Le moment Titanic
Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie) — Photo : Wikimedia Commons
Une légère secousse annonce la fin d’un monde
Les superstitieux peuvent célébrer ces temps-ci ! Si jamais il y a eu un moment où un alignement planétaire a coïncidé exactement avec un événement immense, c’est bien le 21 décembre 2020, jour de la conjoncture de Saturne et Jupiter. En effet, ces planètes se rencontraient au même moment que l’ordre mondial de l’après-guerre s’écroulait devant le putsch planétaire des mondialistes. Les astrologues vous diront que cette conjoncture signale la fin de l’Ère bimillénaire du Poisson et le début de celle du Verseau. Eh bien, ils n’auraient pas pu trouver une date plus probante !
Nous avons connu, pendant les neuf mois qui ont précédé cette conjoncture astrale, la plus grande mutation sociale de notre génération et peut-être de tous les temps. Nous avons vécu, en ce court laps, l’effondrement de l’ordre mondial de l’après-guerre, l’affaissement des démocraties nationales, la trahison généralisée des élites, la fin de la liberté de droit, la destruction de l’histoire et la marginalisation de tous les codes moraux traditionnels, chrétiens et autres, qui fondent nos sociétés. Tout a été bouleversé et pourtant on dirait en cet été 2021 que nous ne traversons qu’une crise sanitaire passagère. C’est un moment Titanic.
Quand un iceberg a éventré la coque du Titanic, le condamnant sans appel à sombrer, les passagers n’ont perçu qu’une légère secousse. Pendant un certain temps la vie à bord a continué apparemment inchangée, mais dans un climat irréel. On soupait, on lisait, on conversait, on faisait des plans d’avenir comme si tout était pareil. Seule une certaine anxiété, à peine perceptible, flottait dans l’air. Pourtant, la catastrophe, encore invisible, avait déjà commencé.
Nous vivons un moment semblable en cet été 2021, mais à l’échelle de la planète. Sur le Titanic, ce moment d’illusion a persisté pendant environ une demi-heure. À l’échelle planétaire, elle s’étale sur quelques années. Avec la « pandémie », le communisme mondialiste a éventré notre monde et détruit les fondements qui le soutiennent, mais nous n’avons encore perçu qu’une légère secousse. On planifie des barbecues, on fait des plans de vacances, on parle de « sortie de crise »… seule une certaine anxiété flotte dans l’air.
Lire la suiteDans une riposte cinglante aux censeurs de Facebook, Trump laisse entrevoir son retour
Donald Trump.
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Gage Skidmore/Flickr
4 juin 2021 (LifeSiteNews) — L’ancien président Donald Trump a réprimandé Facebook et son PDG Mark Zuckerberg d’avoir annoncé qu’il resterait banni de la plateforme pendant deux ans, qualifiant cela d’« insulte » à ses partisans. Il a également fait allusion à une nouvelle course à la Maison-Blanche.
Plus tôt dans la journée de vendredi, le vice-président de Facebook chargé des affaires mondiales, Nick Clegg, a annoncé « de nouveaux protocoles d’application qui seront appliqués dans des cas exceptionnels » comme celui de Trump, à commencer par la suspension de ce dernier de la plateforme, bannissement qui restera en vigueur jusqu’au 7 janvier 2023, soit deux ans après le début de sa suspension au début de cette année.
Facebook a utilisé l’émeute du 6 janvier au Capitole américain, dont les démocrates et leurs alliés ont tenté de faire valoir qu’elle avait été « incitée » par Trump, comme prétexte pour bannir ce dernier de la plateforme. Le mois dernier, le « Conseil de surveillance » de l’entreprise a annoncé qu’il confirmait la décision de Facebook, tout en qualifiant son caractère indéfini d’« arbitraire » et en appelant l’entreprise à « réexaminer cette question afin de déterminer et de justifier une réponse proportionnée qui soit conforme aux règles appliquées aux autres utilisateurs de sa plateforme » dans un délai de six mois.
