Des catholiques américains prévoient des centaines de rassemblements autour du Sacré-Cœur en réparation des « messes » de la « fierté » LGBT
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Lloydbaltazar/Wikimedia Commons
4 juin 2024 (LifeSiteNews) — Les catholiques américains prévoient des centaines de rassemblements du Sacré-Cœur en réparation des messes de « la fierté » LGBT qui auront lieu ce mois-ci.
Tradition, Famille, Propriété (TFP), un mouvement activiste catholique traditionnel, organise des rassemblements du Rosaire à travers les États-Unis en réparation des messes blasphématoires sur le thème de la « fierté ».
« Depuis des siècles, l’Église catholique consacre le mois de juin au Sacré-Cœur de Jésus », a déclaré à LifeSiteNews José Ferraz, coordinateur du rassemblement de la TFP.
Cependant, les activistes LGBT ont maintenant détourné ce mois et l’ont déclaré « mois de la fierté », célébrant le péché et la dépravation.
« Célébrer la fierté homosexuelle lors d’une messe, pendant le mois du Sacré-Cœur, est un sacrilège inqualifiable ! », a écrit Gary Isbell, directeur de la TFP, dans un courriel adressé à ses sympathisants.
« N’est-ce pas pire que Sodome et Gomorrhe ? », s’est-il interrogé. « Ces messes ne sont rien de moins qu’une gifle au visage de notre Seigneur Jésus-Christ ».
Lire la suiteTammy Peterson raconte le rôle du Rosaire dans sa guérison : « J’ai mis de côté toute inquiétude »
Jordan et Tammy Peterson.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie
8 novembre 2023, Toronto (LifeSiteNews) — Tammy Peterson, épouse de l’éminent psychologue canadien Jordan Peterson, a révélé que prier le Rosaire chaque jour a transformé sa vie.
Dans une vidéo publiée par True Faith TV, Tammy et Jordan Peterson décrivent comment la prière du Rosaire a pu provoquer le rétablissement miraculeux de Tammy après qu’elle ait été diagnostiquée d’un « cancer très rare qui était 100 % mortel ».
« J’ai mis de côté toute inquiétude », a révélé Tammy. « Je me suis simplement donnée à Dieu et à la prière afin qu’Il m’emmène où Il désirait que j’aille et me fasse traverser tout ce qu’Il désirait que je traverse. J’ai décidé que ce n’était plus à moi de décider. »
Lire la suiteL’homme le plus âgé du monde est un fervent catholique qui prie le Rosaire deux fois par jour
Juan Vicente Pérez Mora.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :
22 juin 2023 (LifeSiteNews) — L’homme le plus âgé du monde dit que le secret d’une longue vie est, en partie, de rester proche de Dieu et de sa famille.
Le Vénézuélien Juan Vicente Pérez Mora, âgé de 114 ans, prie le Rosaire deux fois par jour.
Pérez a déclaré que le secret d’une longue vie est de « travailler dur, de se reposer pendant les vacances, de se coucher tôt, de boire un verre d’aguardiente (une liqueur forte fabriquée à partir de la canne à sucre) tous les jours, d’aimer Dieu et de toujours le porter dans son cœur ».
Catholique fervent, il a été déclaré l’homme le plus âgé du monde par le Livre Guinness des records. Malgré ses 114 ans, il jouit d’une bonne santé.
Né le 27 mai 1909, Pérez était le neuvième des dix enfants d’Eutiquio del Rosario Pérez Mora et d’Edelmira Mora.
À l’âge de 5 ans, Pérez a déménagé avec sa famille à Los Pajuiles, un village de San José de Bolivar, où il a commencé à récolter du café et de la canne à sucre avec son père et ses frères et sœurs.
Lire la suiteDes fidèles catholiques prient le chapelet en réparation de la « messe de la fierté » LGBT à la paroisse de Joe Biden
Au premier plan, Doug Mainwaring.
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie
15 juin 2023 (LifeSiteNews) — Un groupe de fidèles catholiques s’est rassemblé pour prier le Rosaire devant la paroisse jésuite fréquentée par le président Joe Biden, tandis qu’une « messe arc-en-ciel » LGBT se déroulait à l’intérieur.
Une quarantaine de catholiques se sont réunis en face de l’église historique Holy Trinity Church, dans le quartier chic de Georgetown, à deux pas de l’entrée de l’université Georgetown, dans la capitale du pays.
