La surpopulation : un vieux mythe réfuté
Par Aidan Grogan (American Institute for Economic Research) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Konstantin Shishkin/Adobe Stock
Le prince Philip a déclaré un jour : « Au cas où je me réincarnerais, j’aimerais revenir sous la forme d’un virus mortel, afin de contribuer à résoudre le problème de la surpopulation. » Le défunt duc d’Édimbourg est décédé en 2021, mais le sentiment hystérique qu’il exprimait à propos de la surpopulation perdure.
Un sondage YouGov a révélé que les préoccupations liées à la surpopulation sont largement répandues parmi les adultes de la planète, près de la moitié des Américains interrogés estimant que la population mondiale est trop élevée. Ce point de vue est partagé par 76 % des Hongrois et 69 % des Indiens, selon le sondage.
La surpopulation et les catastrophes écologiques ont été les thèmes de nombreuses superproductions cinématographiques, dont ZPD (1972), Soleil vert (1973), Idiocracy (2006) et Elysium (2013). Les médias grand public ont à maintes reprises promu l’idée apocalyptique auprès du public, avec des titres tels que « La science prouve que les enfants sont mauvais pour la Terre. La morale nous suggère d’arrêter d’en avoir » (NBC News). Le magazine progressiste Fast Company a publié une vidéo intitulée « Pourquoi avoir des enfants est la pire chose que vous puissiez faire pour la planète ».
La théorie de la surpopulation et l’idée collectiviste selon laquelle la reproduction humaine doit être limitée, même par la force, ne sont pas nouvelles. Elles sont apparues pour la première fois dans l’ancienne épopée mésopotamienne d’Atrahasis, où les dieux contrôlent la population humaine par la stérilité, l’infanticide et la nomination d’une classe de prêtres chargés de limiter les naissances.
Lire la suiteLes experts en démographie préviennent que le monde doit craindre l’effondrement de la population, et non la surpopulation
Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Tomo/Adobe Stock
7 juin 2022 (LifeSiteNews) — Contrairement aux projections des Nations Unies, les démographes avertissent que des preuves récentes suggèrent que le monde se dirige vers un effondrement de la population, et non vers une ère de surpopulation.
Alors que les Nations unies prévoient que l’humanité continuera sur la voie d’une croissance démographique massive jusqu’en 2100, avec un pic à plus de 11 milliards, une étude démographique publiée dans The Lancet révèle que le monde n’est qu’à quelques décennies d’un déclin démographique brutal et conséquent.
Dans une étude publiée en octobre 2020 et intitulée « Fertilité, mortalité, migration et scénarios démographiques pour 195 pays et territoires de 2017 à 2100 : une analyse prévisionnelle pour l’étude sur le fardeau mondial des maladies », les chercheurs théorisent que la population humaine va continuer à croître jusqu’en 2064, pour atteindre environ 9,73 milliards d’habitants (actuellement, elle se situe autour de 8 milliards d’habitants), mais par contre, en raison des faibles taux de fécondité, la population devrait diminuer de plus d’un milliard d’habitants dans le reste du siècle.
L’étude, qui a récemment fait l’objet d’une large attention sur les médias sociaux, prévoit qu’en 2100, avec des taux de fécondité bien inférieurs au seuil de remplacement de 2,1 enfants par femme, la Chine ne comptera plus que 773 millions d’habitants, contre 1,39 milliard actuellement. Une telle baisse représente une diminution de la population de près de 50 %.
Si la Chine devait connaître la plus forte baisse en chiffres bruts, des pays comme la Thaïlande, le Japon et l’Espagne connaîtront une réduction de leur population bien supérieure à 50 %.
Si l’on considère uniquement les taux de fécondité, sans tenir compte de l’immigration, de nombreux pays connaissent déjà un déclin démographique rapide.
En 2020, le taux de fécondité aux États-Unis était de 1,6 enfant par femme, contre 3,7 en 1960. Dans des pays comme le Japon et la Chine, ces chiffres sont encore plus bas, de 1,3 à 1,5 selon les sources.
