Une ex-avorteuse explique pourquoi elle s’est détournée de l’industrie de l’avortement
Le Dr Catherine Wheeler.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/Facebook
24 janvier 2025, Washington, D.C. (LifeSiteNews) — Ancienne avorteuse devenue avocate pro-vie, Dr Catherine Wheeler, a révélé comment le Christ l’a sauvée de l’industrie de l’avortement.
Le 24 janvier, Mme Wheeler s’est adressée à des dizaines de milliers de pro-vie du monde entier lors de la 52e Marche nationale pour la vie à Washington, D.C., expliquant comment elle a pris conscience de la réalité de l’avortement au cours de son internat en médecine.
« Pendant mon internat, j’ai été initiée à l’avortement, en particulier pour les bébés ayant des besoins spéciaux, que nous aurions appelés anomalies et défauts de naissance », s’est-elle souvenue.
« Dans cette situation, on nous a dit que la femme avait le droit de choisir et que nous n’étions pas là pour juger », a-t-elle expliqué.
Lire la suiteZachary King — un ancien grand sorcier sataniste qui s’est converti après avoir vu la Vierge et le Christ
Zachary King.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Zachary King est un ancien grand sorcier de l’Église satanique mondiale. Il offrait notamment des avortements à Satan dans le cadre des cérémonies au cours desquelles il jetait des sorts. Un jour, il eut la vision de la Vierge Marie et du Christ et se convertit au catholicisme.
Depuis, il poursuit la mission que la Vierge lui a confiée, combattre l’avortement. Dans l’émission Carrément bien, sur YouTube, il explique quelles armes employer pour combattre l’avortement et le démon : le saint sacrifice de la messe et le chapelet.
Jordan Peterson affirme qu’il soutient pleinement la conversion de sa femme au catholicisme
Jordan Peterson.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
30 octobre 2023 (LifeSiteNews) — Jordan Peterson a révélé qu’il soutient pleinement la conversion de sa femme au catholicisme.
Lors d’une entrevue exclusive avec LifeSiteNews, l’éminent psychologue canadien anti-wokisme a partagé son point de vue sur sa femme, Tammy, qui se prépare à entrer dans l’Église catholique à Pâques.
« Tammy a développé une relation plus profonde avec son héritage chrétien depuis un certain temps et c’était une étape logique, appropriée et inspirée, que je soutiens pleinement », a-t-il déclaré à LifeSiteNews.
Tammy a annoncé publiquement sa conversion au catholicisme la fin de la semaine dernière. Tammy a découvert la beauté et la vérité du catholicisme au cours de sa lutte contre le cancer et une maladie débilitante.
En 2015, la santé de Tammy a commencé à décliner radicalement. À cette époque, elle a subi des biopsies, un scanneur ayant révélé une ombre sur son rein gauche. À la suite de ces examens, on a diagnostiqué chez Tammy un carcinome à cellules rénales et elle a subi une intervention chirurgicale pour retirer la moitié de son rein.
Tammy a ensuite souffert de complications, racontant à LifeSiteNews qu’au bout d’un mois, elle a « ressenti une douleur au flanc. Ce symptôme a ensuite été associé par biopsie à une tumeur de Bellini, une maladie mortelle. On m’a dit qu’il n’y avait aucune possibilité de traitement par chimiothérapie ou radiothérapie. On m’a dit que la chirurgie était ma seule option, que même cela était improbable et que mon pronostic vital était de 10 mois ».
Lire la suiteUn ancien avorteur partage son histoire de conversion : « Il est beaucoup plus courageux » de protéger la vie que de la tuer
Le Dr John Bruchalski.
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Le Dr John Bruchalski, ancien avorteur, fondateur de Divine Mercy Care (Soins de la Miséricorde divine) et auteur de « Two Patients : My Conversion from Abortion to Life-Affirming Medicine », s’est entretenu en exclusivité avec Lila Rose, présidente et fondatrice de Live Action. Il a partagé son histoire de conversion pro-vie et les sombres vérités de la lucrative industrie de l’avortement, ainsi que son espoir pour l’avenir.
M. Bruchalski a été élevé dans une famille catholique et pro-vie. Ils sont allés à la Marche pour la vie et son père a qualifié de « lundi noir » le jour où Roe v. Wade a été annoncé, le 22 janvier 1973. Mais, dit-il, sa mère et son père « ont confié notre formation au système éducatif ».
Et comme beaucoup d’entre nous dans les années 60, 70, 80, 90, 2000 et plus, on nous a présenté, vous savez, « Dieu est un grand Dieu. Il y a de nombreux chemins. Ne vous inquiétez pas. Dieu est un homme très aimant. Ne vous inquiétez pas. Il n’y a probablement pas de péché. Ne vous inquiétez pas », a-t-il déclaré.
