Canada : projet de loi libéral pour étouffer la liberté d’expression
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo (modifiée) : KamranAydinov/Freepik
Le ministre du Patrimoine canadien a révélé dans une entrevue cette semaine qu’il prévoyait déposer un projet de loi ce printemps, visant à censurer les « discours haineux » sur internet, rapporte Le Soleil. Certes, il faut combattre la haine, même sur l’internet, mais ce qui est inquiétant c’est la définition de la « haine » selon le ministre Steven Guilbeault.
Dans le cadre de ce projet de loi, le ministre du Patrimoine canadien (fonction éminemment pertinente pour légiférer sur le sujet en question…) veut créer un poste de « régulateur » qui aurait les pouvoirs de faire appliquer les articles de la loi, si elle était approuvée, sur cinq catégories d’activités illégales sur internet, avec entre autres la charge de retirer dans les 24 h après sa parution en ligne tout contenu haineux, relate Le Soleil.
Le projet de loi contient de bonnes choses, comme des sanctions plus sévères contre la pornographie juvénile et la diffusion d’images intimes sans consentement sur la toile (pourquoi pas la pornographie tout court ?), d’après Le Soleil.
M. Guilbeault, en outre, daigne ne pas légiférer sur ce qu’il pourrait considérer comme de la désinformation.
Combattre le vrai discours haineux est louable, et le ministre se défend de vouloir faire autre chose que d’appliquer la loi à ce qui se publie sur internet, selon Le Soleil :
Lire la suiteLe ministre Guilbeault rejette toute accusation voulant que le gouvernement cherche à limiter la liberté d’expression en déposant un projet de loi. Il affirme que l’objectif législatif est d’assurer que les lois existantes, comme celle sur les propos haineux, soient appliquées à ce qui est diffusé en mode virtuel, comme c’est déjà le cas pour ce qui ne l’est pas. Il veut protéger la liberté d’expression plutôt que de l’étouffer.
Mgr Viganò : « c’est le passage du Royaume du Christ au Royaume de l’Antéchrist » — la vérité sur la peur : covid-19, vaccin et grande réinitialisation
Par Mgr Carlo Maria Viganò (LifeSiteNews) — Traduit par Guy Boulianne (Guy Boulianne)
Cette lettre reflète dans une large mesure l’intervention que je vais donner aux participants du prochain sommet « La vérité sur la peur : Covid-19, le vaccin et la grande réinitialisation », du 30 avril au 1er mai 2021, organisé par Patrick Coffin. Cet événement vital met en vedette plus de 20 des meilleurs médecins, chercheurs et avocats du monde, et offrira une approche scientifique et sensée de la pseudo-pandémie. Toutes les personnes ont droit au consentement éclairé.
Ce que nous avons appris jusqu’à présent sur la pseudo-pandémie nous donne l’image d’une réalité inquiétante et d’une conspiration criminelle encore plus inquiétante éclose par des esprits égarés. Cette réalité n’est cependant pas prise en considération par ceux qui, hypnotisés par l’endoctrinement médiatique, persistent à considérer une grippe saisonnière grave comme un fléau pandémique, les traitements connus comme inefficaces, et les soi-disant vaccins qui sont certes inutiles et nocifs comme rien moins que miraculeux.
La réputation des entreprises pharmaceutiques
Nous savons que les géants pharmaceutiques — AstraZeneca, Pfizer, Moderna, Johnson & Johnson — non seulement n’ont pas suivi les protocoles ordinaires de dépistage des drogues, mais ils ont une longue histoire de condamnations pour avoir déjà causé de graves dommages à la population, distribuant des vaccins qui se sont révélés être à l’origine de maladies invalidantes.
Les conflits d’intérêts
On sait quels conflits d’intérêts macroscopiques existent entre les laboratoires pharmaceutiques et les organismes chargés de leur contrôle : dans de nombreux cas, les salariés de ces sociétés sont passés par les entités qui doivent approuver et autoriser l’usage des médicaments, et il est difficile d’imaginer qu’ils — qui continuent souvent d’avoir des liens professionnels avec Big Pharma — auraient la liberté de faire une évaluation juste et prudente. En effet, nous venons de voir récemment avec le cas d’AstraZeneca en Europe que la nocivité évidente du soi-disant vaccin — qui a conduit certaines nations à suspendre sa distribution — n’est pas considérée comme une raison suffisante par l’EMA (Agence européenne des médicaments) pour interdire son adoption. Les découvertes récentes sur les effets secondaires graves ont été conçues pour exclure la majorité des cas et surtout pour ignorer délibérément la relation causale entre l’inoculation avec le vaccin et ses effets secondaires à court ou long terme.
