Asia Bibi demande l’asile en France
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info)
Je trouve l’idée d’aller en France bien curieuse, je crains bien que Mme Bibi n’aille devant les ennuis en se rendant dans ce malheureux pays où les musulmans et les islamistes sont en plus grande proportion qu’au Canada. — A. H.
Asia Bibi, cette chrétienne pakistanaise condamnée à mort pour blasphème en 2010 au Pakistan, puis acquittée fin 2018 après une vaste campagne internationale de soutien, demande l’asile en France. C’est ce qu’elle a annoncé ce lundi 24 février sur RTL.
« J’ai le désir que le Président entende ma demande d’asile », a déclaré cette mère de famille pakistanaise qui ne peut retourner vivre dans son pays à cause des menaces islamistes qui pèsent sur sa vie. Selon ce que rapporte RTL, Asia Bibi va être reçue par Emmanuel Macron ce vendredi 28 février. En 2010, elle avait été condamnée à mort pour « blasphème » après avoir bu de l’eau d’un puits qu’elle aurait « souillé » par ce geste. Elle a finalement été acquittée fin 2018 après 11 ans de prison et a trouvé refuge au Canada.
Vivre en France « est mon désir », a indiqué Asia Bibi, expliquant qu’elle voulait « travailler aux côtés » d’Anne-Isabelle Tollet, avec qui elle a écrit un livre autobiographique, Enfin libre !
Comment notre monde a cessé d’être chrétien
Par l’historien Jean-Claude Dupuis, Ph. D. — Photo : Adobe Stock
Lorsque les historiens tentent d’expliquer la déchristianisation des années 1960, ils s’en tiennent généralement à de vagues idées comme l’évolution des mœurs, les transformations socioéconomiques ou l’émergence des nouveaux moyens de communication. Ces banalités n’expliquent finalement rien.
Mais l’historien Guillaume Cuchet (Université de Paris) va plus loin. Dans son ouvrage, Comment notre monde a cessé d’être chrétien (2018), il accuse le Concile Vatican II d’être directement responsable de l’effondrement. Son étude porte sur la France, mais ses conclusions peuvent s’appliquer, à quelques variantes près, au Québec et à tous les autres pays catholiques.
Le catholicisme français, nous dit Cuchet, n’était pas moribond à la veille du Concile. Les enquêtes du statisticien de l’épiscopat, le chanoine Fernand Boulard, montraient qu’en 1960, 94 % des Français étaient baptisés, 80 % faisaient leur communion solennelle, 60 % payaient la dîme, 60 % s’abstenaient de viande le vendredi, 30 % faisaient leurs pâques et 25 % assistaient régulièrement à la messe dominicale. Lors du recensement de 1872, 98 % des Français s’étaient déclarés « catholiques romains ». En 1960, 97 % des Français pratiquaient encore leur religion, quoique de façon souvent irrégulière. L’anticléricalisme républicain avait échoué. Le catholicisme était même en remontée depuis 1945. Les évêques de France entrevoyaient l’avenir avec optimisme.
Le courant fut inversé avant la fin du Concile Vatican II (1962-1965). Le chanoine Boulard recevait des rapports alarmants de toutes les régions de France. Il constata que le taux de pratique avait chuté de 30 % dès 1965-1966. Les évêques lui ont alors curieusement ordonné de ne plus recenser les fidèles. Les historiens disposent de nombreux chiffres sur le comportement religieux des Français entre 1945 et 1965. Mais après cette date, ils n’ont plus que des données partielles. Les évêques ne voulaient probablement pas révéler au grand jour la faillite de la pastorale conciliaire.
