Le plus jeune mannequin transgenre du monde : 10 ans
« Noella » McMaher.
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Reduxx/Twitter
26 août 2022, Chicago (LifeSiteNews) — Les tuteurs « non binaires » d’un jeune garçon, qui a été publiquement présenté comme enfant drag queen, auraient déclaré qu’ils prévoyaient lui faire prendre des bloqueurs de puberté et à lui faire subir des opérations transgenres lorsqu’il aura 16 ans.
L’histoire a suscité de vives réactions sur les médias sociaux, leurs opposants estimant que la mère de l’enfant et son « conjoint » se livrent à des abus sur l’enfant.
Noella McMaher a été présenté par les idéologues LGBT comme le « plus jeune modèle transgenre » du monde, selon le Daily Wire. Le garçon de 10 ans a été élevé comme fille depuis qu’il est tout petit et a subi un changement de nom légal à l’âge de sept ans.
La semaine dernière, le garçon a fait la une des journaux pour avoir défilé sur le podium de la Fashion Week de New York, habillé en fille et représentant la marque Trans* Clothing Company.
Noella vit actuellement avec sa mère Dee et son « conjoint » Ray, toutes deux des femmes qui s’identifient comme transgenres. Les deux femmes ont également la garde du frère de Noella (qu’elles élèvent comme garçon), ainsi que celle d’un bébé appelé « theybie ». Toutes deux travaillent professionnellement dans l’activisme de gauche.
Lundi, REDUXX a souligné que la mère de la fillette de 10 ans et son « conjoint » transgenre ont affirmé il y a plusieurs années qu’ils mettraient Noella sous traitement hormonal et médicamenteux bloquant la puberté. Elles avaient également l’intention de lui faire subir des opérations transgenres à l’âge de 16 ans.
Le « plus jeune mannequin transgenre du monde », Noella McMaher, 10 ans, vient d’un foyer à prédominance transgenre et est l’enfant d’une activiste trans professionnel.
Il se serait déclaré à l’âge de 2 ans et devrait subir des « opérations du genre » à 16 ans.
Selon l’article publié en 2019 dans Chicago Parent, la mère du garçon a déclaré qu’il avait commencé à dire qu’il était vraiment une fille à l’âge de deux ans, et qu’il avait subi une « transition sociale » à l’âge de quatre ans.
Le média a déclaré que Dee avait « hâte de voir » l’enfant, alors âgé de sept ans, « grandir et se transformer en la personne qu’elle [sic] est et devait être. »
Lire la suiteUn service de soins de santé de Chicago est poursuivi avec succès pour 10 millions de dollars en raison de sa politique « pas de vaccin, pas de travail »
Par le Liberty Counsel (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Blue Planet Studio/Adobe Stock
3 août 2022 — Le premier règlement d’un recours collectif au niveau national concernant l’obligation de se faire vacciner contre le COVID devrait servir d’avertissement à tous les employeurs qui n’ont pas accommodé ou exempté les employés qui s’opposaient aux vaccins COVID pour des raisons religieuses.
NorthShore University HealthSystem paiera plus de 10,3 millions de dollars pour avoir exercé une discrimination illégale à l’encontre de plus de 500 travailleurs de la santé, actuels et anciens, et pour avoir refusé des exemptions religieuses concernant le mandat de vaccination COVID.
Il n’y a pas de bouton de pause dans la loi fédérale sur l’emploi en vertu du Titre VII. Les employés ne perdent pas leur droit à des aménagements raisonnables en raison de leurs croyances religieuses simplement parce qu’un employeur ou même le gouvernement fédéral impose un mandat de vaccination sous le couvert d’une pandémie. Il est grand temps que les avocats spécialisés dans le droit du travail cessent de rester sur la touche. Ils doivent aider les gens à obtenir justice.
Liberty Counsel a travaillé avec des milliers d’employés qui font face à ces mandats abusifs et illégaux, en réglant, pour les travailleurs de la santé, le premier procès collectif de la nation concernant un mandat de vaccination COVID. NorthShore paiera 10 337 500 dollars pour indemniser ces employés victimes de discrimination religieuse, et qui ont été punis en raison de leurs croyances religieuses car ils refusaient une injection associée à des cellules de fœtus avortés.
Dans le cadre de l’accord de règlement, NorthShore modifiera également sa politique illégale de « non-accommodement religieux » afin de la rendre conforme à la loi et de fournir des accommodements religieux pour chaque poste dans ses nombreux établissements. Aucun poste dans l’un des établissements de NorthShore ne sera considéré comme interdit aux employés non vaccinés bénéficiant d’exemptions religieuses approuvées. En outre, les employés qui ont été licenciés en raison de leur refus religieux des vaccins COVID pourront être réembauchés s’ils en font la demande dans les 90 jours suivant l’approbation du règlement final par le tribunal, et ils conserveront leur niveau d’ancienneté antérieur.