Immunité contre les effets secondaires
Nous savons que, au mépris de tout principe juridique et de la protection de la population, les laboratoires pharmaceutiques ont exigé une immunité totale pour les dommages pouvant survenir aux patients, à qui il est demandé de signer un formulaire de décharge avec leur consentement éclairé. Ainsi, avec les bénéfices scandaleux de la vente des vaccins, les multinationales pharmaceutiques garantissent leur propre impunité pour une opération criminelle, menée avec la complicité des institutions internationales et des gouvernements.
Lire la suiteL'exercice épidémique Event 201 d'octobre 2019, organisé par Bill Gates, sur une pandémie de coronavirus et des mesures sanitaires…
Bill Gates.
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits)
Je vous propose ci-dessous ma rapide traduction d’une tribune de Robert F. Kennedy, de Children’s Health Defense aux Etats-Unis, reproduite par LifeSiteNews. D’après les enregistrements en ligne de l’Event 201 par lequel Bill Gates et d’autres s’étaient livrés à une simulation d’une pandémie meurtrière de coronavirus… en octobre 2019, il souligne qu’à l’époque on s’interrogeait sur la nécessité de surveiller les réseaux sociaux et bloquer les critiques des vaccins qui permettraient de mettre fin à la pandémie.
L’ensemble offre des similitudes troublantes avec ce qui se passe aujourd’hui. – J.S.
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Au cours des deux dernières semaines, Facebook et d’autres sites de réseaux sociaux m’ont banni, ainsi que de nombreux autres opposants à la corruption officielle et aux politiques de santé publique autoritaires. Voici donc de quoi nourrir ceux d’entre vous qui avez le sentiment étrange que la réponse du gouvernement et de l’industrie à la pandémie semble avoir été planifiée – avant même qu’il y ait une pandémie.
Le document ci-joint [retranscription en anglais des débats lors de l’Event 201] montre qu’une cabale d’individus puissants a effectivement commencé à planifier l’éviction massive des sceptiques vis-à-vis des vaccins des réseaux sociaux dès octobre 2019, une semaine ou deux avant que le COVID ne commence à circuler. C’est en octobre que le fondateur de Microsoft, Bill Gates, a organisé un exercice de quatre simulations théoriques d’une pandémie mondiale de coronavirus avec d’autres gros légumes de l’« État profond ». L’exercice a été baptisé Event 201.
Les co-conspirateurs de Gates comprenaient des représentants de la Banque mondiale, du Forum économique mondial (Great Reset), du Bloomberg/Johns Hopkins University Populations Center, des Centers for Disease Control and Prevention, de divers médias, du gouvernement chinois, d’un ancien directeur de la Central Intelligence Agency/National Security Agency (les « anciens » agents de la CIA, ça n’existe pas), du fabricant de vaccins Johnson & Johnson, des secteurs de la finance et de la biosécurité, ainsi que d’Edelman, la plus grande société de relations publiques au monde.
Sous la direction de Gates, ces éminences ont joué le rôle de membres d’un conseil de contrôle de la pandémie, élaborant des stratégies gouvernementales pour contrôler la pandémie, le récit et la population. Inutile de dire qu’il n’a guère été question de la mise en place de systèmes immunitaires, de remèdes prêts à l’emploi ou de médicaments et vitamines thérapeutiques non brevetés, mais beaucoup de la promotion de l’adoption de nouveaux médicaments antiviraux et vaccins brevetables.
Mais les participants se sont surtout concentrés sur la planification de stratégies d’État policier, centrées sur l’industrie et axées sur la peur, pour gérer une contagion mondiale imaginaire par un coronavirus qui culminerait par une censure massive des réseaux sociaux.
Curieusement, Gates affirme aujourd’hui que la simulation n’a jamais eu lieu. Le 12 avril 2020, Gates déclarait à la BBC : « Maintenant, nous y sommes. Nous n’avons pas simulé cela, nous n’avons pas fait d’exercices pratiques, donc tant pour les politiques de santé que pour les politiques économiques, nous nous trouvons en territoire inconnu. »
Malheureusement pour ce bobard, les vidéos de l’événement sont toujours disponibles sur Internet. Elles montrent que Gates et son équipe ont bel et bien simulé des politiques de santé et des politiques économiques. Il est difficile de croire que Gates a pu l’oublier.