Selon Cuchet, le décrochage n’a pas été causé directement par les textes du Concile, ni par la réforme liturgique, mais plutôt par la « crise de la prédication des fins dernières ». Du jour au lendemain, les prêtres ont cessé de parler de l’enfer, du péché et du caractère obligatoire de la pratique. Ils ont adhéré, plus ou moins consciemment, à la théorie du théologien suisse Hans Urs von Balthasar (1905-1988) : l’enfer existe, mais il est vide. Les simples fidèles se sont alors dit : « Avant, tout était péché. Maintenant, plus rien n’est péché. Ce n’est pas sérieux leur affaire. »
Cuchet souligne l’importance du « catholicisme sociologique » pour le peuple. L’épiscopat français, dit-il, a commis une grave erreur en supprimant la communion solennelle, que l’on faisait vers l’âge de 14 ans. Cette cérémonie était une sorte de rite de passage entre l’enfance et l’adolescence. Les beaux souvenirs de la communion solennelle rattachaient les Français à l’Église catholique durant toute leur vie, et ils contribuaient souvent à les ramener à la foi dans leur vieillesse.
Les modernistes méprisaient la religiosité populaire. Ils prétendaient vouloir « démocratiser » l’Église, mais ils prônaient, en réalité, un « christianisme épuré » digne d’une « élite spirituelle ». Dans une société laïque, disaient-ils, les catholiques seront moins nombreux, mais plus authentiques. Ils oubliaient que Jésus-Christ était venu sur terre pour sauver le grand nombre, et non pas pour louanger une secte de cathares (katharos = pur).
Pour former une majorité, le Peuple de Dieu a besoin d’un État chrétien.
Urs von Balthasar est mort subitement, deux jours avant de recevoir le chapeau cardinalice des mains de Jean-Paul II. Il avait fait dessiner ses futures armoiries. Une image vaut mille mots.
Européennes : Viktor Orbán se tourne vers les partis souverainistes
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.Info)
Le Premier ministre hongrois, Viktor Orbán, se rapproche des souverainistes, notamment Matteo Salvini. A quelques semaines des élections européennes, le Hongrois a reçu le ministre de l’Intérieur italien, jeudi 2 mai. En invitant Salvini, Orbán montre qu’il se tourne vers des formations politiques qui lui sont plus proches politiquement.
C’est aussi le signal que le bras de fer engagé par le PPE, le Parti populaire européen, afin d’exclure le Fidesz, le parti d’Orbán, arrive à sa conclusion. Le PPE, cette fausse droite européenne, a fait son choix : Soros plutôt qu’Orbán !
Orbán a fait le sien : Salvini et leurs valeurs communes anti-immigration et en défense de la civilisation chrétienne d’Europe.
Asia Bibi quitte le Pakistan et arrive au Canada
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Enfin Asia Bibi est arrivée au Canada, où, espérons-le, elle pourra être en paix, loin des islamistes qui voulaient sa mort pour un prétendu blasphème contre Mahomet. En prison depuis 2010, Mme Bibi attendait sa pendaison, décidée en même temps par le tribunal qui avait « reconnu sa culpabilité » (il n’y aurait rien eu à lui reprocher combien même elle aurait vraiment insulté Mahomet). En appelant à une instance supérieure, elle finit par obtenir la reconnaissance de son innocence, après de longues années carcérales passées dans l’angoisse et les menaces, tant bien de l’intérieur de la prison que de l’extérieur. Extrait de la Catholic News Agency :
Asia Bibi, l’épouse et mère catholique qui a passé 9 ans dans le couloir de la mort pour accusation de blasphème au Pakistan, a quitté le pays et est arrivée en sécurité au Canada.
Selon l’agence de presse espagnole COPE, Mme Bibi, cette Pakistanaise, est arrivée au Canada, où elle et ses filles ont obtenu l’asile. Son état de santé serait délicat.
Des représentants du gouvernement pakistanais ont confirmé que Mme Bibi avait quitté le pays, mais n’ont pas indiqué sa destination.
Bibi, 53 ans, était en détention préventive à Islamabad depuis que sa condamnation à mort a été annulée à la fin octobre. Le verdict et sa libération subséquente de prison ont déclenché des protestations de la part des partisans de la ligne dure islamique qui soutiennent les rigoureuses lois contre le blasphème dans ce pays.