Il s’agit d’un règlement historique, le premier du genre dans le cadre d’un recours collectif contre un employeur privé qui a illégalement refusé des centaines de demandes d’exemption religieuse concernant les injections COVID-19. Le règlement convenu a été déposé auprès du tribunal fédéral du district nord de l’Illinois et doit être approuvé par le tribunal. Les employés de NorthShore à qui des exemptions religieuses ont été refusées recevront une notification de l’accord et auront la possibilité de faire des commentaires, de s’opposer, de demander à être exclus ou de soumettre un formulaire de demande de paiement à partir du fonds de règlement, le tout dans le respect des délais qui seront fixés par le tribunal.
Lire la suiteLes écoles de Chicago obligent les garçons et les filles à partager les toilettes au nom de « l’équité des genres »
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : MarkRademaker/Adobe Stock
3 décembre 2021, Chicago (LifeSiteNews) — Le Chicago Public Schools (CPS) a annoncé qu’il exigera que toutes les écoles sous sa juridiction affichent des panneaux permettant expressément aux étudiants et au personnel de choisir des toilettes masculines ou féminines en fonction de leur « identité ou expression de genre » préférée, au nom de la réalisation de « l’équité de genre ».
« Tous les étudiants et le personnel des CPS auront un accès juste et équitable aux toilettes qui correspondent à leur identité de genre », a déclaré Camie Pratt, responsable de la sécurité des élèves des écoles publiques de Chicago, dans une annonce vidéo publiée le 30 novembre. Elle a ajouté qu’à partir du 1er décembre, les panneaux « indiqueront clairement que toutes les toilettes pourront être utilisées par toute personne qui s’y sent à l’aise ».
« Le personnel continuera à disposer de toilettes réservées au personnel », a ajouté Camie Pratt, sans préciser si ces toilettes ou d’autres installations à occupation unique seront accessibles aux élèves qui ne souhaitent pas partager des installations intimes avec un membre du sexe opposé. « Le Bureau de la protection des élèves et de [l’application de la Loi] “Title IX” de notre district travaille également sur un plan à long terme visant à créer une signalisation plus permanente pour nos salles de bain ».
« Mes filles ne se sentiront pas à l’aise de partager une salle de bain avec des garçons », a réagi un parent sur les médias sociaux, comme le souligne le Daily Wire. « Qui prend ces décisions ridicules ? Qui s’assure que les filles ne seront pas harcelées ou intimidées dans ces cabines ? Où mon enfant peut-il obtenir de l’intimité pour s’assurer qu’aucun garçon n’essaiera de l’épier pendant qu’elle est dans une cabine ? »
Les conservateurs affirment que le fait de forcer les enfants et les adolescents à partager des installations intimes avec des membres du sexe opposé viole leur droit à la vie privée, les soumet à un stress émotionnel inutile et donne aux prédateurs masculins potentiels un prétexte valable pour entrer dans les toilettes ou les [salles de] casiers des femmes.
Une révolte publique contre ces politiques a récemment alimenté la victoire du républicain Glenn Youngkin sur le démocrate Terry McAuliffe pour le poste de gouverneur de Virginie, ainsi que la prise de contrôle de la Chambre des délégués de l’État par le Parti républicain ─ révolte causée en particulier par le viol d’une étudiante par un camarade « transgenre » dans les toilettes des filles du lycée Stone Bridge du comté de Loudoun.
En juin, la Cour suprême des États-Unis a refusé d’entendre l’appel d’une décision d’une juridiction inférieure selon laquelle l’ex-étudiant « trans » Gavin Grimm avait le droit constitutionnel d’utiliser les toilettes pour hommes du lycée de Gloucester, également en Virginie, laissant ainsi en suspens une victoire de la redéfinition « transgenre » des règles fédérales de non-discrimination.
Archidiocèse de Chicago : Les paroissiens doivent présenter une « preuve de vaccination » pour ne pas porter de masque
Cardinal Blase Cupich, archevêque de Chicago.
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie – Photo : ABC7Chicago/YouTube
Chicago, Illinois, 26 mai 2021 (LifeSiteNews) – Le troisième plus grand diocèse des États-Unis a annoncé que les paroissiens peuvent retourner à la messe sans masque, mais seulement s’ils peuvent fournir une « preuve de vaccination ».
