Le comportement d’un avorteur face à un pro-vie
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : capture d'écran de la vidéo— Mise à jour, 12 février 2019
Remarquez que cet aimable avorteur acquiesce quand on lui dit qu'il tue des bébés (à naître) et menace le pro-vie filmant avec une paire de ciseaux. Cette scène se déroule en 2016 devant les bureaux d'un avortoir où l'avorteur, Robert J. Santella travaillait à l'époque.
Très significatif non ? En tout cas, si ce n’est de l’humour noir de mauvais goût de la part de l’avorteur, on peut bien se demander ce qu’il a. J’aurais crainte s’il fallait passer par les mains de ce médecin. En fait, le comportement de l’avorteur à l’égard du pro-vie est très condamnable et il est étrange que les gardiens de sécurité ne soient pas venus lui dire leur façon de penser sur ses manières pour le moins agressives, l'un d'eux rigole même.
J'ai trouvé la vidéo sur le compte Twitter de Paul Joseph Watson, on peut aussi la voir dans un article plus complet au sujet de Robert J. Santella ; celui-ci est mort l'an dernier.
En partie grâce au « vieil homme du trottoir » Amy a choisi la vie pour son enfant
Par Kelli (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Les conseillers de trottoirs sont les héros non reconnus au front du mouvement pro-vie. Du 22 au 23 juillet, les 40 Jours pour la Vie tienne leur Symposium d'été 2018 sur la sensibilisation dans les rues. C’est donc le temps parfait pour célébrer le travail courageux des conseillers, qui touchent la vie d’innombrables femmes en leur offrant de l’aide et de l’espoir dans une période de crise de leur vie. Grâce à eux, plusieurs femmes choisissent — et continuent de choisir — la vie pour leurs bébés.
Lire la suiteUne femme, Amy Blackwell, a récemment partagé son histoire sur les médias sociaux, faisant l’éloge de son héros personnel, « le vieil homme du trottoir ». Elle a raconté sur Facebook la journée où elle est allée à une clinique d’avortement pour une consultation et pendant laquelle elle a eu une rencontre qu’elle n’oubliera jamais :
Je l’ai rencontré aujourd’hui ! Qui ? Le vieil homme du trottoir. Il y a sept ans, je suis allée à la clinique pour femmes Hope Medical Group. Cet homme était sur le trottoir (ils appellent ça le ministère des trottoirs. Ils prient et essaient de parler aux femmes se dirigeant vers les cliniques d’avortement.)
Il s’est retourné et m’a regardé. J’ai vu sa bouche bouger et dans ses mains se trouvait un chapelet. Il me regardait avec un regard triste et je voyais dans ses yeux un grand désir de me parler. J’étais assise dans ma voiture, pleine de honte, pour ce qui m’a semblé être une heure, mais c’était en fait environ dix minutes. Il s’est finalement retourné et je me suis précipitée en dehors de la voiture. L’Esprit Saint travaillait, j’étais une boule de nerfs pendant ma consultation…
Une femme ne se rend pas à l’avortoir après avoir appris que le cœur de son bébé battait
Par Kelli (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : PxHere (photo rognée)
Une nouvelle vidéo de Created Equal montre une femme enceinte se rendant à un centre d’avortement considéré par beaucoup de pro-vie comme étant le « plus dangereux » du pays — et reconsidérant sa décision d’avorter son bébé.
L’équipe d’Equal’s Road Trip for Life était sur le site de Planned Parenthood de la région de Saint-Louis, qui est actuellement le seul fournisseur d’avortement du Missouri. Cet établissement a envoyé un grand nombre de patientes à l’hôpital — plus de 67 depuis 2009. (Un commentateur de la vidéo YouTube de Created Equal affirme que le 2 novembre 2018, l’établissement a envoyé sa 70e patiente à l’hôpital en ambulance.) Ils y ont rencontré une mère enceinte qui avait quatre autres enfants à la maison et craignait qu’elle n’ait pas les ressources nécessaires pour s’occuper d’un autre bébé. Mais lorsque Sam, le bénévole de Created Equal, s’est calmement et respectueusement adressé à la femme et lui a exposé des faits sur le développement de son bébé, elle s’est arrêtée, choquée par ce qu’on lui disait.
Sam lui a dit : « Beaucoup de gens ne savent pas... que ceux-ci [les enfants à naître] ont un cœur qui bat à 16 jours. Ils ont des mains, des membres, des pieds, des yeux comme les vôtres, et un nez comme le vôtre... »
« Vous dites à 16 jours. Redites-le-moi encore une fois, » répondit-elle.