L’emprisonnement de Bibi a commencé en 2010 lorsqu’elle a été reconnue coupable de blasphème et condamnée à mort par pendaison. Les accusations découlaient d’accusations de 2009 selon lesquelles elle aurait tenu des propos désobligeants à l’égard du prophète islamique Mohammed après une dispute autour d’une tasse d’eau.
Une députée lance «Vive le Christ Roi» dans un discours à la Chambre des représentants du Brésil !
Christine Nogueira do Reis Tonietto.
Par Matthew Cullinan Hoffman ― traduit par Campagne Québec-Vie
1er mai 2019 (LifeSiteNews) ― Une députée brésilienne de la Chambre des représentants a prononcé le discours d'ouverture déclarant son engagement en tant que catholique envers « Le Christ, roi de l'Univers » et a terminé son discours d'ouverture par le cri, « ¡Viva Cristo Rey ! » (Vive le Christ Roi !).
Christine Nogueira do Reis Tonietto, communément appelée « Chris Tonietto », est une avocate de 27 ans, membre du Centre Dom Bosco, un mouvement qui cherche à enseigner aux catholiques la connaissance de la doctrine catholique et la pratique de la piété catholique, particulièrement en ce qui concerne la réception régulière des sacrements. Elle a été élue à la Chambre des représentants brésilienne l'année dernière en tant que membre du conservateur Parti social libéral, qui a également nommé l'actuel président du Brésil, Jair Bolsonaro.
« Je veux consacrer ce mandat, notre mandat, au Christ, Roi de l'univers, à Notre-Dame d'Aparecida, Patronne du Brésil, pays qui fut à l'origine nommé Terre de la Sainte Croix, » proclamait Mme do Reis Tonietto à ses collègues députés. « Je veux réaffirmer ici mon engagement moral à la défense de la vie depuis la conception, à la défense de la famille et des valeurs chrétiennes, à la lutte contre l'avortement, l'idéologie du genre, la corruption et le crime. »
Lire la suiteLe ministre de la Famille de Hongrie : soutenir la famille n’est pas du «nazisme»
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Image (montage) : German Federal Archives/Wikimédia Commons et Wikimédia Commons
« … Le Parlement hongrois a adopté le 1er avril une loi de taille importante en faveur de la famille, garantissant à divers couples mariés et familles des prêts sans intérêt, une aide hypothécaire et même des allocations de garde d’enfants pour les grands-parents, » rapporte le Catholic Register.
Ce journal a posé une série de questions concernant la famille au ministre de la Famille de Hongrie, notamment sur les politiques familiales récemment adoptées. Le Catholic Register continue :
Lire la suiteCe programme en sept points est une « étape importante » dans l’histoire de la politique familiale hongroise, déclare Katalin Novák, ministre hongroise de la Famille, dans une Europe qui renonce à sa culture chrétienne et « se suicide lentement ».
Mme Novák explique également dans cet entretien du 12 avril avec le Register pourquoi la Hongrie a adopté une approche aussi ouvertement pro-famille depuis 2010, une approche qui, selon les statistiques, a fait chuter le taux d’avortement de la Hongrie de 33,5 % entre 2010 et 2018, le mariage augmentant de 43 % et le divorce de reculant de 22,5 % entre 2010 et 2017.
Des personnalités politiques appellent «adorateurs de Pâques» les victimes chrétiennes des attentats au Sri Lanka !
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : fsHH/Pixabay
Plusieurs attentats à la bombe ont été perpétrés par des musulmans contre des chrétiens le jour de Pâques, faisant 320 morts et 500 blessés, selon de récentes estimations. Trois églises ont notamment été visées. Et au milieu de cette douloureuse nouvelle, plusieurs personnalités politiques dont Barack Obama et Hilary Clinton n’ont rien trouvé de mieux que de parler d’« adorateurs de Pâques » (Easter worshippers). Serait-ce pour éviter de dire « chrétiens » ou « catholiques » (la majorité des chrétiens au Sri Lanka sont catholiques) ? Plusieurs habitués de Twitter, dont Brittany Pettibone, n’ont pas manqué de remarquer l’étrangeté de la chose.