L’archidiocèse de Chicago, dirigé par le cardinal Blase Cupich, a publié vendredi une déclaration offrant deux options aux paroisses « compte tenu des annonces récentes des Centres de contrôle et de prévention des maladies, des départements de santé locaux et des responsables de l’État et de la Ville », assouplissant les restrictions du COVID-19.
L’option 1 pour les messes et les liturgies permet aux « personnes entièrement vaccinées de s’abstenir de porter des masques à condition qu’elles apportent une preuve de leur vaccination et que l’équipe d’accueil de la paroisse soit en mesure de valider le statut vaccinal des participants ».
« Le pasteur et l’équipe de direction sont priés de communiquer clairement à tous les paroissiens et aux participants inscrits le fait que les personnes vaccinées devraient apporter un document écrit attestant de leur vaccination complète pour le montrer à l’équipe d’accueil et d’hospitalité en entrant dans l’église », précise le message archidiocésain.
« Veuillez noter qu’une photo de la carte de vaccination sur le téléphone du paroissien suffira », ajoute le texte. Il n’est pas précisé si les paroissiens seront également obligés de montrer une pièce d’identité avec photo.
L’option 2 exige « des masques pour tous les participants aux messes et aux liturgies. Cette option est la meilleure si une paroisse ne dispose pas d’une équipe d’accueil suffisamment nombreuse et dévouée pour assumer la responsabilité supplémentaire de valider le statut vaccinal des participants ».
Lire la suitePoursuite judiciaire : Une patiente de Planned Parenthood laissée seule tombe et se casse le cou
Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Une femme de 26 ans poursuit Planned Parenthood pour avoir été laissée seule suite à l’insertion d’un dispositif intra-utérin (DIU), être tombée et s'être cassé [partiellement] le cou. Morgan Castro affirme qu’elle a été ignorée quand elle dit au personnel qu’elle se sentait étourdie, qu’ils ont été négligents dans ses soins et qu’elle a perdu connaissance après l’intervention.
Les détails du procès, obtenus par la Pro-Life Action League, rapporte les faits de l’incident présumé. Castro s’est rendue dans un centre de Planned Parenthood sur la rue LaSalle Drive à Chicago, en Illinois, pour se faire poser un DIU. « Après l’insertion du stérilet, Morgan s’est sentie étourdie », peut-on lire dans le compte-rendu du procès. « Morgan a informé le fournisseur de soins de santé de ces symptômes. Après avoir été informé des étourdissements de Morgan, le prestataire de soins de santé a quitté la chambre, laissant Morgan seule et sans surveillance. Morgan a perdu connaissance et est tombée de la table sur le sol. »
Les étourdissements et même les évanouissements ne sont pas rares après la pose d’un DIU, ce que le site internet de Planned Parenthood admet lui-même.
Après être tombée par terre, Morgan aurait été laissée là, allongée sur le plancher et inconsciente, jusqu’à ce que l’employé de Planned Parenthood revienne et la trouve dans l’état où elle était. Elle signala des douleurs à la tête et au cou et fut transportée en ambulance à l’hôpital Presence St. Joseph’s, où plusieurs fractures ont été découvertes dans sa colonne vertébrale. Ses blessures étaient suffisamment graves pour qu’elle dût ensuite être transférée dans un autre hôpital, où on lui a posé une orthèse cervicale de type Halo.
Alors que les DIU sont de plus en plus répandus, les femmes souffrent de plus en plus de leurs complications. Une femme intenta un procès après avoir souffert de complications potentiellement mortelles ; une autre femme dut subir des amputations et de multiples opérations après que son DIU eût transité dans son corps et provoqué une septicémie. D’autres femmes ont souffert d’autres effets secondaires terribles [...] Il arrive souvent qu’on ne les prévienne pas suffisamment des effets secondaires potentiels qu’elles risquent de subir, ce qui rend le consentement éclairé impossible. [Bien qu’utiliser un contraceptif ne soit pas un choix éclairé...]
L’établissement de Planned Parenthood où Morgan s’est rendue également notoire en soi ; il s’agit du même établissement où Tonya Reaves est morte des négligences de l’avortoir suite à un avortement. Avec Reaves, l’avorteur n’avait pas réussi à terminer l’avortement, avait perforé son utérus et avait peut-être sectionné son artère utérine. Cela a entraîné des saignements catastrophiques dont le personnel de Planned Parenthood ne s’est pas occupé pendant plus de cinq heures. En fait, ils n’ont jamais même appelé le 911 ; le temps que Reaves reçoive les soins médicaux appropriés à l’hôpital, il était trop tard. Elle décéda tragiquement.
