Colombie-Britannique — un père emprisonné pour avoir qualifié sa fille de fille et utilisé le pronom féminin « elle »
Par Pour une école libre au Québec ― Photo : Rawpixel
Un mandat d’arrêt a été lancé par un juge pour l’arrestation d’un père après que celui-ci ait appelé sa fille biologique* « sa fille » et qu’il ait utilisé le pronom « elle » pour se référer à elle. Hoogland a été reconnu coupable d’outrage au tribunal.
Hoogland est le père d’une fille biologique* de 14 ans qui s’identifie comme transgenre et préfère que l’on utilise des pronoms masculins pour parler d’elle. Hoogland a appelé à plusieurs reprises cette personne sa fille, bien que le tribunal lui ait interdit de le faire.
Mardi, à 10 h, heure de Vancouver, Hoogland s’est rendu au tribunal en réponse au mandat d’arrestation du procureur général de la Colombie-Britannique pour outrage au tribunal. Il a été arrêté et emprisonné. Le mandat a été délivré par le juge Michael Tammen le 4 mars 2021.
Hoogland s’oppose à ce que son enfant subisse des procédures médicales « affirmatives de genre » et a répété cette opposition à de multiples reprises, dans l’espoir de sauver son enfant d’un préjudice irréversible. Le système médical canadien, le système juridique et la mère de l’enfant, pour leur part, accélèrent la transition sociale et médicale de l’enfant. Notons, qu’à l’inverse, la justice britannique recommande l’arrêt des transitions de genre avant 16 ans.
Le 14 décembre 2020, la juge Francesca Mazari a contraint Hoogland d’approuver la « transition » de genre de sa fille de quatorze ans et lui a interdit d’appeler sa fille biologique sa fille. En réponse, Hoogland a contesté cette décision en invoquant son droit à la liberté d’expression protégé par la Charte.
Lire la suiteUn député canadien diffuse un beau message sur la famille, les pro-avortement se confondent de rage
L'affiche créée par le député Garnett Genuis, novembre 2020.
Par Jonathon Van Maren ― Traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo : Garnett Genuis/Twitter
11 novembre 2020 (LifeSiteNews) — Dans l’étrange monde où les progressistes vivent, il y a beaucoup d’enfants non désirés, mais pas d’avortements non désirés. L’avortement, selon eux, est un bien intrinsèque qui doit être célébré par tous. Cela est particulièrement vrai pour les libéraux du Canada, qui ne cessent d’évoquer l’avortement tout en refusant de condamner le fœticide, même lorsqu’il vise l’élimination des petites filles. Lors des dernières élections, Justin Trudeau a même tenté de faire entrer l’avortement dans le cycle de l’actualité en annonçant que s’il était auparavant personnellement opposé à l’avortement mais politiquement favorable à celui-ci, il le soutenait désormais à la fois personnellement et politiquement. Quel que soit son niveau de soutien, il s’avère que les bébés avortés restent morts.
Nous avons récemment eu droit à un autre exemple de l’enthousiasme des libéraux pour l’avortement. Une organisation appelée One Child One Planet avait lancé une campagne publicitaire à Vancouver, se présentant sous la forme d’un panneau d’affichage comportant la photo d’un enfant noir et le slogan « Le cadeau le plus affectueux que vous puissiez offrir à votre premier enfant est de ne pas en avoir un autre ». Le député Garnett Genuis riposta à cette campagne dans un éditorial dans The Post Millennial, en qualifiant la publicité de raciste. Il lança alors une campagne publicitaire de son cru dans les transports en commun de Vancouver. Les publicités présentent une photo de trois enfants souriants et une citation de Mère Teresa : « Comment pourrait-il y avoir trop d’enfants ? C’est comme dire qu’il y a trop de fleurs ».
Lire la suiteCertaines personnes ont affiché une annonce raciste à Vancouver, disant à tout le monde de n’avoir qu’un seul enfant ou pas d’enfant du tout. J’y ai répondu avec une annonce dépeignant mes enfants, disant essentiellement que les enfants sont merveilleux. Hedy Fry s’est plainte de la deuxième annonce, mais pas de la première.
– Garnett Genuis (@GarnettGenuis) 3 novembre 2020
Colombie-Britannique : une paroisse catholique jugée pour avoir refusé un événement LGBT !