Lire la suiteJoe Biden refuse de dénoncer le génocide des Ouïghours et la répression de Hong Kong
Joe Biden.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Gage Skidmore/Flickr/Wikimedia Commons
L’inénarrable Joe Biden a déclaré lors d’une émission de CNN qu’il ne s’élèverait pas contre le génocide que les peuplades ouïghoures subissent en Chine communiste, pas plus qu’il ne dénoncera la répression dont les Hongkongais font l’objet, car, là-bas, dans ce lointain pays d’extrême Orient, il y a des « normes culturelles » différentes… et après tout, les États-Unis doivent également faire le ménage chez eux avant de pointer du doigt un pays étranger. Je ne sais trop à quels problèmes récurrents américains auxquels le président Bidon fait référence, mais ce n’est sûrement pas à ceux auxquels je pense.
Ce qu’il dit n’a pas grand sens, si ce n’est d’affirmer que parce que les Chinois sont différents cela veut dire qu’ils peuvent commettre des génocides et tyranniser des populations entières…
LifeNews rapporte :
Lire la suiteLors d’un forum organisé par CNN hier soir, Joe Biden déclara qu’il ne « parlerait pas contre » les avortements forcés et le génocide qui ont lieu en Chine contre les Ouïghours, car il s’agit de leurs « normes culturelles ». Biden déclara aussi qu’il ne dénoncerait pas le génocide de la minorité ethnique ouïghoure en Chine, ajoutant que le président chinois Xi Jinping « comprend ».
Biden déclara également qu’il refusait de dénoncer l’oppression de la population de Hong Kong, la fin brutale de la « politique d’une seule Chine » entre la Chine et Taiwan, et le génocide des musulmans ouïghours, un groupe ethnique minoritaire, affirmant que « culturellement, il y a différentes normes que chaque pays, et eux, leurs dirigeants, sont censés suivre ».
La Chine a été « victime du monde extérieur », expliqua Biden, et il déclara qu’il ne critiquerait pas les violations flagrantes aux droits de l’homme commises par le régime communiste, parce qu’« elles n’ont pas été unifiées chez nous » [j’imagine qu’il veut dire par là qu’il y a des problèmes aux États-Unis*].
Censure : YouTube ferme la chaîne LifeSiteNews, toutes les vidéos ont disparu
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
La chaîne de vidéos que LifeSiteNews tenait sur YouTube a tout simplement été supprimée par le géant de l’internet, rapporte l’intéressé :
YouTube vient de supprimer complètement la chaîne LifeSiteNews YouTube. Ce n’est pas une simple suspension, chacune de nos vidéos a complètement disparu.
Heureusement, nous avions sauvegardé toutes nos vidéos, mais cela signifie que des centaines de milliers de personnes ont perdu l’accès à notre contenu véridique.
LifeSiteNews couvre de nombreux sujets tels que l’avortement, la contraception, l’euthanasie, l’idéologie LGBT, notamment le transgenrisme, le « mariage gay », la dictature sanitaire, la fraude électorale américaine, la censure des conservateurs, les affaires ecclésiastiques, etc. Dix fois de quoi se faire détester par le géant des réseaux (anti)sociaux, surtout devant l’ampleur de l’audience que LifeSiteNews s’attirait à travers ses services.
LifeSiteNews s’était préparé à une telle exécution et a mis à disposition ses vidéos sur d’autres plateformes comme Rumble.
De notre côté, à Campagne Québec-Vie, devant la censure plus ou moins subtile et algorithmique de Facebook, nous nous sommes lancés sur d’autres plateformes plus ouvertes comme Gab et Telegram. Nous avons également un agrégateur de nouvelles intitulé Culture de Vie.
Projet de loi au Connecticut pour censurer la publicité des centres de grossesse pro-vie
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : AdobeStock
Au Connecticut, les pro-avortement cherchent, par le biais d’un projet de loi, à censurer les centres d’aide aux femmes enceintes pro-vie, selon LifeNews :
Mercredi, le Comité de santé publique de l’État doit tenir une audience sur un projet de loi qui punirait les centres de grossesse pour publicité « trompeuse », telle que décriée par le procureur général du Connecticut, rapporte Breitbart.
