Delta Hospice Society menacé d’être expulsé de sa dernière propriété
Par Alex Schadenberg (Coalition pour la prévention de l’euthanasie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : jokekung/Adobe Stock
En février 2021, le ministère de la Santé de la Colombie-Britannique a cessé de financer la Delta Hospice Society (DHS) parce qu’elle refusait de tuer ses patients par euthanasie. La bataille pour l’existence de la DHS se poursuit depuis lors.
La DHS a tenu une assemblée générale annuelle en ligne les 26 mars et 2 avril, au cours de laquelle il a élu 10 membres du conseil d’administration et adopté des résolutions garantissant son opposition continue à l’euthanasie et au suicide assisté, appelés Aide médicale à mourir (AMM) au Canada. 76 % des membres ont voté pour rester opposés à l’AMM.
Divulgation : Alex Schadenberg a été élu au conseil d’administration de la DHS.
Le maire de Delta BC, George Harvie, a maintenant demandé au premier ministre de la Colombie-Britannique, John Horgan, d’exproprier les biens restants de la DHS.
James Smith, journaliste pour le Surrey Now Leader a rapporté :
Lire la suiteLe maire de Delta, George Harvie, demande au premier ministre John Horgan de « prendre toutes les mesures » possibles pour s’assurer que l’argent recueilli au Hospice Cottage Charity Shoppe de la Delta Hospice Society (DHS) soit utilisé pour soutenir les soins palliatifs dans la communauté.
La demande de M. Harvie, formulée dans une lettre datée du 13 avril, survient après que les membres de la société aient voté en faveur d’amendements à la constitution et aux règlements administratifs rejetant formellement l’aide médicale à mourir.
La Colombie-Britannique supprime le « langage genré obsolète » des règlements officiels du gouvernement
Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Rawpixel.com/Adobe Stock
1er avril 2022, Victoria, Colombie-Britannique (LifeSiteNews) — Le gouvernement de la Colombie-Britannique a annoncé qu’il allait supprimer toute référence au sexe des personnes dans ses règlements officiels.
Selon le Vancouver Sun, le gouvernement de la Colombie-Britannique a supprimé « près de 750 occurrences » de « langage sexué désuet » de ses règlements provinciaux jusqu’à présent en 2022. Les termes dits « désuets » comprennent « il », « elle », « lui-même », « elle-même » et même « père », « fils » et « tante », dans « certains cas ».
« L’utilisation d’un langage inclusif partout où nous le pouvons ne fait pas que supprimer les obstacles aux services, elle protège également les droits des personnes », a déclaré Grace Lore, la secrétaire parlementaire pour l’équité entre les sexes. « C’est une façon pour le gouvernement de rendre la vie un peu plus facile aux milliers de Britanno-Colombiens qui font face à des obstacles inutiles en raison d’un langage désuet et d’aider à lutter contre les préjugés sexistes ».
En plus de la suppression des références à la biologie humaine, le terme « abus de substances » a été modifié pour devenir « consommation de substances », car la province et sa ville la plus peuplée, Vancouver, connaissent un nombre record de décès par surdose de drogues.
La volonté d’effacer ce que l’on appelle le « langage genré » fait partie intégrante du programme LGBTQ, et plus particulièrement d’un signal de soutien à la communauté « transgenre ».
Lire la suiteBonne nouvelle : le Delta Hospice Society élit un conseil d’administration qui s’oppose à l’euthanasie
Par Alex Schadenberg (Coalition pour la prévention de l’euthanasie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : WavebreakMediaMicro/Freepik
Excellente nouvelle : Plus de 75 % des membres de Delta Hospice Society ont voté pour l’élection d’un nouveau conseil d’administration qui s’oppose à l’euthanasie (AMM) et ils ont également appuyé la modification de la constitution et des règlements du groupe. De nombreux partisans de la Coalition pour la prévention de l'euthanasie sont également membres de Delta Hospice Society.
En février 2021, le ministère de la Santé de la Colombie-Britannique a retiré son financement à Delta Hospice Society (DHS) et exproprié son bâtiment de 10 lits parce que le DHS refusait de participer à l’euthanasie.
Le samedi 26 mars, une réunion en ligne a été organisée pour que les membres de Delta Hospice Society votent pour élire un nouveau conseil d’administration et sur une constitution et des règlements révisés afin que Delta Hospice Society fournisse des soins palliatifs qui affirment la vie jusqu’à sa fin naturelle. La réunion du 26 mars n’a pas été terminée et a été complétée le 2 avril.
Il y a eu des problèmes avec la plateforme en ligne mais tous ceux qui ont participé à la réunion ont pu voter en ligne ou par téléphone.
