Réflexions sur Janette Bertrand à l'approche de ses 100 ans
Janette Bertrand. — Image : capture d'écran vidéo/Radio-Canada
À l’approche de son 100e anniversaire, Janette Bertrand, figure emblématique de la scène culturelle québécoise, est célébrée pour ses nombreuses contributions dans les domaines du féminisme, de la télévision, et de la défense des droits des femmes. Cependant, alors que certains s’apprêtent à la « canoniser » symboliquement dans l’espace public, il est essentiel de poser un regard plus nuancé sur son héritage, surtout à la lumière des valeurs pro-vie et pro-famille que nous défendons chez Campagne Québec-Vie (CQV).
Janette Bertrand a indéniablement marqué l’imaginaire collectif en mettant de l’avant des questions sociales qui ont souvent été mises de côté, notamment en matière de droits des femmes. Néanmoins, ses positions sur des sujets aussi cruciaux que l’avortement et l’euthanasie, qui trouvent aujourd’hui un écho de plus en plus fort dans le débat public québécois, méritent d’être remises en question à la lumière des valeurs que CQV promeut.
Pour nous, défendre la vie, de sa conception à sa fin naturelle, n’est pas seulement une question d’opinion, mais un impératif moral enraciné dans la loi naturelle et la dignité inhérente à chaque être humain. Ainsi, alors que Mme Bertrand a pu, au fil des ans, défendre des pratiques que nous considérons contraires à cette dignité, il est de notre devoir d’inviter à une réflexion plus large et plus profonde sur la portée de ses positions et de leurs conséquences pour la société québécoise.
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Avis aux médias
Une première historique : Marche pour la Vie à Québec ce 1er juin
Québec, le 27 mai 2024 — Ce samedi 1er juin marquera un moment historique pour la ville de Québec avec la tenue de la toute première Marche pour la Vie au Québec. Cet événement rejoint les rangs des Marches pour la vie organisées mondialement, dont celle à Ottawa — fondée il y a 27 ans — qui a rassemblé des milliers de manifestants sur la Colline Parlementaire le 9 mai dernier, et celle de Washington DC., fondée en 1974, qui a réuni près de 100 000 participants en janvier.
La Marche pour la Vie de Québec se veut un événement festif et familial, tout en abordant des sujets graves aux conséquences profondes pour la société québécoise : les atteintes à la vie humaine que sont l’avortement et l’euthanasie, souvent désignés respectivement par les euphémismes « interruption volontaire de grossesse » et « aide médicale à mourir ».
« Il est grand temps que le Québec ait sa propre Marche pour la Vie », déclare Georges Buscemi, président de Campagne Québec-Vie, l’organisme organisateur de cet événement. « Une société qui se veut solidaire des marginalisés et des vulnérables ne peut continuer à ignorer les enfants à naître ciblés par l’avortement, qui sont les personnes les plus vulnérables et ignorées qui soient. »
Les organisateurs attendent des centaines de manifestants pro-vie de toute la province. Le rassemblement débutera à 11 h à la fontaine de Tourny, en face de l’Assemblée nationale du Québec. Une animation musicale précédera les discours, qui commenceront à midi et se termineront à 13 h, moment où la marche dans les rues de Québec débutera. La marche se conclura à l’Assemblée nationale, où, à partir de 15 h, des témoignages de femmes et d’hommes touchés par la question de l’avortement seront présentés. L’événement, qui se veut annuel, se terminera à 16 h.
Le Dr Paul Saba, médecin de famille à Montréal, sera présent à la manifestation, accompagné de deux sœurs dans la trentaine qui partageront leurs expériences d’avortements imminents sur la table d’opération et leurs décisions de garder leurs bébés à la dernière minute. Le Dr Saba estime que les mères qui souhaitent avoir des enfants doivent être soutenues. « C’est une question de justice sociale. Les mères ne devraient pas être poussées à avorter parce qu’elles manquent de soutien financier, social et psychologique. Nous devons leur garantir des logements abordables, des revenus raisonnables et la sécurité alimentaire. »
Pour plus d’informations sur la Marche pour la Vie à Québec, veuillez consulter les sites www.marchepourlavie.quebec et www.cqv.qc.ca.
Contact Médias :
Georges Buscemi
Président de Campagne Québec-Vie
(514) 928-4819 ; [email protected]
Un organisme pro-vie et un médecin de Montréal demandent une remise en cause du statu quo en matière d’avortement par suite de rapports de l’injection létale d’un enfant à naître à 38 semaines de grossesse
Montréal, le 9 février 2023 - L’organisme pro-vie Campagne Québec-Vie (CQV) demande que les décideurs, au niveau provincial comme au fédéral, se penchent à nouveau sur la question de l’avortement, à la lumière d'un rapport d’un lanceur d’alerte selon lequel une équipe du bloc opératoire à l’hôpital Sacré Cœur de Montréal aurait mis à mort par injection létale un enfant à naître à 38 semaines de gestation.
