Mgr Carlo Maria Viganò : se préparer à Pâques au temps de la dictature sanitaire
Par Léo Kersauzie (Médias Presse Info) ― Photo : Herman du Toit/Religious Studies Center/Wikimedia Commons
L’archevêque Carlo Maria Viganò a écrit la réflexion suivante en préparation de Pâques à la demande de Catholic Family News.
*
Si iniquitates observaveris, Domine :
Domine, quis sustinebit ?
Ps 129 : 3
Mors et vita duello
conflixere mirando.
L’année dernière, par une décision aussi incompréhensible que misérable, pour la première fois de l’ère chrétienne, la hiérarchie catholique a imposé des limites à la célébration de Pâques, à la suite de la narration dominante de la pandémie. Beaucoup de fidèles, contraints par des mesures de confinement aussi manifestement inutiles que contre-productives, ont pu s’unir spirituellement au Saint Sacrifice, en assistant aux fonctions liturgiques par ordinateur. Un an plus tard, rien n’a changé par rapport à l’époque, et on entend répéter une fois de plus qu’il faut se préparer à un nouveau confinement afin de permettre à la population d’être soumise à un sérum génétique expérimental, imposé par le lobby pharmaceutique malgré qu’ils ne savent pas quels effets secondaires à long terme il peut y avoir. De nombreux pays commencent à interdire leur utilisation, en raison des décès suspects consécutifs à l’inoculation ; tandis que, malgré la campagne acharnée du terrorisme médiatique, les traitements de base se révèlent efficaces et capables de réduire drastiquement le nombre d’hospitalisations et, par conséquent, le nombre de décès.
En tant que catholiques, nous sommes appelés à comprendre combien, pendant plus d’un an, toute l’humanité a été forcée de subir au nom d’une urgence qui — selon les données officielles en main — a causé un certain nombre de morts qui n’est pas différent de celui des années précédentes. Nous sommes appelés à comprendre, avant même de croire : parce que si le Seigneur nous a dotés d’une intelligence, il l’a fait pour que nous l’utilisions pour reconnaître et juger la réalité qui nous entoure. Dans l’acte de foi, le baptisé ne renonce pas à sa propre raison dans un fidéisme acritique, mais accepte plutôt ce que le Seigneur lui révèle, s’inclinant devant l’autorité de Dieu, qui ne nous trompe pas et qui est la Vérité elle-même.
Notre capacité d’intus legere des événements nous préserve, à la lumière de la Grâce, de nous engager sur la voie de cette sorte d’irrationnelle imprudence dont font preuve ceux qui jusqu’à hier célébraient la science comme l’antidote nécessaire à la « superstition religieuse » et qui aujourd’hui célèbrent les soi-disant « experts » en tant que nouveaux prêtres de la pandémie, niant les principes les plus élémentaires de la médecine moderne. Et si pour le chrétien un véritable fléau est un appel salutaire à la conversion et à la pénitence pour les fautes des individus et des nations, pour les initiés de la religion de la santé, on dit que le syndrome de la grippe traitable est le cri de la Terre-Mère violée par l’humanité — une belle-mère Nature, vers laquelle beaucoup se tournent avec les mots de Leopardi : Pourquoi ne gardes-tu pas si tu le promets, pourquoi trompes-tu les enfants qui croient en toi ? Nous nous rendons compte que la cruauté tribale, la force primitive comme un virus planétaire qui voudrait nous exterminer, ne réside pas dans la Nature, dont le Créateur est l’admirable architecte, mais plutôt dans une élite soumise à l’idéologie mondialiste, qui d’une part veut imposer la tyrannie du Nouvel Ordre Mondial, et d’autre part, pour maintenir le pouvoir, récompense généreusement ceux qui se mettent à son service. Les rebelles, ceux qui résistent, sont à l’inverse anéantis dans leurs possessions, privés de liberté, contraints de subir des tests peu fiables et des vaccins inefficaces au nom d’un bien supérieur qu’ils doivent accepter sans aucune possibilité de dissidence ou de critique.
Lire la suiteManifestation et chapelet pour la messe devant l’Assemblée nationale du Québec
Manifestation pour la messe devant l'Assemblée nationale du Québec.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Le dimanche 14 mars 2021, une centaine de personnes se sont réunis devant l’Assemblée nationale du Québec pour y prier un chapelet en signe de protestation contre les fortes et injustes restrictions auxquelles la messe est soumise. Cet événement est le quatrième depuis le début de l’année d’une série de protestations organisées par la Milice de Marie.
