Poursuite judiciaire : Une patiente de Planned Parenthood laissée seule tombe et se casse le cou
Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Une femme de 26 ans poursuit Planned Parenthood pour avoir été laissée seule suite à l’insertion d’un dispositif intra-utérin (DIU), être tombée et s'être cassé [partiellement] le cou. Morgan Castro affirme qu’elle a été ignorée quand elle dit au personnel qu’elle se sentait étourdie, qu’ils ont été négligents dans ses soins et qu’elle a perdu connaissance après l’intervention.
Les détails du procès, obtenus par la Pro-Life Action League, rapporte les faits de l’incident présumé. Castro s’est rendue dans un centre de Planned Parenthood sur la rue LaSalle Drive à Chicago, en Illinois, pour se faire poser un DIU. « Après l’insertion du stérilet, Morgan s’est sentie étourdie », peut-on lire dans le compte-rendu du procès. « Morgan a informé le fournisseur de soins de santé de ces symptômes. Après avoir été informé des étourdissements de Morgan, le prestataire de soins de santé a quitté la chambre, laissant Morgan seule et sans surveillance. Morgan a perdu connaissance et est tombée de la table sur le sol. »
Les étourdissements et même les évanouissements ne sont pas rares après la pose d’un DIU, ce que le site internet de Planned Parenthood admet lui-même.
Après être tombée par terre, Morgan aurait été laissée là, allongée sur le plancher et inconsciente, jusqu’à ce que l’employé de Planned Parenthood revienne et la trouve dans l’état où elle était. Elle signala des douleurs à la tête et au cou et fut transportée en ambulance à l’hôpital Presence St. Joseph’s, où plusieurs fractures ont été découvertes dans sa colonne vertébrale. Ses blessures étaient suffisamment graves pour qu’elle dût ensuite être transférée dans un autre hôpital, où on lui a posé une orthèse cervicale de type Halo.
Alors que les DIU sont de plus en plus répandus, les femmes souffrent de plus en plus de leurs complications. Une femme intenta un procès après avoir souffert de complications potentiellement mortelles ; une autre femme dut subir des amputations et de multiples opérations après que son DIU eût transité dans son corps et provoqué une septicémie. D’autres femmes ont souffert d’autres effets secondaires terribles [...] Il arrive souvent qu’on ne les prévienne pas suffisamment des effets secondaires potentiels qu’elles risquent de subir, ce qui rend le consentement éclairé impossible. [Bien qu’utiliser un contraceptif ne soit pas un choix éclairé...]
L’établissement de Planned Parenthood où Morgan s’est rendue également notoire en soi ; il s’agit du même établissement où Tonya Reaves est morte des négligences de l’avortoir suite à un avortement. Avec Reaves, l’avorteur n’avait pas réussi à terminer l’avortement, avait perforé son utérus et avait peut-être sectionné son artère utérine. Cela a entraîné des saignements catastrophiques dont le personnel de Planned Parenthood ne s’est pas occupé pendant plus de cinq heures. En fait, ils n’ont jamais même appelé le 911 ; le temps que Reaves reçoive les soins médicaux appropriés à l’hôpital, il était trop tard. Elle décéda tragiquement.
Planned Parenthood prétend fournir « des soins, quoiqu’il arrive » (care, no matter what). C’est leur devise. Pourtant, le traitement qu’ils réservent aux femmes montre qu’ils s’en fichent.
96 % des biologistes admettent que la vie commence à la fécondation, montre une étude
Fécondation in vitro (une autre technique barbare de notre époque).
Par Calvin Freiburger ― traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo : DrKontogiannilVF/Pixabay
21 octobre 2019 (LifeSiteNews) ― Le début biologique de la vie humaine n'a jamais été aussi controversé que ne l'indique la bataille politique sur l'avortement, une recherche publiée cet été ayant révélé que même les biologistes, qui votent pour l'avortement légal et qui le soutiennent, admettent que les victimes de l'intervention étaient en vie au moment de la fécondation.