« À la demande d’une mère sans doute en difficulté, le personnel de l’hôpital Sacré Cœur de Montréal aurait mis à mort un bébé de 38 semaines de gestation, c’est-à-dire un enfant complètement formé, qui aurait pu facilement survivre sa naissance et faire le bonheur d’un couple adoptif » de dire Georges Buscemi, président de CQV.
Le matin du 1er février, un lanceur d’alerte communiqua avec un autre organisme pro-vie de Montréal par le biais des réseaux sociaux, pour signaler qu’elle était au fait d’une réunion exceptionnelle du personnel médical de l’hôpital Sacré Cœur de Montréal, pour discuter de la façon que procédera un avortement tardif à 38 semaines prévu pour le lendemain matin. Plus tard cette journée, une citoyenne pro-vie de Montréal, Marie-Josée Rivest, réagissant à un courriel de CQV au sujet de l’avortement prévu, a appelé l’hôpital et s’est entretenue avec une employée du département d’obstétrique de l’hôpital qui aurait confirmé que cet avortement tardif allait avoir lieu le lendemain. Malheureusement, selon les dires du lanceur d’alerte, l’avortement aurait eu lieu comme prévu, le jeudi 2 février vers 8 h. « Plus de 100 personnes ont signalé leur désarroi face à cette nouvelle de la mort de ce que d’aucuns appellent désormais le bébé Daniel », affirme Georges Buscemi.
Selon le Dr Paul Saba : « D’après le compte rendu d’un journal du Canada anglais, The Catholic Register, il semble que “bébé Daniel” n’ait pas eu de grave problème de santé empêchant sa vie. Comme je n’ai aucune connaissance personnelle de l’affaire, je veux répondre à l’injustice sociale et humaine de la pauvreté qui conduit à l’avortement. Selon une étude de 2005 publiée par le Guttmacher Institute, 73 % des femmes américaines qui ont décidé d’avorter leurs bébés ont cité les préoccupations financières comme principale raison. Justifions-nous l’avortement des bébés en fonction du statut socio-économique de la femme, y compris son adresse postale ou sans adresse (sans-abri) ? Les raisons économiques ne doivent pas être utilisées comme excuse pour empêcher les mères enceintes d’avoir leurs bébés. Ces mères doivent bénéficier d’un meilleur soutien médical, psychologique, financier, éducatif et social. C’est une question de justice et d’équité. »
Campagne Québec-Vie invite les médias à une conférence de presse le vendredi 10 février à 12 h, au coin de la rue Fréchette et du boul. Gouin Ouest, non loin de l’hôpital Sacré Cœur. Y seront présents pour livrer leurs témoignages et répondre aux questions des médias le Dr Paul Saba, Georges Buscemi et Marie-Josée Rivest.
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Contacts médias :
Georges Buscemi, président et porte-parole de Campagne Québec-Vie (514) 928-4819
Dr Paul Saba, médecin de famille (514) 866-3447
Mise-à-jour du 13 février 2023-- Voici l'intégrale de la conférence de presse du 10 février :
Le 10 février, un porte-parole des relations avec les médias du CIUSSS Montréal-Nord (un regroupement d’établissements de santé dont fait partie l’Hôpital du Sacré-Cœur) a nié, via un courriel envoyé à Georges Buscemi, président de CQV, qu’un « fœticide » ait eu lieu le 2 février à l’Hôpital du Sacré-Cœur, et a affirmé qu’aucune intervention de ce genre n’y avait jamais lieu. Cependant, CQV trouve étrange que, lorsqu’on lui a demandé d’affirmer ou de nier qu’un avortement de 38 semaines ait eu lieu audit hôpital le 2 février -- un acte malheureusement légal au Canada -- le porte-parole des relations avec les médias ait décidé de nier qu’un « fœticide » a eu lieu. Mais un « fœticide », selon l’Office de la langue française du Québec, l’autorité sur l’utilisation de la terminologie de la langue française dans la province, est un « meurtre » selon la loi canadienne, alors que l’avortement ne l’est pas. Mais notre question au porte-parole des médias n’était pas de savoir si un « fœticide » ou un « meurtre » d’un enfant à naître de 38 semaines avait eu lieu, mais si un « avortement » avait eu lieu. Ce dernier, au moment de la rédaction de ce communiqué, n’ayant jamais été démenti par aucun représentant de l’hôpital du Sacré Cœur, nous considérons le communiqué émis le 10 février comme un pseudo-démenti, et qu’il reste plus que probable qu’un avortement à 38 semaines de gestation a eu lieu le 2 février 2023 à l’Hôpital Sacré-Cœur de Montréal.