« De même que notre Seigneur Jésus-Christ a été crucifié en public, de même notre réparation pour les péchés commis à son encontre doit être faite en public », a expliqué Preston Noell de Tradition, Family, and Property (TFP), qui a dirigé le rassemblement de prière empreint de dignité, sur le trottoir.
« Si nous ne nous opposons pas à ces choses par des rassemblements pour prier le chapelet comme nous le faisons aujourd’hui, elles deviendront légion et se normaliseront », a déclaré M. Noell. « Nous ne pouvons pas permettre que cela se produise ».
« La partie saine de la société, en particulier parmi les catholiques, doit réagir face à cet assaut mené contre la civilisation chrétienne par les promoteurs de l’homosexualité », a-t-il ajouté.
« C’est un événement blasphématoire », a déclaré Lori Hall, qui a fait le voyage depuis la Virginie pour assister au rassemblement. « Notre messe est profanée par cette façon de faire ».
Janet Pin, également originaire de Virginie, a abondé dans le même sens. « Ce qu’ils font dans cette église est tellement choquant », a-t-elle déclaré. « C’est un blasphème de ce qu’est la sainte messe ».
« Je suis venue aujourd’hui parce que je voulais offrir une réparation à notre Seigneur pendant le mois du Sacré-Cœur », a déclaré Rebecca Oas, directrice de recherche de C-Fam, le Centre pour la famille et les droits de l’homme.
« Je pense qu’il est important qu’il y ait une forte participation des laïcs, surtout quand nos bergers ne sont pas prêts à se lever », a ajouté Mme Oas.
Lire la suiteUn entretien avec Louis-Pierre Laroche, fondateur des chapelets publics « La France prie » pour implorer la protection de la Vierge Marie
Par Jeanne Smits (reinformation.tv) — Photo : TLV/YouTube
Chaque semaine, plus de 5 000 groupes de « priants » se rassemblent dans une quinzaine de pays pour réciter publiquement le chapelet, afin d’implorer la protection de la Vierge Marie face aux dangers et aux peurs qui nous assaillent depuis la crise du COVID et ses réglementations liberticides, la guerre en Ukraine et j’en passe. En France, ce sont plus de 2 800 chapelets publics hebdomadaires qui ont lieu, le plus souvent le mercredi (on peut retrouver les lieux ici) depuis le début de 2021. Le fondateur de ces chapelets publics, Louis-Pierre Laroche, est vendéen ; il vit et travaille en Autriche et c’est là qu’il a lancé la première salve de prières publiques au moment où les Autrichiens se voyaient menacés d’amendes récurrentes de plusieurs milliers d’euros en cas de refus de la vaccination COVID. Il nous raconte cette histoire aussi touchante qu’elle est pleine de providence et d’espérance, en soulignant l’efficacité de la prière publique à Marie.
Dans un contexte d’inquiétude généralisée, ce mouvement conserve toute son actualité. Discrète et puissante, la prière publique du chapelet se maintient dans de nombreux pays, sous l’égide d’une charte que l’on peut consulter sur le site LaFrancePrie.org. Il est facile d’y trouver un rendez-vous près de chez soi, ou d’en créer un nouveau. Sous le manteau de Notre-Dame, on ne craint rien ! — J.S.
Notre entretien avec Louis-Pierre Laroche, fondateur de « La France prie »
Louis-Pierre Laroche, à la fin de 2021 vous avez pris l’initiative de lancer un mouvement de chapelets publics. Vous qui vivez et travaillez en Autriche, vous étiez alors confronté à une lourde menace d’obligation vaccinale contre le COVID. Celle-ci fut-elle le déclencheur de votre initiative ?
C’est certainement toute la pression psychologique autour de la crise du COVID qui a amené les gens au désespoir. J’avais de nombreux amis, parmi lesquels certains partageaient certaines opinions politiques par rapport à cette crise, qui pensaient à émigrer. Mais j’avais aussi beaucoup de partenaires commerciaux qui suivaient totalement la politique gouvernementale, et qui étaient tout aussi désespérés. Je me suis retrouvé, fin novembre, lorsque je faisais des livraisons pour les cadeaux de Noël dans des entreprises, notamment des cabinets d’avocats, face à des secrétaires qui lâchaient, en me disant au revoir : « De toute manière, il n’y a que le Ciel qui puisse nous aider. »
Ces personnes adhéraient donc à la politique du gouvernement autrichien ?
