Une nouvelle étude conclut que la fertilité masculine est réduite pendant plusieurs mois après le vaccin covid de Pfizer
Par Michael Haynes (LifeSiteNews) — Traduit par Pierre-Alain Depauw (Médias-Presse Info) — Photo : Studio Romantic/Adobe Stock
Une étude israélienne coécrite par sept médecins et qui a fait l’objet d’un examen complet par des pairs a prélevé des échantillons de donneurs de sperme pour constater que 75 à 120 jours après l’injection, la concentration de sperme masculin a diminué de 15,4 %, tandis que la motilité des spermatozoïdes a diminué de 22,1 %.
L’étude a écrit que si « aucun changement significatif » dans la concentration ou la motilité des spermatozoïdes n’a été trouvé à T1 (15 à 45 jours après l’injection), la concentration de spermatozoïdes était « significativement inférieure » dans les échantillons prélevés à la période de test T2.
Les échantillons T2 de concentration de spermatozoïdes se sont révélés « significativement plus faibles en raison d’une diminution de -15,4 % » que ceux avant la vaccination, ont écrit les auteurs.
Cela s’est traduit par une réduction moyenne de 12 millions/ml de concentration de spermatozoïdes pendant les échantillons T2, par rapport aux échantillons de pré-vaccination. Une réduction moyenne de 31,2 millions de spermatozoïdes mobiles a également été notée au cours de la même période.
Les auteurs n’ont pas précisé quelle était la concentration de spermatozoïdes avant la vaccination, mais ont cherché à apaiser les craintes en ajoutant qu’une « récupération » avait été constatée dans des échantillons prélevés plus tard au stade du test T3, bien qu’aucun détail n’ait été donné à ce stade de l’étude sur ce en quoi consistait la « récupération ».
Une réduction moyenne de 12 millions/ml de la concentration de spermatozoïdes chez les 37 hommes observés est significative, étant donné que l’Organisation mondiale de la santé suggère actuellement que la fertilité masculine est considérée comme normale s’il y a plus de 15 millions de spermatozoïdes par millilitre. Tout ce qui est inférieur est considéré comme malsain.
Plus bas dans l’étude, plus de détails ont été donnés sur la « récupération » rapportée trouvée dans les échantillons prélevés au cours de l’étape T3, qui ont été effectués à « 174,8 ± 26,8 jours » ou entre près de cinq à sept mois après la vaccination.
Contrairement à la suggestion selon laquelle la réduction de la concentration de spermatozoïdes a été inversée, la concentration de spermatozoïdes s’est en fait aggravée avec le temps, les échantillons de test T3 étant en moyenne de 15,9 % pires que les tests pré-vaccinaux. Le nombre total de motiles dans ces tests était encore inférieur de 19,4 % aux tests pré-vaccinaux, une très légère amélioration par rapport aux tests T2.
Lire la suitePlus de 4000 rapports de fausses couches de femmes vaccinées au covid dans le VAERS
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pormezz/Adobe Stock
Tamara Ugolini, journaliste du Rebel News, rapporte la teneur d’un entretien qu’elle a eu avec le Dr Jessica Rose, mathématicienne appliquée, immunologiste, biologiste moléculaire et informatique et biochimiste où cette dernière parle de ses analyses des données du VAERS, notamment les quelque 4000 rapports volontaires de fausses couches chez les femmes vaccinées au covid, un nombre qui serait à multiplier par 31 à cause de la sous-déclaration. Selon le Rebel News :
Dans cet entretien, nous discutons de cette tendance avec le Dr Jessica Rose, mathématicienne appliquée, immunologiste, biologiste moléculaire et informatique et biochimiste. Mme Rose m’a déjà rejoint pour discuter des analyses qu’elle a réalisées et qu’elle continue d’effectuer sur les données du système VAERS (Vaccine Adverse Events Reporting System) des Centers for Disease Control (CDC) des États-Unis.
Mme Rose note que certains rapports d’événements indésirables dans la base de données VAERS sont devenus si nombreux qu’ils sont trop lourds à analyser sur le plan informatique.