Citant l’Oversight Board (un organe « indépendant » créé par Facebook lui-même l’année dernière), qui a confirmé que la suspension initiale de Trump par Facebook était « juste et nécessaire » et affirmant que le discours de Trump constitue un « risque pour la sécurité publique », M. Clegg a ajouté qu’à l’issue de cette période, Facebook pourrait prolonger la suspension de Trump en attendant une évaluation des « risques ». Si sa suspension est un jour levée, il sera alors soumis à un « ensemble strict de sanctions rapidement croissantes qui seront déclenchées si M. Trump commet d’autres violations à l’avenir, pouvant aller jusqu’à la suppression définitive de ses pages et de ses comptes ».
Lire la suiteL’Ivermectine : une alternative aux vaccins teintés par l’avortement ?
Par Michael Haynes — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : yanalya/Freepik
Analyse
1er juin 2021 (LifeSiteNews) — L’Ivermectine est un médicament que l’on pourrait presque qualifier de « miraculeux » tant il s’est avéré efficace pour prévenir et traiter le Covid-19. Malheureusement, il a fait l’objet d’une suppression et d’une désinformation généralisées de la part des organismes de santé mondiaux : il semble bien que l’on ait tenté de promouvoir les revenus financiers plutôt que de sauver la vie de millions de personnes.
Dans un article récent, Michael Capuzzo, auteur et journaliste à succès du New York Times, a décrit en détail la manière dont l’Ivermectine a été utilisée pour traiter le COVID-19, et simultanément soumise à la censure mondiale malgré son taux de réussite incroyablement élevé dans le traitement du virus. Le numéro de mai 2021 de Mountain Home contient le rapport détaillé de Capuzzo, qui suit les actions des médecins de la Front Line COVID-19 Critical Care Alliance (FLCCC).
En ce moment, notre « monde a désespérément besoin » de l’Ivermectine, selon le Dr Pierre Kory, l’un des membres fondateurs de la FLCCC. Mais bien que le besoin désespéré soit présent, les organes de santé dirigeants semblent apparemment décidés à faire en sorte que le médicament ne soit pas connu, révèle M. Capuzzo.
La formation de la FLCCC et le médicament miracle Ivermectine
Cependant, la FLCCC ne fait pas la promotion de l’Ivermectine sur la base d’une intuition ou sans qualifications médicales à l’appui. L’équipe de cinq personnes (présentées dans l’ordre sur la photo d’en-tête de l’article), à savoir le Dr Paul Marik, le Dr Joseph Varon, le Dr Gianfranco Umberto Meduri, le Dr Jose Iglesias et le Dr Kory, compte à elle seule « près de 2 000 articles et livres évalués par des pairs et plus d’un siècle d’expérience au chevet des malades dans le traitement des défaillances organiques multiples et des maladies graves de type pneumonie ».
Le Dr Marik a passé les premiers jours de COVID-19 à l’hôpital général Sentara Norfolk à traiter des patients atteints du virus et, dès janvier 2020, à élaborer un protocole de traitement. La FLCCC s’est ensuite rendu compte, en mars 2020, que le coronavirus lui-même ne tue pas directement une personne, mais qu’il submerge le corps d’un « vaste cimetière viral » qui attaque ensuite l’organisme, provoquant l’inflammation des organes et la coagulation du sang. Ils ont développé le protocole MATH+ pour traiter le COVID, composé de méthylprednisolone, d’acide ascorbique (vitamine C), de thiamine (vitamine B1) et d’héparine, un anticoagulant.
Comme l’écrit Capuzzo, bien que cette approche ait été fortement déconseillée par les organismes de santé du monde entier, elle est devenue par la suite la « norme mondiale des soins hospitaliers », grâce à des études ultérieures. Leur premier protocole préventif COVID-19, le premier du genre, était « centré » sur l’utilisation du « médicament miracle » Ivermectine.
« C’est du nihilisme thérapeutique de dire que les médecins ne peuvent rien faire », a déclaré Marik. « Les soins de confort ne sont pas des soins du tout ».
Lire la suiteLe gouvernement canadien limite le temps des débats en comité sur le projet de loi C-10 visant à censurer l’internet
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie
Ottawa, 7 juin 2021 (LifeSiteNews) — Une motion limitant le débat sur le projet de loi C-10 du gouvernement canadien sur la réglementation controversée de l’internet a obtenu suffisamment de soutien pour être adoptée ce matin à la Chambre des communes. La motion vise à limiter le débat sur le projet de loi C-10 à cinq heures seulement en comité.