Oui ! C’étaient des gens qui s’étaient fait vacciner, qui suivaient tout, et qui voyaient bien qu’en réalité que cela ne menait à rien et que la situation était extrêmement explosive. Pour avoir participé alors à quelques manifestations contre cette politique du COVID, je me suis dit qu’il était grand temps qu’on apaise la situation, parce que s’il devait y avoir une erreur d’une part ou d’autre, une petite étincelle, elle pouvait dégénérer très rapidement en guerre civile. Nous faisions l’objet d’une guerre psychologique très forte de la part du gouvernement, qui tous les deux jours nous martelait d’amendes et d’autres exactions y compris de peines de prison, en cas de refus de suivre sa politique. La peine serait payée par la personne elle-même, on prendrait sur ses biens, elle risquerait jusqu’à six mois de prison… Les gens étaient désespérés.
Lire la suiteThe Atlantic minimise la violence radicale en faveur de l’avortement mais qualifie le Rosaire d’« extrémiste »
Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Thérèse Westby/Unsplash
15 août 2022 (LifeSiteNews) — Quelques jours seulement après avoir minimisé le groupe pro-avortement radical et souvent violent appelé Jane’s Revenge, le magazine américain The Atlantic a tenté de dépeindre le Saint Rosaire comme un outil « extrémiste » utilisé par des catholiques « radicaux-traditionnels ».
Dans un article publié par The Atlantic le 12 août intitulé « The Right's New Bogeyman », le magazine populaire tente de minimiser l’importance du groupe pro-avortement souvent violent appelé Jane’s Revenge en mettant en doute la réalité du groupe et en se demandant si le collectif radical est réellement à l’origine des actes de violence et de vandalisme dont il s’est attribué le mérite.
Deux jours plus tard, le 14 août, The Atlantic a publié un autre article intitulé « How Extremist Gun Culture Co-Opted the Rosary » (Comment la culture extrémiste des armes a coïncidé avec le rosaire), qui cherche à démontrer qu’un certain nombre de « traditionalistes radicaux armés ont repris une notion spirituelle selon laquelle le rosaire peut être une arme dans la lutte contre le mal et l’ont transformée en quelque chose de dangereusement littéral ».
Il convient également de noter que, si le titre actuel de l’article est assez nuancé, le titre de l’article a été modifié à de multiples reprises. On pouvait lire auparavant « Guns and Rosaries » et « How the Rosary Became an Extremist Symbol ».
Néanmoins, on ne peut s’empêcher de remarquer le contraste frappant entre la couverture par The Atlantic de l’organisation Jane’s Revenge, certes violente, et celle des catholiques traditionnels américains qui considèrent le chapelet comme une arme tout en soutenant leur droit au deuxième amendement.
Jane’s Revenge, qui s’est attribuée le mérite d’avoir incendié un cabinet médical pro-vie à Buffalo, dans l’État de New York, ainsi que d’autres actes de destruction dans « 16 villes des États-Unis », est qualifiée de « mystérieuse » dans The Atlantic, et malgré des actes réels de violence et de vandalisme, l’article précise que cela « n’implique pas l’existence d’une campagne complexe et coordonnée de violence ».
Cependant, lorsqu’il s’agit de ceux qui créent et diffusent « des images de chapelets drapés sur des armes à feu, de guerriers en prière... des représentations humoristiques de croisés, et des exhortations pour que les hommes se lèvent et deviennent des militants d’église », eh bien ce groupe fait partie des « constellations de milieux en ligne violents, racistes et homophobes » qui sont connus pour « fournir une voie vers la radicalisation et des attaques terroristes réelles ».
Lire la suiteLe mouvement international de chapelet : un pas vers la restauration de la chrétienté ?
Groupe Le Québec prie à Beaumont en janvier.
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie)
Avec ce mouvement international de prière à travers le monde, assistons-nous au début d’un retour de la société vers Dieu, d'un pas vers la restauration de la chrétienté ? Les sceptiques se demanderont quel impact cette initiative a réellement et concrètement sur le monde.
Regardons les faits.
Début du mois de décembre 2021 :
L’air se fait lourd. Les dégâts de la crise sociétale sonnent à la porte de nombreuses personnes. Un père de famille catholique sent l’appel d’agir face à l’isolement des personnes, face à la mort de la vie sociale, face aux difficultés dans les entreprises pour reprendre ses mots lors d’une entrevue sur Radio Courtoisie.