Dans la base de données VAERS, selon le décompte de Mme Rose, il y a eu à ce jour 4 474 rapports d’avortements spontanés (c’est-à-dire de fausses couches) soumis après l’injection d’un vaccin covid. Mme Rose suppose qu’il existe un facteur de sous-déclaration de l’ordre de 31, de sorte que la multiplication de ces événements signalés par le facteur de 31 est susceptible de donner une représentation plus fidèle du profil des événements indésirables.
Ces résultats ne sont en fait pas étonnants si l’on considère, comme le souligne le Dr Rose, que les protéines de pointe (spike proteins) ne restent pas dans le lieu d’injection, mais circulent dans tout le corps, pour se concentrer dans les organes tels que le foie, la rate… ou les ovaires.
On peut certainement mettre en lien avec ces faits le nombre important de signalements de troubles menstruels de femmes vaccinées au covid auprès du Réseau français des centres de pharmacovigilance.
Les médecins sont « déconcertés » par un nouveau « syndrome de mort subite » mystérieux qui tue des jeunes en bonne santé
Par Celeste McGovern — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : 9nong/Adobe Stock
14 juin 2022 (LifeSiteNews) — Ils l’appellent le syndrome de mort subite de l’adulte, ou SADS en abrégé. Tout comme le SIDS — syndrome de mort subite du nourrisson — lorsque des bébés en bonne santé meurent soudainement (et le plus souvent le jour même d’une visite de routine chez le pédiatre). Sauf qu’il se produit chez les adultes. Et aussi chez les enfants et les adolescents, bien que le nom ne le reflète pas. Pourtant…
Des jeunes gens en bonne santé meurent soudainement dans le monde entier, a rapporté le Daily Mail la semaine dernière, affirmant que la recrudescence de ce « syndrome mystérieux » déconcerte les médecins.
L’article décrit le cas de Catherine Keane, une femme de 31 ans de Dublin qui faisait 10 000 pas par jour et était une habituée de la salle de sport, et qui ne s’est tout simplement pas réveillée lors d’un séjour chez des amis.
« Ils travaillaient tous à la maison, donc personne n’a vraiment fait attention quand Catherine n’est pas descendue pour le petit-déjeuner », a raconté Margherita, la mère de Catherine, au Irish Times. « Ils lui ont envoyé un SMS à 11 h 20 et comme elle n’a pas répondu, ils ont vérifié sa chambre et ont découvert qu’elle était décédée ».
« Son amie a entendu un bruit dans sa chambre à 3 h 56 du matin et pense maintenant que c’est à ce moment-là qu’elle est morte. »
La « pointe de l’iceberg »
En Australie, les médecins ont lancé un registre pour recenser ces cas. Ils sont l’un des rares pays au monde qui va suivre les données des ambulances pour les décès que les médecins ne voient habituellement pas.
« La majorité de ces événements SADS, 90 %, se produisent en dehors de l’hôpital — la personne n’y arrive pas vivante — donc c’est en fait le personnel ambulancier et les médecins légistes qui s’occupent de la majeure partie de ces patients », a déclaré la cardiologue Elizabeth Paratz de l’Institut du cœur et du diabète Baker.
« Je pense que même les médecins le sous-estiment. Nous ne voyons que les 10 % qui arrivent vivants à l’hôpital. Nous ne voyons nous-mêmes que la partie émergée de l’iceberg ».
Ce qui manquait manifestement dans l’article, qui aurait dû intéresser tout journaliste médical de l’ère covid et certainement tout médecin, c’était la mention du statut vaccinal covid — vaccin expérimental — de ces personnes qui, comme Catherine, sont tombées raides mortes en nombre supérieur à la moyenne.
Ne veulent-ils pas savoir s’il y a un lien ? Ou ne veulent-ils pas que nous le sachions ?