À cette occasion, l’Abbé Raphaël d’Abbadie a prononcé un discours dans lequel il dénonce la révolution anti-humaine que mène la dictature sanitaire actuelle. Je vous invite à le lire ci-dessous, tel qu’il paraît sur le site de la FSSPX.News :
Chers amis,
Nous voici réunis pour un quatrième chapelet public devant le Parlement, afin de demander la libération de la messe de toujours. Cette fois, nous sommes dans l’action de grâces et notre joie est grande puisque désormais cent personnes peuvent assister à la messe. Alors pourquoi, me direz-vous, revenir encore puisque le Gouvernement se montre si généreux ? Si vous le voulez bien, nous allons rappeler brièvement les faits.
Le 6 janvier dernier, le Premier ministre décrétait la fermeture des lieux de culte, au moins jusqu’au 8 février. Dix jours plus tard, nous récitions ici, devant le Parlement, un chapelet pour réparer publiquement cette grave injustice. Et contre toute attente, le ministre de la Santé signait discrètement, le 21 janvier, une autorisation d’ouvrir les lieux de culte pour 10 personnes. Première victoire, humble certes, mais bien réelle ! Cependant, le Premier ministre, M Legault, précisait que cette autorisation valait pour tout un bâtiment, et ne permettait pas de multiplier les fidèles par le nombre de salles disponibles. Nous sommes donc retournés le 31 janvier, notre chapelet à la main, devant le Parlement. La deuxième victoire ne se fit pas attendre : une décision judiciaire autorisait ce que le M Legault venait de refuser ! Cela ne pouvait que nous encourager à continuer nos chapelets publics, ce que nous fîmes le 20 février. Cette fois, il n’y eut pas de victoire immédiate… Le bon Dieu voulait nous faire patienter pour mieux nous exaucer. Ce n’était plus dix ou même vingt-cinq personnes que l’on autorisait, mais cent ! Allions-nous nous arrêter en si bon chemin ? Certainement pas ! Dans ce genre de combat, la trêve est une défaite. Pourquoi ?
Je voudrais essayer d’analyser avec vous cette crise qui nous touche depuis un an. Nous ne voulons pas nier l’existence du virus, ni sa nocivité pour certaines personnes. Mais les mesures extrêmes qui bouleversent le monde entier nous paraissent présenter les aspects d’une véritable révolution, même si celle-ci vient du pouvoir en place.
Lire la suiteLe président de la Tanzanie, John Pombe Magufuli, qui refusait le vaccin covid et s’attirait les foudres de Bill Gates et de l’OMS, est décédé
Le défunt président de la Tanzanie, John Pombe Magufuli.
Par Nsango ya Bisu (Médias Presse Info) ― Pour les sources et les liens, référez-vous à l'article d'origine
Tanzanie — Après avoir passé l’année dernière à contester le récit mondial sur le COVID-19, les confinements et les vaccins, le président tanzanien John Pombe Magufuli a été déclaré mort le 17 mars à 61 ans. Plusieurs mystères entourent les circonstances de son décès.
L’annonce officielle du décès du Président de Tanzanie a eu lieu le 17 mars, lorsque la vice-présidente Samia Suluhu Hassan a révélé au cours d’un discours télévisé à la nation la mort de Magufuli. « Chers Tanzaniens, il est triste d’annoncer qu’aujourd’hui, 17 mars 2021, vers 18 heures, nous avons perdu notre courageux chef, le président John Magufuli, décédé d’une maladie cardiaque à l’hôpital Mzena de Dar es-Salaam où il était soigné », a proclamé Hassan.
Samia Hassan a déclaré que le président Magufuli avait été admis à l’hôpital le 6 mars mais en était sorti le lendemain. Une semaine plus tard, il a été de nouveau pris en charge pour sa maladie cardiaque, qui, selon Hassan et les autorités gouvernementales, était la cause de sa mort.
Le président Magufuli a fait la une des journaux pour avoir défié le récit mondial et refusé la réponse au COVID-19 souhaitée par les instances internationales. Le Président avait refusé la fermeture des églises, appelant au contraire les gens à prier Dieu au lieu d’avoir peur, et rassurant les autres catholiques que le virus ne serait pas transmis par la Sainte Eucharistie. « Le coronavirus ne peut pas survivre dans le corps eucharistique du Christ ; il sera bientôt brûlé », avait-il dit.