Whoa ! C’est plus répandu que je ne le pensais.
Chers frères et sœurs chrétiens, il semble que les démocrates sont en train de nous rebaptiser en « adorateurs de Pâques ».
Qu’est-ce qu’un adorateur de Pâques ?
Le terme que ces gens se donnent tant de mal à éviter est le mot « chrétien ».
Au chevet de Notre Dame comme au chevet d’une mourante…
Par Jeanne Smits (Le blog de jeanne Smits) — Photo (rognée) : LeLaisserPasserA38/Wikimedia Commons
Au chevet de Notre Dame comme au chevet d’une mourante, les Français sont redevenus ce qu’ils sont, une famille. Le silence unit les cœurs, angoissés. Passera-t-elle la nuit ? L’ont-ils assez aimée ? Ont-ils su lui dire combien elle était belle ? Ont-ils pensé à lui rendre visite, à cette vieille Dame, expression de la foi et de l’amour de tout un peuple — et en cela toujours rayonnante de jeunesse et de splendeur ?
Comme au chevet d’une mourante, ils ont laissé couler leurs larmes. Ils ont prié — et c’était la jeunesse qui priait, à genoux, le chapelet à la main, les mots des cantiques anciens et nouveaux sur les lèvres. Elle n’allait pas partir, n’est-ce pas ? Elle n’allait pas laisser Paris sans sa figure de Mère tutélaire ? Et la Sainte Couronne ? Cette coiffe de Roi, ces cruels roseaux tressés qui jadis lacéraient la Face du divin Fils de Marie, aujourd’hui source de grâce parce qu’elle fit couler son Sang adorable… serait-elle dévorée par les flammes ? Et les statues, et toutes ces merveilles rappelant à la France qu’elle est d’une famille baptisée, qu’elle est toujours une famille baptisée ?
Comme au chevet d’une mourante, on s’est souvenu des joies de Notre Dame. Soudain, une nation s’est rappelé quelle est sa culture. Sa richesse. Son âme… Quand l’être cher disparaît, on pense au bien qu’il fit, au vide qu’il laisse, à l’au-delà qu’il rejoint. On se serre. On se retrouve.
En brûlant, Notre Dame de Paris, cet être de pierres et de bois, de bronze et de verre, a embrasé le cœur des foules, et les foules ne se sont pas déchaînées. Elles ont, peut-être malgré elles mais sûrement grâce à Marie, renoué avec ce qui a civilisé, cimenté, amendé leur nature déchue.
Lire la suiteL’incendie de Notre-Dame de Paris, symbole pour l’Occident apostat ?
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Le désastre qui a frappé la cathédrale Notre-Dame de Paris hier est inexprimable, des vitraux ont été abîmés, son toit et sa charpente vieux de plus de 770 ans et d'avantage pour certaines parties ont complètement brûlé, sa grande flèche s’est abattue. combien d’autres dégâts a-t-elle à déplorer ? La structure a heureusement tenu, bien qu’une inspection soit nécessaire pour s’assurer des dommages qu’elle a dû souffrir.
Un trésor d’histoire s’est ainsi anéanti en peu de temps, un grand sanctuaire qui renferme la Couronne d’épines, sans doute essaiera-t-on de reconstruire ce qui a été perdu, mais, les églises ayant été confisquées par l’État et lui « appartenant » depuis 1905 et n’étant prêtées à l’Église catholique que pour un but religieux, Notre-Dame sera-t-elle réparée conformément à ce qu’elle était auparavant ou sera-t-elle l’objet des outrages de l’« art » contemporain ?
