Haine antichrétienne : quatorze églises brûlées ou vandalisées au Canada
Incendie de l'église Saint-Jean-Baptiste de Morinville en Alberta.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Oui, quatorze églises ont été brûlées ou vandalisées au Canada ces derniers temps, suite à la découverte (ou redécouvertes plutôt) de centaines de tombes non marquées sur le site d’anciens pensionnats autochtones, tenus autrefois pour la plupart par l’Église catholique, dans le cadre d’un programme créé par le gouvernement canadien. Une vague de haine, de délire et d’accusations irrationnelles à l’encontre de l’Église s’en est suivie, soigneusement attisée par les médias et le gouvernement. Comment la réaction aurait-elle pu être différente puisqu’on insinue que l’Église a réalisé une sorte de génocide autochtone par le biais de ces pensionnats ?
Onze églises catholiques, une anglicane, une église presbytérienne et une autre église protestante en tout ont été l’objet d’incendies suspects ou de vandalisme — dont onze à Galgary seulement selon un rapport de police, la plupart dans la nuit du 1er juillet, rapporte le Galgary Herald rapporte :
- Saint Bonaventure Catholic Church au 1600 Acadia Dr. S.E.
- Saint Elizabeth of Hungary Catholic Church au 819 13th Ave. S.W.
- Saint Mary’s Cathedral au 219 18th Ave. S.W.
- Sacred Heart Church and Columbarium au 1307 14th St. S.W.
- Grace Presbyterian Church au 1009 15th Ave. S.W.
- Saint Luke’s Parish u 1566 Northmount Dr. N.W.
- Holy Trinity Church at 1525 45th St. S.E.
- Saint Anthony’s Catholic Parish au 5340 4th St. S.W.
- All Nations Full Gospel Church au 1403 8th Ave. S.E.
- Saint Joseph Catholic Church u 640 19th Ave. N.W.
- Assumption of the Blessed Virgin Mary Ukrainian Catholic Church au 704 6th St N.E.
Plusieurs églises vandalisées — statue de Jésus couverte de peinture rouge, graffitis sur les portes — portaient des messages peints en rouge, tels que : « Condamnez les prêtres », « Nos vies comptent » ou encore « 751 » — sans doute par allusion aux 751 tombes récemment découvertes sur l’ancien site de la Marieval Indian Residential School en Saskatchewan, rapporte le Galgary Herald.
L’église catholique Saint-Jean-Baptiste de Morinville, située au nord d’Edmonton en Alberta, a été réduite en cendre le 30 juin, rapporte Le Devoir
L’église catholique Sainte-Kateri-Tekakwitha, sur le territoire de la première nation mi’kmaq Sipekne’katik au nord d’Halifax en Nouvelle-Écosse, a été endommagée par un incendie le 30 juin, selon Le Devoir.
L’église anglicane St. John’s, située sur la réserve des Six Nations en Ontario, a pris feu le 14 juin, rapporte Horizon Québec Actuel.
Lire la suiteLe taux de suicide assisté en Colombie-Britannique est maintenant parmi les plus élevés au monde
Par Anne Marie Williams (LiveActionNews) — Photo : Freepik
De nouvelles statistiques effrayantes sur les taux de suicide assisté en Colombie-Britannique, la province la plus à l’ouest du Canada, montrent qu’en 2020 celle-ci a enregistré le plus grand nombre de décès par euthanasie dans tout le Canada.
Quatre pour cent (4 %) de tous les décès survenus en Colombie-Britannique en 2020 étaient attribuables à l’aide médicale à mourir (AMM), le nom canadien du suicide assisté par un médecin. Ce chiffre est 60 % plus élevé que les taux d’AMM dans l’ensemble du Canada, 2,5 % de tous les décès canadiens en 2020 étant attribuables à l’AMM. Ce taux de 2,5 % représente tout de même un bond de 25 % par rapport à l’année précédente, où seulement 2 % de tous les décès étaient attribuables à l’AMM.
L’augmentation des taux d’AMM, à la fois en Colombie-Britannique et dans l’ensemble du Canada, a généralement précédé l’assouplissement des « garde-fous » de l’AMM, en mars 2021, afin de permettre aux malades mentaux sans diagnostic de fin de vie de « bénéficier » de cette pratique. La diminution des restrictions est susceptible d’entraîner une nouvelle flambée des décès par AMM en 2021.