Jeudi dernier, le gouvernement libéral du Premier ministre Justin Trudeau a présenté une motion visant à limiter le débat sur le projet de loi C-10 du ministre du Patrimoine canadien Steven Guilbeault, ou « Loi modifiant la Loi sur la radiodiffusion ». La motion a été présentée parce que Guilbeault a affirmé que les députés du Parti conservateur du Canada (PCC) se livraient à une forme d’« obstruction » lors des audiences du comité sur le projet de loi.
« Cela mettra enfin un terme à six semaines d’obstruction systématique au projet de loi de la part du Parti conservateur », a déclaré Guilbeault.
La motion a été adoptée par un vote de 181 voix contre 147 avec l’appui du Bloc Québécois. Les députés du PCC, du NPD et des Verts ont voté contre le bâillon.
Le texte de la motion stipule qu’en ce qui concerne le « projet de loi C-10, Loi modifiant la Loi sur la radiodiffusion et apportant des modifications connexes et corrélatives à d’autres lois », pas plus de « cinq heures seront allouées à l’étude du projet de loi à l’étape du comité ».
« Qu’à l’expiration du délai prévu pour l’étape du comité, toute délibération du Comité permanent du patrimoine canadien sur ledit projet de loi soit interrompue, si cela est nécessaire aux fins du présent ordre, et que, par la suite, toute question nécessaire pour disposer de ladite étape du projet de loi soit mise aux voix immédiatement et successivement, sans autre débat ni amendement », lit-on dans la motion parrainée par le député libéral Mona Fortier.
Le projet de loi C-10 obligerait des entreprises telles que YouTube, Twitter et Facebook à retirer le contenu jugé « préjudiciable » dans les 24 heures. Essentiellement, il permettrait au Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) de réglementer l’internet et les médias sociaux conformément à sa réglementation sur les services de radiodiffusion.
Le CRTC est l’organisme fédéral chargé de réglementer la télévision et la radio au Canada, mais il a dû jusqu’à maintenant se tenir à l’écart de la réglementation de l’internet.
Selon le Dr Michael Geist, professeur de droit à l’Université d’Ottawa et titulaire de la Chaire de recherche du Canada en droit de l’internet et du commerce électronique, l’imposition d’un « bâillon » au débat d’un projet de loi lors d’une audience de comité ne s’est pas vue depuis longtemps.
« Comme prévu, le bâillon sur le projet de loi C-10 est passé par 181 voix contre 147 avec l’appui des libéraux et des bloquistes. Le comité est limité à 5 heures. De nombreux amendements potentiels ne seront pas considérés. Ce processus pour interrompre le travail du comité n’a pas été utilisé depuis 20 ans et jamais pour une période aussi courte », écrivait M. Geist sur Twitter.
Lire la suiteLe gouverneur de Floride signe un projet de loi sans précédent visant à mettre fin à la censure sur les médias sociaux
Ron DeSantis, gouverneur de Floride.
Par Michael Haynes — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo (rognée) : State of Florida/Wikimedia Commons
Miami, Floride, 25 mai 2021 (LifeSiteNews) — Le gouverneur de la Floride, Ron DeSantis (républicain), a franchi une nouvelle étape dans sa lutte contre la censure de Big Tech en signant hier un projet de loi qui fait grandement progresser les droits des Floridiens face aux sociétés de médias sociaux. Les Floridiens ont désormais la possibilité de poursuivre les entreprises s’ils sont traités injustement, et la loi empêche également la censure des politiciens.
M. DeSantis a sanctionné le projet de loi, connu sous le nom de SB 7072, lors d’une conférence de presse tenue à l’Université internationale de Floride dans la matinée du 24 mai. Elle entrera en vigueur le 1er juillet 2021.
En annonçant la nouvelle loi, qui est la première du genre, il a déclaré qu’il garantirait la protection contre la censure des médias sociaux aux personnes vivant dans l’État de Floride.