J’ai été élu au conseil d’administration de DHS. L’Euthanasia Prevention Coalition soutient la direction et les objectifs de Delta Hospice Society.
Delta Hospice Society lancera bientôt son projet de création d’un hospice indépendant, financé par des fonds privés et ne pratiquant pas l’euthanasie (AMM). DHS s’engage à créer des lieux sûrs pour mourir.
Canada : le convoi des camionneurs pour la liberté
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Note : je rectifie le passage où j'écris que les camionneurs ne semblent pas avoir de chefs officiels, du moins ils semblent extrêmement bien organisés. — Mise à jour : 1er février 2021.
Depuis le 23 janvier 2022, un colossal convoi de camions parti de Colombie-Britannique se dirige lentement (comparativement à la circulation ordinaire) vers la capitale canadienne. Ayant franchi la frontière ontarienne le 26 janvier, les camionneurs de l’ouest convergent vers Ottawa avec le convoi de l’est, qui traverse actuellement la Nouvelle-Écosse, ainsi que d’autres convois de partout au Canada.
Le Freedom Convoy 2022 compte, dans son contingent occidental seulement, plus de 50 000 camions et 500 000 participants, dont des partisans enthousiastes qui suivent en voitures, formant une file de plus de 70 km. Partout où les camionneurs passent, la population les acclame, montrant son soutien à ce formidable mouvement qui a pour but de forcer, en bloquant la capitale, le gouvernement fédéral à lever toutes les mesures « sanitaires » qu’il impose depuis près de deux ans aux Canadiens.
While @JustinTrudeau dismisses history in the making, the world is watching Canadian truckers lead the charge against vaccine mandates. #FreedomConvoyCanada #FreedomConvoy2022 #freedomconvoy22 pic.twitter.com/Q9UYsrxzHH
— Bright Light News (@BLNewsMedia) January 27, 2022
L’élément déclencheur de cette manifestation pacifique et légale a été l’imposition de la vaccination obligatoire aux camionneurs pour la traversée de la frontière canado-américaine, d’abord le 15 janvier par le gouvernement canadien, puis le 22 janvier par celui américain ; jusqu’à maintenant, les camionneurs bénéficiaient d’une exception en vertu de leur service essentiel leur permettant de voyager à l’étranger. Ce fut la goutte qui fit déborder le vase. Ce dernier coup menace directement l’approvisionnement en denrées essentielles des Canadiens, depuis l’imposition de la vaccination aux camionneurs des pénuries se font déjà sentir dans les commerces, aussi bien à l’ouest en Alberta qu’à l’est au Québec ; le premier ministre de l’Alberta affirme sur Twitter avoir reçu des rapports de pénuries dans sa province :
Je reçois des photos comme celle-ci des épiceries de l’Alberta ce matin.
C’est en train de devenir une crise. Elle exige une action immédiate de la part des gouvernements canadien et américain.
Lire la suiteI’m getting pictures like this from grocery stores across Alberta this morning.
— Jason Kenney (@jkenney) January 24, 2022
This is turning into a crisis. It requires immediate action by the Canadian & US governments. pic.twitter.com/nEmbSgX2BU
Canada: une maison pour famille d’enfant hospitalisé expulse la famille non vaccinée d’un enfant leucémique
Par Kennedy Hall — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : StockPhotoPro/Adobe Stock
12 janvier 2022, Vancouver, Colombie-Britannique (LifeSiteNews) — Le Manoir Ronald McDonald de Vancouver est sur le point d’expulser les familles qui ne fournissent pas de preuve de vaccination avec l’un des vaccins COVID expérimentaux et contaminés par l’avortement. Les maisons Ronald McDonald accueillent les familles dont les enfants hospitalisés ont moins de 21 ans.
Austin Furgason, père d’un enfant de 4 ans atteint de leucémie et traité depuis octobre, a partagé sur son compte Facebook une vidéo montrant une lettre de l’association Ronald McDonald House Charities British Columbia and Yukon annonçant l’expulsion liée au vaccin.
Dans son échange enregistré avec le directeur de la Maison, M. Furgason a précisé au personnel qu’il n’est pas anti-vaccins en règle générale, et a dit que son enfant avait reçu d’autres vaccins.
Le responsable lui a répondu que cette politique était mise en œuvre « pour réduire les risques pour l’ensemble de la maison », ce qui a immédiatement fait dire à M. Furgason que cela « n’a pas de sens » car on peut toujours propager le virus même si on est vacciné.
Le fait que les vaccins n’empêchent pas la propagation du COVID a été admis par la directrice des Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC), Rochelle Walensky. Elle a déclaré à CNN que ce que les vaccins « ne peuvent plus faire, c’est empêcher la transmission ».