En outre, l’augmentation du nombre de décès par suicide assisté en Colombie-Britannique rivalise presque désormais avec les taux des tristement célèbres pays du « Benelux » — la Belgique, les Pays-Bas et le Luxembourg — où la pratique est légale depuis le plus longtemps et se trouve la moins restreinte et qui, sans coïncidence, présentent les taux les plus élevés au monde. Il est inquiétant de constater que, dans ces pays, cinq pour cent de tous les décès annuels sont dus à l’euthanasie.
Lire la suiteLe gouvernement canadien, responsable des conditions des pensionnats amérindiens comme celui de Kamloops
Pensionnat résidentiel de Fort Resolution dans les Territoires du Nord-Ouest.
Par Michael Haynes — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Bibliothèque et Archives Canada/Wikimedia Commons
Kamloops, Colombie-Britannique, 15 juin 2021 (LifeSiteNews) — De sombres accusations ont été portées contre l’Église catholique après la découverte récente des tombes non marquées de 215 enfants du pensionnat de Kamloops, autrefois géré par elle. Pourtant, un rapport du début des années 1900, rédigé par un inspecteur médical à l’époque, révèle des taux excessivement élevés de tuberculose chez les enfants autochtones et un manque important de soutien financier de la part de l’État.
Chargé de ce dossier peu après le début du 20e siècle, cet inspecteur médical canadien a rédigé un rapport explosif, que le gouvernement a refusé de publier, documentant les lacunes des pensionnats financés par l’État et la manière dont les manquements de l’État permettaient aux infections tuberculeuses de se propager largement.
Le Dr Bryce et les pensionnats
En janvier 1904, après une carrière médicale déjà remarquable, le Dr Peter H. Bryce a été nommé Inspecteur médical du ministère de l’Intérieur et des Affaires indiennes du Canada et s’est vu confier spécifiquement les dossiers de santé des peuples autochtones du Canada.
Dans le cadre de ses fonctions, le Dr Bryce a étudié les problèmes de santé des bandes autochtones et rédigé un rapport annuel. En 1907, il a effectué une inspection spéciale de 35 pensionnats autochtones et a rédigé un rapport détaillé et accablant sur les conditions de vie.
Toutefois, les recommandations qu’il formula dans son rapport n’ont pas été publiées par le gouvernement, qui en jugea le contenu trop embarrassant parce qu’il présentait un résumé détaillé de la « condition sanitaire » des écoles. Bryce a fait des révélations choquantes et a ensuite publié ses conclusions en 1922 dans un petit livre intitulé « The Story of a National Crime » [Le récit d’un crime national]. Son rapport et ses recommandations ont également été divulgués à la presse après la tentative de dissimulation de l’État.
Lire la suiteLe Charnier de Kamloops
Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pikist
L’autre douleur
Les croyants discourent parfois sur l’impuissance de Dieu. Ils concluent généralement que cette impuissance apparente résulte de la conformité du Tout-puissant avec sa Nature qui est Amour.
On réfléchit peu, cependant, aux limites de Satan. Lui aussi, pourtant, a des limites même si celles-ci ne sont pas dictées par sa nature mais plutôt par son appétit. En effet, le Malin ne cherche pas le pouvoir temporel, c’est la perversion des âmes qui l’attire. Ce qu’il désire par-dessus tout, c’est le consentement lucide de l’âme au mal. Pour lui, la mort du juste est une défaite, c’est sa chute qu’il recherche. Pareillement, il ne veut pas nous faire croire à ses mensonges, il veut nous y faire adhérer. Ainsi, plus son pouvoir s’accroît, plus il se révèle car ceux qu’il trompe entièrement demeurent des innocents. C’est pourquoi, plus les âmes se soumettent à ses agendas, plus il fait de bavures car c’est en percevant le mal et le mensonge qu’elles y consentent davantage. La Bête exige des rituels pour la même raison car ceux-ci demandent des consentements prémédités.
Ainsi, quand une communauté fait preuve d’une grande obéissance devant un danger vraiment grave, c’est sans intérêt pour le Malin puisque ce comportement est conforme à la droiture. Par contre, quand on se soumet beaucoup devant une menace légère, alors la Bête frétille car une telle servilité est remplie de lâchetés, de calculs, de compromis et d’abdications.