« Durant cette session, nous avons pris des mesures pour nous assurer que “Nous le peuple” — les vrais Floridiens de tout l’“État ensoleillé” — soyons protégés contre les élites de la Silicon Valley. De nombreux habitants de notre État ont fait l’expérience directe de la censure et d’autres comportements tyranniques à Cuba et au Venezuela. Si les censeurs de Big Tech appliquent les règles de manière incohérente, pour discriminer en faveur de l’idéologie dominante de la Silicon Valley, ils seront désormais tenus pour responsables. »
La loi elle-même est un coup de semonce pour toutes les entreprises de médias sociaux qui cherchent à pratiquer la censure dans l’État. Notant que les médias sociaux sont devenus la « nouvelle place publique » et qu’à ce titre, ils occupent une « place unique par rapport à la sauvegarde du premier amendement », la loi accuse les plateformes de médias sociaux d’avoir « injustement censuré, censuré de façon camouflée, exclu de certaines plateformes des Floridiens et appliqué à ceux-ci des algorithmes de post-priorité ».
En conséquence, les Floridiens auront désormais le droit de poursuivre Big Tech ou les entreprises de médias sociaux, en demandant des dommages et intérêts monétaires pouvant aller jusqu’à 100 000 dollars, si les entreprises violent la nouvelle loi et appliquent une censure injuste, censurent de manière camouflée ou excluent d’une plateforme un utilisateur. Les entreprises de médias sociaux ne peuvent pas non plus bannir des utilisateurs sans avertissement, car elles doivent désormais donner un préavis de sept jours avant un bannissement potentiel, en expliquant la raison sous-jacente et en offrant la possibilité de résoudre le problème.
En outre, en vertu de la loi de l’État sur les pratiques commerciales déloyales et trompeuses, le procureur général de Floride pourra poursuivre les entreprises technologiques qui violent la loi. Si une faute professionnelle est prouvée, l’entreprise sera placée sur une « liste de fournisseurs violant la loi anti-monopole » et il lui sera interdit de travailler avec une entité publique.
L’un des éléments clés de la loi SB 7072 réside dans les règles qu’il fixe concernant la censure des hommes politiques sur les médias sociaux. En vertu de cette loi, il est désormais illégal pour Big Tech de bannir les candidats politiques.
Lire la suiteLe Nouvel Ordre Mondial : aboutissement du modernisme
Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie) ― Photo : vpemencom/Pixabay
Du rêve au cauchemar
Quand j’étais enfant, je dévorais les livres. L’un d’eux, une fresque remplie d’images, décrivait les grandes Ères de l’Histoire. Je m’en souviens encore : Préhistoire, Antiquité, Moyen-Âge, Renaissance, Grandes Découvertes… La dernière des Ères se nommait : « les Temps Modernes ». C’était mon Ère. Vers la même époque, la Révolution Tranquille débutait. Les adultes autour de moi disaient que le Québec entrait enfin, à son tour, dans l’Ère Moderne et dorénavant, nous serions, nous aussi, modernes.
Le modernisme se décrit comme une démarche collective vers un avenir meilleur. Sa thèse fondamentale affirme que l’humanité, ayant atteint un stade avancé de maturité, doit se libérer de ses croyances traditionnelles et se redéfinir sans limites. En se coupant de nos racines millénaires, on façonnerait un nouvel homme qu’on placerait dans un nouveau monde. Ce serait, comme on chantait à l’époque, « Le début d’un temps nouveau. »
Les bons vins se bonifient avec le temps ; les piquettes surissent. À peine soixante ans plus tard, ce modernisme, si appétissant au début, est devenu un breuvage toxique ; ses créations, une montagne de déchets ; son aboutissement, une abomination totalitaire. En effet, après les années de promesses utopiques, voici venir la réalité du Nouvel Ordre Mondial.
Dany Rondeau de l’UQAR, citant Polémia en ligne, décrit les cinq caractéristiques du modernisme comme suit :
- Individualisation : destruction des anciennes communautés d’appartenance
- Massification : adoption de comportements et de modes de vie standardisés
- Désacralisation : désenchantement/reflux des grands récits religieux au profit d’une interprétation scientifique du monde
- Rationalisation : domination de la raison instrumentale à travers l’échange marchand et l’efficacité technique
- Universalisation : extension planétaire d’un modèle de société posé comme seul possible rationnellement et donc supérieur
Le Nouvel Ordre Mondial, c’est-à-dire l’implantation en dix ans (« Great Reset », Agenda 2030), par les élites mondiales et nationales, des dix-sept Objectifs de Développement Durables (ODD) de l’ONU incarne, de façon extrême et définitive, toutes les caractéristiques du modernisme.
