FERMETURE: Une Clinique Planned Parenthood du Texas ferme définitivement et devient un centre pro-vie
Par Nacquanna Comeaux and Jay Hobbs de Live Action News - Traduit par Campagne Québec Vie
Le 8 décembre 2015 (Live Action News) -- Après trois décennies à offrir aux femmes des alternatives à l’avortement bénéfiques pour la vie, Les centres Hope Pregnancy (Grossesse Espoir) de la Brazos Valley apparaissent comme étant parmi les cliniques médicales d’aide à la grossesse les plus célèbres à travers le pays.
Mais ce n’est pas la récente croissance de Hope Pregnancy dans le bastion de Planned Parenthood qui mérite d’être célébrée, précise rapidement le directeur exécutif Tracy Franck. C’est la différence que la clinique, équipée en échographie, réalise dans la vie de sa clientèle plus que jamais croissante.
Lire la suiteL’appel de Dieu la fait aujourd’hui courir pour sauver la vie des bébés à naître
Par Nancy Flanders de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
L’idée est venue à Heidi Boos lors d’une journée comme les autres. Après avoir assisté au Service pour le caractère sacré de la vie humaine à son église de l’Orégon, elle était troublée par l’idée de la perte de nombreux enfants tués par avortement.
Dans un article pour l’Eternal Perspectives, elle explique qu’elle a demandé à Dieu au cours d’une de ses courses habituelles ce qu’elle pouvait faire pour remédier à la situation. La réponse était claire comme de l’eau de roche : tu peux courir et tu peux prier.
Heidi a parlé de cet appel à son mari Nathan pour ensuite le raconter à des amis, incluant des membres de son groupe communautaire de vie. Plus elle en parlait, plus elle sentait qu’il s’agissait de la voie à suivre.
Lire la suiteMultiplication du nombre de bébés sauvés grâce au changement de nom d’un centre de grossesse et son déménagement à côté de l'avortoir
Par Pete Baklinski de LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Leurs finances à sec seraient le cauchemar de n’importe quel comptable. Payer les employés était quelques fois difficile à accomplir. La persévérance, le dur labeur et la puissance de la prière n’ont pas meilleur témoignage que ceci : Les centres de grossesse communautaires de Silicon Valley en Californie ont réussi à rester ouverts quatre jours par semaine, mois après mois, année après année, depuis leur ouverture en 1981.
Mais tout ceci a commencé à changer il y a environ 15 ans. La direction a décidé d’améliorer les centres en offrant, en plus des ressources de base pour les femmes enceintes, des échographies dans des cliniques ultramodernes par du personnel professionnel. Les donateurs ont aimé la vision et se sont engagés en finançant les modifications.
Ce n’est qu’après le changement de nom des trois centres et leur déménagement à côté des centres d’avortement de Planned Parenthood que les donateurs ont vraiment pu voir les fruits de leur investissement. Le nombre de femmes visitant les cliniques a augmenté drastiquement et le nombre de bébés sauvés a grimpé en flèche.
Lire la suiteUne professeure de l'UQAM, la FQPN et l'Association canadienne pour le libre choix rébarbatives à l'aide aux femmes enceintes
Sur le site du journal 24h du 21 mars 2013, un exemple de malhonnêteté intellectuelle:
(Comment interpréter le sigle de la FQPN? Deux personnes qui tiennent une femme enceinte à la gorge et qui lui ouvrent les jambes pour qu'elle se fasse avorter?)
Des centres d'aide à la grossesse qui diffuseraient des informations trompeuses et qui inciteraient des femmes à ne pas recourir à l'avortement sont dans la mire de chercheuses montréalaises.
Audrey Gonin, professeure à l'École de travail social de l'Université du Québec à Montréal (UQAM), se penche sur cette problématique qui a été mise au grand jour ailleurs dans la province. « Selon des enquêtes du Soleil et de Rue Frontenac, il existe des centres à Québec et à Trois-Rivières qui donnent des informations biaisées à leur clientèle, affirme Mme Gonin. On dit aux femmes que les avortements peuvent causer le cancer du sein ou engendrer un “syndrome post-avortique”, ce qui est complètement faux selon l'Institut national de santé publique du Québec. »
Procédant actuellement à une recherche en partenariat avec la Fédération du Québec (FQPN) pour la planification des naissances, la professeure tente de répertorier les centres qui, par des méthodes douteuses, découragent des femmes d'accéder à leur droit à l'avortement.
« Selon l'Association canadienne pour la liberté de choix, une trentaine de ces centres existeraient au Québec, et au moins un d'entre eux existerait à Montréal », souligne Mme Gonin.
Tromperie et ambiguïté
Afin d'améliorer sa compréhension de ces centres d'aide à la grossesse, Mme Gonin et la FQPN lancent un appel aux témoignages. « Nous demandons à toutes les personnes en lien avec une situation de grossesse qui ont consulté un centre d'aide ayant manifestement cherché à les dissuader d'envisager l'option de l'avortement de nous contacter », explique la professeure.
Celle-ci énumère quelques points qui devraient mettre la puce à l'oreille des personnes venant en contact avec ces centres. « S'ils font mention d'un syndrome post-avortique ou qu'ils parlent d'éducation sur l'avortement, il y a quelque chose qui cloche. Aussi, s'ils offrent spécifiquement du soutien psychologique à la suite d'un avortement, mais qu'ils refusent de donner des références pour avoir accès à cette procédure, c'est suspect », insiste Mme Gonin.
