Une femme en hémorragie appelle le 911 après que l'avortoir l'ait mise à la porte
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Un appel au 911 obtenu par Operation Rescue fait état du traitement inhumain infligé à une femme par un avortoir de Cleveland une fois son avortement terminé. La femme de 25 ans était encore en hémorragie après un avortement lorsque le centre d’avortement Preterm l’a mise à la porte, la forçant ainsi à composer le 911 par elle-même dans la rue. Le Preterm a un historique de femmes blessées et même tuées.
« Je suis à l’extérieur de Preterm et je saigne abondamment », peut-on entendre la femme dire au répartiteur du 911. « Comme ils m’ont juste... ils m’ont juste laissée saigner comme ça. »
Le répartiteur du 911 demande quel est le numéro de la chambre et la femme doit de nouveau déclarer qu’elle est à l’extérieur de la clinique. Elle dit que « tout le monde était prêt à partir. Ils sont prêts à fermer. » Elle s’est fait avorter à deux heures de l’après-midi le 9 novembre 2018, et à 17 h 50 ce soir-là, l’équipe d’avortement voulait rentrer chez elle.
Lorsqu’elle parle au répartiteur, il est évident que sa respiration est laborieuse. Elle affirme que le sang coule à travers ses vêtements, mais le personnel de l’avortoir ne pouvait se soucier plus de son bien-être. Ils l’ont littéralement mise à la rue une fois qu’ils ont obtenu son argent malgré le fait qu’elle avait une hémorragie. Il s’agit d’une violation des normes de soins dus aux patients. Avant d’être congédié, le patient doit être dans un état stable.
Lire la suiteCulture de vie : une jeune femme refuse d’avorter malgré son cancer – et vient d’accoucher d’un beau bébé en pleine santé
Aleks Patete et son fils nouveau-né, qui vint au monde le 26 août.
Par Jeanne Smits (Reinformation.tv)
Aleks Patete a choisi la vie pour son petit garçon, DJ, alors même que le corps médical l’incitait à avorter en raison d’un cancer à l’ovaire diagnostiqué lors de sa grossesse. La jeune femme, de Cleveland, Ohio, a refusé de mettre fin à la vie de l’enfant et celui-ci vient de naître, un beau bébé en pleine santé.
Il faut dire qu’Aleks Patete, 28 ans, estime lui devoir la vie. Elle s’était rendue à l’University Hospital de Cleveland en novembre dernier pour subir une échographie de routine à sept semaines de grossesse. C’est au cours de l’examen qu’on lui découvrit un kyste ovarien : on allait vite constater qu’il s’agissait d’un cancer.
« C’était un miracle. Le cancer aurait pu progresser bien davantage, et nous n’en aurions pas eu la moindre idée si je n’avais pas été enceinte. Dieu a envoyé DJ pour me sauver la vie », a-t-elle raconté à People Magazine.
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