« À 16 jours, ils ont un cœur qui bat », répéta-t-il.
Lire la suiteElle se serait fait avorter si un message d'espoir ne l’avait arrêtée
Par K.V. Turley — traduit par Campagne Québec-Vie
Londres, 5 juillet, 2018 (LifeSiteNews) — Une journée d’hiver en 2009, une jeune femme roumaine marchait le long d’une rue de Londres en direction d’une clinique d’avortement.
Elle était enceinte de 8 semaines.
Les semaines précédant sa décision d’aller là avaient été traumatisantes.
Le 3 octobre, elle avait découvert qu’elle était enceinte. Elle avait téléphoné au père de son enfant, la réponse de celui qui était son « copain » à l’époque avait été immédiate : « “Tu dois avoir un avortement.” ». Mais elle n’en voulait pas. Instinctivement, elle savait que c’était mal et elle souhaitait poursuivre sa grossesse.
Elle insista davantage : « Est-ce que tu vas être un père pour cet enfant ? ». Elle était troublée. Il lui a alors dit quelque chose qu’elle ignorait : « Je ne peux pas avoir un autre enfant. ». Avec cette nouvelle information, la femme enceinte comprit qu’elle était toute seule, et de plus d’une façon. Lorsqu’il réalisa qu’elle allait continuer sa grossesse, il commença à se moquer de sa situation au téléphone.
Quelques semaines plus tard, le même « copain » réapparut dans la vie de cette femme, cette fois-là avec son cousin. Ensemble, ils essayèrent de la convaincre de se faire avorter.
Lire la suiteUn ancien sataniste déclare avoir pratiqué des rituels dans des avortoirs
Par Michael Hichborn (LifeSiteNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Le 9 septembre 2015 (LepantoInstitute) – À la lumière de vidéos récemment publiées révélant le trafic d’organes et de tissus d’enfants à naître auquel se livre Planned Parenthood, le Lepanto Institute a interviewé Zachary King, ancien grand sorcier sataniste. M. King a grandi normalement, dans une famille baptiste américaine. Il commence à pratiquer le spiritisme à l’âge de 10 ans, intègre un convent sataniste à 13 ans et a déjà enfreint les Dix Commandements divins à 15 ans. Il monte les échelons jusqu’à atteindre le rang de grand sorcier du convent à l’âge adulte et a activement contribué à faire avancer le dessein de Satan, ce qui inclue la pratique d’avortements rituels. Dans un livre qu’il est en train d’écrire, intitulé « Abortion is a Satanic Sacrifice » (L’avortement est un sacrifice satanique), il relate ses expériences.
L.I. — Zac, vous avez une histoire peu commune à raconter. Pourriez-vous nous dire comment vous êtes tombé dans le satanisme ?
King — Cela a commencé par une forte curiosité, je me demandais si la magie était réelle. Je me suis posé la question après avoir vu des films sur la sorcellerie et les sorciers en 1970 quand j’étais jeune. On jouait à un jeu à l’école (...) Chaque fois que mon groupe s’y adonnait, nous voyions un visage démoniaque dans le miroir. Nous n’avions aucune idée de ce que c’était, c’est juste que tout à coup cette chose effrayante apparaissait dans le miroir et que tous mes camarades sortaient des toilettes en courant, morts de peur… sauf moi. Je pensais que c’était plutôt génial. Maintenant, en même temps que je faisais cela, je jouais à des campagnes de Donjons et dragons tous les week-ends et je prenais toujours le rôle du magicien ou du sorcier. En fin de compte, je me demandais si je pouvais faire de la magie pour de vrai alors j’ai essayé deux fois de jeter un sort pour obtenir de l’argent. Cela a marché à chaque fois, mais ç’aurait pu aussi bien être une coïncidence, du coup j’ai essayé une troisième fois, et cette fois-ci, j’avais jeté le sort devant le démon des toilettes (...) et j’ai pensé à enchérir un peu pour voir ce qui arriverait. J’ai gagné 1000 dollars le lendemain. Depuis ce jour, j’étais convaincu que la magie était réelle.
Lire la suiteNous avions 100 raisons pour choisir l’avortement, mais mon copain et moi avons choisi la vie
Par Live Action News traduit par Campagne Québec-Vie
La gynécologue a mis sa main sur la mienne et m’a annoncé que j’étais enceinte. J’étais en état de choc. Je ne pouvais pas avoir un bébé en ce moment, avec tout ce qui se passait dans ma vie – une grande charge de travail, l’état de santé de ma mère, et peut-être un mariage dans le futur. Et je pouvais compter 100 autres raisons pour ne pas avoir un bébé.