Lire la suiteUn travailleur de la santé décrit un manque de personnel « cauchemardesque » dû au licenciement de non-vaccinés
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Mongkolchon/Adobe Stock
10 octobre 2021 (LifeSiteNews) — Le licenciement de travailleurs de la santé non vaccinés dans la province canadienne de la Colombie-Britannique (C.-B.) a aggravé une crise de pénurie de personnel hospitalier déjà existante, et un travailleur l’a décrit comme un scénario de « cauchemar ».
Selon un article du The Epoch Times, un employé nommé Jay, qui travaille à l’hôpital Eagle Ridge de Port Moody, a déclaré que l’hôpital manquait déjà de personnel, même avant le COVID.
Jay a déclaré que le gouvernement et les médias ne cessent de dire que « les patients non vaccinés taxent le système », alors qu’en réalité, cela est dû à un manque de travailleurs.
« Je ne cesse de dire aux gens que c’est une crise de personnel », a déclaré Jay, selon The Epoch Times, ajoutant : « Ce qu’ils ne disent pas vraiment aux gens, c’est qu’il y a déjà une crise de personnel ».
« Et cela est exacerbé par le fait que les gens sont stressés et épuisés », a-t-il ajouté.
À Menno Place, un établissement de soins de longue durée à Abbotsford, la directrice générale Karen Biggs a déclaré que la nuit, ils en perdent le sommeil et que toute la situation de la dotation en personnel est un vrai « cauchemar ».
Mme Biggs a déclaré, comme l’a rapporté The Epoch Times, qu’elle a perdu un total de 19 employés occasionnels en raison des mandats de vaccin COVID. Elle a ajouté qu’il était difficile de trouver des travailleurs dans un bassin d’employés déjà restreint.
Lire la suiteUn tribunal canadien condamne un restaurateur qui n’utilisait pas les pronoms « transgenres » de son employée…
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : lightfield studio/Adobe Stock
Ils l’ont plus précisément condamné à cause du renvoi de ladite employée qui a été mise à la porte du restaurant parce que ses exigences en matière de pronoms transgenres — auxquelles l’employeur refusait de se plier — rendaient pénible l’atmosphère entre eux deux ; chose impardonnable pour les juges ! iFamNews rapporte :
Malgré les demandes de l’employé d’être appelé par les pronoms « non binaires », le propriétaire du restaurant avait l’habitude de s’adresser à l’employé par un pronom féminin, étant donné que la personne en question est une femme biologique*. La confrontation entre les deux est devenue telle que le restaurant a licencié l’employé. Pour les juges, il s’agit d’un geste qui « s’apparente à de la discrimination ».
Les magistrats ont décidé que l’employée prétendument lésée aurait droit à une indemnité de 30 000 $ ! Tandis qu’ils ont condamné le restaurateur à inscrire dans ses politiques relatives aux employés l’assurance que ces derniers se verront nommer conformément à leurs noms et pronoms choisis, ainsi qu’à leur donner un cours d’au moins deux heures sur les droits de l’homme sur les lieux du travail…
Il est une chose que je tiens à souligner dans le jugement inique de ces juges, c’est que certaines parties, prises littéralement, semblent retourner du simple bon sens — mais elles sont encastrées dans une logique perverse :
« Comme le nom, les pronoms sont une partie fondamentale de l’identité d’une personne. Ils sont un moyen principal pour les gens de s’identifier les uns les autres. L’utilisation de pronoms corrects indique que nous voyons et respectons une personne pour ce qu’elle est. »
Et si précisément nous voulons respecter la personne en utilisant les pronoms corrects en rapport de ce que nous voyons qu’elle est, nous utiliserons précisément les pronoms qui correspondent à la réalité, à ce qu’elle est, c’est-à-dire en se fiant aux faits, et aux faits biologiques mêmes qui définissent qu’une personne est un homme ou une femme. Nous ne nous fierons pas aux élucubrations subjectives de l’individu sur sa propre personne, invérifiables pour le reste de l’humanité.
Cet étrange état de choses, qui a donné un jugement tel, remonte à 2016 où la loi C-16, qui a introduit le concept d’« identité de genre » dans la loi canadienne, a été adoptée sous l’égide de Trudeau fils. Selon iFamNews :
En 2016, [... le Canada] a adopté une loi — connue sous le nom de C-16 — qui a ajouté le concept d’ » identité de genre » à la race, la religion, l’âge, le sexe et l’orientation sexuelle à la clause de protection d’une autre loi, celle qui protège les droits de l’homme. La loi en question prévoit l’emprisonnement de ceux qui incitent à la haine contre une personne précisément en raison de son « identité ou expression de genre » et, selon certaines lectures qui ont circulé dans les médias, elle peut même servir de motif pour condamner à la prison ceux qui « abusent » du pronom d’une personne.