À l’échelle mondiale, le taux de fécondité était de 5,2 en 1960 et se situe aujourd’hui à 2,4. D’ici 2100, ce chiffre pourrait se situer en dessous du seuil de remplacement de 2,1.
Selon Charles I. Jones, économiste à l’université de Stanford, la différence entre un taux mondial de 5,2 et un taux inférieur à 2,1 est la différence entre « une croissance exponentielle de la population et du niveau de vie et une planète vide, où les revenus stagnent et la population disparaît ».
Bien que le récit de la surpopulation ait beaucoup de succès dans les médias, en partie parce qu’il est soutenu par les soi-disant activistes du changement climatique et les institutions mondialistes comme l’ONU, beaucoup tirent la sonnette d’alarme sur l’avenir de l’humanité depuis des décennies, alors que les taux de fécondité continuent de baisser.
L’un de ces experts, Steven Mosher, président du Population Research Institute, écrivait déjà en 1997 dans le Wall Street Journal :
Le problème à long terme de l’humanité ne sera pas d’avoir trop d’enfants, mais d’en avoir trop peu : trop peu d’enfants pour remplir les écoles et les universités, trop peu de jeunes gens entrant dans la vie active, trop peu de couples achetant une maison et une deuxième voiture. En bref, trop peu de consommateurs et de producteurs pour faire avancer l’économie.
L’implosion des marchés européens et la morosité économique du Japon ne tarderont pas à s’étendre aux États-Unis et au reste du monde. Pourquoi dépenser des centaines de millions de dollars par an en contraception et en stérilisation qui ne feront que rapprocher ce jour ?
Déclaration de Mgr Carlo Maria Viganò, archevêque et ancien Nonce apostolique aux États-Unis d’Amérique, sur la crise russo-ukrainienne
Publié en français par Fabien Laurent sur Médias-Presse Info
Appel à la création d’une Alliance Anti-Mondialiste pour unir
les peuples en opposition à la tyrannie du Nouvel Ordre Mondial
« Rien n’est perdu avec la paix. Tout peut l’être avec la guerre. Que les hommes recommencent à se comprendre. Qu’ils recommencent à négocier. En faisant ces pourparlers avec bonne volonté et dans le respect des droits réciproques, ils s’apercevront qu’un succès honorable n’est jamais exclu des négociations loyales et actives. Ils se sentiront grands — de la véritable grandeur — si, faisant taire les voix de la passion, aussi bien collective que privée, et faisant droit à la raison, ils épargnent le sang de leurs frères et soustraient leur Patrie a la ruine. »
Ainsi Pie XII s’adressa, le 24 août 1939, aux gouvernants et aux peuples dans l’imminence de la guerre. Ce n’étaient pas des paroles de pacifisme vide, ni de silence complice sur les nombreuses violations de la justice qui avaient lieu en de nombreux endroits. Dans ce message radio, qu’encore certains se souviennent d’avoir entendu, l’appel du Pontife romain invoquait le « respect des droits réciproques » comme prémisse à des négociations de paix fructueuses.
La narration médiatique
Si l’on observe ce qui se passe en Ukraine, sans se laisser abuser par les falsifications macroscopiques des grands médias, on se rend compte que le « respect des droits mutuels » a été complètement ignoré ; au contraire, on a l’impression que l’Administration Biden, l’OTAN et l’Union européenne veulent délibérément maintenir une situation de déséquilibre flagrant, précisément pour rendre impossible toute tentative de règlement pacifique de la crise ukrainienne, provoquant la Fédération de Russie pour déchaîner un conflit. Là réside la gravité du problème. C’est le piège tendu à la fois à la Russie et à l’Ukraine, les deux étant utilisées pour permettre à l’élite mondialiste de mener à bien son plan criminel.