Par Antoine Béllion (Avenir de la Culture)
Cette affaire scandaleuse s’est passée au Canada et perdure depuis le printemps de l’année dernière. En mars 2019, la paroisse catholique Star of the Sea située à White Rock en Colombie-Britannique avait refusé une demande de la White Rock Pride Society d’organiser une collecte de fonds nommée « Love Is Love »/« Pride Week » à la salle paroissiale de l’église.
Le groupe pro-gay accuse la paroisse d’avoir « catalogué » le groupe comme non bienvenu pour utiliser les locaux de l’église en vue de promouvoir l’homosexualité. La White Rock Pride Society a alors porté plainte auprès du Tribunal des droits de l’homme en juin 2019, affirmant que la paroisse avait « désigné » le groupe comme n’étant pas le bienvenu, alors que d’autres groupes sont autorisés à l’utiliser.
« Ce faisant… la paroisse a porté atteinte à la dignité, aux sentiments et au respect des membres de la Pride Society, qui s’identifient comme faisant partie de la communauté LGBTQ + et la soutiennent », a déclaré le président de la société, Ernie Klassen.
Lire la suitePublicités dans les rues de Vancouver : n’avoir qu’un seul enfant ce serait les « aimer »
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Des affiches publicitaires faisant la promotion de l’enfant unique, voire des familles sans enfant, ont fait leur apparition à Vancouver, en Colombie-Britannique, et ses environs. Prenons un exemple — la photographie d’un bébé souriant sous laquelle on peut lire : « Le plus beau cadeau que vous puissiez offrir à votre premier enfant est de ne pas en avoir un autre » ; sur une autre : « Nous avons choisi d’en avoir un ! » ; ou encore : « Nous avons choisi de ne pas avoir d’enfant ! ».
Explicitement, l’objet de cette campagne est de convaincre les jeunes gens de ne pas avoir d’enfant. Raison invoquée ? Sauver la planète. Ces publicités ont en effet été payées par un organisme nommé Une planète, un enfant (One Planet One Child). Le but avoué de ce groupe est de changer la mentalité de la société afin que celle-ci adopte une « norme de petite famille ». En effet, ce groupe croit que l’humanité est bien trop nombreuse. Les membres de ce groupe s’activent afin de diviser par plus de deux la population mondiale en un siècle : d’un total de 7,8 milliards d'hommes aujourd’hui, ce groupe malthusien contemple le chiffre de moins de 3 milliards dans 100 ans. Sur le site internet de ce groupe, celui-ci annonce qu’il a payé des campagnes promotionnelles similaires dans le Minnesota et le Colorado, et qu’il planifie de faire de même prochainement dans d’autres villes américaines et canadiennes.
Le taux de fécondité de remplacement sain est de 2,1 [minimum plutôt, en dessous de ça, c’est le dépeuplement*]. Le taux de fécondité mondial se situe actuellement à 2,4. Cependant, des chercheurs pensent que le taux de fécondité mondial est en baisse, et estiment que celui-ci passera sous la barre des 1,7 d’ici 2100. Toujours selon ces chercheurs, vingt-trois pays devraient connaître une baisse de plus de 50 % de leur population. Selon ces mêmes chercheurs, cette baisse drastique de leur population entraînerait une crise économique, ces pays devenant incapables de soutenir leurs programmes de sécurité sociale. De plus, selon ces mêmes chercheurs, la population active deviendrait insuffisante par rapport à la population retraitée, nécessitant de repousser l’âge de la retraite — de 8,4 ans d’ici 2050 selon les prévisions de ces chercheurs. D’après ces chercheurs, le désastre économique serait si imminent dans certains pays, comme la Hongrie, le Danemark, l’Italie, et Singapour, que ces pays ont mis en place des mesures pour encourager les couples à avoir plus d’enfants, et non moins.
Lire la suiteUne Britanno-Colombienne demande le suicide assisté pour cause d’isolement dû au confinement
Par Alex Schadenberg (Coalition pour la prévention de l’euthanasie) Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pxfuel
Rob Munro rapporte sur l’Infonews de Kelowna qu’une femme de Colombie-Britannique, Shirley Turton âgée de 78 ans, a demandé à sa famille de lui procurer le suicide assisté, parce qu’elle se sent « enfermée dans une prison de soins de longue durée » à cause du [confinement supposément anti*] COVID-19.
Munro rapporte donc que la fille de Shirley Turton a déclaré que sa mère n’était pas en phase terminale mais qu’elle y est rendue :
Elle est déprimée, n’a pas envie de manger et ne peut même pas porter un verre d’eau à ses lèvres, mais surtout elle est seule.