Des motifs obscurs
Difficile de savoir d'où proviennent les fonds qui financent ces centres qui offrent gratuitement leur « aide ». L'information qui circule sur leurs sites internet est particulièrement ambiguë. On y parle de bienfaiteurs ou de gens qui ont à cœur le bien-être des femmes.
Des « enquêtes » qui sont en fait des articles par des journalistes probablement pro-choix, une interview de la FQPN dont l'objectif est «que les femmes puissent consulter et recevoir une information complète et immédiate et que les services d’avortement soient prodigués dans les plus brefs délais. », une professeure très probablement pro-choix présentée comme étant «des chercheuses montréalaises»..., voilà un article qui a tout pour être une merveille de désinformation!
Avorter des enfants le plus rapidement possible et surtout, surtout combattre les bénévoles et organismes qui donnent de leur temps pour aider, soutenir les femmes enceintes en difficulté. La FQPN ne lève pas le petit doigt pour offrir de l'aide aux femmes en difficulté, mais elle est aux premiers rangs pour exiger que l'on puisse tuer ces enfants au plus vite!
Des centres d'aide qui offrent du soutien psychologique, proposent de l'aide matérielle et de l'écoute sont particulièrement suspects pour la « chercheure » et la FQPN, et pour l'Association canadienne pour la liberté de choix dont les membres avorteurs de métier pourraient perdre des clientes...
Nous pouvons déjà expliquer à ces « chercheurs » d'où proviennent les fonds pour ces centres : des bénévoles qui offrent de leur temps pour soutenir les femmes enceintes en difficulté.
Pour la FQPN et ses comparses, un tel comportement est incompréhensible, ce que la journaliste appelle des « méthodes douteuses ». Leurs « chercheurs » poursuivront donc leurs recherches... pour tenter de découvrir ce qui peut se cacher sous cette « générosité », un concept irréaliste et inexistant selon leur conception de la vie...
« L'information qui circule sur leurs sites internet est particulièrement ambiguë. On y parle de bienfaiteurs ou de gens qui ont à cœur le bien-être des femmes. »
Comme c'est étrange...
Une jeune femme enceinte secourue par l'auberge Héberge-Ados de Gatineau
Sur le site du journal Le Droit du 31 janvier 2013, cette très belle histoire:
(...)«J'attends un garçon, dit-elle en souriant. Et je pense que je vais l'appeler Élie».
C'est le nom qu'elle a choisi. Seule. Seule parce que le père d'Élie n'est plus dans le portrait. Quand il a appris que sa petite amie de 16 ans était enceinte, il est disparu dans le néant.
Et Myriam n'a pas consulté sa mère et son père non plus avant de choisir le nom de son futur enfant. Elle a perdu le contact avec son père il y a plus d'un an. Et elle a été abandonnée par sa mère à sa naissance. Elle ne l'a jamais connue.
«Et je ne l'ai jamais cherchée non plus, dit-elle. Ma mère avait sûrement de bonnes raisons pour faire ce qu'elle a fait», ajoute-t-elle en haussant les épaules.
Myriam a grandi à Papineauville. Elle a été élevée par sa grand-mère. C'est là qu'elle a vécu toute son enfance et le début de son adolescence.
Mais en septembre dernier, cette future maman de 16 ans (elle a 17 ans aujourd'hui) a décidé de quitter sa grand-mère. «Ma grand-mère ne pouvait plus s'occuper de moi, dit-elle. Sa santé ne le permettait plus. Je devais quitter et me débrouiller seule.»
Seize ans, enceinte, sans famille, et pratiquement dans la rue. C'est un tunnel sans fin et sans issues qui se dessinait devant elle.
En septembre dernier, un peu en désespoir de cause, Myriam a quitté Papineauville pour Gatineau. Elle est allée frapper à la porte de l'Auberge du coeur Héberge-Ados, dans le quartier Mont-Bleu.
Peut-être pourrait-elle trouver de l'aide, pensait-elle, à cette maison d'hébergement qui vient en aide aux adolescents (es) de 13 à 17 ans de l'Outaouais qui se retrouvent en situation d'itinérance ou à risque de l'être.
C'était en septembre. Myriam a quitté Héberge-Ados deux mois plus tard.
«J'avais entendu parler d'Héberge-Ados, dit-elle. Alors je suis venue voir si on pouvait m'aider. Je voulais repartir du bon pied dans la vie. Juste vivre comme il faut et me prendre en main. Mais j'avais besoin d'aide. Je vais bientôt être maman et j'avais vraiment besoin d'aide.»
Myriam a frappé à la bonne porte. Durant les deux mois lors desquels elle a habité là, l'équipe d'Héberge-Ados l'a aidée à se trouver un logement subventionné de deux chambres à coucher. On l'a ensuite aidé à obtenir une aide financière du gouvernement provincial. Et elle complète ses études secondaires par correspondance.
«Tout va bien, dit-elle en souriant. L'équipe ici m'a vraiment guidée et aidée à me prendre en main. Et ma grand-mère, à qui je parle presque tous les jours, est vraiment fière de moi.»
«Éventuellement, j'aimerais poursuivre mes études à l'université, souhaite-t-elle. Je voudrais étudier dans le domaine de la justice, peut-être devenir avocate un jour. Ma priorité est, bien entendu, mon enfant que j'attends dans dix semaines. Mais je voudrais lui donner une bonne vie.» Une meilleure vie, voulait-elle dire.
(...)
C'est cela, la solution de l'espérance...