Que l’on ne soit pas étonné si le pluralisme et la liberté d’expression, tant vantés dans les pays qui se prétendent démocratiques, soient quotidiennement désavoués par la censure et l’intolérance à l’égard des opinions qui ne sont pas conformes au récit officiel : les manipulations de ce type sont devenues la norme pendant la soi-disant pandémie, au détriment des médecins, des scientifiques et des journalistes dissidents, qui ont été discrédités et ostracisés simplement parce qu’ils ont osé remettre en question l’efficacité des sérums expérimentaux. Deux ans plus tard, la vérité sur les effets indésirables et la gestion peu judicieuse de l’urgence sanitaire leur donne raison, mais elle est obstinément ignorée parce qu’elle ne correspond pas à ce que le système voulait et veut encore aujourd’hui.
Si les médias du monde entier ont pu jusqu’à présent mentir sans aucune honte sur une question de stricte pertinence scientifique, en répandant des mensonges et en dissimulant la réalité, nous devrions nous demander pourquoi, dans la situation actuelle, ils devraient soudainement retrouver l’honnêteté intellectuelle et le respect du code de déontologie qu’ils ont largement répudiés avec la Covid.
Lire la suiteDes avortements forcés à l’État de surveillance : le plan de la Chine communiste pour une tyrannie mondiale
Par John-Henry Westen — Traduit par Campagne Québec-Vie
4 février 2022 (LifeSiteNews) — Dans cet épisode du John-Henry Westen Show, je me suis entretenu avec Steven Mosher, président du Population Research Institute et expert au sujet de la Chine.
Tandis que le monde entier se branche pour regarder les Jeux olympiques d’hiver de 2022 à Pékin, Mosher est mon premier invité d’une série spéciale d’épisodes exposant les violations des droits de l’homme en Chine. Il a été un véritable pionnier à cet égard, en attirant l’attention sur de nombreux abus en Chine au fil des ans, notamment sur la politique de l’enfant unique.
Dans son dernier livre : Bully of Asia : Why 'China's Dream' Is the Threat to the New World Order, Mosher affirme que la Chine de Xi Jinping veut remplacer l’ordre mondial actuel par un ordre mondial totalitaire sans compromis.
« Ils veulent renverser fondamentalement l’ordre mondial existant et le remplacer par quelque chose de très, très différent, de très sombre et de très hostile à la liberté, à la liberté de conscience, à la liberté d’association, à toutes les libertés qui nous sont chères », a-t-il déclaré.
Compte tenu de sa grande expérience et de sa connaissance du régime chinois, Mosher a été l’un des premiers à soupçonner — et finalement à être convaincu — que le virus à l’origine de la pandémie de COVID provenait de l’Institut de virologie de Wuhan.
« Si vous regardez la structure du virus lui-même, il présente des insertions inhabituelles que vous ne voyez jamais dans un coronavirus naturel », a-t-il expliqué. « Je ne le répéterai jamais assez. C’est le pistolet fumant. C’est la preuve intégrée dans le génome lui-même qui vous dit que cela ne pouvait pas venir de la nature, que cela a été créé artificiellement dans un laboratoire ».
Puis Mosher a évoqué l’origine de la politique de l’enfant unique et les horribles abus dont il a été personnellement témoin en 1980 dans la province du Guangdong qui borde Hong Kong.
« [Les autorités] ont fait le tour des maisons et… ont trouvé quelles femmes étaient enceintes de leur deuxième, troisième ou quatrième enfant. Et on a dit à toutes ces femmes qu’elles devaient avorter », a-t-il déclaré. « Elles ont été haranguées et menacées pendant des jours et des semaines… On leur a fait des injections létales dans l’utérus pour tuer leurs enfants à naître. Si leur grossesse était très avancée, elles subissaient des césariennes. On les ouvrait littéralement pour retirer leurs bébés morts ou mourants. »
Il y a beaucoup plus dans l’épisode d’aujourd’hui, pour l’écouter [vidéo en anglais] :
Le faste olympique ne peut cacher les horreurs du prélèvement d’organes forcé en Chine
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie
10 février 2022, Beijing (LifeSiteNews) — Alors que certains profitent des Jeux olympiques d’hiver parrainés par le Parti communiste chinois, rares sont ceux qui savent que de nombreux prélèvements d’organes ont lieu en Chine, dont le produit se retrouve dans d’autres pays du monde.