Mon copain Dan et moi avions été élevés dans des familles chrétiennes. Et bien que nos parents nous aimaient et étaient pour nous un grand soutien, personne ne serait très heureux de voir apparaître un bébé à ce moment de nos vies, et avant notre cérémonie de mariage. On nous avait appris à faire les choses « comme il faut », et nous savions que cette grossesse ne rentrait pas dans cet ordre des choses. Jusqu’à ce jour, je jouais le rôle de la « fille idéale » et de la « Chrétienne idéale ».
Lire la suiteUn évêque espagnol baptise 11 bébés sauvés de l’avortement par des activistes pro-vie
Par Matthew Cullinan Hoffman (LifeSiteNews) - traduit par Campagne Québec-Vie
15 juin 2016 – L’évêque du diocèse espagnol de Getafe, Joaquín María López de Andújar, a baptisé samedi passé 11 bébés “sauvés de l’avortement” grâce au travail des Secouristes Jean-Paul II et de l’organisation pour les grossesses non désirées, Un Avenir Meilleur.
Les Secouristes Jean-Paul II cherchent à convaincre les femmes qui visitent les cliniques d’avortement à poursuivre leur grossesse; Un Avenir Meilleur de son côté procure le logement, l’éducation et l’instruction religieuse catholique à celles qui vivent des grossesses non désirées. Cette organisation prodigue également des conseils aux femmes traumatisées par des avortements passés. Actuellement, ils s’occupent de 350 femmes âgées de 13 à 42 ans. Depuis le début de leurs activités, ces groupes ont sauvé plus de 1000 enfants à naître.
Lire la suite«Vos prières m‘ont sauvée »: une petite fille s’adresse aux défenseurs de la vie
Par Alexandra Liebl de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Environ 10 000 vies ont été sauvées de l'avortement grâce aux efforts de prière de la campagne « 40 jours pour la vie » de David Bereit. Leah, une fillette de 4 ans, est l'une de ces vies.
Âgée de 19 ans et enceinte, la mère de Leah avait peur et envisageait sérieusement l'avortement. Elle fut témoin d’une vigile de 40 jours pour la vie, lorsqu’elle se rendait à une clinique d’avortement. Émue aux larmes par la puissance submergeante de la prière, la mère de Leah a choisi la vie.
Lire la suiteCet homme passe toutes ses journées en face de cette clinique d'avortement, et il a sauvé des centaines de vies
Par Jonathon Van Maren de LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Parmi les nombreux héros pro-vie que j’ai eu le privilège de rencontrer, l’un d’entre eux a retenu mon attention par son humilité totale et son dévouement sans relâche. Son nom est John Barros, et pendant dix ans, il s’est tenu debout en face d'une clinique d'avortement à Orlando, en Floride, interpellant les femmes et les filles qui en franchissaient les portes, les suppliant de changer d’idée, les implorant de ne pas avorter leur bébé. Des centaines l’ont écouté.
J’étais avec une équipe de bénévoles : des étudiants qui débattaient devant un présentoir pro-vie sur le campus de l'Université de Floride Centre. John Barros est passé à notre stand, et nous avons décidé que la veille de notre départ de Floride nous irions nous joindre à John à l'extérieur de la clinique d'avortement.
Lire la suiteComment une panne de voiture et la prière ont sauvé la vie de mon bébé à naître
par Susanna Rose, traduit par Campagne Québec-Vie
WEST CHESTER, Pennsylvanie, 7 février 2014 (LifeSiteNews.com) — Une femme qui songeait à l’avortement raconte que Dieu a utilisé une panne de transmission et les prières ferventes des conseillers de trottoir pour les empêcher, elle et son mari, d’avorter leur fils de 18 semaines.
Cartier, 21 ans, et son mari vivent dans un logement social du gouvernement, en Pennsylvanie. Ils avaient déjà quatre enfants lorsque Cartier a découvert qu'elle était de nouveau enceinte et elle craignait qu'ils ne soient expulsés de leur appartement en raison de la limite d'occupation de six personnes. Ils ont décidé d'aller à une clinique de Planned Parenthood à West Chester, près de Philadelphie, pour un avortement.