Campagne Québec-Vie salue le renversement de Roe v. Wade et Casey v. Planned Parenthood
C’est avec une joie profonde que Campagne Québec-Vie salue la décision Dobbs v. Jackson Women’s Health Organization de la Cour suprême des États-Unis, annulant Roe v. Wade et Casey v. Planned Parenthood. Cinq juges ont voté pour le renversement de Roe : Clarence Thomas, Neil Gorsuch, Brett Kavanaugh et Amy Coney Barrett — dont trois, il faut le souligner, ont été nommé par Donald Trump. Le juge en chef John G. Roberts a écrit une opinion dissidente dans laquelle il déclare qu’il n’aurait pas renversé Roe, mais plutôt laissé en place la loi du Mississippi à l’origine du procès. Les trois autres juges ont voté contre.
Par ce jugement, l’avortement n’est désormais plus défini comme un « droit » au niveau fédéral américain et il revient aux États de légiférer sur cette pratique. Par cette décision, l’avortement est actuellement interdit à divers degrés dans une vingtaine d’États*, dont les lois pré-Roe ou « à déclenchement » (trigger laws) ont interdit cette pratique dès la publication du jugement.
Cela représente des milliers d’enfants à naître qui ne mourront pas entre les forceps de l’avorteur !
Ainsi, malgré la fuite (sans doute malveillante) de l’opinion du juge Samuel Alito, et les pressions des pro-avortement qui s’en sont suivi, les juges auront eu le courage de rendre cette importante décision — une victoire pour le mouvement pro-vie qui a longtemps travaillé pour un tel résultat. Le combat n’est cependant pas fini et il faut s’attendre à une recrudescence des violences pro-avortement. Plusieurs États démocrates notamment ont approuvé des lois faisant de l’avortement un « droit » prévision du présent jugement.
Espérons qu’un tel exemple aura une influence sur la situation pro-vie au Canada — l’équivalent canadien de Roe v. Wade, R. c. Morgentaler, ne cite-t-il pas le premier ?
Voyez ci-dessous l’analyse de Georges Buscemi du renversement de Roe v. Wade et de ses implications pour le monde :
Roe c. Wade — Conséquences pour le monde
Campagne Québec-Vie est une association québécoise qui travaille de concert avec tout individu ou association de bonne volonté, à l’établissement d’une société chrétienne qui protège la foi, la famille et la vie, de la conception à la mort naturelle.
*Plus précisément, dans une dizaine d'États, une douzaine d'autres devant suivre prochainement. — A.H., 28 juin 2022
Campagne Québec-Vie salut la décision encore non-officielle de la Cour suprême américaine de renverser Roe c. Wade et Casey c. Planned Parenthood
Photo : fotofabrika/Adobe Stock
C’est avec une profonde joie et reconnaissance que Campagne Québec-Vie, par la voix de son président Georges Buscemi, salue la décision non-officiellement promulguée de la Cour suprême des États-Unis d’invalider les décisions menant à la dépénalisation de l’avortement dans tous les 50 états des États-Unis.
« Bien que nous déplorions la manière par laquelle cette excellente décision, tant attendue, ait fait l’objet d’une fuite, et bien que nous craignions que cette fuite soit faite par malice, dans le but de susciter une controverse et d’intimider les signataires de la décision, nous saluons et approuvons pleinement la décision de la Cour suprême des États-Unis de renverser Roe c. Wade et Casey c. Planned Parenthood, permettant ainsi à chaque état de légiférer selon les désirs de leurs citoyens. Cela en fait permettra aux États qui reconnaissent l’humanité de l’enfant à naître d’interdire leur mise à mort injuste et barbare par la cruelle procédure pseudo-médicale de l’avortement. »
Principalement, cette décision abolit les jugements Roe c. Wade et Casey c. Planned Parenthood qui affirmaient qu’un « droit » à l’avortement existait et qu’aucun État ne pouvait restreindre l’avortement avant la viabilité de l’enfant. Concrètement, cette récente décision de la cour, si elle arrive à être promulguée comme telle, permettra à chaque état de légiférer en matière d’avortement comme bon lui semble.