Il a ajouté qu’il avait vécu une « vie tiède parce que la vérité et l’amour étaient devenus tièdes ».
Devenir gynécologue-obstétricien
Bruchalski est devenu gynécologue-obstétricien pour aider les femmes à vivre en bonne santé, mais on lui avait aussi dit qu’il y avait un problème de surpopulation. Pendant ses études de médecine, des professeurs de cabinets privés pratiquaient des avortements et permettaient aux étudiants de les regarder et d’y participer. Bruchalski voulait être le meilleur médecin possible, et il pensait que cela signifiait qu’il devait participer à des avortements.
Parlant du premier avortement qu’il a pratiqué, il a expliqué : « Je mets fin à la vie de la personne la plus innocente de notre famille humaine. Quand ils sont petits, ils ne se débattent pas beaucoup parce qu’ils n’ont pas encore de vrais os. Mais lorsqu’ils deviennent assez grands et que le calcium a pénétré ces os, il faut compter les parties du corps. Il s’agissait d’un de ces avortements... L’homme qui m’a enseigné cela m’a demandé à plusieurs reprises : “Êtes-vous sûr ?” »
Lire la suiteLe comédien JP Sears raconte comment les maux du monde l’ont rapproché du christianisme
L'humouriste JP Sears.
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
28 mars 2023 (LifeSiteNews) — Un humoriste connu pour ses satires qui donnent à réfléchir a embrassé les valeurs chrétiennes parce que le mal est devenu plus visible au cours des trois dernières années.
JP Sears, qui a maintenant 2,8 millions d’abonnés sur YouTube, s’est souvent moqué des personnes et des pratiques « spirituelles » au cours de sa carrière sur les médias sociaux, ce qui a rendu ses véritables croyances difficiles à discerner. Vendredi, cependant, M. Sears s’est ouvert sur la manière dont il avait autrefois délaissé la religion au profit de la « spiritualité » et a expliqué pourquoi il s’est depuis rapproché du christianisme.
Dans sa vidéo intitulée « I Changed My Mind About God - Here's Why » (J’ai changé d’avis sur Dieu — voici pourquoi), M. Sears admet qu’il avait auparavant « beaucoup de jugements sur la religion et le christianisme », les considérant comme « dépassés » et non évolués. S’il voyait l’utilité de la prière dans la mesure où elle favorise un état d’esprit positif, il ne croyait pas « vraiment » que Dieu répondait à la prière.
Toutefois, au cours des trois dernières années, Sears a changé d’avis en devenant « accidentellement plus chrétien » au cours des événements mondiaux associés à l’épidémie de covid.
« Je ne pense pas être le seul dans ce cas, car j’ai vu et entendu beaucoup de gens me raconter des histoires similaires... Pourquoi les gens deviennent-ils plus chrétiens ? »
« La présence du mal et de Satan, d’où émane le mal, n’a jamais été aussi évidente, du moins de mon vivant », a déclaré M. Sears à propos des trois années qui ont suivi l’apparition du covid-19.
« Le mal ne se cache plus », a poursuivi M. Sears. « Il s’attaque à nous par le biais de l’autoritarisme, de mouvements, de personnes, de groupes, d’entreprises, de gouvernements qui tentent d’envahir nos esprits, d’envahir le libre arbitre que Dieu nous a donné. »
Lire la suiteUn ex-gay est menacé d’emprisonnement et d’amendes pour avoir témoigné de son abandon de l’homosexualité
Matthew Grech.
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Christian Legal Centre
23 janvier 2023 (LifeSiteNews) — Un travailleur caritatif chrétien qui s’est détourné de l’homosexualité à la suite de sa conversion au Christ, a livré son puissant témoignage lors d’une émission de radio. Peu de temps après, les forces de l’ordre l’ont menacé d’une possible peine de prison et d’une forte amende pour avoir prétendument enfreint la loi de son pays interdisant les « pratiques de conversion » LGBT.
L’action du gouvernement maltais à l’encontre de Matthew Grech, 33 ans, serait la première du genre et elle est considérée comme un test par les groupes de défense de la liberté d’expression et les organisations chrétiennes qui visent à protéger les droits des anciens gays et lesbiennes à raconter leur histoire et à vivre librement sans être harcelés par les groupes LGBT. Certains de ces derniers affirment que l’enseignement chrétien sur le mariage et le débat sur les modes de vie LGBT doivent être traités comme des infractions pénales.
Le message de Grech est simple : il y a dix ans, il s’est converti au Christ, a réalisé que les actes sexuels en dehors du mariage homme/femme sont des « péchés » et a choisi librement d’abandonner la vie homosexuelle qu’il menait.
S’il est reconnu coupable, il risque jusqu’à cinq mois de prison et une amende de 5 000 euros.