Contrairement à la majorité du monde occidental, Magufuli avait refusé de confiner le pays, et le pays n’a signalé aucune information sur le COVID-19 à l’Organisation mondiale de la santé (OMS) depuis le 29 avril 2020. En juin, Magufuli avait déclaré que le pays avait éradiqué le virus.
Lire la suiteLe pasteur James Coates, qui a enfreint les limites imposées aux églises, sera libéré de prison !
James Coates.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : GraceLife Church of Edmonton/YouTube
Le Pasteur évangélique James Coates, qui avait dépassé la limite de 15 % de capacité d’accueil imposée aux églises en Alberta, sortira bientôt de prison où il restait faute de vouloir se conformer aux conditions de libération sous caution, qui exigeaient de lui qu’il promît de ne pas tenir dorénavant de service religieux en attendant son procès — lequel aura lieu du 3 au 5 mars. La Couronne a abandonné la plupart des charges dont il était inculpé et ne lui demande plus que de payer 100 $ comme condition de libération, rapporte LifeSiteNews :
« Le Justice Centre annonce aujourd’hui que les procureurs de la Couronne ont accepté d’abandonner tous les chefs d’accusation, sauf d’infraction à la Loi sur la santé publique dont le pasteur James Coates a été chargé. Le Justice Centre s’attend à ce que le pasteur Coates soit libéré de prison dans les prochains jours, sans aucune condition, en attendant son procès qui aura lieu du 3 au 5 mai devant la Cour provinciale », déclare l’équipe juridique de M. Coates, le Justice Centre for Constitutional Freedoms (JCCF), dans un communiqué de presse.
M. Coates et son église Grace Life Church, située à Spruce Grove en Alberta, sont représentés par le JCCF. La nouvelle d’aujourd’hui survient quelques semaines seulement après qu’un juge de la cour de l’Alberta eût rejeté, le 5 mars, un appel contre les conditions de libération sous caution de M. Coates, sous lesquelles il serait resté derrière les barreaux jusqu’à la date de son procès.
M. Coates est emprisonné depuis le 16 février au centre de détention provisoire d’Edmonton pour avoir enfreint les décrets sanitaires covids locaux en Alberta, ayant refusé d’accepter les conditions de sa mise en liberté sous caution qui sous lesquelles il doit n’accepter de ne pas tenir de services religieux, dans un contexte de confinement coronavirus lourd.
[…]
« Les procureurs ont également accepté de retirer la charge criminelle liée à la condition imposée par la GRC le 7 février, et ont plutôt inculpé le pasteur Coates de 100 $ pour non-conformité aux conditions, somme que le pasteur Coates a accepté de payer », déclare la JCCF.
La JCCF déclare dans son communiqué de presse que la seule charge restante contre Coates « n’a pas été retirée », car l’équipe juridique et Coates veut « que l’affaire soit entendue lors d’un procès, afin de déterminer la constitutionnalité du décret de santé publique selon lequel les églises ne peuvent organiser des services religieux qu’à 15 % de leur capacité, et d’obliger le gouvernement à produire des preuves scientifiques qui pourraient soutenir ces violations des libertés garanties par la Charte ».
L'exercice épidémique Event 201 d'octobre 2019, organisé par Bill Gates, sur une pandémie de coronavirus et des mesures sanitaires…
Bill Gates.
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits)
Je vous propose ci-dessous ma rapide traduction d’une tribune de Robert F. Kennedy, de Children’s Health Defense aux Etats-Unis, reproduite par LifeSiteNews. D’après les enregistrements en ligne de l’Event 201 par lequel Bill Gates et d’autres s’étaient livrés à une simulation d’une pandémie meurtrière de coronavirus… en octobre 2019, il souligne qu’à l’époque on s’interrogeait sur la nécessité de surveiller les réseaux sociaux et bloquer les critiques des vaccins qui permettraient de mettre fin à la pandémie.
L’ensemble offre des similitudes troublantes avec ce qui se passe aujourd’hui. – J.S.