Beaucoup de pro-vie connaissent probablement les vidéos du Center for Medical Progress (CMP) montrant des cadres de Planned Parenthood discutant du prélèvement et de la vente de parties du corps de fœtus. Mais les institutions médicales américaines sont également complices du prélèvement d’organes sur des êtres humains non consentants.
Le Dr Weldon Gilcrease est oncologue à la faculté de médecine de l’université de l’Utah et au Huntsman Cancer Institute. Cet institut porte le nom de l’homme d’affaires américain Jon Huntsman père ; son fils Jon Jr a été ambassadeur en Chine sous la présidence de Barack Obama et ambassadeur en Russie sous la présidence de Donald Trump.
Le Dr Gilcrease voulait que l’Université de l’Utah cesse d’utiliser des organes provenant de Chine après avoir appris ce lien dans un rapport de 2019 d’un tribunal de Londres, a rapporté The Epoch Times. Un administrateur de l’université « m’a essentiellement dit qu’il n’y avait aucun doute dans son esprit que le Parti communiste chinois était capable de telles atrocités et que cela se produisait effectivement, mais que si nous disions quoi que ce soit, la Chine enverrait simplement tous ses étudiants au Texas », a déclaré Gilcrease au journal.
« Vous obtenez certainement un soutien au niveau individuel, mais lorsque vous essayez d’élever ce soutien au niveau de l’institution, c’est là que le silence devient assourdissant », a-t-il confié au journal.
Le PCC prélèverait des organes sur des prisonniers politiques, notamment des musulmans ouïghours et des pratiquants de Falun Gong.
« Ethan Gutmann, analyste et enquêteur chinois, a estimé que les organes de 65 000 pratiquants de Falun Gong et de 2 000 à 4 000 Ouïghours et Tibétains ont été prélevés de force entre 2000 et 2008 », relate The Epoch Times.
Lire la suiteLa Chine tente de réduire le nombre d’avortements pour redresser sa natalité
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : chikala/Adobe Stock
La Chine, le pays le plus peuplé du monde, « fait face à la fois à un ralentissement, mais aussi à un vieillissement démographique ». « Avec seulement 10,62 millions de naissances en 2021 contre 12 millions en 2020 et même 17,86 millions en 2016, » rapporte Le Monde
En 1980 le gouvernement communiste imposa la politique de l’enfant unique et la maintint jusqu’en 2016. Maintenant « Pour enrayer ce déclin, le pays autorise, depuis fin mai 2021, les couples chinois à avoir trois enfants. » ; amélioration qui ne résout pas le mal du contrôle de la population.
Avec de telles politiques, la pratique de l’avortement ne se fait certainement pas rare en Chine. Mais récemment, la « même association pour le planning familial qui, pendant des années, s’est immiscée dans l’intimité des couples et a contraint nombre de femmes à avorter, va désormais mener la politique inverse. Elle va “intervenir”, a-t-elle indiqué début février, pour contribuer à réduire le nombre d’avortements, en prônant le respect des “valeurs traditionnelles” auprès des femmes non mariées et des adolescentes qui souhaitent interrompre une grossesse. »
Déclaration surprenante pour une association qui a pour but le contrôle des naissances, n’hésitant pas à employer l’avortement comme moyen de supprimer les enfants non désirés !
Selon RFI « … il n’est pas question d’interdire l’avortement en Chine ». Par contre, la société de planification familiale chinoise explique que, « Nous voulons orienter davantage la façon dont les jeunes gens voient le mariage et la famille, réapprendre à élever plusieurs enfants dans une famille, promouvoir une nouvelle culture positive du mariage et de la parentalité ».