Mme Turton a une famille attentionnée :
Lire la suiteAvant le confinement du COVID-19 en mars, la famille avait engagé une aide privée qui emmenait Mme Turton sortir, lui faisait couper les cheveux et autres choses du genre trois jours par semaine. Les membres de la famille lui rendaient régulièrement visite et l’emmenaient à la ferme de sa fille Molgat, à la plage, pour regarder les petits-enfants jouer dans l’eau, ou lui apportaient des repas maison.
Après que la famille eût été exclue, ils essayèrent de tenir des réunions sur zoom, mais Mme Turton n’arrivait pas à tenir la tablette. Une aide-soignante le déposait sur ses genoux et quittait la pièce. Mme Turton regardait au plafond et autour dans sa chambre pour essayer de comprendre d’où venaient les voix.
Ils ne pouvaient la visiter qu’en regardant à travers une fenêtre ou une clôture en fer forgé, mais, dit Molgat, cela leur donnait l’impression d’être en prison et, comme la voix de Mme Turton est si faible et qu’elle se trouvait à vingt pieds de distance, la conversation n’était pas praticable.
Colombie-Britannique : recommandé de mettre un masque pour les relations sexuelles avec un étranger…
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Freepik
Encore un exemple d’incohérence de la part d’autorités imposant un confinement désastreux. Le British Columbia Centre for Disease Control (BC-CDC) a publié un guide visant à diminuer les chances de propagation du covid-19 par le biais des relations sexuelles, notamment celles extra-conjugales, rapporte LifeSiteNews :
Le British Columbia Centre for Disease Control (BC-CDC) a publié une liste de suggestions sur la manière d’accroître la « sécurité » de l’intimité sexuelle durant la pandémie COVID-19, bien que de nombreux points approuvent tacitement les rapports sexuels occasionnels avec des étrangers.
[...] l’agence reconnaît que le risque d’attraper le COVID-19 augmente avec le nombre de partenaires sexuels d’une personne, mais elle ne déclare aucune limite ferme sur le sujet.
Il y est fait recommandation de ne pas s’embrasser, de porter un masque ou un préservatif, et autres conseils accompagnés d’illustrations obscènes, indique LifeSiteNews.
Si le virus est aussi dangereux que certains voudraient le faire croire, pourquoi ne pas mettre des limites aux relations sexuelles qu’un individu pourrait entretenir avec plusieurs autres. Ces conseils reviennent à mettre de minces barrières devant des occasions de contagions très probables ; tandis que d’autre part on paralyse la société entière afin de ralentir le plus possible la propagation DU virus par tous les moyens imaginables. Ce guide ne fera que rassurer les individus qui auraient pu craindre de répandre le coronavirus, les amenant à s’engager dans des comportements qui comportent d’extrêmes probabilités de dissémination du virus ; ça me fait penser à certaines propagandes qui recommandent l’usage du préservatif pour « sécuriser » les relations de nombres d’individus, ce qui n’a pour résultat que de les inciter à s’y jeter avec plus d’ardeur puisque se croyant protégés.
Bien sûr, la question morale est passée par-dessus bord depuis belle lurette.
Encore une fois, il n’y a pas de cohérence chez les grands-prêtres (athées) du culte au Coronavirus.
Colombie-Britannique : un juge empêche un organisme de soins palliatifs de se définir chrétien
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Ake/Rawpixel
C’est sous prétexte de manipulations que le juge a interdit à un organisme en soins palliatifs de se définir comme chrétien, geste qui l'aurait légalement exempté de pratiquer l’euthanasie dans son hospice, selon LifeSiteNews :
Un juge canadien a empêché un organisme de soins palliatifs d’organiser un vote des membres, en vue de devenir une association chrétienne, ce qui, si la proposition avait été adoptée, l’aurait exemptée de l’obligation légale d’autoriser l’euthanasie — la mise à mort de patients malades par piqûre létale — sur place.
La Delta Hospice Society qui gère l’Irene Thomas Hospice, un établissement de dix lits, a prévu de lancer le vote par correspondance auprès de ses 1 500 membres lors d’une réunion spéciale ce lundi.
Mais le juge Shelley Fitzpatrick de la Cour suprême de Colombie britannique a ordonné l’annulation de la réunion à la demande de trois anciens membres pro-euthanasie du conseil d’administration, rapporte la CBC.
Le prétexte :
Le requéreur pro-euthanasie Chris Pettypiece a déclaré à la CBC que le juge avait statué le 12 juin que le conseil d’administration de l’association avait agi de mauvaise foi, dans le but de manipuler le vote par le rejet de demandes d’adhésion.