« Malheureusement, certains états dits “bleus” ou libéraux/progressistes, anticipant cette décision de la cour, ont mis en place des dispositions de loi permettant l’avortement jusqu’à 10 jours après la naissance, comme certains le constatent pour la Californie » de dire Georges Buscemi. « Il est grand temps que le Canada réexamine cette question ; cette décision de la Cour suprême des États-Unis servira de précieuse référence non seulement pour ses conclusions, mais également pour son analyse détaillée du traitement de la question de l’avortement au cours des derniers siècles. Se dégage de cette analyse un fait marquant : hormis la deuxième moitié du 20e siècle, nulle part dans notre histoire juridique ne pouvons-nous découvrir tant soit peu un “droit” à l’avortement. Au contraire, tout avortement, spécialement après les premiers mouvements de l’enfant, était lourdement condamné et puni. Ceux qui disent qu’il existe “un droit” à l’avortement font complètement fausse route. »
Campagne Québec-Vie est une association québécoise qui travaille de concert avec tout individu ou association de bonne volonté, à l’établissement d’une société chrétienne qui protège la foi, la famille et la vie, de la conception à la mort naturelle.
Le pro-avortement O’Toole destitué du poste de chef par les députés conservateurs
Erin O’Toole, ex-chef du Parti conservateur du Canada.
Communiqué de Campagne Québec-Vie — Photo : Erin O’Toole/Flickr
Campagne Québec-Vie se réjouit de la nouvelle que le chef pro-avortement, pro-LGBT, pro-coercition-vaccinale du Parti conservateur du Canada, Erin O’Toole, s’est fait démettre de ses fonctions par un vote de confiance au sein du caucus conservateur. Georges Buscemi, président de Campagne Québec-Vie, de dire : « Il était temps qu’O’Toole, qui incarnait plus que quiconque le concept de fausse opposition, soit évincé de son poste de chef. Il n’a ni la prestance ni la fibre morale pour bien diriger un parti Conservateur qui se veut une alternative viable à l’exécrable parti Libéral sous Justin Trudeau. »
Cette destitution survient alors que de grandes manifestations ont lieu au Canada, notamment dans la capitale où des milliers de camionneurs et de sympathisants assiègent le Parlement, déterminé à rester là jusqu’à ce que le gouvernement fédéral lève toutes les mesures sanitaires liberticides, parmi lesquelles le passeport sanitaire qui agit en tant qu’arme coercitive contre les pro-vie qui refusent l’injection anti-covid, fabriquée à l’aide d’enfants à naître avortés. Ces derniers événements ont sans doute canalisé la révolte qui grondait contre le conservateur multicolore.
Campaign Life Coalition, un important organisme pro-vie canadien, a exprimé son contentement devant la nouvelle :
Campaign Life Coalition (CLC) se réjouit de ce que les députés conservateurs aient voté aujourd’hui pour mettre à la porte le chef du parti, Erin O’Toole, et tenir une nouvelle course à la chefferie.
« O’Toole a trahi à maintes reprises la base socialement conservatrice du parti avec son soutien à l’avortement, à l’idéologie LGBT, aux confinements oppressifs et aux passeports liberticides associés aux vaccins liés à l’avortement », a déclaré Jeff Gunnarson, président national de la CLC. « Il était grand temps que ce faux conservateur fût mis à la porte ».
Les prochaines élections internes du Parti conservateur représentent une opportunité de mettre fin à l’actuel régime covidien, mais aussi d’avoir enfin un gouvernement pro-vie :
Jack Fonseca, directeur des opérations politiques de CLC, a déclaré que les conservateurs sociaux de tout le pays sont à la recherche d’un nouveau chef qui représentera les véritables valeurs conservatrices.
« Les conservateurs du monde entier veulent un chef qui défendra avec audace et constance le caractère sacré de la vie, la famille, la foi et la liberté », a-t-il déclaré. « Il est temps d’élire un leader conservateur véritablement pro-vie, pro-famille et pro-liberté ».
Fonseca a déclaré que les mandats covid tyranniques, ayant dépouillé les citoyens de leurs droits et libertés, ont rendu les Canadiens prêts à élire un dirigeant conservateur qui se débarrassera du joug d’oppression et de contrôle des libéraux qui anéantit le pays.
CLC, par le truchement de Jack Fonseca, appuie d’ores et déjà le député conservateur Leslyn Lewis, ou tout autre candidat pro-vie, pro-famille et pro-Dieu :
« Nous espérons que Leslyn Lewis et tout autre prétendant conservateurs participeront à la course. »
En effet, il est à souhaiter qu’un vrai pro-vie prenne la direction de ce parti et éventuellement de notre pays.