« C’est un projet de loi qui apporte une solution à un problème que nous n’avons tout simplement pas », déclare le sénateur Heather Somers, selon le Hartford Courant. « Personne ne veut voir les femmes être trompées, mais cela ne se produit tout simplement pas dans l’État du Connecticut. Ces centres ont aidé plus de 35 000 femmes dans le Connecticut, et ils ne reçoivent pas un centime de l’État. »
La vérité de Lapalisse du procureur général du Connecticut :
En 2019, il arguait que cette loi est importante car les centres de grossesse peuvent retarder ou empêcher les femmes d’obtenir des avortements « sûrs », rapporte l’article.
Certes, si une femme enceinte écoute les informations véridiques que lui procurera un centre de grossesse sur le développement de son enfant à naître, il est probable qu’elle ira plus tard se faire avorter (du fait de son hésitation) ou qu’elle ne se fera pas avorter. En ce sens, on peut dire que ce que le centre aura dit à cette femme aura retardé son avortement ou l’aura empêché. Mais où est donc le problème ?
Remettre la supervision de la publicité entre les mains des pro-avortement :
Mais les chefs pro-vie déclarent que le projet de loi fait partie d’une vaste campagne pro-avortement visant à dissuader les femmes de choisir la vie de leurs bébés et à discréditer le soutien vital que les centres de ressources pour femmes enceintes fournissent.
Le projet de loi n’offre aucune précision sur le langage considéré comme trompeur, mais il obligerait les centres de grossesse à payer pour une « publicité corrective » si leurs annonces sont jugées « trompeuses », selon le Family Institute of Connecticut. « En substance, il confierait aux pro-avortement la responsabilité de décider ce qui est acceptable pour les pro-vie en matière de publicité ».
Le Time révèle la vaste cabale qui s’était formée contre Trump lors des élections
Donald Trump, président des États-Unis éjecté par fraudes électorales.
Par Francesca de Villasmundo (Médias Presse Info) ― Photo : Gage Skidmore/Flickr
Trump a crié à la fraude, à la conspiration menée par toute la bien-pensance universelle contre lui afin qu’il perde les élections. Le monde s’est moqué de lui, l’a traité de complotiste, a diabolisé ses soutiens. Tout le monde se souviendra des graves allégations de fraude formulées par l’équipe juridique de Trump au lendemain de la victoire de l’opposant démocrate, qualifiées de théories de « conspiration » et sans fondement. « Ils nous ont volé les élections », avait déclaré Trump devant ses partisans le 6 janvier. Et pourtant…
Tout à leur victoire, les opposant à Donald Trump se relâchent et ne cachent plus les sombres manœuvres entreprises pour empêcher que l’ancien président des Etats-Unis ne fasse un second mandat à la Maison-Blanche.
Ce qui ressemble bien à une vaste conspiration commence à émerger dans la presse mainstream, racontée en détail par des protagonistes fiers d’eux-mêmes. Le Time dans un article du 4 février dernier intitulé L’histoire secrète de la campagne fantôme qui a sauvé les élections de 2020, de la journaliste Molly Ball (biographe de la présidente de la Chambre Nancy Pelosi) décrit ce qui s’est passé, recueillant les témoignages de toutes les figures clés du plan.
Il n’y a peut-être pas eu de fraude, qui n’a de toute façon pas été légalement prouvée [ce qui n'est pas tout à fait vrai*], mais Donald n’a pas eu tort de parler de « conspiration » contre lui. Dans son étude le Time relate une histoire interne sans précédent et dramatique d’un « effort extraordinaire visant à “garantir que le vote soit libre et équitable” ».
Lire la suiteAprès la Pologne, la Hongrie prépare la riposte à la censure menée par Twitter, Facebook et autres
Par Francesca de Villasmundo (Médias Presse Info)
La ministre hongroise de la Justice a averti qu’elle préparait des mesures pour lutter contre les « abus systématiques » de la censure des Big Tech.
Judit Varga, la ministre hongroise de la Justice, a donné cet avertissement dans un message Facebook lundi. Elle a évoqué la censure employée par les entreprises de Big Tech, soulignant en particulier comment les fournisseurs de réseaux sociaux s’accordent en secret, à des fins politiques, pour restreindre la visibilité et l’accès pour tous ceux qui contestent le Nouvel ordre mondial.