Il s’agissait d’un deuxième avortement pour Cartier, qui a subi le premier en 2012. Comme elle l’a dit à Christian News Network, « Je suis allée à Planned Parenthood parce que j’étais coincée dans mon propre monde à faire tout ce que je voulais. J'étais en train d’aller chercher un autre avortement. »
Quand elle et son mari sont arrivés à la clinique d’avortement, les conseillers de trottoir étaient à l'extérieur en train de prier et prêts à offrir des alternatives aux femmes. Cartier dit qu'elle et son mari ont évité les conseillers quand ils sont entrés.
Une fois à l'intérieur, Cartier a bientôt découvert qu'elle ne pouvait pas avoir un avortement à la clinique de West Chester, car elle était déjà enceinte de 18 semaines. Elle devrait aller à une autre clinique, à Cherry Hill au New Jersey, à la place.
Environ une heure après leur arrivée, la conseillère de trottoir Mary Ellen Caris se rappelle avoir vu le couple sortir du bâtiment. Ils sont montés dans leur auto, prêts à faire la route jusqu’au New Jersey ; mais tout à coup, la transmission de la voiture est tombée en panne, juste devant les conseillers de trottoir. Le mari de Cartier a réussi à la redémarrer et à tourner le coin, mais la voiture a rendu l’âme une fois de plus et n’a plus bougé.
Cartier et son mari n’en revenaient pas. Ils venaient de dépenser 500 $ en réparations sur la voiture la semaine précédente et ils n’auraient pas dû avoir ces problèmes.
Cartier a raconté : « Tout le temps que mon mari et moi étions dans l’auto, nous n’arrêtions pas de nous dire : “Et si c'était Dieu? Et s’il était en train de nous dire quelque chose?’’ »
Les conseillers ont offert de ramener le couple à la maison, mais leur ont fait promettre de visiter d'abord le Centre de services aux femmes du comté de Chester à Coatesville, en Pennsylvanie. Cartier a accepté, un peu à contrecœur; et bientôt ils étaient en chemin.
Beaucoup de prières ont été dites pour le couple pendant qu’ils arrivaient. Lisa Thomas, la directrice du centre des femmes, a parlé à Cartier dans son bureau. Soudain, Cartier a fondu en larmes. Elle a décidé d’envoyer un message texte à sa mère pour lui dire qu'elle était enceinte et elle a été surprise de recevoir une réponse la félicitant. Cartier ne s'attendait pas à une réponse positive.
Après l’échographie, Cartier a su qu'elle ne pouvait pas choisir l'avortement. Elle dit à son mari : « Oh mon Dieu, je ne peux pas faire ça. »
La logistique pour garder leur bébé semblait ardue. Ni Cartier ni son mari n’avaient d’emploi. Et maintenant, ils n'avaient même plus de véhicule.
Donc, ils ont prié pour que Dieu réponde à leurs besoins.
L’aide concrète est venue rapidement. Ils ont reçu une camionnette quand quelqu'un a entendu dire que leur voiture était hors d’usage. Cartier a reçu un appel disant qu’une personne de l'église qu’ils avaient commencé à fréquenter voulait que l'église bénisse leur bébé. « Tout ce que vous avez à faire c’est de venir, et les gens vont vous acheter tout ce dont vous avez besoin pour le bébé », a-t-on dit à Cartier.
Le couple a continué à recevoir de l'aide. « Chaque fois que nous n'avons plus de nourriture dans notre maison, quelqu'un nous apporte de l'épicerie », dit Cartier. « Chaque fois que nous pensons : “Comment allons-nous nous rendre là?”, parce que nous n'avons plus d’essence dans la voiture, quelqu'un dit : “Oh, l'église vous donne une carte d'essence, pour que vous puissiez mettre de l'essence dans votre voiture.’’ »
Bébé Roman est né le 4 décembre. Cartier et son mari, qui sont devenus des chrétiens « nés de nouveau », disent qu'ils doivent tout à des contretemps miraculeux et à l'amour de Son peuple.
La conseillère Mary Ellen Caris a ce mot d’encouragement pour les chrétiens qui veulent prendre soin de ceux qui envisagent l'avortement : Dieu travaille dans le cœur des gens pour lesquels nous prions pour qu’ils soient prêts à accepter l'aide qui leur est offerte. « Et même s’il est très important de prier dans nos coins de prière, nos maisons et nos églises au sujet de l’avortement, être présent physiquement aux portes de l'enfer est indéniablement l'une des choses les plus puissantes que vous puissiez faire », dit-elle.