*
Au cours des deux dernières semaines, Facebook et d’autres sites de réseaux sociaux m’ont banni, ainsi que de nombreux autres opposants à la corruption officielle et aux politiques de santé publique autoritaires. Voici donc de quoi nourrir ceux d’entre vous qui avez le sentiment étrange que la réponse du gouvernement et de l’industrie à la pandémie semble avoir été planifiée – avant même qu’il y ait une pandémie.
Le document ci-joint [retranscription en anglais des débats lors de l’Event 201] montre qu’une cabale d’individus puissants a effectivement commencé à planifier l’éviction massive des sceptiques vis-à-vis des vaccins des réseaux sociaux dès octobre 2019, une semaine ou deux avant que le COVID ne commence à circuler. C’est en octobre que le fondateur de Microsoft, Bill Gates, a organisé un exercice de quatre simulations théoriques d’une pandémie mondiale de coronavirus avec d’autres gros légumes de l’« État profond ». L’exercice a été baptisé Event 201.
Les co-conspirateurs de Gates comprenaient des représentants de la Banque mondiale, du Forum économique mondial (Great Reset), du Bloomberg/Johns Hopkins University Populations Center, des Centers for Disease Control and Prevention, de divers médias, du gouvernement chinois, d’un ancien directeur de la Central Intelligence Agency/National Security Agency (les « anciens » agents de la CIA, ça n’existe pas), du fabricant de vaccins Johnson & Johnson, des secteurs de la finance et de la biosécurité, ainsi que d’Edelman, la plus grande société de relations publiques au monde.
Sous la direction de Gates, ces éminences ont joué le rôle de membres d’un conseil de contrôle de la pandémie, élaborant des stratégies gouvernementales pour contrôler la pandémie, le récit et la population. Inutile de dire qu’il n’a guère été question de la mise en place de systèmes immunitaires, de remèdes prêts à l’emploi ou de médicaments et vitamines thérapeutiques non brevetés, mais beaucoup de la promotion de l’adoption de nouveaux médicaments antiviraux et vaccins brevetables.
Mais les participants se sont surtout concentrés sur la planification de stratégies d’État policier, centrées sur l’industrie et axées sur la peur, pour gérer une contagion mondiale imaginaire par un coronavirus qui culminerait par une censure massive des réseaux sociaux.
Curieusement, Gates affirme aujourd’hui que la simulation n’a jamais eu lieu. Le 12 avril 2020, Gates déclarait à la BBC : « Maintenant, nous y sommes. Nous n’avons pas simulé cela, nous n’avons pas fait d’exercices pratiques, donc tant pour les politiques de santé que pour les politiques économiques, nous nous trouvons en territoire inconnu. »
Malheureusement pour ce bobard, les vidéos de l’événement sont toujours disponibles sur Internet. Elles montrent que Gates et son équipe ont bel et bien simulé des politiques de santé et des politiques économiques. Il est difficile de croire que Gates a pu l’oublier.
Lire la suiteAvec le Christ passer des ténèbres à la Lumière
Descente du Christ aux Enfers.
Par l’Abbé J.-Réal Bleau (pour le 3e dimanche du Carême) ― Photo : © Ralph Hammann/Wikimedia Commons
Temps de solitude, de prière, de pénitence et de combat contre Satan, la grande retraite du carême conduit, en fait, toute l’Église au sacrifice de la Croix et à la gloire de la Résurrection. La Transfiguration spirituelle des baptisés, par le rayonnement en eux de la lumière de Jésus ressuscité est le but de tous les travaux du carême. La fin du carême est donc le passage de notre âme des ténèbres, où la retiennent nos péchés, à la pleine lumière du Christ.
Saint Paul nous rappelle que nous étions autrefois ténèbres, c’est-à-dire esclaves du démon et que nous sommes maintenant enfants de lumière, et que nous devons par conséquent nous comporter en toutes choses comme tels. Une dangereuse tentation de notre temps est, comme le soulignait le pape émérite Benoît XVI au tout début de son pontificat, le relativisme, qui consiste au plan spirituel à tenter de marier ensemble ténèbres et lumière, vices et vertus, soumission au démon et service de Jésus-Christ. Saint Paul reprochait fortement aux Corinthiens de s’être laissés prendre dans ce piège diabolique : « Ne vous attachez pas à un même joug avec les païens, leur écrivait-il. Car quelle société y a-t-il entre le Christ et Bélial ? » (2 Cor. 6 14-15). C’est sans doute la plus grande tentation dans l’Église actuellement que de vouloir concilier ce qui restera toujours inconciliable : l’esprit de Jésus et l’esprit du monde, la vérité et l’erreur. Le service de Notre Seigneur n’admet pas les demi-mesures. Notre divin Maître exige que nous lui fassions par amour le don total de notre corps, de notre cœur, de notre esprit. Nous ne serons jamais de véritables enfants de lumière mais nous resterons plutôt esclaves de nos anciennes ténèbres si nous ne produisons pas les fruits de la lumière, qui consistent, selon saint Paul, en une parfaite bonté, dans la justice et la vérité. Ce qui n’est bon, juste et vrai qu’à moitié n’a aucune valeur aux yeux de Dieu, car il n’y a alors rien d’autre que tiédeur, corruption de la vertu et concessions faites au démon.