Grech fait partie d’un nombre non négligeable d’anciens homosexuels et de transsexuels, hommes et femmes, qui se heurtent à l’opposition croissante des médias et du gouvernement lorsqu’il s’agit de raconter au public leurs histoires souvent héroïques.
Criminalisation des convictions chrétiennes
Le Christian Legal Centre (CLC), basé à Londres, qui participe à la défense de M. Grech, a expliqué l’importance de l’affaire judiciaire qui se profile :
Lire la suiteCe qui se passe à Malte sur ces questions a une portée internationale, car Malte est devenu le premier pays de l’Union européenne à interdire en 2016 ce que les groupes de pression LGBT décrivent comme une « thérapie de conversion ».
Infirmière dans une clinique d’avortement, elle partit et Dieu changea sa vie d’une manière miraculeuse
Martínez Gómez.
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
María Martínez Gómez a passé des années à travailler dans une clinique d’avortement, niant la réalité de ce qu’elle voyait.
Infirmière en Espagne, elle dit avoir reçu le baptême catholique, mais en grandissant, elle a commencé à mépriser la foi et tout ce qu’elle représente, selon Catholic News Agency.
Lors d’une conférence catholique qui s’est tenue en mai à Saint-Sébastien, en Espagne, Mme Gómez a expliqué pourquoi elle a abandonné son travail dans le domaine de l’avortement et comment Dieu a changé sa vie de manière miraculeuse.
Elle a déclaré que son travail à la clinique d’avortement la stressait ; elle passait ses journées à préparer des femmes pour des avortements chirurgicaux et à essayer de les réconforter par la suite. Mme Gómez dit qu’elle se mentait à elle-même et aux femmes au sujet des bébés à naître qui étaient avortés dans la clinique.
Elle se souvient qu’une fois, elle a cru voir le pied d’un bébé avorté, mais elle s’est convaincue elle-même que ce n’était qu’un caillot de sang, selon l’article.
Et ce n’est pas tout :
Gomez a expliqué que la clinique d’avortement prenait délibérément des mesures pour s’assurer que les femmes ne changeraient pas d’avis avant leur avortement. Les femmes étaient isolées de leur partenaire avant l’opération, afin de les « déconnecter de la réalité », et Gomez était chargée de leur tenir la main et de les maintenir calmes pendant l’avortement.
Après l’opération, elle raconte que les femmes étaient parfois si traumatisées qu’elles pensaient ne pas avoir encore subi l’avortement et la suppliaient d’empêcher l’opération. C’était le travail de Gomez de les informer qu’elles avaient, en fait, déjà avorté.
Elle a fini par démissionner à cause du stress lié à ce travail. Elle est retournée à l’école où elle a obtenu un diplôme de physiothérapie.
Lire la suiteUn grand nombre de musulmans se convertit-il après avoir eu des rêves et des visions du Christ ?
Par Kennedy Hall — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : doidam10/Adobe Stock
7 décembre 2021 (LifeSiteNews) — Dinesh D’Souza, un ancien conseiller politique dans l’administration du président Ronald Reagan, a déclaré dans l’édition du 29 novembre de son podcast qu’un « nombre substantiel » de musulmans se convertissent au christianisme en Afrique et au Moyen-Orient après avoir relaté des rêves et des visions étonnantes de Jésus-Christ.
Jésus est considéré comme un grand prophète dans l’Islam, mais non comme le Fils de Dieu qu’il s’est révélé être dans le Nouveau Testament. Le nom que les musulmans utilisent pour désigner Jésus dans un contexte musulman est « Isa ». Dans son émission, M. D’Souza a cité une série d’articles qui font état de témoignages de musulmans du monde entier affirmant qu’ils sont visités par « Isa » dans des rêves et des visions et qu’on leur dit de trouver une église, un pasteur et de lire la Bible.
Une multitude d’articles corroborent les déclarations de D’Souza, car les témoignages de musulmans ayant vu « Isa » dans leurs rêves abondent dans le monde entier. L’un de ces récits concerne un jeune Indien nommé Ali, qui affirme avoir reçu la visite de Jésus en rêve. La rencontre était apparemment si puissante qu’il a décrit ce moment comme un « tremblement de terre ». Il pense que Jésus lui a dit « J’ai besoin de toi », ce qui l’a incité à trouver immédiatement une église et un pasteur.
Le phénomène devient si courant qu’il existe un acronyme que les pasteurs et les fondateurs d’églises utilisent lorsqu’ils s’occupent de ces convertis ; on les appelle les « MBB » (Muslim Background Believers [Croyants d’origine musulmane]).
Il est courant que les groupes évangéliques qui travaillent dans les régions musulmanes du monde développent des méthodes spécifiques pour s’occuper des MBB en raison de la forte demande.