Que penser du « passeport vaccinal » ?
Photo : Jo Panuwat D/Adobe Stock
Hier Santé Québec nous annonça que le 7 février 2022 les lieux de culte seront rouverts à 50 % de capacité et le « passport vaccinal » sera requis pour l’entrée. Que penser de cette politique ?
La réponse dépendra de notre compréhension de la situation actuelle. Dans les deux dernières années, combattions-nous bec et ongles contre un virus on ne peut plus mortel qui risquait de décimer le peuple québécois? Ou bien combattions-nous plutôt une cabale de milliardaires de tendance anti-chrétienne qui, ayant planifié l’instrumentalisation d’une pandémie à des fins financières et idéologiques, nous bombardent nuit et jour de propagande alarmiste et anxiogène ? Vous le savez bien qu’à Campagne Québec-Vie, ayant soupesé ces longs mois plusieurs hypothèses, nous avions tendance à maintenir, selon toutes les évidences à notre disposition, qu’il s’agit plutôt de la deuxième alternative qui est la plus conforme à la réalité. Il est vrai que nous pourrions avoir tort dans cette affirmation qui ne relève pas de la foi, mais de l’expérience; cependant, nous n’avons pas le choix que de porter un jugement sur ce que nous voyons et ressentons, et d’agir en conséquence.
Cela dit, le passeport vaccinal, vu comme un outil de contrôle social dont l’implantation n’attendait qu’un événement déclencheur telle la « crise » artificielle que nous vivons, se doit d’être vu également du point de vue de la foi : sous cet aspect, le passeport vaccinal ne semble être rien d’autre qu’un substitut anti-christique pour le baptême. Hors du vaccin, point de salut, le passeport sanitaire attestant aux autorités la salubrité sociale, physique et idéologique du détenteur. Voyez-vous, selon les dominants de ce monde, l’homme n’aurait pas été suffisamment nettoyé par le baptême, bien au contraire : ce sacrement que le Christ nous a donné, selon eux, salirait l’homme davantage, lui donnant de faux espoirs, le rendant « haineux » par rapport aux comportements « progressistes » et le rendant difficile à manipuler. L’homme demeurerait, selon eux, trop sale, mauvais et imprévisible. Il lui faut donc un nouveau, meilleur baptême, il lui faut un vaccin et une identification unique. Si par le baptême du Christ le nom de l’homme est inscrit dans le livre de la Vie (Apocalypse 20:15), par le vaccin salvateur son nom sera inscrit dans la banque de données du système de santé sociale mondial, seule manière de dompter finalement l’humanité et d’avoir, enfin, la « paix sur la terre » !
Mais comme tous les mensonges du Prince de ce monde, cette « paix universelle » ne sera qu’une prison à aire ouverte, menant à la perdition de l’homme. Car s’il est menteur, le démon est finalement meurtrier (Jean 8:44). Il ne cherche qu’à nous perdre, par le moyen de notre propre orgueil et nos prétentions à tout régir et contrôler, sans l’aide de Dieu.
Comment résister à la bête (c. f. Apocalypse 13:1-4) qui s’érige devant nous ? Cette bête veut nous marquer de son sceau vaccinal; elle veut nous forcer à nous injecter d’un produit fabriqué à l’aide d’enfants à naître meurtris. Cette bête en devenir (car elle ne semble pas tout à fait constituée) veut apposer sur notre chaire un « signe de protection » (c. f. Genèse 4:15), non pour nous protéger, mais pour nous perdre. Vu la puissance de nos opposants, et notre faiblesse, il faut d’abord s’humilier devant le Dieu tout puissant et lui demander des grâces de force, de patience, de confiance, de douceur et de sagesse. Nous gagnerons par la prière. Nous gagnerons par la persévérance. Nous gagnerons par la foi.
C’est pourquoi je vous encourage vivement à prier avec nous pour la fin de cette crise sociétale liée au covid. Seul Dieu peut nous tirer de ce bourbier. Nous avons choisi pour prière cette arme puissante que nous confia la « femme » de l’Apocalypse (Apocalypse 12:1), celle dont le talon écrase la tête du serpent (Genèse 3:15), le Rosaire. Nous faisons nôtres les paroles du pape Pie XII qui enseigna, lorsqu’il encouragea cette forme de prière, que : « Nous mettons une grande confiance dans le Saint Rosaire pour la guérison des maux qui affligent notre époque. Non pas avec la force, non pas avec les armes, non pas avec le pouvoir humain, mais avec l’aide divine obtenue par le biais de cette prière, forte comme David avec sa fronde, l’Église pourra, sans se décourager, affronter l’ennemi infernal, en lui répétant les paroles du jeune berger : “Tu viens à moi avec une épée, une lance et un bouclier, mais je viens à toi au nom du Seigneur des armées... et toute cette assemblée saura que le Seigneur ne sauve pas par l’épée et la lance, car c’est son combat, et il te livrera entre nos mains” (I Rois 17, 45-47). »
Le Québec prie — Les chapelets publics se tiennent normalement les mercredis à 18 h (ce soir!)