Pareillement, quand un mensonge est trop parfait, il devient inutile puisqu’il ne compromet personne. Ce que la Bête recherche, c’est une tromperie cousue de fil blanc qui suscite une grande indignation. Dans ce cas, en effet, ceux qui s’indignent (ou se taisent) devinent l’imposture et participent donc à la manipulation. Quand leur agitation débouche sur un rituel de soumission alors la Bête est au comble du plaisir.
Cette dernière réflexion m’amène au sujet de cet article : le « Charnier de Kamloops ». Il y a quelques jours (début juin 2021) on a découvert les ossements de deux cent quinze enfants sur le site d’une école résidentielle à Kamloops, en Colombie-Britannique. Aussitôt, les médias ont mentionné les mots « hécatombe », « charnier ». Peut-être pas tout à fait un charnier, a-t-on vite corrigé, mais quelque chose de semblable… Quoi donc, précisément, personne ne l’a spécifié. À mot couvert, on suggère une fosse commune, des enfants jetés là, n’importe comment, en cachette, la nuit. Il y avait deux cent quinze petits squelettes, on les a comptés, travail de rigueur ! Certains « survivants » ont mentionné des funérailles nocturnes (rituels inquiétants), mémoire tribale ! On aurait donc découvert, au Canada, un charnier de petites victimes assassinées comme ceux qu’on trouve en Syrie et ailleurs. Quelle horreur !
Lire la suiteLa découverte de tombes d’enfants à Kamloops demande une enquête rigoureuse et non une attaque sournoise et non fondée contre l’Église
Pensionnat de Kamloops.
Par Michael Haynes — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Wikimedia Commons
Kamloops, Colombie-Britannique, 9 juin 2021 (LifeSiteNews) — La triste découverte de 215 tombes d’enfants non marquées au pensionnat indien de Kamloops a suscité beaucoup de chagrin et d’indignation, ainsi que des attaques virulentes contre l’Église catholique.
Malgré cette réaction rapide, de nombreuses questions subsistent sur cette affaire. L’auteur canadien Michael O’Brien, lui-même ancien élève de l’un de ces pensionnats, a mis en garde contre le danger d’accuser l’Église de meurtre avant d’avoir obtenu des informations réelles sur les tombes récemment découvertes, y compris sur le contexte de la période des pensionnats.
Rosanne Casimir, chef de la Première nation Tk'emlups te Secwépemc, a révélé le 28 mai que les corps de 215 écoliers, dont certains n’avaient que trois ans, avaient été découverts sous terre grâce à un radar à pénétration de sol. Casimir a mentionné que c’était un « fait connu dans notre communauté », ce qui a mené à la recherche et à la découverte des corps.
Casimir a également noté que « ces enfants disparus sont des décès non documentés », ajoutant que de nombreuses questions restaient sans réponse, et laissant entendre qu’il était possible de trouver d’autres corps en attendant une enquête plus approfondie. Elle l’a décrit comme une « perte inconcevable, dont on parlait, mais qui n’avait jamais été documentée au pensionnat indien de Kamloops ».
Mme Casimir a noté que l’enquête était en cours depuis le début des années 2000, précisant que les récits d’anciens élèves avaient alimenté le désir de rechercher les tombes.
À la suite de cette découverte, des attaques virulentes ont été lancées contre l’Église catholique, qui dirigeait le pensionnat alors que l’État le finançait, et le sentiment anticatholique dans les médias grand public est à son comble.
Le système des pensionnats
Le pensionnat de Kamloops, situé dans le sud de la Colombie-Britannique, a été géré par l’Église catholique de 1890 à 1969, date à laquelle le gouvernement fédéral a pris en charge la gestion de l’établissement et l’a transformé en externat jusqu’à sa fermeture en 1978. À son apogée, Kamloops comptait plus de 500 enfants inscrits dans les années 1950 et était autrefois la plus grande école du réseau de pensionnats.
L’école a été confiée à la direction des Oblats de Marie Immaculée en 1893, sur ordre du gouvernement. Cependant, en 1910, le directeur a signalé que le gouvernement ne fournissait pas suffisamment de fonds pour nourrir correctement les enfants. Un rapport similaire a été fait dans les années 1920.