Planned Parenthood prétend fournir « des soins, quoiqu’il arrive » (care, no matter what). C’est leur devise. Pourtant, le traitement qu’ils réservent aux femmes montre qu’ils s’en fichent.
96 % des biologistes admettent que la vie commence à la fécondation, montre une étude
Fécondation in vitro (une autre technique barbare de notre époque).
Par Calvin Freiburger ― traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo : DrKontogiannilVF/Pixabay
21 octobre 2019 (LifeSiteNews) ― Le début biologique de la vie humaine n'a jamais été aussi controversé que ne l'indique la bataille politique sur l'avortement, une recherche publiée cet été ayant révélé que même les biologistes, qui votent pour l'avortement légal et qui le soutiennent, admettent que les victimes de l'intervention étaient en vie au moment de la fécondation.
Steve Jacobs est un récent diplômé du département de développement humain comparé de l'Université de Chicago. Pour sa thèse, il a choisi de tenter une « Médiation de méthode mixte dans le débat sur l’avortement aux États-Unis », qui visait à obtenir une compréhension globale des réponses des deux parties aux nombreux aspects factuels et juridiques de la question.
Jacobs a détaillé ses conclusions ce mois-ci dans un article paru dans Quillette. Il a constaté que 82 % des Américains reconnaissent l'importance de l'expression « quand la vie commence » pour comprendre un enjeu, que 93 % sont d'avis que la vie humaine devrait être légalement protégée une fois qu'elle commence, et que 80 % croient que les biologistes sont les plus qualifiés pour répondre à la question du moment à laquelle elle commence. Il a donc conçu une enquête et l'a envoyée aux départements de biologie de plus d'un millier d'établissements universitaires dans le monde.
« Lorsque les réponses utilisables ont commencé à arriver, j'ai constaté que 5 337 biologistes (96 %) avaient affirmé que la vie d'un être humain commence à la fécondation, et 240 (4 %) avaient rejeté cette opinion », écrit Jacobs. « La majorité de l'échantillon s’est identifiée comme libérale (89 %), pro-choix (85 %) et non-religieuse (63 %). Dans le cas des Américains qui ont exprimé leur préférence partisane, la majorité s'est identifiée comme démocrate (92 %). »
Il a ajouté que, bien qu'il ait pris la peine de formuler ses questions de façon technique et neutre, il a reçu un certain nombre de réponses hostiles de la part d'universitaires qui ont rejeté l’étude comme « stupide question de droit à la vie », « étude religieuse » et même « étude financée par Trump et le Ku Klux Klan », un répondant faisant observer qu'il ferait de son mieux pour diffuser cette information afin qu'aucun de ses collègues naïfs ne tombe dans ce piège.
Lire la suiteDes vandales pro-avortement taguent une affiche pro-vie, rendant son message encore plus puissant
Par Pete Baklinski — traduction de Pierre et les loups — Photo : Vidal Martinez
6 septembre 2019 (LifeSiteNews) — Difficile de passer inaperçu. Les automobilistes roulant dans le nord de Chicago sur Ashland Avenue ont pu apercevoir un immense panneau d’affichage avec la photo d’un très beau bébé. Il a les yeux fermés. Il est enveloppé dans une chaude couverture en tricot. Une main avec de tout petits doigts repose sur la couverture grise tandis que son autre main touche son visage. Il a les cheveux blond clair.
Sur cette affiche sont écrits les mots suivants : « Un bébé est un bébé ! Qu’il soit déjà né ou pas encore né. »
Un texte plus petit dans un cœur rouge se lit comme suit : « Battement de cœur : 18 jours à compter du moment de la conception. »
Tout est si beau et vrai.
L’« évaluation psychiatrique », un outil de répression soviétoïde contre les prêtres traditionnels ? Les leçons de l’affaire Kalchik
L'Abbé Paul Kalchik.
Par Jeanne Smits (Réinformation.TV)
L’affaire de ce prêtre que le cardinal Cupich de Chigago a prétendu envoyer en « évaluation psychiatrique » parce qu’il a brûlé un drapeau arc-en-ciel utilisé de manière sacrilège dans sa paroisse avant qu’il n’y soit installé comme curé serait-elle l’arbre qui cache la forêt ? C’est ce que pense le P. John Zuhlsdorf, l’un des blogueurs catholiques les plus influents au monde. Il a mis en ligne mardi un article véritablement terrifiant où il affirme avoir été contacté à plusieurs reprises ces derniers mois par des prêtres, ainsi qu’un religieux, envoyés en « évaluation psychiatrique » par leur supérieur hiérarchique. Sommes-nous en face d’une nouvelle tactique sovietoïde employée par des évêques contre des prêtres qu’il n’apprécie pas — et plus exactement, par des évêques progressistes contre des prêtres affichant leurs préférences traditionnelles ?
