’il était un « théoricien du complot » et un « anti-vaccin ».
Le père a déclaré que son statut vaccinal ne devrait pas entrer en ligne de compte dans cette affaire, puisque l’enfant de 12 ans a reçu le vaccin et que les deux autres enfants sont trop jeunes pour recevoir les vaccins expérimentaux.
Apparemment aveugle à l’ironie de la situation, le juge a noté que, puisque le variant dit omicron infecte les personnes vaccinées, le vaccin de l’enfant de 12 ans n’offre pas une protection suffisante pour qu’elle soit en contact avec son père, en dépit du fait que les essais sur les vaccins covid n'eussent jamais produit de preuves que les non-vaccinés transmettaient davantage omicron que les vaccinés.
En fait, il existe même des preuves solides que les « vaccinés » sont tout aussi susceptibles de porter et de transmettre le virus que les personnes non vaccinées, ce qui signifie que le père ne présente pas plus de risque pour ses enfants que la mère « entièrement vaccinée ».
Pour démonter encore davantage le discours dominant du covid, le Dr Robert Malone, l’inventeur même de la technologie du vaccin à ARNm, a déclaré que non seulement les non-vaccinés ne sont pas à blâmer pour la propagation du virus, mais que ce sont en fait les vaccinés qui sont les « super-propagateurs » de la maladie.
La pression en faveur de la vaccination ou de la protection des jeunes enfants s’exerce en dépit du fait que les enfants courent un risque extrêmement faible face au covid-19. En fait, l’été dernier, des chercheurs de l’école de médecine Johns Hopkins ont constaté un « taux de mortalité de zéro chez les enfants sans condition médicale préexistante telle que la leucémie » lorsqu’ils ont « analysé environ 48 000 enfants de moins de 18 ans diagnostiqués avec le covid dans les données de l’assurance maladie entre avril et août 2020 ».
En guise de consolation, le juge Vaillancourt a précisé que les restrictions « doivent être de courte durée puisque la situation liée à la pandémie évolue rapidement, encore plus en ce qui concerne le variant omicron, et qu’il pourrait être nécessaire de réévaluer la situation à court terme », tout en ajoutant que le père devrait tout de même recevoir les vaccins et donner son assentiment aux mesures de santé publique de la province.
Le guide soigneusement planifié, étape par étape, que les élites mondiales utilisent pour mettre en œuvre la Grande Réinitialisation
Par le P. Frank Unterhalt — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : wlodi/Flickr
6 janvier 2022 (LifeSiteNews) — La prétendue pandémie COVID-19 fait partie du plan maçonnique du Nouvel ordre mondial et est utilisée comme instrument de la « Grande Réinitialisation » [1]. Dans cette optique, l’envoyé spécial des Nations Unies pour l’éducation mondiale, Gordon Brown, a appelé à la création d’un gouvernement mondial pour faire face au coronavirus [2].
L’auteur catholique Laurence England a donné la réponse appropriée : « Le gouvernement mondial unique a pour but le pouvoir pur et simple sur les populations, pas d’aider les gens. Ils veulent un monde d’esclaves. Il [Gordon Brown] était un participant-clé du Bilderberg » [3].
En fait, tout a été planifié longtemps à l’avance. Ainsi, en mai 2010, la Fondation Rockefeller a imaginé un scénario appelé « Lock Step » qui figurait dans un document intitulé « Scénarios pour l’avenir de la technologie et du développement international », dans lequel le monde serait gouverné au moyen d’un « contrôle gouvernemental de haut en bas plus strict et d’un commandement plus autoritaire » [4] lors d’une réponse pandémique fictive pendant laquelle diverses nations imiteraient les mesures extrêmes adoptées par le gouvernement chinois [5].
Les membres du Centre pour la sécurité sanitaire de Johns Hopkins, qui fait partie [6] de l’École d’hygiène et de santé publique Johns Hopkins [7] et qui a été créé grâce à un financement de la Fondation Rockefeller, ont rédigé en octobre 2017 un livre de 77 pages intitulé « The Spars Pandemic 2025-2028. A Futuristic Scenario for Public Health Risk Communicators » [8]. Il s’agit d’un « scénario de temps de guerre sur la façon dont la population devrait être contrôlée et surveillée dans une telle crise » [9].
Le Johns Hopkins Center for Health Security a organisé l’exercice de pandémie « Clade X » à Washington le 15 mai 2018 [10]. La recommandation principale était de produire de nouveaux « vaccins » et médicaments en quelques mois ─ et non pas au moins dix ans, comme cela a été le cas dans le passé. Une référence particulière a été faite aux récents développements en biologie synthétique et aux « vaccins » à ARNm auto-amplifiés. [11]
Une réunion remarquable appelée « Event 201 » s’est tenue à New York le 18 octobre 2019 [12]. L’objectif déclaré était de simuler une pandémie — causée par un nouveau coronavirus (!) [13]. Cet exercice a été organisé conjointement par le Johns Hopkins Center for Health Security, le Forum économique mondial (WEF) et la Fondation Bill & Melinda Gates [14].
Lire la suite« Aucun mot ne peut décrire ma douleur » : une mère a perdu son bébé à naître cinq jours après la 2e dose de Pfizer
Stephanie Whitmore.
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie
13 janvier 2022 (LifeSiteNews) — Une mère australienne a raconté ce mois-ci que cinq jours après qu’elle ait reçu une deuxième dose du vaccin Pfizer, sa petite fille à terme est morte in utero d’une hémorragie cérébrale.