C’est comme si un vaccin développé à la vitesse de l’éclair, jamais utilisé sur des humains, une puissante injection immunitaire et génique qui détourne la machinerie cellulaire pour produire des protéines de pointe (maintenant reconnue comme la partie la plus mortelle du coronavirus COVID-19), toujours en cours d’essais cliniques, et lié à des maladies cardiaques inflammatoires mortelles comme la myocardite et les troubles de la coagulation sanguine, ne pouvait avoir aucun rapport avec des décès inexpliqués.
Lire la suiteUn nouveau cardinal choisi par le Pape François a un horrible dossier sur l’homosexualité et l’avortement
Mgr Robert McElroy.
Par Raymond Wolfe — Traduit par Campagne Québec-Vie
3 juin 2022 (LifeSiteNews) — Le pape François a choqué l’Église dimanche en annonçant la nomination de 21 nouveaux cardinaux, dont 16 cardinaux électeurs, qui seront installés lors d’un consistoire le 27 août.
Les nominations comprennent, sans surprise, plusieurs libéraux déclarés, comme l’archevêque brésilien pro-LGBT Mgr Leonardo Ulrich Steiner et le chef de la liturgie du Vatican, Mgr Arthur Roche, opposé à la messe latine.
Mais le choix le plus radical du pape est celui de Mgr Robert McElroy de San Diego, connu des catholiques fidèles comme étant sans doute le prélat de gauche le plus favorable des États-Unis aux homosexuels.
Ces dernières années, Mgr McElroy a suscité l’indignation en célébrant des « messes LGBT », en rejetant la position de l’Église sur les actes homosexuels, en préconisant des rites funéraires catholiques pour les homosexuels actifs et en soutenant le père James Martin, jésuite dissident, tout en dénonçant les attitudes « destructrices » des conservateurs sur la sexualité.
Son bilan sur les questions de vie n’est guère meilleur. Aucun évêque n’a défendu aussi vigoureusement que Mgr McElroy le fait de donner la communion à des politiciens favorables à l’avortement ; il met aussi en équation l’avortement et le « changement climatique », et rejette l’idée que l’avortement est le problème moral unique et « prééminent » auquel l’Église américaine est confrontée.
Après que le pape François ait publié de nouvelles restrictions sur la messe en latin l’année dernière, McElroy a rapidement éliminé deux des trois églises où était célébrée la messe traditionnelle dans son diocèse. Pendant le déploiement de la piqûre COVID, il a prôné la vaccination comme la « seule voie » vers le retour à la normale. Et en ce qui concerne les abus sexuels commis par des membres du clergé, même les militants libéraux tirent la sonnette d’alarme sur son passé.
Mgr McElroy est depuis longtemps un favori du pape François, qui l’a nommé au diocèse de San Diego en 2015, lui a confié la fonction de père synodal du synode panaméricain de 2019 et l’a choisi l’année dernière pour rejoindre le Dicastère du Vatican pour la promotion du développement humain intégral. L’évêque de San Diego est également un proche allié des autres cardinaux américains de gauche et pro-LGBT du pape, notamment le cardinal Joseph Tobin et le cardinal Blase Cupich.
Les positions ultra-libérales de Mgr McElroy et son ascension rapide sont d’autant plus significatives qu’il a une vision révolutionnaire de l’Église catholique. Dans un long article pour America Magazine, deux jours après sa nomination au cardinalat, Mgr McElroy a détaillé son objectif de « transformation » de l’Église par le biais du Synode sur la synodalité et d’une « synodalité soutenue ».
Le « processus synodal » vise « rien de moins qu’une refonte de la culture de l’Église qui perdurera pendant des générations », a déclaré Mgr McElroy. « Le dépôt de la foi n’est pas un corps d’enseignement inerte et abstrait », a-t-il insisté, suggérant des changements à la « doctrine réformable de l’Église ».
« La doctrine réformable de l’Église », a répondu le père Gerald Murray, juriste canonique et collaborateur d’EWTN, « est une catégorie qui ne m’est pas très familière, car la doctrine est enseignée comme une vérité venant du Christ, enseignée par les apôtres ».
La nomination de Mgr McElroy envoie un signal sans équivoque sur la direction que le pape François entend donner à l’Église au cours de son pontificat déclinant ─ un signal confirmé par une série d’autres nominations de haut niveau au Vatican annoncées cette semaine.