Ce changement d’attitude permettra-t-il un redressement de la natalité en Chine ?
Les précédentes politiques antinatales plus restrictives ont engendré une mentalité au sein de la population peu propice à un regain des naissances. En effet, rapportait la BBC « les citoyens chinois qui ont grandi sans frères ni sœurs n’apprécient pas l’idée d’avoir plus d’un ou deux enfants, estimant qu’ils sont trop difficiles ou trop chers à entretenir. Alors que les Chinois quittent de plus en plus la campagne, où les enfants sont appréciés pour leur capacité à aider les agriculteurs, et vont s’installer dans les villes, ils considèrent les enfants comme un handicap économique ».
Le gouvernement chinois ne manifeste d’ailleurs pas une grande cohérence dans cet apparent effort pour faire remonter la natalité, tant il est vrai qu’il continue à opprimer des portions entières de sa population : « au cours de la dernière décennie, et davantage ces quatre dernières années, le gouvernement chinois a mené ce que les critiques appellent une politique “génocidaire” à l’égard de sa minorité musulmane ouïgoure », souligne LifeSiteNews.
Le guide soigneusement planifié, étape par étape, que les élites mondiales utilisent pour mettre en œuvre la Grande Réinitialisation
Par le P. Frank Unterhalt — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : wlodi/Flickr
6 janvier 2022 (LifeSiteNews) — La prétendue pandémie COVID-19 fait partie du plan maçonnique du Nouvel ordre mondial et est utilisée comme instrument de la « Grande Réinitialisation » [1]. Dans cette optique, l’envoyé spécial des Nations Unies pour l’éducation mondiale, Gordon Brown, a appelé à la création d’un gouvernement mondial pour faire face au coronavirus [2].
L’auteur catholique Laurence England a donné la réponse appropriée : « Le gouvernement mondial unique a pour but le pouvoir pur et simple sur les populations, pas d’aider les gens. Ils veulent un monde d’esclaves. Il [Gordon Brown] était un participant-clé du Bilderberg » [3].
En fait, tout a été planifié longtemps à l’avance. Ainsi, en mai 2010, la Fondation Rockefeller a imaginé un scénario appelé « Lock Step » qui figurait dans un document intitulé « Scénarios pour l’avenir de la technologie et du développement international », dans lequel le monde serait gouverné au moyen d’un « contrôle gouvernemental de haut en bas plus strict et d’un commandement plus autoritaire » [4] lors d’une réponse pandémique fictive pendant laquelle diverses nations imiteraient les mesures extrêmes adoptées par le gouvernement chinois [5].
Les membres du Centre pour la sécurité sanitaire de Johns Hopkins, qui fait partie [6] de l’École d’hygiène et de santé publique Johns Hopkins [7] et qui a été créé grâce à un financement de la Fondation Rockefeller, ont rédigé en octobre 2017 un livre de 77 pages intitulé « The Spars Pandemic 2025-2028. A Futuristic Scenario for Public Health Risk Communicators » [8]. Il s’agit d’un « scénario de temps de guerre sur la façon dont la population devrait être contrôlée et surveillée dans une telle crise » [9].
Le Johns Hopkins Center for Health Security a organisé l’exercice de pandémie « Clade X » à Washington le 15 mai 2018 [10]. La recommandation principale était de produire de nouveaux « vaccins » et médicaments en quelques mois ─ et non pas au moins dix ans, comme cela a été le cas dans le passé. Une référence particulière a été faite aux récents développements en biologie synthétique et aux « vaccins » à ARNm auto-amplifiés. [11]
Une réunion remarquable appelée « Event 201 » s’est tenue à New York le 18 octobre 2019 [12]. L’objectif déclaré était de simuler une pandémie — causée par un nouveau coronavirus (!) [13]. Cet exercice a été organisé conjointement par le Johns Hopkins Center for Health Security, le Forum économique mondial (WEF) et la Fondation Bill & Melinda Gates [14].