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Pour la Vie,
Georges Buscemi, président
Décès suspects dans les CHSLD : Lettre ouverte à la coroner Géhane Kamel
Me Géhane Kamel (Capture d'écran / YouTube / CPAC)
Le 22 novembre 2021 +JMJ+
Madame la coroner
Me Géhane Kamel
Objet : enquête publique sur certains décès survenus au cours de la pandémie de COVID-19 dans des CHLSD, des résidences privées pour aînés et d’autres milieux d’hébergement pour personnes vulnérables ou en perte d’autonomie
Madame,
Cela fait déjà plusieurs mois qu’à Campagne Québec-Vie nous suivons avec un vif intérêt le déroulement de votre enquête sur les décès des personnes âgées survenus au printemps 2020 dans les établissements de soins de longue durée du Québec.
Par ailleurs, vous vous souvenez peut-être de la lettre ouverte que nous avions adressée l’année dernière, principalement à la Commissaire à la Santé, Joanne Castonguay, lettre qu’on nous avait conseillé de vous faire suivre.
Dans cette lettre, nous proposions des facteurs pouvant mieux expliquer la hausse de décès « toutes causes confondues » observée au Québec au printemps 2020.[1] Tout en croyant possible que le coronavirus ait été responsable pour une part des décès survenus durant cette période, nous maintenions — et nous maintenons encore — que les raisons suivantes, citées dans cette lettre, expliquent mieux la hausse subite des décès « liés au coronavirus » comptés à ce jour au Québec :
- une grossière négligence, provoquée entre autres par un manque criant de main-d’œuvre dans les établissements de soins de longue durée, lui-même suscité en grande partie par une campagne de peur médiatique qui a semé la panique chez les employés de ces centres ;
- une situation de stress causée par l’isolement et les autres mesures sanitaires, affaiblissant le système immunitaire de personnes déjà très fragiles, et les rendant plus susceptibles de succomber à des maladies en temps normal relativement bénignes ;
- une politique de « triage » des personnes aînées, leur refusant en une période de pandémie un accès à des services hospitaliers qui leur étaient habituellement accordés ;
- une contamination des établissements pour personnes âgées par des personnes âgées malades qu’on a évacuées des hôpitaux (pour « libérer » 7000 lits, dont ceux de 1400 patients toujours malades), en anticipation d’une « vague » de malades plus « prioritaires » qui n’est jamais venue ;
- une suspension de plusieurs interventions chirurgicales et autres, toujours afin de « libérer » des lits pour faire face à la crise, temps d’arrêt dans les soins qui a pu indirectement causer plusieurs décès ce printemps ;
- la mise sur pied de protocoles à consonance euthanasique ;
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Fête du Canada : Un devoir sacré de résistance
Marche nationale pour la Vie d'Ottawa en 2017.
Nous vivons dans un pays où, à raison de 100 000 fois par année, une femme portant en son sein un enfant à naître fait le choix d’engager les services d’un tueur à gages se spécialisant dans l’assassinat de petites cibles. Nommé « médecin » par un régime médical corrompu, cet individu, aux frais des contribuables, commet son meurtre en introduisant, dans le sein maternel, ses armes de prédilection — une curette (cuiller au bord tranchant) et une tige aspiratrice — qu’il manie avec habileté pour déchiqueter le corps de celui dont l’existence était devenue gênante. Les dépouilles sanglantes de l’enfant sont ensuite déposées dans une poubelle étiquetée « déchets biologiques » et transportées par camion à l’incinérateur.
Parfois, si la grossesse est suffisamment avancée, l’enfant ciblé pour exécution acquiert une « plus-value » aux yeux des pharmaceutiques. Des techniciens seront présents à son assassinat par césarienne, et son petit corps encore chaud sera traduit dans une salle de dissection spécialisée où les organes de choix seront retirés. Il n’est pas du tout improbable que cet enfant soit vivant lors de l’extraction de ses parties, car les organes d’un cadavre ne servent à rien. Ce fut très possiblement le cas pour le pauvre enfant, tué par avortement tardif dans les années 70, dont les reins ont été utilisés pour créer la lignée de cellules HEK-293 qui servit à la production de nos fameux pseudo-vaccins covid.