Louis-Pierre Laroche lance alors un appel aux Autrichiens : un simple appel de sortir, de sortir sur la place publique pour prier le chapelet fidèlement chaque semaine. L’appel allume une ardeur chez le peuple autrichien. Ils y répondent. En quelques jours, plus de 30 groupes de laïques catholiques se réunissent dans le pays pour prier le chapelet en public. La semaine d’après, une centaine d’endroits recouvrent les cartes de l’Autriche, de l’Allemagne, et de la Suisse.
Aujourd’hui :
Depuis cette première lancée, plus de 5000 endroits dans une trentaine de pays à travers le monde, de la Nouvelle-Zélande jusqu’au Canada, en passant par Dubaï et Londres, se rassemblent chaque semaine pour répondre à l’appel urgent. Un appel urgent à « prier pour la paix sociale ». Pour élever le débat. Pour prier tous ensemble. Pour renouer des vrais liens autour du chapelet, comme dit le fondateur.
Demain :
L’avenir du mouvement international est rempli d’espoir parce que dans l’ensemble, les groupes persévèrent, le nombre de personnes dans plusieurs groupes augmente, et même certains groupes doublent. Les gens continuent à être au rendez-vous.
Monsieur Laroche admet que l’homme fatigue. Mais c’est justement pour cela qu’« il faut du courage et de l’héroïsme. » Il faut de la patience et de la persévérance.
L’atteinte que peut avoir cette Croisade du Rosaire est puissante, en raison de sa qualité universelle — les jeunes enfants, les adultes, les personnes plus âges, les personnes de toute catégorie sociale peuvent y participer — de sa simplicité puisque comme l’affirme le fondateur, « Il suffit d’avoir un chapelet et un peu de courage » — et surtout de sa mission, celle de confier toutes les nations à Notre-Dame.
Aller de l’avant et continuer à propager le mouvement : l’efficacité avec laquelle les groupes de prière se sont répandus à travers le monde démontre la protection qu’ils reçoivent de Notre-Dame. Comme le faisait remarquer le père de 10 enfants, qui a déjà reçu des témoignages de conversions et de reconversions dans le cadre de son initiative, les « personnes qui prient le chapelet sont très, très calmes... et confiantes dans l’avenir ».
Pourquoi ? Tout simplement parce que quand « on prie le chapelet en public, on remet Dieu au centre de la société » et remettre Dieu au centre de la société, c’est retrouver l’ordre, la paix, et la justice.
Il ne reste plus qu’à nous demander : comment un tel mouvement qui touche tant d’individus, de familles, de villages, et de pays avec l’arme puissante prière ne pourrait-il pas alors être un pas vers la restauration de la chrétienté dans notre société ?
Procession aux chandelles pour la Vie en plein Vieux-Québec
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie)
Montrer publiquement leur désaccord avec l’injustice de l’avortement : c’est ce qu’ont fait une cinquantaine de croyants pro-vie devant l’Assemblée nationale du Québec récemment.
En préparation à la Marche nationale pour la Vie à Ottawa, Campagne Québec-Vie a lancé une procession aux chandelles au Vieux-Québec samedi le 7 mai durant laquelle les participants ont prié pour la fin de l’avortement dans le monde, et spécialement dans notre province.
Débutant à la Cathédrale Notre-Dame-de-Québec, la procession s’est rendue au Centre Marie-de-l’Incarnation pour commémorer cette grande sainte si puissante dans l’histoire du Québec, et s’est conclue devant l’Assemblée nationale avec la bénédiction d’un prêtre participant.
Une cinquantaine de chandelles étaient allumées ; une cinquantaine de lumières pour représenter les enfants à naître tués sans pitié dans un pays qui garantit dans sa charte le « droit à la vie » de chacun. Application concrète de l’hypocrisie de notre pays et tant d’autre pays envers leurs citoyens les plus vulnérables...
Récitant le Rosaire au cours de la procession, les participants ont témoigné leur grande Foi en la puissance de la prière, sans laquelle le combat pro-vie serait impossible. Confier la protection des enfants à naître à Notre-Dame : c’est ce qui mènera à notre victoire !
L’Initiative le Québec prie diffusée sur une chaîne de télévision québécoise
Centre-ville de Plessisville, avec vue sur l'église Saint-Calixte, au Québec.