Lire la suiteWikipédia envisage de supprimer un article détaillant les massacres perpétrés par les régimes communistes
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Tushar Singha/Wikimedia Commons
30 novembre 2021 (LifeSiteNews) — Wikipédia envisage de supprimer un article qui met en lumière les massacres brutaux commis par les régimes communistes, prétextant de « multiples problèmes » avec le contenu de la page, y compris une « neutralité » jugée contestable.
L’encyclopédie en ligne, modifiable par les utilisateurs, a signalé l’article intitulé « Mass killings under communist regimes » [Massacres sous les régimes communistes] comme pouvant être supprimé, lui ajoutant un en-tête qui détaille les « problèmes » que certains éditeurs bénévoles ont trouvés sur la page.
Parmi les « problèmes » cités par Wikipédia pour justifier l’effacement éventuel de l’article figurent de prétendus problèmes de « neutralité » et d’« exactitude » de la page. Wikipédia soutient également que la page « contient éventuellement une synthèse de matériel qui ne se rapporte pas au sujet principa ni ne le mentionne de manière vérifiable ».
Wikipédia envisage de supprimer cet article. Il me semble que c'est un sujet digne d'intérêt dont les gens devraient être au courant.
— Jon Levine (@LevineJonathan) 28 novembre 2021
L’article visé par la suppression résume les « exécutions, les décès dus aux famines artificielles et intentionnelles, ainsi que les décès survenus pendant le travail forcé, les déportations ou l’emprisonnement » sous les régimes communistes actuels et historiques, y compris l’Union soviétique, la République populaire de Chine et le gouvernement communiste d’Allemagne de l’Est après la Seconde Guerre mondiale.
Parmi les sujets abordés dans l’article figurent la Terreur rouge, au cours de laquelle le régime bolchevique russe a tué ou déporté entre 300 000 et 500 000 Cosaques entre 1919 et 1920, et le Grand Bond en avant de Mao Zedong dans les années 1940, au cours duquel des dizaines de millions de Chinois ont été tués par des exécutions, la torture et la famine délibérée.
Certains experts estiment qu’environ 100 millions de personnes ont été tuées sous le joug de la brutalité communiste.
Lire la suiteL’émergence de Nowa Huta — ou la nouvelle citée idéologique
Par Douglas Farrow — Traduit par Campagne Québec-Vie
L'émergence de Nowa Huta
Une société mondiale dans laquelle les citoyens ne sont que des points de données biométriques
Douglas Farrow
Nowa Huta ─ la Nouvelle fonderie [en polonais] ─ est une ville qui fut construite de toutes pièces à la périphérie de Cracovie à partir de 1949, en grande partie à des fins de propagande soviétique, mais aussi comme site d’industrie lourde. Ses habitants prolétaires étaient censés faire contrepoids à la bourgeoisie peu coopérative de la ville historique. Bien que l’endroit ne fût pas vraiment favorable pour une fonderie, de l’acier y serait produit. Les objectifs de propagande étaient moins sûrs de réussir. Éventuellement, le syndicat indépendant et autonome « Solidarité » finit par prendre le dessus, et le rideau de fer lui-même tomba.
L’athéisme d’État avait dicté que l’architecture impressionnante de cette ville utopique ne comporterait aucune église. Ce devait être une ville pour un peuple dont les seuls dieux seraient ceux du stalinisme. En 1960, cependant, des citoyens demandèrent l’autorisation de construire une église. Une croix fut érigée sans permis et des messes furent célébrées en plein air, même par un froid glacial. Chaque fois que la croix illégale était enlevée par les autorités, elle était rapidement remise en place. Un permis de construire fut finalement obtenu et en 1967, la construction de l’église Arka Pana [l’Arche du Seigneur] commença. Dix ans plus tard, elle était consacrée par le cardinal Karol Wojtyła, un an avant qu’il ne devienne pape. L’Arche du Seigneur avait résisté au déluge et s’était posée au cœur de Nowa Huta.