Lire la suiteFacebook exclut LifeSiteNews sous la pression de groupes de pression pro-avortement, pro-covid et pro-LGBT
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits) — Photo : tirachard/Freepik
Le plus gros site pro-vie anglophone, LifeSiteNews (50 millions de lecteurs) a été définitivement exclu de Facebook mardi dernier [4 mai], sans avertissement et sans appel, pour violation des « règles de la communauté ». Il est reproché à LifeSite d’avoir publié « de fausses informations sur le COVID-19 qui pourraient entraîner des dommages physiques », ainsi que des messages « décourageant » de recevoir le « vaccin » anti-COVID.
L’article incriminé était une tribune portant sur une analyse des données de pharmacovigilance des Etats-Unis relatives à des décès à la suite d’une vaccination et consistait pour l’essentiel en un copié-collé des cas présentés par le VAERS (Vaccine Adverse Events Reporting System).
Il décrivait également les hypothèses sur le lien entre la gravité et le nombre des effets secondaires et le fait pour les personnes vaccinées d’avoir déjà été infectés par le SARS-CoV-2, consciemment ou à leur insu, citant une étude de King’s College présentée par le Daily Telegraph de Londres, soit une source « mainstream », et des anecdotes du même ordre rapportées par des médias locaux.
Des articles antérieurs publiés par LifeSite sur Facebook avaient déjà fait l’objet de signalements, en particulier ceux dénonçant le lien entre de nombreux vaccins (anti-COVID ou non) et l’avortement à travers l’utilisation de lignées de cellules fœtales obtenues à partir d’avortements pour leur développement ou leur production.
Vendredi, quatre puissants lobbies militant pour l’avortement, le « mariage » gay et les droits « LGBT » ont revendiqué la paternité de cette censure.
Un communiqué conjoint publié par Media Matters for America, les lobbies pro-LGBT Human Rights Campaign et GLAAD ainsi que NARAL Pro-Choice America affirme ainsi :
Lire la suite« Il a fallu faire pression pour que Facebook retire la page de LifeSiteNews, notamment en attirant l’attention sur la désinformation flagrante concernant le COVID-19 et les vaccins sur la page de LifeSiteNews, en compilant plus de 100 publications prouvant la violation répétée par LifeSiteNews des politiques connexes de Facebook, et en faisant appel à GLAAD, Human Rights Campaign, NARAL et Media Matters pour que Facebook agisse enfin. »
La piste hydroxy
Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie) ― Photo : WavebreakMediaMicro/AdobeStock
Les séquences révèlent le plan
Ayant fait une analyse exhaustive de la documentation liée au « Great Reset », pendant l’automne 2020, j’ai compris qu’un putsch planétaire se déroulait derrière la pandémie du COVID. Cette agression avait été mise en branle par le Forum Économique Mondial et était explicitement soutenue par nos gouvernants. Plusieurs événements individuels soulignent l’étendue de l’agression en cours. Mais ce sont les séquences d’événements qui révèlent son niveau d’organisation. En effet, ce ne sont pas des événements individuels qui indiquent qu’une action est concertée mais leur agencement. Celui-ci sert, en quelque sorte, de fil conducteur.
Je décrirai ici un de ces fils conducteurs qui nous font percevoir l’étendue et aussi le degré d’organisation du putsch mondialiste en cours. Parmi ces fils, j’aurais pu choisir la destruction systématique du processus électoral américain et de la présidence de Donald Trump ou encore, l’utilisation planétaire coordonnée de slogans mondialistes. Cependant, la trame que j’ai plutôt choisie est l’une des plus simples des plus révélatrices. Il s’agit des événements entourant l’utilisation de l’Hydroxy Chloroquine (HCL), comme traitement, en phase initiale, de la COVID.