Le P. Zuhlsorf, auteur de Fr. Z’s Blog, est un ancien luthérien converti, ordonné prêtre par Jean-Paul II en 1991, très attaché au rite tridentin. Ses messages sont habituellement précis, modérés au bon sens du terme, intelligents, érudits. Crédibles en un mot. Ce qu’il écrit sur la pression psychiatrique sur les prêtres ne semble pas, mais alors pas du tout, relever de l’affabulation.
Lire la suiteLe cardinal Cupich a santionné le P. Paul Kalchik, ce prêtre qui a brûlé un drapeau LGBT
Cardinal Blase Cupich de Chicago.
Par Jeanne Smits (Réinformation.TV) — Source de la photo : Claire Chretien/LifeSiteNews
Le cardinal Blase Cupich de Chicago chercherait-il à confirmer les allégations selon lesquelles l’ex-cardinal McCarrick, prédateur homosexuel, a favorisé sa nomination — comme l’affirme Mgr Carlo Maria Viganò — au moins en partie en raison de son ouverture aux LGBT, il ne s’y serait pas pris autrement. Il vient de renvoyer un prêtre de son archidiocèse, apparemment parce que le P. Paul Kalchik a décidé de brûler un drapeau arc-en-ciel frappé d’une croix lors d’une cérémonie privée, interdiction lui ayant été signifiée par le cardinal Cupich de le brûler en public. Celui-ci lui a même demandé de subir une expertise psychiatrique.
Ledit drapeau avait été installé au-dessus de l’autel de la paroisse de la Résurrection en 1991 par celui qui en était alors le curé, le P. Daniel Montalbano, pour signaler le caractère « gay-friendly » du lieu, et cachait le crucifix en bois sculpté surplombant l’autel. La messe d’intronisation du drapeau avait été présidée par le cardinal Bernardin, dont le P. Montalbano était proche.
[...]
Celui-ci venait d’arriver à la paroisse de la Résurrection après l’incendie accidentel qui avait frappé l’église qu’il avait desservie auparavant, l’espace de trois semaines : celle de Saint-Sébastien dans le quartier Lakewood de Chicago qui s’honorait d’accueillir la « diversité ». Entre immigrés portoricains, sud-américains ou polonais, les « gays » y avaient toute leur place, et même des messes rien que pour eux. Montalbano lui-même était co-fondateur de l’Archdiocesan Gay and Lesbian Outreach and Bonaventure House. Bien avant l’actuel mode pro-LGBT, dès 1973, Saint-Sébastien accueillait des messes pour les « gays » catholiques sponsorisées par « Chicago Dignity », sortant d’ailleurs victorieux d’un clash avec l’archidiocèse en 1990 qui voulait davantage les contrôler. L’intention symbolique du drapeau est donc incontestable.
Lire la suiteL’acteur de « La Passion du Christ » : Nous devons être des « combattants » prêts à risquer nos vies pour L’Évangile
Jim Caviezel — photo : Fellowship of Catholic University Students / Facebook
Par Lisa Bourne — traduit par Campagne Québec-Vie
Chicago, Illinois, 4 janvier 2018 (LifeSiteNews) — Les catholiques doivent être prêts à risquer leurs vies et leurs réputations pour vaincre le mal dans le monde, affirma l’étoile du film, La Passion du Christ, Jim Caviezel à une rencontre d’étudiants de collèges catholiques cette semaine.
C’est seulement par la foi et la sagesse du Christ que nous pouvons être sauvés, expliqua Caviezel, mais cela prendra aussi des gens qui sont préparés à se battre, à se sacrifier et à souffrir.
Citant Saint Maximilien Kolbe, Caviezel soutint que l’indifférence était le plus grand péché du 20e siècle, et l’est encore au 21e siècle.
« Nous devons rejeter cette indifférence, cette destructive tolérance du mal. Mais seulement notre foi et la sagesse du Christ peuvent nous sauver, » dit-il. « Mais cela prend des combattants, prêts à risquer leurs réputations, leurs noms, même leurs propres vies, pour proclamer la vérité. »
« Tenez-vous à part de cette génération corrompue, » défia-t-il les personnes présentes. « Soyez des saints. Vous n’avez pas été créés pour vous adapter, mais plutôt pour sortir du lot. »
Lire la suite