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : DomLemLali/Wikimedia Commons
La télévision communautaire de Plessisville, TVCÉ, a accordé une entrevue d’une dizaine de minutes à l’organisatrice d’un chapelet public à Plessisville. La Croisade internationale du Rosaire se fait connaître !
Inspirée par le mouvement mondial de chapelets publics, une habitante de Plessisville avec une amie avait lancé un chapelet public tous les mercredis devant l’église locale, créant le groupe « Plessisville Prie ». Mais l’initiatrice ne s’était pas arrêtée là... voulant faire connaître davantage le mouvement de prière, elle a ensuite participé à une entrevue à sa télévision locale.
L’organisatrice a souligné lors de l’entrevue la puissance du Rosaire, « la mitraillette du Bon Dieu », et l’importance de tout confier à la Sainte Vierge, invitant ses co-citoyens à se joindre au chapelet public hebdomadaire.
L’entrevue a visiblement porté fruit. « ... la Sainte Vierge nous a ouvert des portes... Depuis la diffusion de cette entrevue, la paroisse a accepté de l’annoncer régulièrement dans le feuillet paroissial. Nous avons même pu distribuer des feuillets d’invitation aux gens à la sortie de l’église lors du dimanche des Rameaux, sans compter que le prêtre qui disait la messe ce dimanche-là à l’église... l’a annoncé au micro à la fin de la messe ! » rapporte l’inspiratrice du groupe « Plessisville prie ».
Retrouvez l’entrevue ici (vers la 18e minute).
Le groupe s’est ainsi agrandi et continuera, espérons-le, à grandir ! « Le mercredi suivant nous étions 22 personnes (malgré la pluie !) et hier, nous étions 15. Je pense qu’avec le retour du beau temps, cela en incitera d’autres à se joindre à nous... » ajoute l’initiatrice avec espoir.
Pour ceux qui désirent participer à ce mouvement international de prière publique, rejoignez-nous sur le groupe télégramme Le Québec prie et découvrez l’ampleur de la Croisade du Rosaire sur Public Rosary. Le Québec et le Canada ont besoin de vos prières ! Lancez un chapelet vous-mêmes ou joignez-vous à un groupe existant.
Tout ce qu’il vous faut, c’est un chapelet !
Des Canadiens organisent un « Grand convoi du chapelet » à Ottawa pour mettre fin aux mandats covid et prier pour la liberté
Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Lisa Bourne/LifeSiteNews
28 février 2022, Ottawa (LifeSiteNews) — Suite au succès du Convoi des camionneurs canadiens qui a captivé l’imagination des Canadiens et a contribué à allumer des mouvements similaires dans le monde entier, un groupe de catholiques canadiens cherche maintenant à inspirer les catholiques et tous les Canadiens à venir sur la colline du Parlement le samedi 19 mars pour prier pour la fin des mandats, et pour vaincre la tyrannie dans laquelle le Canada a sombré.
Les organisateurs espèrent pouvoir profiter de l’enthousiasme et de l’élan générés par le Convoi des camionneurs pour lancer leur propre convoi : « Le Grand convoi canadien du Chapelet 2022 ».
John Pacheco, l’un des organisateurs, résidant à Ottawa, a expliqué qu’au cours des trois semaines qu’a duré la manifestation des camionneurs, il a remarqué qu’un grand nombre des personnes présentes sur la Colline parlementaire étaient des personnes croyantes, ou du moins très ouvertes à l’idée que la bataille à laquelle le Canada est actuellement confronté est d’ordre spirituel.
« La plupart des gens réalisent que nous ne pouvons pas gagner cette bataille par la seule politique », a-t-il observé. « Nous avons besoin de l’aide de Dieu parce que les forces puissantes alignées contre nous sont trop formidables pour être vaincues sans l’intervention de Dieu. Lorsque les camionneurs étaient ici, beaucoup d’entre nous étions souvent sur la colline à prier le chapelet ».
« Cela doit se poursuivre à plus grande échelle », a ajouté M. Pacheco. « Avec le convoi des camionneurs, nous nous sommes réunis en solidarité dans une manifestation politique. Maintenant, il est temps de se rassembler dans une manifestation spirituelle, et de demander à Dieu de sauver notre pays de ces temps sombres. C’est notre seul véritable espoir ».
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