Le temps présent, où un très grand nombre de fidèles sont privés des sacrements, met à dure épreuve notre foi catholique. Les sacrements sont ce qu’il y a de plus précieux dans l’héritage que nous avons reçu de Jésus Christ et de son Église, car par ces signes sensibles porteurs de sa grâce, c’est Jésus lui-même qui agit directement dans les âmes pour les purifier, les éclairer, les fortifier, les refaire à son image et leur donner sa vie. Les sacrements, étant d’origine divine, sont les remèdes les plus puissants à tous les maux de l’âme et du corps. Voilà pourquoi nous ne saurions nous habituer à en être privés, et nous devons les réclamer fortement comme étant les besoins les plus essentiels que nous puissions avoir. La situation actuelle de l’Église qui, en réalité est réellement persécutée, sous le couvert de mesures sanitaires tout à fait déraisonnables, nous impose le devoir de réclamer fermement nos droits et de défendre notre foi injustement attaquée par un gouvernement qui, tournant le dos à la lumière du Christ, qui illuminait autrefois notre pays, ne peut que détruire la civilisation chrétienne que nos ancêtres ont si courageusement bâtie. Si nous voulons que la Lumière du Christ triomphe de la grande noirceur qu’un « nouvel ordre mondial » antichrétien tend à imposer à l’univers entier, il nous faut résister fermement et concrètement aux forces du mal conjuguées spécialement contre l’Église catholique, qui seule porte en son sein la Lumière divine élevée au-dessus de toutes les nations pour leur apporter la Paix.
J.-R.B.
Confinement au Québec : 250 personnes au cinéma, mais seulement 10 à la messe…
Par Léo Kersauzie (Médias Presse Info) ― Photo : serhii bobyk/Freepik
Les autorités du Québec pourraient-elles expliquer pourquoi, sous prétexte de la situation sanitaire, elles permettent aux cinémas d’accueillir jusqu’à 250 personnes mais ne permettent pas aux églises d’accueillir plus de 10 personnes pendant un office religieux ?
Même le cardinal Gérald Lacroix, archevêque de Québec, pourtant très soumis aux directives sanitaires, a publié un communiqué sur le site web de l’archidiocèse dans lequel il dit que les croyants « ne peuvent pas comprendre pourquoi l’accès à leurs lieux de culte reste limité à 10 personnes dans la zone rouge alors que les cinémas peuvent accueillir jusqu’à 250 personnes. »
Dans son communiqué empreint de langue de bois, le cardinal, poussé dans le dos par les fidèles catholiques, finit par qualifier les actuelles mesures de « déraisonnables et injustes » et cite l’exemple de familles en deuil qui ne peuvent « accompagner un être cher à l’église et lui offrir des obsèques chrétiennes alors que, parfois dans le même quartier, il est possible d’en rassembler 250 dans un cinéma ».
Le premier ministre François Legault avait annoncé le 16 février que les cinémas, les piscines intérieures et les gymnases intérieurs rouvriraient le 26 février dans toute la province, y compris ceux situés dans les zones qui sont toujours dans la zone de confinement stricte « rouge ».
Mais les lieux de culte ne peuvent accueillir que 10 personnes pour les différentes célébrations et 25 personnes pour les funérailles.
Le cardinal Lacroix a écrit que les catholiques « ne peuvent pas garder le silence sur les décisions prises par les autorités, qui nous laissent une impression de discrimination contre les communautés religieuses ». Il a invité les catholiques à contacter leurs députés pour exprimer leur « point de vue ».