En 1924, le bâtiment a été partiellement détruit par un incendie.
L’école faisait partie du système national des pensionnats du Canada, dans le cadre duquel des enfants autochtones étaient injustement retirés de leur famille¹ et emmenés dans ces écoles dans le but supposé de les éduquer et de les assimiler à la culture non autochtone. Ces écoles étaient en grande partie gérées par l’Église catholique, bien qu’elles ne fussent en aucun cas exclusivement sous la responsabilité de l’Église catholique, puisque d’autres confessions chrétiennes géraient également certaines de ces écoles.
Lire la suiteUn juge de Colombie-Britannique reconnaît trois « parents » pour un enfant…
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : jcomp/Freepik
Décidément, ça ne va pas au Canada. En Colombie-Britannique un juge vient de décider que les trois membres d’un groupe de concubins (« triade polyamoureuse ») allaient se voir tous reconnaître « parents » de l’enfant que deux d’entre eux ont eu naturellement. Selon Gènéthique :
Olivia vit avec Bill et Eliza depuis 2016. En 2018, Eliza a donné naissance à Clarke, dont Bill est le père biologique. Clarke ayant été conçu naturellement, Eliza et Bill ont été reconnus automatiquement comme ses parents sur son certificat de naissance, mais Olivia voudrait aussi être « parent à part entière ». Si Clarke avait été conçu par procréation assistée, Olivia, Bill et Eliza « auraient pu conclure un accord pour que tous soient déclarés parents en vertu d’un article différent de la loi sur le droit de la famille ».
Et pour le juge britanno-colombien, les membres de ce groupe où un enfant a été conçu par voie naturelle devraient tous pouvoir également se faire reconnaître comme « parents » ― ce qui est somme toute logique, mais d’une logique qui découle de prémisses absurdes, comme le fait de reconnaître la PMA comme une chose bonne et le fait de reconnaître trois parents à un enfant issu d’un tel procédé…
Un père canadien en prison pour 6 mois pour avoir parlé de sa fille, qui se veut transgenre, comme d’une fille…
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : diegoattorneyPixabay
Rob Hoogland, cet homme de Vancouver en Colombie-Britannique, père d’une jeune fille qui s’est fait pousser au transgenrisme par l’école qu’elle fréquentait au début de l’affaire, est maintenant en prison pour six mois. Son crime ? Avoir osé appeler « fille » sa fille ou employer le pronom « elle » à son propos, malgré l’interdiction de la cour en charge du procès qui opposait le père à sa fille, influencée par des activistes LGBT… International Family News rapporte :
Un père canadien est aujourd’hui en prison pour avoir simplement fait ce que tout parent aimant ferait, à savoir protéger son enfant d’un danger clair et présent.
Le vendredi 16 avril, Rob Hoogland — un facteur de Vancouver, en Colombie-Britannique — a été condamné à une peine de 6 mois de prison. Son crime ? Appeler sa fille « elle », s’insurger contre l’endoctrinement « idéologie du genre » auquel son enfant était soumis à l’école, et défendre son enfant contre l’agression médicale imposée à sa famille par l’État.
Hoogland est en prison aujourd’hui pour ces « crimes ».
Colombie-Britannique — un père emprisonné pour avoir qualifié sa fille de fille et utilisé le pronom féminin « elle »
Par Pour une école libre au Québec ― Photo : Rawpixel
Un mandat d’arrêt a été lancé par un juge pour l’arrestation d’un père après que celui-ci ait appelé sa fille biologique* « sa fille » et qu’il ait utilisé le pronom « elle » pour se référer à elle. Hoogland a été reconnu coupable d’outrage au tribunal.
Hoogland est le père d’une fille biologique* de 14 ans qui s’identifie comme transgenre et préfère que l’on utilise des pronoms masculins pour parler d’elle. Hoogland a appelé à plusieurs reprises cette personne sa fille, bien que le tribunal lui ait interdit de le faire.
Mardi, à 10 h, heure de Vancouver, Hoogland s’est rendu au tribunal en réponse au mandat d’arrestation du procureur général de la Colombie-Britannique pour outrage au tribunal. Il a été arrêté et emprisonné. Le mandat a été délivré par le juge Michael Tammen le 4 mars 2021.