*Remarquez que puisqu’une femme l’est du fait de sa biologie, de sa génétique même, elle ne peut donc pas devenir homme, d’où il est absurde de parler de « femme biologique » quand on veut mentionner une vraie femme, car en fait de femme, il n’y a que des femmes biologiques. La même chose est vraie pour les « hommes biologiques ». — A. H.
Nos pasteurs doivent s’élever contre la coercition covidienne : Lettre ouverte à l’archevêque de Vancouver
Mgr J. Michael Miller, archevêque de l'archidiocèse de Vancouver.
Par Stephanie Gray Connors — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Canuck Clay/YouTube
19 octobre 2021 (LifeSiteNews) — Cher Monseigneur Miller, il y a environ une semaine, alors que j’allaitais ma fille nouveau-née, j’ai lu les nouvelles concernant la contrainte exercée sur les diacres de l’archidiocèse de Vancouver pour qu’ils reçoivent le vaccin COVID sous peine de ne pas pouvoir exercer leur ministère diaconal. Je suis profondément troublée par votre prise de position.
Je me permets notamment de vous écrire publiquement maintenant parce que je vous ai écrit une lettre privée il y a un an, accompagnée d’une excuse que vous auriez pu utiliser pour résister aux pressions injustes du gouvernement, et pour vous offrir l’aide juridique du meilleur avocat avec lequel j’ai travaillé en 20 ans de résistance à la censure institutionnelle. J’ai observé avec consternation comment, par exemple, vous avez cédé à la pression du gouvernement et fermé vos églises au culte public. Avec cette dernière décision, je suis obligée d’élever à nouveau la voix, et j’espère que le fait de le faire publiquement vous aidera davantage à changer de cap.
Vous savez que j’aime l’Église et l’archidiocèse de Vancouver, dans lequel j’ai été élevée. Vous savez que je l’ai fidèlement servie tout au long de ma vie. En particulier, j’ai formé ses séminaristes et ses prêtres pendant 20 ans, j’ai pris la parole ces dernières années lors d’un séminaire de formation pour ses diacres, j’ai fait partie de son conseil de communication et j’ai formé les parents des écoles catholiques dans le cadre d’un des programmes du CISVA. J’ai été maître de cérémonie à la One Conference. J’ai fait des dons aux paroisses locales ainsi qu’au Projet Advance et à divers ministères gérés par le RCAV. Alors oui, j’aime l’Église catholique et j’aime l’archidiocèse de Vancouver. Mais je suis très, très déçue. Comme l’a dit un jour le Dr Martin Luther King, fils, « Il ne peut y avoir de déception là où il n’y a pas d’amour profond ».
En allaitant mon bébé, je n’ai pu m’empêcher de penser au passage de l’Écriture : « Comme ce sera terrible en ces jours-là pour les femmes enceintes et les mères qui allaitent ! » (Matthieu 24:19) Je dis cela parce que votre position, telle que décrite dans la lettre de Mgr Gregory Smith, ainsi que la façon dont l’archidiocèse a cédé à la pression du gouvernement au cours de l’année dernière, conduit à l’abandon de la prochaine génération de fidèles laïcs.
Lire la suiteJustin Trudeau, le dictateur pro-mort du Canada
Par Peter Borromeo (peterborromeo.com) — Traduit et publié par Campagne Québec-Vie avec permission
Pour se préparer à prendre le contrôle absolu du peuple, les marxistes en Chine et en Russie, et les nazis en Allemagne ont créé des divisions parmi les citoyens, désignant des groupes distinctement identifiables à considérer comme des ennemis. Une fois les préjugés inculqués, les citoyens maltraitaient et attaquaient les groupes ciblés. Le gouvernement donnait son approbation tacite par son silence ou en encourageant la violence. C’était le cas pour les Juifs en Allemagne. Les nazis présentaient les Juifs comme la cause de tous les problèmes du pays. Ce préjugé instillé à l’égard des Juifs a conduit à des attaques violentes et à la persécution de ceux-ci par leurs concitoyens. En fin de compte, ce sont les nazis qui ont déclenché le génocide des Juifs, tandis que la population générale, pleine de préjugés, est restée les bras croisés pendant que l’holocauste se déroulait.