« Si les magasins et les centres commerciaux sont ouverts au public conformément aux mesures appropriées, il n’y a aucune raison pour que les lieux de culte ne fonctionnent pas dans les mêmes conditions »
Des propos qui restent bien timorés au regard de la situation.
Le saviez-vous ? le gouverneur pro-vie du Dakota du Sud n’a jamais confiné l’État
Kristi Noem, gouverneur du Dakota du Sud.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Gage Skidmore/Flickr
L’État du Dakota du Sud, comptant environ 880 000 habitants, qui a pour gouverneur Kristi Noem, n’a jamais été confiné le moins du monde. Le fait est que Kristi Noem, républicaine fortement pro-vie, a préféré étudier la question du covid-19, faire des recommandations à la population Sud-dakotaise et lui faire confiance pour la conduite à adopter, plutôt que de se précipiter dans des mesures « sanitaires » néfastes pour l’économie, le bien-être, et, finalement, la santé elle-même, prétexte du coronacircus. Rassurez-vous, s’il est besoin, ce n’était pas un simple coup de dés lancé au hasard, car, si elle a décidé de ne pas porter d’attention aux nombres de « cas » (bravo !), elle a surveillé les chiffres d’hospitalisations qui n'ont été que jusqu’à environ 600 dans un même moment (contrairement à ce que le Dr Fauci avait prédit, annonçant le nombre catastrophique de 10 000 hospitalisations simultanées…). Encore une fois, peut-être est-il nécessaire de le répéter, le bon sens et le courage requis pour tenir une position pro-vie se voient encore à l’œuvre face à un mensonge autre que celui de l’avortement : le sanitairisme covidien. (Quand donc la belle province enlèvera-t-elle son hideux masque ?)
Le gouverneur Kristi Noem donne un bon résumé des actes qu’elle a posé depuis le début de la « pandémie », et de ceux qu’elle n’a pas posés, dans un discours donné lors de la Conservative Political Action Conference (CPAC), qui a réuni les conservateurs américains du 25 au 28 février 2021 pour écouter les grandes figures du mouvement tel que Donald Trump ou Kristi Noem. Extrait du discours de Kristi Noem sur Rev :
Lire la suiteAh, merci. Maintenant, écoutez. Écoutez, je pense qu’il y a un an, la plupart d’entre vous ne savaient même pas qui je suis, mais contrairement aux médias démocrates, je suis sûr que vous savez tous au moins qu’il y a deux Dakotas, et que je suis le gouverneur du plus chaud des deux. Je suis ici aujourd’hui pour vous faire part de certaines des leçons tirées de l’expérience de mon État. Je pense que la principale question à laquelle il faut répondre cette fin de semaine est : pourquoi l’Amérique a-t-elle besoin de conservateurs ? On peut répondre à cette question en ne mentionnant qu’une seule année, et cette année est 2020. Maintenant, tout le monde sait que, presque du jour au lendemain, nous sommes passés d’une économie florissante à un arrêt tragique à l’échelle nationale. Au début de 2020, le président Trump avait créé 7 millions de nouveaux emplois américains. Nous avions le taux de chômage le plus bas depuis plus d’un demi-siècle, et les taux de chômage des noirs, des hispanophones et des Asiatiques américains ont atteint les niveaux les plus bas de l’histoire. Plus de 10 millions de personnes avaient été sorties de la pauvreté et de l’état où l’on a recours à l’aide sociale. Tout cela a changé en mars.
Aujourd’hui, la plupart des gouverneurs ferment leur État. Il s’en est suivi un chômage record, des fermetures d’entreprises, la fermeture de la plupart des écoles et la communauté a souffert, l’économie américaine s’est immédiatement bloquée. Maintenant, laissez-moi être clair, le covid n’a pas écrasé l’économie, c’est le gouvernement qui l’a écrasé. Et puis, tout aussi rapidement, le gouvernement a fait volte-face et s’est présenté comme le sauveur, et franchement, le département du Trésor ne peut imprimer d’argent assez rapidement pour suivre la liste de souhaits du Congrès. Mais tout le monde n’a pas suivi cette voie. Pour ceux d’entre vous qui ne le savent pas, le Dakota du Sud est le seul État américain qui n’a jamais ordonné la fermeture d’une seule entreprise ou d’une seule église. Nous n’avons jamais émis de décret de confinement. Nous n’avons jamais exigé que les gens portent le masque. Nous n’avons même jamais défini ce qu’est une entreprise essentielle, car je ne crois pas que les gouverneurs aient l’autorité de vous dire que votre entreprise n’est pas essentielle.