Steve Jacobs est un récent diplômé du département de développement humain comparé de l'Université de Chicago. Pour sa thèse, il a choisi de tenter une « Médiation de méthode mixte dans le débat sur l’avortement aux États-Unis », qui visait à obtenir une compréhension globale des réponses des deux parties aux nombreux aspects factuels et juridiques de la question.
Jacobs a détaillé ses conclusions ce mois-ci dans un article paru dans Quillette. Il a constaté que 82 % des Américains reconnaissent l'importance de l'expression « quand la vie commence » pour comprendre un enjeu, que 93 % sont d'avis que la vie humaine devrait être légalement protégée une fois qu'elle commence, et que 80 % croient que les biologistes sont les plus qualifiés pour répondre à la question du moment à laquelle elle commence. Il a donc conçu une enquête et l'a envoyée aux départements de biologie de plus d'un millier d'établissements universitaires dans le monde.
« Lorsque les réponses utilisables ont commencé à arriver, j'ai constaté que 5 337 biologistes (96 %) avaient affirmé que la vie d'un être humain commence à la fécondation, et 240 (4 %) avaient rejeté cette opinion », écrit Jacobs. « La majorité de l'échantillon s’est identifiée comme libérale (89 %), pro-choix (85 %) et non-religieuse (63 %). Dans le cas des Américains qui ont exprimé leur préférence partisane, la majorité s'est identifiée comme démocrate (92 %). »
Il a ajouté que, bien qu'il ait pris la peine de formuler ses questions de façon technique et neutre, il a reçu un certain nombre de réponses hostiles de la part d'universitaires qui ont rejeté l’étude comme « stupide question de droit à la vie », « étude religieuse » et même « étude financée par Trump et le Ku Klux Klan », un répondant faisant observer qu'il ferait de son mieux pour diffuser cette information afin qu'aucun de ses collègues naïfs ne tombe dans ce piège.
Lire la suiteDes vandales pro-avortement taguent une affiche pro-vie, rendant son message encore plus puissant
Par Pete Baklinski — traduction de Pierre et les loups — Photo : Vidal Martinez
6 septembre 2019 (LifeSiteNews) — Difficile de passer inaperçu. Les automobilistes roulant dans le nord de Chicago sur Ashland Avenue ont pu apercevoir un immense panneau d’affichage avec la photo d’un très beau bébé. Il a les yeux fermés. Il est enveloppé dans une chaude couverture en tricot. Une main avec de tout petits doigts repose sur la couverture grise tandis que son autre main touche son visage. Il a les cheveux blond clair.
Sur cette affiche sont écrits les mots suivants : « Un bébé est un bébé ! Qu’il soit déjà né ou pas encore né. »
Un texte plus petit dans un cœur rouge se lit comme suit : « Battement de cœur : 18 jours à compter du moment de la conception. »
Tout est si beau et vrai.
L’« évaluation psychiatrique », un outil de répression soviétoïde contre les prêtres traditionnels ? Les leçons de l’affaire Kalchik
L'Abbé Paul Kalchik.
Par Jeanne Smits (Réinformation.TV)
L’affaire de ce prêtre que le cardinal Cupich de Chigago a prétendu envoyer en « évaluation psychiatrique » parce qu’il a brûlé un drapeau arc-en-ciel utilisé de manière sacrilège dans sa paroisse avant qu’il n’y soit installé comme curé serait-elle l’arbre qui cache la forêt ? C’est ce que pense le P. John Zuhlsdorf, l’un des blogueurs catholiques les plus influents au monde. Il a mis en ligne mardi un article véritablement terrifiant où il affirme avoir été contacté à plusieurs reprises ces derniers mois par des prêtres, ainsi qu’un religieux, envoyés en « évaluation psychiatrique » par leur supérieur hiérarchique. Sommes-nous en face d’une nouvelle tactique sovietoïde employée par des évêques contre des prêtres qu’il n’apprécie pas — et plus exactement, par des évêques progressistes contre des prêtres affichant leurs préférences traditionnelles ?