Vous trouverez ci-dessous un examen approfondi des antécédents horribles de l’évêque de San Diego, depuis sa promotion incessante des LGBT et ses liens troublants avec les abus sexuels commis par des clercs, jusqu’à son habitude de longue date de minimiser l’importance de l’avortement et ses prises de position politiques.
Lire la suiteCathay Wagantall mise à la porte du Parlement du Canada pour n’avoir pas révélé son statut vaccinal
Cathay Wagantall.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Chose aussi absurde qu’incroyable, vendredi dernier le député conservateur Cathay Wagantall s’est vu intimer l’ordre de quitter le Parlement canadien parce qu’elle refusait de révéler son statut vaccinal. C’est une représentante du peuple et elle ne peut pas siéger à la Chambre des communes !
Le député Leslyn Lewis, également conservateur, commente dans un courriel cette nouvelle aberrante :
Vendredi, nous avons vu un exemple frappant de la chute de la démocratie au Canada.
Le député Cathay Wagantall, dont la présence dans mon équipe m’honore, a été expulsé de la Chambre des communes pour ne pas avoir déclaré son statut vaccinal.
En dépit du fait qu’il n’y a pas de mandat de vaccination en Ontario, en dépit du fait que le premier ministre Trudeau s’est assis à côté de Cathay sans masque et sans inquiétude mardi matin.
Cathay a été priée de quitter les lieux comme si elle représentait une menace.
Cathay a été élue pour représenter ses électeurs.
Elle a été élue par près de 70 % des électeurs de sa circonscription. Choisie PAR les gens, pour être leur voix, elle a été retirée du parlement qui est censé être LEUR Chambre des communes.
Le Parlement n’appartient pas à Justin Trudeau. Il appartient au peuple canadien.
Vous devez regarder la conférence de presse de Cathay. Elle est pleine de vérité.
Puis demandez-vous si c’est le genre de Canada dans lequel vous voulez vivre.
J’ai également refusé de déclarer publiquement mon statut vaccinal, même à l’ancienne direction de notre parti. Cela m’a coûté une place dans notre cabinet fantôme. Défendre la confidentialité de mes soins de santé m’a également coûté d’autres opportunités.
Je suis fière d’être aux côtés de Cathay et de défendre la démocratie et le secret médical.
Quel sera le prochain motif d’exclusion au parlement, ne pas avoir divulgué son statut vaccinal par rapport à la « variole du singe » ?...
Naomi Wolf affirme que les injections covid provoquent une surmortalité chez les nouveau-nés et les enfants à naître
Naomi Wolf.
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Sunset Parkerpix/Wikimedia Commons
2 juin 2022 (LifeSiteNews) — L’écrivain féministe Naomi Wolf a lancé un avertissement sévère sur les effets voulus ou non des injections expérimentales d’ARNm COVID-19 : selon Wolf, elles provoquent une « mort des bébés » à grande échelle qui équivaut à un « génocide ».
Personnalité éminente qui ne se range ni dans le camp des pro-vie ni dans celui des pro-avortement, Mme Wolf a suscité la controverse lorsqu’elle a admis que l’avortement était un « mal », mais un « mal nécessaire » [elle est donc pro-avortement puisqu'elle considère l'avortement comme une nécessité].*
Sur la question du verrouillage des COVID-19 et des mandats de vaccination, cependant, Wolf a fermement pris le parti de l’opposition.
Dans un billet publié le 29 mai sur Substack, l’auteure et journaliste féministe de troisième vague ─ qui a été suspendue de Twitter l’année dernière après avoir tiré la sonnette d’alarme sur les perturbations du cycle menstruel associées aux injections contre le coronavirus ─ a mis en lumière une analyse en cours effectuée par une équipe de chercheurs qui passe au peigne fin les 55 000 documents de Pfizer divulgués par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis à la suite d’une décision de justice. Auparavant, la FDA avait demandé un délai de 75 ans avant de divulguer intégralement ces documents cruciaux.