Québec: taux de natalité d’environ 9,57‰ en 2020; confinement: baisse des mariages en 2020 et des naissances en 2021
Par Pour une école libre au Québec ― Photo : Pxfuel
Selon les chiffres de l’Institut de la Statistique du Québec publiés en ce jour, il serait né 81 850 enfants au Québec en 2020. C’est 2,79 % moins qu’en 2019. (Ces chiffres établis sur la base du fichier de naissances au 26 février 2021 sont provisoires, mais sont assez fiables.)
Avec 81 850 enfants pour une population estimée de 8,55 millions d’habitants au Québec en 2020, on obtient un taux de natalité de 9,57 naissances pour mille habitants (9,57 %).
Il s’agit du taux de natalité le plus bas depuis 1900 (et probablement de l’histoire du Québec). Les 8,5 millions d’habitants du Québec de 2020 ont produit autant d’enfants que les 2,1 millions de Québécois de 1913. Pour prendre une date plus récente, les 4,2 millions de Québécois de 1952 (la moitié de la population actuelle) ont célébré la venue au monde de 128 000 enfants, soit 56 % de plus qu’en 2020. Le taux de natalité en 1952 s’établissait donc à 30,7 ‰, soit plus de 3 fois plus qu’aujourd’hui.
Le nombre de mariages s’est également effondré passant de 22 250 en 2019 à 11 350 en 2020.
Tout laisse à penser que le nombre de naissances en 2021 pourrait être encore plus bas que celui de 2020, en effet non seulement le nombre de projets matrimoniaux est en chute libre, mais nous avons déjà des chiffres pour les enfants conçus depuis le début de la pandémie (mars 2020). Or le nombre de naissances de décembre 2020 au Québec et de janvier 2021 en France est en très forte baisse. En France, le nombre de naissances en janvier 2021 a chuté de 13 % par rapport à janvier 2020, alors qu’au Québec le nombre de naissances en décembre 2020 (6 350) a chuté de près de 6 % par rapport à décembre 2019 (6 750).
[…]
On peut voir à l’œuvre, neuf mois plus tard après le début du confinement en mars 2020, les effets néfastes du confinement qui a découragé la formation de couples, et les couples d’avoir des enfants (ou de les laisser naître…). ― A. H.
Mgr Jędraszewski au sujet du Great Reset : « Où est la place de Dieu là-dedans ? »
Mgr Marek Jędraszewski, archevêque de Cracovie en Pologne.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo :
Mgr Marek Jędraszewski, archevêque de Cracovie en Pologne, dénonce le Great Reset (Grande réinitialisation) projeté par Klaus Schwab, fondateur du Forum de Davos qui réunit plusieurs grands pontes des finances et de la politique, car aucune place n’y a été prévue pour Dieu.
Dans une homélie donnée dans l’église de Notre-Dame du perpétuel secours de Cracovie le 3 mars, Mgr Jędraszewski souligne l’athéisme du livre de Klaus Schwab, Covid-19 : La Grande Réinitialisation, dans lequel ce dernier expose le Great Reset que doit subir le monde, ses modalités, ses aspects, enfin, son plan. Selon LifeSiteNews :
« Où est la place de Dieu là dedans ? » demandait Mgr Jędraszewski à l’assemblée.
« Comment peut-on parler d’un homme nouveau et d’un monde nouveau sans référence à Dieu ? » poursuivit-il.
« L’énorme ouvrage de plusieurs centaines de pages ne fait référence à la religion qu’une seule fois. Il ne fait aucune mention de la transcendance, de Dieu. Il est même question d’une indéfinie “Mère Nature”, écrite avec des majuscules ».
L’archevêque cita l’historien Grzegorz Kucharczyk, qui pense que les idées des mondialistes sont opposées au christianisme.
« Les mondialistes essaient de profiter de la pandémie de coronavirus pour déprécier complètement tout ce que le christianisme a apporté depuis près de 2 000 ans, et apporte encore, pour le bien de l’humanité », déclara-t-il.
On peut noter que des hommes politiques comme Justin Trudeau sont partisans d’une grande réinitialisation et voit une belle opportunité dans le confinement pour ce faire (non, ce n’est pas grâce à une « pandémie » qu’ils font tout ça).