Nous vivons donc dans un pays cruel et anthropophage : nous tuons des bébés à naître, dont les dépouilles servent parfois à concocter des produits pharmaceutiques (dont l’utilité est plus que douteuse) que nous introduisons dans notre corps. Comment osons-nous nous dire « civilisés » quand nos pratiques nous rappellent les tristes dérives des peuplades cannibales les plus arriérées? Ô Canada !
Notre pays fait l’inverse de la volonté de Dieu. Celui qui a dit : « Ceci est mon corps, livré pour vous » est chassé, de toutes les tribunes, par le meurtrier qui hurle : « ceci est ton corps, livré pour moi ! » Le Christ donne sa vie aux autres, pour qu’ils aient la Vie en plénitude. L’avorteur prend la vie des autres, des enfants innocents, et sème avec son aspirateur, dans le cœur des mères et des pères, un vide que nul ne peut combler, si ce n’est Dieu lui-même.
Le 1er juillet, « fête du Canada », sera donc pour nous un jour de deuil. Impossible de fêter ! Comment même oser sourire dans ce pays entaché de sang, lorsque de telles abominations non seulement ont lieu en moyenne 274 fois par jour dans des « cliniques » anonymes non loin de chez nous, mais surtout lorsque ces meurtres sont considérés par notre soi-disant « élite » comme un « droit » et leur promotion, comme un gage de progrès?
Devant une telle situation, ce 1er juillet nous avons un devoir, non de fêter, mais d’entrer, si ce n’est pas déjà fait, en résistance résolue et sobre contre le régime canadien, qui a usurpé le beau nom de « Canada » et terni à jamais sa mémoire.
Cette résistance sera multiforme et variée, selon les capacités et la disponibilité de chacun. Mais à la base de toute résistance cohérente et efficace se trouvera d’abord l’amour de la vérité, et la haine de tout mensonge. Il se trouvera également une foi vivante en ce Dieu humble et compatissant, qui relève les petits et humilie les superbes. Notre combat n’est pas celui d’un jour ni même d’une décennie, mais de toute une vie vouée à la vie éternelle. Chacun de ces 100 000 enfants tués dans l’indifférence générale a un nom et une destinée voulue par le Dieu tout-puissant. Imaginez la mesure de justice Divine qui se prépare pour ceux et celles qui n’auront pas résisté à ce régime abortif meurtrier ! Et ici je ne parle même pas des collaborateurs et des avorteurs qui, s’ils ne se repentent pas, auront à vivre éternellement les supplices qu’ils ont infligés, de leur vivant, à d’innombrables enfants.
En ces jours qui précèdent le 1er juillet, qui se veut « jour de fête » d’un Canada qui par ses pratiques cruelles serait, pour nos ancêtres, méconnaissable, Campagne Québec-Vie tient à remercier tous ceux et celles qui ont su entrer en résistance avec nous. Par vos prières, par vos œuvres et par vos dons, vous vous êtes mis du côté des gagnants, vous avez dit « non » au mensonge et au meurtre. Vous n’avez pas permis que l’on oublie les vies éliminées de manière aussi impersonnelle et cruelle. Puisque vous avez choisi d’être petits ici-bas en vous associant à ces petits enfants délaissés, vous serez grands dans le Royaume de Dieu. Merci à vous, chers résistants.
Pour la Vie,
Georges Buscemi
Lettre ouverte à la Commissaire à la santé, Joanne Castonguay
Joanne Castonguay, Commissaire à la santé et au bien-être du Québec (Photo : Twitter)
Par Georges Buscemi, président (Campagne Québec-Vie)
Madame,
Je vous écris en tant que président de Campagne Québec-Vie, une association à but non lucratif dont l’objectif est d’apporter notre contribution pour que le Québec puisse redevenir une société chrétienne qui défende la foi, la famille et la vie, de la conception à la mort naturelle[1].
J’ai appris d’un article du journal La Presse que le ministre de la Santé, Christian Dubé, vous avait donné le mandat « d’examiner la performance du réseau de la santé, en particulier les soins aux aînés, lors de la première vague de la pandémie de COVID-19 » et que cette étude serait semblable à une commission d’enquête, moins les pouvoirs punitifs[2].