Hoogland s’oppose à ce que son enfant subisse des procédures médicales « affirmatives de genre » et a répété cette opposition à de multiples reprises, dans l’espoir de sauver son enfant d’un préjudice irréversible. Le système médical canadien, le système juridique et la mère de l’enfant, pour leur part, accélèrent la transition sociale et médicale de l’enfant. Notons, qu’à l’inverse, la justice britannique recommande l’arrêt des transitions de genre avant 16 ans.
Le 14 décembre 2020, la juge Francesca Mazari a contraint Hoogland d’approuver la « transition » de genre de sa fille de quatorze ans et lui a interdit d’appeler sa fille biologique sa fille. En réponse, Hoogland a contesté cette décision en invoquant son droit à la liberté d’expression protégé par la Charte.
Lire la suiteUn député canadien diffuse un beau message sur la famille, les pro-avortement se confondent de rage
L'affiche créée par le député Garnett Genuis, novembre 2020.
Par Jonathon Van Maren ― Traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo : Garnett Genuis/Twitter
11 novembre 2020 (LifeSiteNews) — Dans l’étrange monde où les progressistes vivent, il y a beaucoup d’enfants non désirés, mais pas d’avortements non désirés. L’avortement, selon eux, est un bien intrinsèque qui doit être célébré par tous. Cela est particulièrement vrai pour les libéraux du Canada, qui ne cessent d’évoquer l’avortement tout en refusant de condamner le fœticide, même lorsqu’il vise l’élimination des petites filles. Lors des dernières élections, Justin Trudeau a même tenté de faire entrer l’avortement dans le cycle de l’actualité en annonçant que s’il était auparavant personnellement opposé à l’avortement mais politiquement favorable à celui-ci, il le soutenait désormais à la fois personnellement et politiquement. Quel que soit son niveau de soutien, il s’avère que les bébés avortés restent morts.
Nous avons récemment eu droit à un autre exemple de l’enthousiasme des libéraux pour l’avortement. Une organisation appelée One Child One Planet avait lancé une campagne publicitaire à Vancouver, se présentant sous la forme d’un panneau d’affichage comportant la photo d’un enfant noir et le slogan « Le cadeau le plus affectueux que vous puissiez offrir à votre premier enfant est de ne pas en avoir un autre ». Le député Garnett Genuis riposta à cette campagne dans un éditorial dans The Post Millennial, en qualifiant la publicité de raciste. Il lança alors une campagne publicitaire de son cru dans les transports en commun de Vancouver. Les publicités présentent une photo de trois enfants souriants et une citation de Mère Teresa : « Comment pourrait-il y avoir trop d’enfants ? C’est comme dire qu’il y a trop de fleurs ».
Lire la suiteCertaines personnes ont affiché une annonce raciste à Vancouver, disant à tout le monde de n’avoir qu’un seul enfant ou pas d’enfant du tout. J’y ai répondu avec une annonce dépeignant mes enfants, disant essentiellement que les enfants sont merveilleux. Hedy Fry s’est plainte de la deuxième annonce, mais pas de la première.
– Garnett Genuis (@GarnettGenuis) 3 novembre 2020
Colombie-Britannique : une paroisse catholique jugée pour avoir refusé un événement LGBT !
Par Antoine Béllion (Avenir de la Culture)
Cette affaire scandaleuse s’est passée au Canada et perdure depuis le printemps de l’année dernière. En mars 2019, la paroisse catholique Star of the Sea située à White Rock en Colombie-Britannique avait refusé une demande de la White Rock Pride Society d’organiser une collecte de fonds nommée « Love Is Love »/« Pride Week » à la salle paroissiale de l’église.
Le groupe pro-gay accuse la paroisse d’avoir « catalogué » le groupe comme non bienvenu pour utiliser les locaux de l’église en vue de promouvoir l’homosexualité. La White Rock Pride Society a alors porté plainte auprès du Tribunal des droits de l’homme en juin 2019, affirmant que la paroisse avait « désigné » le groupe comme n’étant pas le bienvenu, alors que d’autres groupes sont autorisés à l’utiliser.
« Ce faisant… la paroisse a porté atteinte à la dignité, aux sentiments et au respect des membres de la Pride Society, qui s’identifient comme faisant partie de la communauté LGBTQ + et la soutiennent », a déclaré le président de la société, Ernie Klassen.
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