Le P. Zuhlsorf, auteur de Fr. Z’s Blog, est un ancien luthérien converti, ordonné prêtre par Jean-Paul II en 1991, très attaché au rite tridentin. Ses messages sont habituellement précis, modérés au bon sens du terme, intelligents, érudits. Crédibles en un mot. Ce qu’il écrit sur la pression psychiatrique sur les prêtres ne semble pas, mais alors pas du tout, relever de l’affabulation.
Lire la suiteLe cardinal Cupich a santionné le P. Paul Kalchik, ce prêtre qui a brûlé un drapeau LGBT
Cardinal Blase Cupich de Chicago.
Par Jeanne Smits (Réinformation.TV) — Source de la photo : Claire Chretien/LifeSiteNews
Le cardinal Blase Cupich de Chicago chercherait-il à confirmer les allégations selon lesquelles l’ex-cardinal McCarrick, prédateur homosexuel, a favorisé sa nomination — comme l’affirme Mgr Carlo Maria Viganò — au moins en partie en raison de son ouverture aux LGBT, il ne s’y serait pas pris autrement. Il vient de renvoyer un prêtre de son archidiocèse, apparemment parce que le P. Paul Kalchik a décidé de brûler un drapeau arc-en-ciel frappé d’une croix lors d’une cérémonie privée, interdiction lui ayant été signifiée par le cardinal Cupich de le brûler en public. Celui-ci lui a même demandé de subir une expertise psychiatrique.
Ledit drapeau avait été installé au-dessus de l’autel de la paroisse de la Résurrection en 1991 par celui qui en était alors le curé, le P. Daniel Montalbano, pour signaler le caractère « gay-friendly » du lieu, et cachait le crucifix en bois sculpté surplombant l’autel. La messe d’intronisation du drapeau avait été présidée par le cardinal Bernardin, dont le P. Montalbano était proche.
[...]
Celui-ci venait d’arriver à la paroisse de la Résurrection après l’incendie accidentel qui avait frappé l’église qu’il avait desservie auparavant, l’espace de trois semaines : celle de Saint-Sébastien dans le quartier Lakewood de Chicago qui s’honorait d’accueillir la « diversité ». Entre immigrés portoricains, sud-américains ou polonais, les « gays » y avaient toute leur place, et même des messes rien que pour eux. Montalbano lui-même était co-fondateur de l’Archdiocesan Gay and Lesbian Outreach and Bonaventure House. Bien avant l’actuel mode pro-LGBT, dès 1973, Saint-Sébastien accueillait des messes pour les « gays » catholiques sponsorisées par « Chicago Dignity », sortant d’ailleurs victorieux d’un clash avec l’archidiocèse en 1990 qui voulait davantage les contrôler. L’intention symbolique du drapeau est donc incontestable.
Lire la suiteL’acteur de « La Passion du Christ » : Nous devons être des « combattants » prêts à risquer nos vies pour L’Évangile
Jim Caviezel — photo : Fellowship of Catholic University Students / Facebook
Par Lisa Bourne — traduit par Campagne Québec-Vie
Chicago, Illinois, 4 janvier 2018 (LifeSiteNews) — Les catholiques doivent être prêts à risquer leurs vies et leurs réputations pour vaincre le mal dans le monde, affirma l’étoile du film, La Passion du Christ, Jim Caviezel à une rencontre d’étudiants de collèges catholiques cette semaine.
C’est seulement par la foi et la sagesse du Christ que nous pouvons être sauvés, expliqua Caviezel, mais cela prendra aussi des gens qui sont préparés à se battre, à se sacrifier et à souffrir.
Citant Saint Maximilien Kolbe, Caviezel soutint que l’indifférence était le plus grand péché du 20e siècle, et l’est encore au 21e siècle.
« Nous devons rejeter cette indifférence, cette destructive tolérance du mal. Mais seulement notre foi et la sagesse du Christ peuvent nous sauver, » dit-il. « Mais cela prend des combattants, prêts à risquer leurs réputations, leurs noms, même leurs propres vies, pour proclamer la vérité. »
« Tenez-vous à part de cette génération corrompue, » défia-t-il les personnes présentes. « Soyez des saints. Vous n’avez pas été créés pour vous adapter, mais plutôt pour sortir du lot. »
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