Pettypiece a déclaré que le juge ordonna au conseil de fournir une liste de tous les membres et de toutes les demandes rejetées aux requérants, qui comprennent également l’ancien président du conseil Jim Levin et l’ancienne directrice exécutive par intérim de l’hospice Sharon Farrish.
Mais Mme Ireland [présidente du conseil] a fait valoir dans une déclaration sous serment que le conseil d’administration avait rejeté 310 demandes d’adhésion et en avait accepté d’autres sur la base de ce qu’il pouvait ou non déterminer si un candidat respecterait la constitution de l’organisme, conformément à la loi sur les sociétés qui stipule que les membres « doivent respecter la constitution et les règlements ».
Elle a souligné que la société perdrait 11 500 dollars en « coûts irrécupérables », dont les 8 500 dollars dépensés pour l’impression et l’envoi des bulletins, si la réunion spéciale était annulée ou reportée.
Le conseil municipal de Delta s’en mèle aussi :
Par ailleurs, le conseil municipal de la ville de Delta a approuvé à l’unanimité une motion lundi, informant le conseil d’administration de l’association que sa friperie, qui collecte des fonds pour ses programmes à domicile, perdra son exonération fiscale si l’association modifie ses statuts pour limiter l’adhésion de nouveaux membres, rapporte le Delta Optimist.
Canada : libéré de l’injonction au silence, un père dénonce ces juges qui placent l’idéologie LGBT entre lui et sa fille
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Freepik
Le père de Colombie-Britannique qui avait lutté pour empêcher la « transition » de sa fille devant les tribunaux, qui lui donnèrent tort et lui imposèrent même une injonction au silence, est maintenant capable de s’exprimer légalement, l’injonction n’ayant pas été renouvelée pour cause de confinement (la bonne blague ! ― s’il y avait de quoi rire…), selon MassResistance :
Depuis plus de deux ans, des membres du personnel scolaire, des psychologues et des militants LGBT en Colombie-Britannique amenèrent la fille de Rob à croire que la raison de sa lutte contre la dépression, et autres problèmes, est qu’elle est vraiment un garçon. Ils encouragèrent et affermirent maintes fois sa nouvelle identité « masculine ». Ils travaillèrent avec des médecins pro-LGBT qui lui donnèrent des bloqueurs de puberté et des hormones masculines afin de la « changer » en garçon.
Rob n’en apprit rien avant qu’un an fût écoulé depuis le début de toute l’affaire. Il intenta une action en justice contre le district scolaire, le personnel, les médecins et d’autres personnes. On attribua un avocat militant LGBT à sa fille pour soutenir ses illusions et s’opposer à son propre père. Les tribunaux se sont prononcés contre lui et lui ont dit qu’il devait accepter cette folie transgenre, lui ordonnant même d’employer des pronoms masculins pour désigner sa fille.
Les tribunaux imposèrent également une injonction au silence à Rob. Il ne pouvait pas parler à la presse ou au public de ce que vivait sa fille, ni même discuter de la question avec sa fille. Il y a quelques mois, l’injonction au silence a été remaniée, lui permettant d’en parler avec sa fille et même de tenter de la dissuader, mais il ne pouvait toujours pas en parler à la presse. Le 15 avril, l’injonction au silence expira. Comme les tribunaux sont fermés en raison du virus COVID-19, l’ordonnance ne put être renouvelée.
Avant même la fin de l’injonction, ce courageux père tenta de s’exprimer publiquement, encourant donc la probable peine de 30 à 45 jours d’emprisonnement (RH c’est Rob Hoogland, le père, et MR, MassResistance, le journal à qui il a accordé une entrevue) :
Lire la suiteRH : Peu après la publication de l’entrevue passée avec MassResistance j’ai été au tribunal pendant quatre jours, devant le juge Tammen. À un moment donné, j’ai utilisé un pronom féminin en référence à ma fille, et il m’a réprimandé en disant « Comment osez-vous ! » En fait, il s’est levé et m’a crié dessus dans la salle d’audience pour avoir parlé de la sorte. Il me dit : « Pourquoi avez-vous fait cela ? » Et j’ai répondu : « Je l’ai fait parce que je suis le seul à agir dans l’intérêt de ma fille. » Il n’a vraiment pas aimé que je dise ça. C’est l’état épouvantable du système judiciaire actuel du Canada.