« Les entreprises technologiques violent ainsi toutes ces normes juridiques démocratiques fondamentales qui forment la base de la culture de type occidental », a-t-elle déclaré. « Nous avons pu en apprendre davantage sur la pratique de la censure à partir d’un enregistrement vocal du PDG de Twitter qui a fait l’objet d’une fuite. »
Elle a également abordé spécifiquement la censure anti-chrétienne qui se produit sur les plateformes de réseaux sociaux : « Pour réduire leur portée, Facebook limite également la visibilité des opinions chrétiennes, conservatrices et de droite. J’en ai aussi une expérience personnelle. »
Judit Varga a annoncé que bien que le ministère hongrois de la Justice ait travaillé avec l’UE pour réglementer les entreprises Big Tech, il était nécessaire d’accélérer leur travail, en raison des « abus systématiques » de Big Tech. « C’est pourquoi j’ai convoqué une réunion extraordinaire du Comité de la liberté numérique (et cette semaine, je consulterai également le président de l’Autorité hongroise de la concurrence sur la possibilité de sanctionner les pratiques commerciales déloyales). »
La Pologne prend également des mesures pour contrer le monopole des Big Tech sur la liberté d’expression, et des lois sont en cours de rédaction qui rendraient illégale la censure par les réseaux sociaux. Le Premier ministre Mateusz Morawiecki a déclaré : « La liberté d’expression est une pierre angulaire de la démocratie — c’est pourquoi nous devons la défendre. Ce n’est pas aux algorithmes ou aux propriétaires de grandes entreprises de décider quelles opinions sont correctes et lesquelles ne le sont pas. Les propriétaires de réseaux sociaux ne peuvent pas fonctionner au-dessus de la loi. »
Censure — Twitter et Facebook chutent en bourse, les réseaux alternatifs décollent
Par Francesca de Villasmundo (Médias Presse Info)
Une nouvelle qui en réjouira plus d’un : après le bannissement de Trump, et la fermeture arbitraire de centaines de milliers d’autres comptes Twitter et Facebook, l’action de ces géants du net s’effondre !
L’action Twitter cotée à la Bourse de Francfort était en forte baisse hier lundi après l’annonce de la fermeture par le réseau social du compte du président américain sortant, Donald Trump.
Le groupe américain a annoncé avoir décidé de suspendre ce compte @realDonaldTrump, suivi par plus de 88 millions de personnes, en arguant d’un « risque d’une nouvelle incitation à la violence » suite à l’assaut sur le Capitole à Washington. Donald Trump, qui avait fait de Twitter son principal canal de communication ces quatre dernières années, est le premier chef d’Etat à se voir ainsi banni du réseau social.
L’action Twitter cotée à New York cédait autour de 8 % dans les tout premiers échanges en préouverture, mais dans de faibles volumes.
Sur la page économique de RT, on peut lire que « Le 11 janvier à la fermeture des marchés, les actions des deux réseaux sociaux Facebook et Twitter affichaient respectivement un repli de 4 % et 6,4 %. Une baisse qui touche aussi dans une moindre mesure les autres géants du numérique Apple, Google et Amazon, et qui fait suite aux actions intentées contre le président américain Donald Trump et certains de ses soutiens. »
Lire la suiteTwitter ferme le compte de Trump — Google, Amazon et Apple font pression sur Parler — CNN veut faire éliminer Fox News du câble
Par Pour une école libre au Québec — Photo : Depositphotos
Vae Victis ?
L’étau se resserre sur Donald Trump, évincé des réseaux sociaux les uns après les autres : Twitter, sa plateforme de prédilection, a suspendu son compte de façon permanente vendredi. Cette suspension permanente intervient deux jours après que des émeutiers ont franchi le cordon de sécurité du Capitole en marge d’une manifestation monstre par ailleurs pacifique tenue plus tôt sur l’Esplanade nationale.
Dans sa justification pour la suppression du compte de Donald Trump, Twitter explique que son tweet indiquant « Je ne me rendrai pas à l’inauguration le 20 janvier » est une accusation implicite de fraude et incitation à commettre des violences lors de cet événement… Voir ci-dessous.
Twitter avait précédemment supprimé une vidéo du président appelant ses partisans à se disperser pacifiquement et à respecter l’ordre public, que le président a postée moins d’une heure après que les médias aient annoncé que des émeutiers avaient pénétré dans le Capitole de Washington. Le président a réitéré sa condamnation de la violence le lendemain. Ce bannissement vient après que Facebook et Instagram, ainsi que d’autres platesformes technologiques importantes, aient suspendu indéfiniment l’accès du président, coupant une ligne de communication clé entre le président et les citoyens du pays.
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