Selon Naomi Wolf, les 3 000 « médecins, infirmières, biostatisticiens et enquêteurs hautement qualifiés sur la fraude médicale » affiliés à War Room de Steven Bannon et à Daily Clout, une société de médias cofondée par Naomi Wolf, « servent l’humanité en lisant ces documents et en les expliquant en termes simples ».
Après avoir souligné que, d’après les documents, Pfizer et la FDA savaient que les vaccins COVID-19 n’avaient pas réussi à prévenir les infections et avaient contribué à un grand nombre de réactions indésirables (dont 1 223 décès), Wolf s’est concentrée sur l’impact que les injections semblent avoir eu sur les femmes enceintes et allaitantes et leurs bébés.
La reproduction elle-même est ciblée, intentionnellement ou non, par les vaccins à ARNm
Selon la lecture que fait Wolf de l’analyse, la FDA et Pfizer savaient que l’ARNm, la protéine de pointe et les nanoparticules lipidiques contenues dans les injections expérimentales COVID « ne restaient pas au site d’injection dans le muscle deltoïde », circulent plutôt dans la circulation sanguine ─ et, pour les femmes, jusque dans les ovaires.
« Il peut en effet y avoir un génocide fortuit », a déclaré Wolf. « La reproduction elle-même est ciblée, intentionnellement ou non, par les vaccins ARNm. »
Lire la suiteLa ségrégation des personnes en fonction de leur statut vaccinal est tirée tout droit du programme d’Hitler
Par Jack Fonseca (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : tanaonte/Adobe Stock
25 mai 2022 (Campaign Life Coalition) — Cet article explique pourquoi Campaign Life Coalition (CLC) estime qu’il est absolument approprié, exact et véridique, sur la base des preuves, de décrire les passeports vaccinaux COVID et la ségrégation médicale comme un système de « style nazi ».
L’argument initial avancé par ceux qui pourraient s’opposer à l’utilisation de l’expression « style nazi » dans ce contexte est le suivant : Puisqu’il n’y a pas d’extermination de Canadiens non vaccinés, la comparaison ne devrait jamais être établie ! Après tout, Hitler a exterminé des millions de juifs, donc la « simple » suspension des droits civils des Canadiens n’atteint aucunement le niveau des chambres à gaz d’Hitler.
Cependant, un tel argument passe complètement à côté de l’essentiel.
Nous ne faisons pas une comparaison avec les mises à mort dans les chambres à gaz qui ont eu lieu vers la fin du régime nazi. Nous faisons plutôt une comparaison avec l’ostracisme social et l’exclusion de la vie économique dont les Juifs ont souffert pendant les premières années du nazisme, avant les camps de la mort.
Ces similitudes sont nombreuses et irréfutables. Des millions de Canadiens non vaccinés ont maintenant souffert d’ostracisme et n’ont pas été autorisés à participer à la société.
Les gens oublient qu’Hitler n’a pas commencé par les chambres à gaz et les fours crématoires. Il a terminé avec cela. À partir de 1933, les nazis ont commencé à appliquer des règles et des lois conçues pour provoquer l’ostracisme social et empêcher les Juifs de participer à la vie économique. L’extermination massive n’a commencé qu’en 1941, soit quelque huit ans plus tard.
En 1933, lorsque les Juifs ont « simplement » vu certains de leurs droits commencer à être restreints, l’objectif initial d’Hitler n’était pas le meurtre de masse. Les nazis espéraient plutôt forcer les Juifs à émigrer d’Allemagne et ils voulaient les exclure de la vie publique. Et bien sûr, il y avait un objectif politique : la campagne de discrimination et de diffamation donnait à Hitler un bouc émissaire parfait sur lequel rejeter tous les malheurs de la nation. Tout dictateur en herbe a besoin d’un bouc émissaire afin de concentrer la haine du peuple. Cela lui permet d’être perçu comme un sauveur de leur ennemi commun, puis de consolider son pouvoir.
Lire la suiteLe Dr Robert Malone, à la tête de milliers de scientifiques, demande la fin totale de la crise « orchestrée » du covid
Le Dr Robert Malone.