Votre mandat tel que défini par M. Dubé laisse entendre que les décès de ce printemps sont tous causés par le coronavirus, et que votre travail ne consistera qu’à identifier les déficiences dans le réseau de santé qui expliqueraient pourquoi nos aînés et les autres personnes vulnérables n’ont pas été suffisamment protégés d’un virus meurtrier. Or, nous estimons que cette hypothèse d’un virus particulièrement meurtrier dont on ne se serait pas assez prémunis n’est ni la seule, ni même la plus probable. Nous vous écrivons donc pour vous encourager à considérer, dans votre rapport, d’autres hypothèses qui rendraient mieux compte de la hausse des décès « toutes causes confondues » observée au Québec ce printemps[3].
À notre avis, les personnes vulnérables décédées au Québec ce printemps en nombre plus élevé que la normale ne sont pas uniquement, ni même pour la plupart, mortes d’un virus ayant un taux de létalité avoisinant celui d’une forte grippe saisonnière [4]; elles sont en majorité décédées pour d’autres raisons[5], parmi lesquelles :
- une grossière négligence, provoquée entre autres par un manque criant de main-d’œuvre dans les établissements de soins de longue durée, lui-même suscité en grande partie par une campagne de peur médiatique qui a semé la panique chez les employés de ces centres [6];
- une situation de stress causée par l’isolement et les autres mesures sanitaires, affaiblissant le système immunitaire de personnes déjà très fragiles, et les rendant plus susceptibles de succomber à des maladies en temps normal relativement bénignes [7];
- une politique de « triage » des personnes aînées, leur refusant en une période de pandémie un accès à des services hospitaliers qui leur étaient habituellement accordés [8];
- une contamination des établissements pour personnes âgées par des personnes âgées malades qu’on a évacuées des hôpitaux (pour « libérer » 7000 lits, dont ceux de 1400 patients toujours malades), en anticipation d’une « vague » de malades plus « prioritaires » qui n’est jamais venue[9];
- une suspension de plusieurs interventions chirurgicales et autres, toujours afin de « libérer » des lits pour faire face à la crise, temps d’arrêt dans les soins qui a pu indirectement causer plusieurs décès ce printemps[10];
- la mise sur pied de protocoles à consonance euthanasique[11];
Madame la Commissaire, vous aurez à déposer un rapport sur la gestion de la crise d’ici la fin de l’été 2021. Nous sommes d’avis que la crédibilité de votre rapport ne pourrait qu’être renforcée si vous ne vous en tenez pas au postulat implicitement imposé par les instances gouvernementales, selon lequel les mesures d’urgence mises sur pied ce printemps, incluant le confinement, aient « sauvé des vies ». Nous souhaitons ardemment que votre rapport prenne en ligne de compte l’hypothèse étayée ci-dessus, plus plausible selon nous, et qui consiste à soutenir que les mesures sanitaires, loin d’avoir protégé la population, ont en fait contribué à l’hécatombe, en stressant nos aînés, ce qui a entraîné une chute de leur système immunitaire, en les exposant à des malades expulsés des hôpitaux et bourrés de charges virales nosocomiales, en les isolant et en leur faisant perdre le goût de vivre, en occasionnant chez eux famines et déshydratations à la suite de la fuite d’un grand nombre d’employés de ces centres de soins de longue durée en panique à cause de la campagne de peur des autorités gouvernementales et des médias, et finalement en les euthanasiant sous le prétexte de « soins palliatifs » rendus nécessaires faute d’accès à une hospitalisation.
Madame la Commissaire, vous avez devant vous un travail et une responsabilité immenses. Nous vous souhaitons tout le courage et la force nécessaires pour le conduire à terme. Il va de soi qu’en plus de vous offrir notre appui logistique dans vos démarches, nous nous engageons à prier pour vous et votre équipe, espérant que votre travail porte fruit, non seulement pour le bien du système de santé au Québec, mais pour que justice soit faite auprès des personnes âgées et vulnérables, dont la mort ce printemps était, dans plusieurs cas, parfaitement évitable.
Je vous prie d’agréer, Madame la Commissaire, mes salutations distinguées.
Georges Buscemi, Président
Campagne Québec-Vie
Cette lettre a été publiée sur le site de Campagne Québec-Vie (www.cqv.qc.ca) et envoyée à divers médias.
Des copies électroniques de cette lettre ont également été transmises aux personnes suivantes :
- Marguerite Blais, ministre responsable des Aînés et des Proches aidants ([email protected])
- Me Pascale Descary, coroner en chef ([email protected])
- Christian Dubé, ministre de la santé ([email protected])
- Mgr Christian Lépine, évêque de Montréal
- Alex Schadenberg, président de la Coalition pour la prévention de l’euthanasie
- Dr Patrick Vinay, président de Vivre dans la dignité