Une cinquantaine d’années plus tard. Les communistes chinois, sous la direction d’un homme aussi meurtrier que Staline, sont les nouveaux dirigeants de l’Orient. Le silicium est le nouveau symbole et l’instrument du pouvoir. Un étrange axe se forme entre l’Orient et l’Occident. Le son qui le caractérise n’est pas celui de l’acier percutant rythmiquement l’acier. La Nouvelle route de la soie en produit encore beaucoup, mais devant, derrière et au-dessus de tout cela, on entend le bourdonnement des données qui circulent par vagues dans le monde beaucoup plus silencieux du silicium et des satellites, de la fibre optique et des tours de communication 5 G. Une ville nouvelle et mondiale, une Babel invisible et presque invincible, est en train de s’ériger. Il y a de la place pour les églises. Les églises ont en effet été poussées à l’intérieur de ses murs ou séduites afin qu’elles en franchissent ses portes, elles y deviennent elles aussi invisibles, mais guère invincibles.
Le monde du silicium est le monde de la propagande par excellence. Ceux qui contrôlent le récit contrôlent tout, et ici il est tout à fait possible de contrôler le récit, comme nous l’avons appris récemment. Inondez la zone, comme on dit. Les contre-narratifs sont par définition de la « désinformation », et la désinformation peut être éliminée par des interventions algorithmiques ou d’autres formes de censure. Il n’est plus nécessaire de raser les églises ou de refuser les permis de construire. Laissez-les opérer dans le cyberespace, où elles peuvent être surveillées et disciplinées si elles s’éloignent trop de la narration. L’arche peut résider dans la ville, mais c’est la ville qui contrôle ses portes, les ouvrant et les fermant.
Lire la suiteUn nouvel article révèle une utilisation intensive de l’application de rencontre homosexuelle Grindr au Vatican
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pikist
27 juillet 2021 (LifeSiteNews) — La publication catholique The Pillar, dont la révélation explosive que le secrétaire général de la Conférence des évêques catholiques des États-Unis est un utilisateur régulier de l’application de rencontre homosexuelle Grindr a poussé celui-ci à démissionner, vient de lâcher une autre bombe, cette fois directement sur la Cité du Vatican.
Dans un article publié le 27 juillet 2021, The Pillar a indiqué qu’il a accès à une foule de données commerciales provenant de Grindr et d’autres applications de rencontre, montrant que celles-ci sont utilisées dans les zones non publiques du Vatican ─ et ces données sont similaires à celles auxquelles ils ont pu accéder et ensuite analyser aux États-Unis.
« L’utilisation intensive de l’application de rencontres basée sur la localisation est évidente dans les murs de la Cité du Vatican, dans les zones restreintes de la basilique Saint-Pierre, à l’intérieur des bâtiments du gouvernement de la Cité du Vatican et de l’administration du Saint-Siège, y compris ceux utilisés par le personnel diplomatique du Vatican, dans les bâtiments résidentiels et dans les jardins du Vatican, le jour et la nuit », explique The Pillar.
Leur enquête a montré qu’en 2018, « au moins 32 appareils mobiles ont émis des signaux en série de données d’applications d’accrochage ou de rencontre à partir de zones et de bâtiments sécurisés du Vatican ».
« Au moins 16 appareils mobiles ont émis des signaux à partir de l’application de rencontre Grindr pendant au moins quatre jours entre mars et octobre 2018 dans les zones non publiques de l’État de la Cité du Vatican, tandis que 16 autres appareils ont montré que d’autres applications d’accrochage ou de rencontre basées sur la localisation, tant hétérosexuelles qu’homosexuelles, ont été utilisées pendant quatre jours ou plus au cours de la même période. »
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