Le père qui voulait empêcher la «transition» de sa fille pourrait être poursuivi, ayant enfreint l’ordonnance lui interdisant de parler aux médias
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : freepik
Suite de l’affaire de ce père de Colombie-Britannique qui a combattu pour que sa fille ne « transitionne » pas en « garçon », selon LifeSiteNews :
Le père canadien qui s'est rendu devant les tribunaux l'année dernière pour essayer d'empêcher les médecins de « transitionner » sa fille de 14 ans perturbée en « garçon » pourrait être inculpé d'outrage au tribunal pour avoir enfreint une ordonnance lui interdisant de parler aux médias.
La journaliste chrétienne Laura Lynn Tyler Thompson de Vancouver pourrait également être inculpée d'outrage au tribunal pour avoir diffusé une vidéo de son entretien avec le père le mois dernier.
Une ordonnance du tribunal interdit la publication de toute information qui pourrait permettre d'identifier l'une des parties de l'affaire, y compris le père, qui est désigné dans les documents du tribunal par le terme « CD ».
Mais alors même que le juge de la Cour suprême de la Colombie-Britannique Michael Tammen a saisi mardi le procureur général de la province afin qu'il envisage de poursuivre les deux personnes, un autre journaliste s'est lancé dans la mêlée.
La jeune fille n’a pas demandé que ses avocats poursuivent son père pour ses infractions à l’ordonnance :
Ce qui est remarquable dans les procédures judiciaires des 9 et 10 mars, c'est que les avocats de la fille, dont fait partie l'activiste « queer » Barbara Findlay, ont admis qu'ils n'agissaient pas à la demande de leur cliente, qui a maintenant 15 ans et ne veut probablement pas poursuivre son père, a déclaré Thompson à LifeSiteNews.
Les avocats ont alors demandé que le juge renvoie l'affaire au procureur général pour qu'il envisage de poursuivre Thompson et le père pour outrage au tribunal.
Canada : un père enfreint l’injonction au silence imposée au sujet de la « transition » de son enfant
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Quand le père d’une fille de treize ans apprit que celle-ci voulait « transiter » en garçon il s’y opposa. Hélas, derrière sa fille se rangeaient ceux qui lui avaient conseillé de « changer » de sexe, des promoteurs du transgenrisme, dont un psychologue, et sa mère qui l’a soutien dans ce délire. L’affaire fut amenée devant les tribunaux, et se rendit jusqu’en Cour suprême de Colombie-Britannique.
Ce qui résulte de ce litige c’est que non seulement le père ne peut empêcher la « transition » de sa fille, qui a maintenant quinze ans, mais il doit s’adresser à sa fille comme à un garçon en employant le prénom masculin qu’elle s’est choisi (s’il utilisait par exemple son véritable prénom cela serait de la « violence familiale »), et il n’a pas le droit de divulguer, par rapport à cette affaire, son nom, celui de sa fille, celui de la mère, du psychologue et des médecins qui procèdent à la « transition ». Il doit aussi ne pas parler des détails de cette affaire avec les médias ni parler de sa fille comme d’une fille.
Il passa outre, s’exprimant deux fois en entrevues qui furent publiées très récemment sur internet, encourant, ainsi que deux autres personnes, le courroux du tribunal. D’après LifeSiteNews :
Lire la suiteUn juge de Colombie-Britannique a averti un père, se battant pour empêcher les médecins et les tribunaux de faire « transiter » son enfant de 15 ans de fille en garçon, de ce qu’il devait respecter une injonction au silence ou faire face à une accusation d’outrage au tribunal.
Le juge de la Cour suprême de Colombie-Britannique Michael Tammen a également mis en garde la blogueuse chrétienne Laura-Lynn Tyler Thompson, qui a été convoquée au tribunal le 12 février avec le père pour avoir enfreint une interdiction de publication en ayant mis en ligne, la semaine précédente, une entrevue du père.
Le militant transgenre Jenn Smith a également été traduit en justice pour violation présumée de l’interdiction de publication, dans le cadre d’une action intentée contre le trio par les avocats de la fille, rapporte le Vancouver Sun.
Tammen a ordonné à Smith d’annuler son entretien en ligne avec le père prévu pour ce soir-là, et a ordonné à Thompson de retirer sa vidéo d’internet.
Tammen les a avertis tous trois que s’ils enfreignaient de nouveau les ordonnances du tribunal, les avocats de la fille — dont fait partie l’activiste « queer » Barbara Findlay — pourraient intenter une action pour outrage au tribunal contre eux.