L’incendie de la Cathédrale Notre-Dame de Paris est un symbole pour l’Occident apostat, car il représente bien la destruction actuelle de la morale, de la foi et de la raison qui s’y opère, il est peut-être aussi un avertissement de la destruction qui menace la France et l’Occident s’ils continuent sur cette voie glissante… Extraits de Pierre et les Loups (traduction d'un article de Mark Mallett) :
Lire la suiteUn Occident qui renie sa foi, son histoire, ses racines [, sa culture] est condamné au mépris et à la mort.
— Cardinal Sarah, dix jours avant l’incendie ; Catholic Herald, le 5 avril 2019« Il n’y a pas de culture française. »
— Emmanuel Macron, février 2017 ; lefigaro.fr« Madame la Présidente, je suis dans un travail de démolition que je mène depuis cinq ans avec obstination... Donc, euh... Laissez-moi faire ! »
— François Hollande (parlant sans doute de la France, le démon ne cache même plus ses intentions !), de passage à la basilique de Saint-Denis, mars 2017 ; rt.com (Ajout de Pierre et les Loups.)C’est la perte du symbole du christianisme en Europe.
— Un commentateur de la CSNB lors de l’incendie du 15 avril 2019La société occidentale est une société dans laquelle Dieu est absent de la sphère publique et n’a plus rien à y dire. Et c’est pourquoi nous voyons une société dans laquelle se perd la mesure de ce qui est humain.
— Pape émérite Benoît XVI, Essai : « L’Église et le scandale des abus sexuels » ; har22201.blogspot.com, le 10 avril 2019
Orbán : «Nous devons décider, soit nous protégeons notre Europe chrétienne, soit nous nous rendons au multiculturalisme»
Viktor Orbán, Premier ministre de Hongrie.
Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Capture d'écran via Wikimedia Commons ― origine de la Photo : Deribaucourt.com, European People's Parti/Flickr
Viktor Orbán, Premier ministre de Hongrie, s’engage résolument à défendre une Europe chrétienne, et pour ce faire, il a un plan en sept points pour les élections européennes. Extraits d’About Hungary :
Alors que la campagne pour les élections au Parlement européen démarre officiellement le 13 avril, le Premier ministre Viktor Orbán a présenté son plan d'action en sept points qui sera mis en œuvre après les élections.
S'adressant à une foule cet après-midi au centre-ville de Budapest, il a parlé d'une élection qui aura un impact considérable. « L'Europe choisira son avenir à la fin du mois de mai », a-t-il déclaré, et l'immigration sera l'une des questions décisives.
[...]
« L'Europe choisira son avenir », a-t-il déclaré, décidant s'il y aura « des dirigeants de l'UE issus des partis pro-immigration ou de ceux qui s'opposent à l'immigration ».
« L'Europe restera-t-elle européenne ou cédera-t-on la place aux masses venant d'autres cultures », a demandé le Premier ministre, ajoutant que « nous déciderons de protéger notre culture européenne chrétienne ou de céder la place au multiculturalisme ».
Le plan en sept point de Viktor Orbán :
- La gestion des migrations doit être retirée aux bureaucrates de Bruxelles et rendue aux gouvernements nationaux.
- Nous devons dire clairement qu'aucun pays ne sera tenu d'accepter des migrants contre sa volonté.
- Personne ne devrait être admis en Europe sans papiers d'identité et documents valables.
- Nous devons abolir les cartes prépayées et le visa de migrant.
- Bruxelles ne devrait plus accorder de fonds aux ONG financées par George Soros [qui est pour les invasions de « migrants », l'avortement et qui soutient les mouvements LGBT]
- En Europe, personne ne devrait faire l'objet de discrimination parce qu'il se déclare chrétien.
- Que ceux qui ont le droit de décider, plutôt le Parlement européen et le Conseil européen, décident que les dirigeants qui s'opposent à l'immigration dirigent les institutions européennes