Stephanie Whitmore a déclaré qu’elle partage son histoire parce qu’elle « était tout à fait favorable » à l’injection COVID, mais elle pense que l’injection de Pfizer est la cause du décès de sa fille Isabella.
Stephanie Whitmore a raconté par écrit comment elle a suivi le conseil de ses médecins de se faire vacciner contre le COVID afin de « protéger sa famille et son bébé », et a reçu sa première dose du vaccin Pfizer le 13 septembre 2021. À ce moment-là, elle « n’a eu aucune réaction ».
Le 4 octobre 2021, elle a reçu sa deuxième injection Pfizer. « Mon bébé était en bonne santé et parfait tout au long de ma grossesse », a-t-elle écrit. « Elle devait naître n’importe quand maintenant, deux jours après ma deuxième dose de vaccin Pfizer ».
Whitmore a partagé une vidéo racontant ce qui s’est passé : « J’ai eu mon rendez-vous à 36 semaines, une semaine avant sa mort. Elle avait la “tête en bas, donc elle était prête à venir” ».
Peu de temps après, Whitmore a remarqué qu’Isabella avait cessé de bouger, et elle est allée à l’hôpital pour voir si quelque chose n’allait pas. Ils ont d’abord vérifié les battements de son cœur et ont constaté qu’il « battait bien », et Whitmore a « ressenti un sentiment de soulagement ».
Lire la suiteLancement de l’Initiative Le Québec prie — des dizaines de groupes le 19 janvier !
Groupe de chapelet tenu, dans le cadre de l'Initiative Le Québec prie, devant l'église Saint-Charles-Borromée à Saint-Charles-de-Bellechasse, le 19 janvier 2022.
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie)
Pour une première lancée, elle était puissante ! Mercredi soir l’Initiative Le Québec prie a donné son premier coup d’envoi de chapelets publics au Québec, confiant la situation actuelle de la société à Notre-Dame.
La carte des chapelets indique maintenant 43 chapelets au Québec !
Selon les messages sur le groupe Telegram émis tout au long de la soirée, environ 175 personnes se sont unies à travers le Québec en priant publiquement le chapelet le 19 janvier.
Certaines personnes priaient seules « en union avec tout le Québec », d’autres en famille, et d’autres par groupes allant jusqu’à trente participants ; des groupes différents séparés par la distance, réunis dans des régions différentes, mais unies par la même Foi.
Un membre a témoigné, « Au Petit Sanctuaire de Notre-Dame du Cap (l’église où la statue de la Sainte Vierge a ouvert les yeux devant le bon Père Frédéric... C’était une joie d’être unis à chacun pour demander de nouvelles grâces dans ce lieu bénit qui en a reçu tant par la Sainte Vierge. »
Comme l’a partagé l’un des membres du groupe, l’expérience a permis aux membres de réaliser « que le Catholicisme est encore bien en vie au Québec » !
Après ce premier succès, le groupe continue à s’agrandir et à étendre son ardeur, ayant comme objectif de « doubler le nombre d’endroits chaque semaine ! » Aidez-nous à atteindre cet objectif en rejoignant le groupe Telegram Initiative Le Québec prie.
« Persévérons ! Le ciel nous fera miséricorde et donnera la paix à notre pays » a encouragé un membre.
À Gatineau.
Devant l'église Saint-Gérard-des-Laurentides, Shawinigan.
Devant l'église Notre-Dame-du-Perpétuel-Secours, Sherbrooke.
Notre-Dame-du-Bon-Conseil.
Selon les analystes, un petit pourcentage de lots de vaccins est responsable d’un grand nombre d’effets indésirables
Par Patrick Delaney — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : show999/Adobe Stock
14 janvier 2022 (LifeSiteNews) — Une analyse récente des données publiques gouvernementales révèle que des pourcentages très élevés d’effets indésirables signalés à la suite des injections du « vaccin » expérimental COVID-19, dont plus de 21 000 décès, se sont produits en fait avec une petite minorité de lots de produits mis en circulation par les fabricants pharmaceutiques.
De plus, selon les analystes, la large dispersion de ces lots hautement toxiques dans de nombreux États américains, ainsi que leur étiquetage séquentiel apparent en fonction des niveaux de toxicité, est la preuve d’une intention d’altération du contenu des injections et constitue donc probablement une violation grave des réglementations fédérales qui exigent que ces produits soient uniformes.
À la mi-novembre, le chercheur Craig Paardekooper, basé à Londres, a produit une courte vidéo à partir des données du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) des États-Unis, où il a découvert que « 1 lot sur 200 du [vaccin COVID-19] est hautement toxique », alors que la grande majorité d’entre eux ne le sont pas, du moins selon les résultats à court terme.
« En fait », poursuit-il, « 70 % des lots de vaccins ne produisent qu’un seul rapport d’effet indésirable au total » et « 80 % des lots de vaccins ne produisent qu’un ou deux rapports d’effet indésirable ».
Cependant, Paardekooper a commencé à trouver des anomalies [dans certains lots] qui, se démarquant de la grande majorité des lots, « produisaient des milliers de fois le nombre de réactions indésirables », y compris des exemples de 1 394, 1 012, et finalement jusqu’à 4 911 réactions indésirables.
En outre, ces lots ont produit ces lésions de manière constante dans les nombreux États où ils ont été distribués, ce qui confirme que la cause était la composition des vaccins de ces lots plutôt que les circonstances, les applications ou les données démographiques locales.
Par exemple, dans le cas de Pfizer, seuls 4 % de ses lots étaient à l’origine de tous les rapports de décès associés à ces injections et, dans le cas de Moderna, il en allait de même pour seulement 5 % de ses lots.
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