Avant la pandémie, le HCL était une drogue peu coûteuse, connue depuis 60 ans, utilisée par des millions de personnes comme remède contre la malaria, considérée comme sécuritaire et vendue sans prescription (comme l’aspirine) dans de nombreux pays. À la fin de mars 2020, au tout début de la pandémie, certains résultats préliminaires publiés par des chercheurs renommés semblaient indiquer que le HCL serait peut-être efficace comme traitement contre la COVID. Toute une série d’événements et de décisions a suivi. Voici une chronologie sommaire des événements principaux.
Lire la suiteDe retraité à complotiste
Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie) ― Photo : WavebreakMediaMicro/AdobeStock
Un an de bouleversements
Au début de mars 2020, j’étais un retraité normal vivant dans une société paisible, démocratique et bienveillante. Je croyais que les médias étaient généralement crédibles, que nos élus servaient leurs citoyens et que nos partis d’opposition étaient des partis d’opposition. Je voyais les GAFAM (Google, Facebook et compagnie) comme de simples pourvoyeurs de contenu. Je pensais que les milliardaires du Forum Économique Mondial s’amusaient à « refaire le monde », à Davos les automnes, parce qu’il faisait trop froid pour le yacht et trop chaud pour le ski. À cette époque, je pensais que Qanon était une faute d’orthographe et que les « complotistes » étaient des gens qui ne savaient pas faire la différence entre les nouvelles et le cinéma. Globalement, je percevais un monde où il y avait suffisamment de diversité d’opinions, de compétition commerciale et de rigueur académique pour assurer la liberté de tous. Enfin et surtout, j’étais convaincu que ça prenait une guerre, une famine ou une crise économique pour pousser un peuple vers la catastrophe totalitaire. J’étais donc certain qu’un pays aussi paisible et prospère que le Canada était à l’abri, pour toujours, de tels bouleversements.
Aujourd’hui, quatorze mois plus tard, je pense que nos politiciens collaborent intentionnellement à un putsch mondialiste au service d’un agenda totalitaire fasciste, qu’ils ont décidé d’asservir leurs populations, de détruire nos droits et de pervertir nos enfants. Je considère que les médias sont des pourvoyeurs de propagande produisant un narratif de contrôle digne de la Pravda de Staline. Pour moi, maintenant, les « autorités » n’ont plus aucune crédibilité et les publications scientifiques les plus prestigieuses sont aussi les plus suspectes. Dans ma nouvelle réalité, le grand capital exerce une influence occulte et insidieuse qui pourrit toutes les sphères de l’activité humaine en influençant sans cesse la sélection des dirigeants. C’est un monde où les élites sont des collabos au service du Forum Économique Mondial. Autrement dit, plus ça vient de haut plus c’est faux.
Ouf ! L’an dernier j’étais un retraité qui pêchait l’éperlan dans un pays paisible ; me voici devenu un complotiste marginalisé en lutte contre un empire planétaire.
Lire la suiteLifeSiteNews banni de Facebook !
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Le média pro-vie LifeSiteNews s’est fait définitivement bannir de Facebook pour avoir publié sur cette plateforme de la réinformation au sujet du covid-19, allant à l’encontre des doctrines facebookiennes au sujet du virus couronné. Selon LifeSiteNews :
Facebook vient de bannir définitivement la page de LifeSiteNews. Sur sa plateforme. Il ne s’agit apparemment pas d’une mesure temporaire : elle est partie pour de bon.
Dans une série rapide d’avis et de courriels adressés au service de publicisation de LifeSiteNews, Facebook a annoncé la nouvelle choquante, accusant LifeSite de publier « de fausses informations sur le covid-19 qui pourraient contribuer à des préjudices physiques ».
Facebook a également déclaré qu’il retirait ses services aux pages qui publient « des informations décourageant la vaccination sur la plateforme. »
Facebook a cité un article publié le 10 avril 2021, intitulé COVID vaccines can be deadly for some (Les vaccins covid-19 peuvent être mortels pour certains).
LifeSiteNews s’était fait supprimer son compte YouTube dernièrement. Maintenant, ce média de réinformation est rendu sur les plateformes de Telegram, Gab (sur lesquelles nous sommes également), MeWe, Rumble et Brigheon (on peut aussi tout bêtement se rendre directement sur le site de LifeSiteNews, comme je le fais habituellement).
La censure se précise de plus en plus…