Lire la suiteDes catholiques australiens ont formé une procession du Rosaire lors d’un grand rassemblement pour la liberté
Procession du Rosaire organisée par des catholique lors d'une manifestation à Melbourne contre la dictature sanitaire.
Par Kathy Clubb (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Justin Beirouti
19 novembre 2021 (The Remnant) — Après une semaine agitée à Melbourne, les catholiques ont de nouveau participé en force à une procession publique du Rosaire, se joignant à un énorme rassemblement pour la liberté où plus de 50 000 personnes ont manifesté contre la vaccination obligatoire et la tyrannie du COVID.
Pour la troisième semaine consécutive, un groupe de catholiques de tout le Grand Melbourne a défilé de la cathédrale St-Patrick au Parlement, en priant le chapelet et en chantant des hymnes. Le groupe, qui ne comptait au départ que 60 membres, a décuplé en nombre au cours de la deuxième semaine, tandis que plus de 700 personnes ont participé au rassemblement de samedi dernier.
La procession était précédée par une statue de Notre-Dame de Fatima, qui a été transportée au milieu de la foule laïque. Agnostiques, athées et païens ont d’abord été surpris, puis ont applaudi, apparemment réconfortés par la vue d’une image de leur Mère céleste.
Le groupe catholique avait reçu des médailles de saint Benoît exorcisées, et certains les ont remises à des manifestants qui les ont reçues avec reconnaissance et attention. L’image de la Vierge a été reprise par plusieurs médias grand public ; l’un d’entre eux a parlé de « la Madone » et a diffusé des enregistrements audio des catholiques en train de prier et chanter.
La présence de catholiques aux rassemblements pour la liberté de Melbourne met en lumière la grave bataille spirituelle qui fait rage dans l’État fédéré australien de Victoria. Les catholiques attendent d’ailleurs qu’un de leurs évêques s’exprime contre une proposition de loi qui pourrait conduire à l’incarcération de ceux qui refusent les vaccins COVID. Le projet de loi sur les Pouvoirs en cas de pandémie permettrait au premier ministre Daniel Andrews, un catholique, de contourner le processus parlementaire, ce qui lui donnerait un pouvoir illimité sur ses citoyens au nom de la « santé ».
Lire la suite« Je tuais des bébés » : un avortement tardif amène la conversion pro-vie d’une ancienne travailleuse de l’avortement
Par Nancy FLanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Kathy Sparks Lesnoff, présidente-directrice générale de Mosaic Pregnancy & Health Centers dans l’Illinois, n’a pas commencé sa carrière en tant que militante pro-vie aidant les femmes pendant leur grossesse. Avant même d’avoir obtenu son diplôme universitaire, Mme Lesnoff travaillait dans l’industrie de l’avortement. Mais après avoir été témoin de l’avortement d’un bébé de 23 semaines, elle a su qu’elle ne pouvait plus justifier l’avortement.
Dans le cadre d’un baladodiffuseur « Problematic Women » pour le Daily Signal, Mme Lesnoff a raconté son histoire de conversion pro-vie, y compris les détails concernant son quasi-divorce et sa tentative de suicide. Elle avait fait des études pour devenir infirmière, et pendant ses années d’université, elle a épousé son mari Mike. Lorsqu’ils ont appris qu’ils attendaient un bébé, Mme Lesnoff a pris un congé scolaire et a décidé de trouver un emploi pour rembourser sa dette d’études. Un ami lui parle d’un poste d’assistant médical vacant dans un grand centre d’avortement. L’emploi consiste notamment à fournir une assistance aux opérations d’avortement. Bien qu’elle ait été élevée dans un foyer plus conservateur, elle est devenue « très, très pro-avortement » et pense qu’elle aidera les femmes en travaillant là-bas.
« Ils m’ont engagée pour assister les médecins pendant la procédure d’avortement, mais j’ai pu être formée dans tous les domaines de la clinique », a-t-elle déclaré. « Je répondais au téléphone, j’assistais aux séances de conseil, à la salle de nettoyage, à la salle de réveil, à tout. J’ai donc été témoin de tout, du début à la fin de l’expérience vécue par la femme. Bien que, encore une fois, je n’ai été engagée que pour les assister pendant la procédure proprement dite ».
Lesnoff a expliqué que l’établissement effectuait « un minimum de 40 avortements les jours de semaine et 60 le samedi ». L’établissement était autorisé à pratiquer des avortements du premier trimestre, et il allait jusqu’à pratiquer 10 avortements supplémentaires par jour s’il le pouvait, car, comme elle l’a expliqué, « nous ne voulions pas qu’elles changent d’avis, que leurs parents le découvrent et changent d’avis pour elles, ou qu’elles traversent le Mississippi pour se faire avorter dans l’État du Missouri ».
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