Par Patrick Delaney — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Robert Malone M.D./Telegram
18 mai 2022 (LifeSiteNews) — Un groupe de 17 000 médecins et scientifiques médicaux dirigé par le Dr Robert Malone a publié une déclaration affirmant que « l’état d’urgence médicale [COVID] doit être levé, l’intégrité scientifique restaurée et les crimes contre l’humanité jugés ».
Ce sommet mondial sur le covid se fait connaître sur son site internet comme « le produit d’une alliance internationale de médecins et de scientifiques, déterminés à dire la vérité au pouvoir sur la recherche et le traitement de la pandémie de covid ».
Présentée par le groupe lors d’une conférence de presse le 11 mai 2022, cette déclaration complète, brève et franche condamne « les politiques de santé publique désastreuses liées au COVID-19 » qui ont résulté « d’une alliance médicale corrompue d’institutions pharmaceutiques, d’assurances et de soins de santé, ainsi que des cartels financiers qui les contrôlent ». Cette alliance a été « protégée et soutenue par une alliance parallèle de grandes entreprises technologiques, de médias, d’universitaires et d’agences gouvernementales qui ont profité de cette catastrophe orchestrée ».
En outre, cette alliance corrompue a « compromis l’intégrité de nos sociétés médicales les plus prestigieuses », créant « une illusion de consensus scientifique en substituant la propagande à la vérité ». Elle avance « des affirmations non scientifiques en censurant des données et en intimidant et licenciant des médecins et des scientifiques pour avoir simplement publié des résultats cliniques réels ou traité leurs patients avec des médicaments éprouvés qui sauvent des vies », peut-on lire.
La déclaration poursuit en déplorant les résultats « catastrophiques » infligés à la santé et à la vie de personnes innocentes en raison de la rétention de « traitements critiques et urgents » et de l’imposition d’« injections forcées de thérapie génétique, qui ne sont ni sûres ni efficaces ».
Les destinataires des « quasi-vaccins » expérimentaux de thérapie génique COVID-19 ont également été privés du « droit humain fondamental » du « véritable consentement éclairé » car ils ont été « empêchés d’obtenir les informations nécessaires pour comprendre les risques et les avantages des vaccins, ainsi que leurs alternatives », déclare le rapport.
Les professionnels de la santé ont imputé les énormes dommages imposés par les blocages forcés aux « dirigeants de cette alliance » qui ont exprimé dans le livre COVID-19 : The Great Reset, leur intention claire de « tirer parti du COVID-19 comme d’une “opportunité” de réinitialiser l’ensemble de notre société mondiale, de notre culture, de nos structures politiques et de notre économie. »
Lire la suiteTrudeau est en train de transformer le Canada en État-prison confortable
Justin Trudeau.
Par David Solway (LifeSteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
12 mai 2022 (The Pipeline) — Dans un éditorial d’Epoch Times, Patricia Adams et Lawrence Solomon décrivent le Canada comme la plus grande prison du monde et le premier ministre Justin Trudeau comme « le plus grand gardien de prison du monde ». Dans un pays de 38 millions d’habitants, écrivent-ils en reprenant le Justice Centre Bulletin, 6 millions de citoyens non vaccinés n’ont pas le droit de voyager en train, en bateau ou en avion et sont effectivement empêchés de quitter le pays, ce qui revient à dire qu’une cohorte de plus de 15 % est prisonnière sur son propre sol.
Le budget fédéral de 2022 approuve le financement de trois années supplémentaires de maintien des mandats de vaccination pour les voyages : « Tous les voyageurs qui partent maintenant d’un aéroport canadien, qui empruntent un train de VIA Rail ou de Rocky Mountaineer, ou qui voyagent à bord d’un navire de croisière (ou d’un navire de passagers non essentiel pour des voyages de 24 heures ou plus) doivent être entièrement vaccinés, sauf exception très limitée. » Les non-vaccinés, comme on dit, peuvent aller se faire voir ailleurs. Mais le gouvernement Trudeau ne s’arrêtera pas à l’incarcération de facto de ses citoyens dissidents. Le registre des actes autoritaires s’allonge de jour en jour.