Lorsque les régimes communistes ont pris le contrôle de certains pays, ils ont mis la main sur les médias afin de maîtriser et de subvertir la population. Ils ont également reconnu que l’Église catholique est une religion universelle (mondiale) qui enseigne que toute vie humaine est sacrée pour Dieu et que la famille nucléaire est fondamentale pour établir une société juste. L’Église condamne formellement le communisme comme un mal et, par conséquent, les communistes interdisent la pratique de la foi catholique. En introduisant le divorce sans faute et en légalisant la contraception, l’avortement et l’euthanasie, les communistes tentent de détruire l’Église et la famille nucléaire. Cependant, ils savent qu’être humain, c’est être religieux et ils ne peuvent donc pas se contenter de laisser un vide, mais ils veulent plutôt introduire une nouvelle religion où les gens vénéreront l’État.
Le contrôle des médias grand public est essentiel pour exercer le contrôle souhaité par les marxistes sur la population. La Société Radio-Canada (SRC), qui a un passé de partialité anti-chrétienne, est financée par les contribuables à hauteur d’un milliard de dollars par an. Selon le journaliste Derek Fildebrandt, Trudeau a progressivement influencé le contenu de divers médias et magazines par un long processus de réglementation, d’octroi de licences et de subventions. Écrivant dans le journal Western Standard le 10 octobre 2020, il a révélé comment l’infiltration marxiste a permis à Trudeau de mener à bien son plan visant à placer l’ensemble des médias canadiens sous la supervision du gouvernement.
« Dans son budget 2019, le gouvernement Trudeau a déployé près de 600 millions de dollars de subventions pour les médias sélectionnés qui obtiennent l’approbation du gouvernement fédéral. Désormais, l’écrasante majorité des médias canadiens est achetée et payée par le gouvernement fédéral. En particulier, par le Parti libéral, qui a accordé de généreuses subventions des contribuables aux médias qui se conforment à ses diktats. »
La « presse libre », qui est essentielle à la protection de la démocratie canadienne, a été achetée par Trudeau et, comme telle, n’existe plus.
Ayant réussi sur ce front, Trudeau a présenté au Parlement un projet de loi qui donnerait à son gouvernement le contrôle du contenu des médias sociaux. Il n’a pas été en mesure de mener à bien cette facette de son plan avant que le Sénat n’aille en vacances d’été. Si des élections sont déclenchées entre-temps [ce qui est le cas*], le projet de loi mourra, mais s’il est réélu, il peut et veut réessayer. Les libéraux ont déjà rédigé une proposition de ce qu’ils aimeraient voir figurer dans cette nouvelle législation. La majeure partie de cette proposition est remplie de sujets tels que les discours haineux et l’incitation à la violence, qui sont déjà couverts par la législation existante. La répétition de ces questions a pour but de dépeindre les opposants au projet comme étant en faveur de ces crimes, tout en dissimulant ce qu’ils cherchent réellement à accomplir. C’est-à-dire censurer ce qu’ils considèrent comme un discours nuisible dirigé contre eux-mêmes. En cas de succès, critiquer Trudeau et d’autres politiciens sur les médias sociaux pourrait devenir une infraction.
Lire la suiteUn message pro-vie se promène en autobus en Colombie-Britannique
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Le groupe pro-vie catholique Life Compass a lancé une campagne publicitaire pour sa ligne et son site d’aide aux femmes enceintes, faisant afficher sur des autobus un message à teneur pro-vie qui circulera entre Coquitlam et Maple Ridge, en Colombie-Britannique, rapporte B.C. Catholic :
Si vous conduisez derrière les autobus de TransLink sur la distance séparant Coquitlam de Maple Ridge, vous verrez peut-être des publicités en faveur de la vie grâce à Life Compass, le groupe catholique pro-vie du nord du Fraser.
Le président de Life Compass, Richard Whalen, déclare que le groupe avait acheté de la surface auprès de Lamar Advertising pour huit publicités à l’arrière des autobus pendant huit semaines, depuis le début de juillet.
M. Whalen affirme que ces publicités positives et édifiantes « peuvent sauver des vies ».
L’affiche à l’arrière du bus montre une femme souriante tenant un bébé heureux. Le message principal est le suivant : « Vous êtes plus forte que vous ne le pensez ». Le numéro de la ligne d’assistance téléphonique du groupe, 1-800-712-4357, et l’adresse de son site internet, Love4Life.ca, sont également indiqués.
Ce message est important, dit-il, « parce que tout le monde, de l’utérus à la tombe, devrait avoir le droit à la vie. C’est une liberté fondamentale dont nous devrions tous jouir. Et au Canada, aujourd’hui, si vous n’êtes pas encore né, vous n’avez pas cette liberté ».
Life Compass a dépensé près de 7 000 dollars pour la campagne publicitaire.