Le gouvernement a récemment adopté le projet de loi C-4, qui modifie le Code criminel afin de cibler ce que l’on appelle péjorativement et à tort la « thérapie de conversion », c’est-à-dire le droit des parents d’agir au nom du bien-être de leurs enfants en les conseillant contre la modification du genre et les traitements chimiques transgenres. Le gouvernement a affirmé que la thérapie de conversion reflète « les mythes et les stéréotypes concernant les communautés lesbiennes, gaies, bisexuelles, transgenres, queers et bispirituelles (LGBTQ2) » et que les pratiques qui « renforcent les idées hétéronormatives et cis-normatives... [sont] nuisibles ».
Ce document bizarre est formulé de manière à donner l’impression que l’orientation LGBTQ2 est en fait le statut sexuel par défaut. Protéger l’identité sexuelle biologique de ses enfants est désormais une infraction pénale, qui conduit à retirer les enfants de leur foyer et à les placer sous la tutelle de l’État, un acte de terreur totalitaire. Naturellement, les couples sans enfants sont épargnés par ce traumatisme ; beaucoup semblent indifférents ou ignorent même l’existence d’une telle atrocité.
Le gouvernement fédéral réfléchit à des projets de loi, tels que les projets de loi C-11 et C-18, également connus sous le nom de Lois sur la diffusion en ligne, analogues au Disinformation Governance Board (Conseil de gouvernance de la désinformation) récemment créé par le gouvernement américain, qui renforcera la réglementation d’Internet pour combattre ce que le gouvernement appelle commodément la « désinformation ». Les gens ne seront plus libres d’exprimer leurs convictions personnelles en ligne sans crainte d’annulation ou pire encore.
Lire la suiteQuelques observations sur le rapport du coroner sur les décès en CHSLD durant la « première vague » en 2020
Par Georges Buscemi, président de Campagne Québec-Vie
Le rapport du Coroner Géhane Kamel sur l’hécatombe dans les CHSLD lors de la « première vague » de la covid en 2020 vient de sortir. Ce rapport de plus de 190 pages contient plusieurs éléments valables pour les défenseurs de la vie.
Souvenez-vous qu’en fin de 2020 j’avais écrit une lettre ouverte à Mme Johanne Castonguay, Commissaire à la santé et au bien-être, concernant ce que je croyais être les véritables causes des décès en CHSLD. Je reproduis l’essentiel ici :
« À notre avis, les personnes vulnérables décédées au Québec ce printemps en nombre plus élevé que la normale ne sont pas uniquement, ni même pour la plupart, mortes d’un virus ayant un taux de létalité avoisinant celui d’une forte grippe saisonnière ; elles sont en majorité décédées pour d’autres raisons, parmi lesquelles :
-
une grossière négligence, provoquée entre autres par un manque criant de main-d’œuvre dans les établissements de soins de longue durée, lui-même suscité en grande partie par une campagne de peur médiatique qui a semé la panique chez les employés de ces centres ;
-
une situation de stress causée par l’isolement et les autres mesures sanitaires, affaiblissant le système immunitaire de personnes déjà très fragiles, et les rendant plus susceptibles de succomber à des maladies en temps normal relativement bénignes ;
-
une politique de “triage” des personnes aînées, leur refusant en une période de pandémie un accès à des services hospitaliers qui leur étaient habituellement accordés ;
-
une contamination des établissements pour personnes âgées par des personnes âgées malades qu’on a évacuées des hôpitaux (pour “libérer” 7000 lits, dont ceux de 1400 patients toujours malades), en anticipation d’une “vague” de malades plus “prioritaires” qui n’est jamais venue ;
-
une suspension de plusieurs interventions chirurgicales et autres, toujours afin de “libérer” des lits pour faire face à la crise, temps d’arrêt dans les soins qui a pu indirectement causer plusieurs décès ce printemps ;
-
la mise sur pied de protocoles à consonance euthanasiques ; »