L’International Society for Stem Cell Research étend la limite des 14 jours à 28 pour la recherche sur embryons
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Freepik
L’International Society for Stem Cell Research a publié de nouvelles directives dans lesquelles elle recommande l’extension de la limite légale des 14 jours de développement de l’embryon à 28 dans le cadre des recherches sur embryons humains vivants. Le prétexte ? Vouloir toujours plus étudier l’embryon humain et mener des expériences dessus… Selon LifeSiteNews :
Un groupe de scientifiques demande la fin des règles empêchant la recherche sur les bébés à naître de plus de 14 jours de gestation.
Le mois dernier, l’International Society for Stem Cell Research (ISSCR) a publié de nouvelles directives élargissant le cadre de la recherche sur les embryons humains vivants. Le généticien britannique Robin Lovell-Badge a salué ces recommandations dans un article publié le 26 mai dans la revue en ligne Nature. L’article est intitulé de manière équivoque : Stem-cell guidelines : why it was time for an update [directives sur les cellules souches : voici pourquoi il est temps de les mettre à jour].
De 14 jours à 28 :
M. Lovell-Bridge a déclaré que le changement le plus « frappant » recommandé par la Société était « l’assouplissement de la “règle des 14 jours”, le temps limite pour la culture d’embryons humains intacts en laboratoire, qui a été inscrit dans la loi par une douzaine de pays, dont le Royaume-Uni et l’Australie. »
Selon les règles actuelles, les embryons humains doivent être tués après deux semaines d’expérimentation. Selon M. Lovell-Bridge, cela est dû au fait que les « premiers signes » de leur système nerveux central apparaîtraient peu après. Il a toutefois fait valoir que, bien que cette limite ait précédemment « bien servi la science », elle empêche « l’étude d’une période critique, entre 14 et 28 jours, lorsque les prémices des tissus sont établies ». En d’autres termes, il estime que les scientifiques devraient être autorisés à faire des expériences sur des bébés à naître dont le cerveau, le cœur et la moelle épinière ont commencé à se former.
Cette volonté de mener des recherches sur l’embryon humain, qu’il soit à 14 jours de développement ou 28, montre le mépris de ces chercheurs pour sa nature humaine et en fait pour l’être humain puisqu’il en est un.
La Californie et la recherche sur les cellules souches embryonnaires humaines
Par Jean-Pierre Dickès (Medias-Presse.info)
Le California Institute for Regenerative Medicine (CIRM) a annoncé qu’il ne pouvait plus accepter les demandes de subvention. Il n’y a plus d’argent dans le pot à confiture.
Le CIRM a été créé en 2004 après que 59 % des électeurs de Californie eurent approuvé un emprunt obligataire de 3 milliards de dollars américains destiné à soutenir la recherche sur les cellules souches embryonnaires humaines. La victoire des partisans du CIRM est survenue après une longue et meurtrière bataille sur les questions d’éthique : peut-on utiliser des embryons humains sous prétexte de recherche ? De plus l’efficacité de la recherche sur les embryons humains était déjà mise en question.
Il s’est avéré que les critiques de la recherche sur les cellules souches embryonnaires humaines étaient justes. Presque tous les progrès ont été réalisés grâce à la recherche sur les cellules souches adultes et les cellules souches pluripotentes induites de Yamanaka issues de la peau. Cette découverte a relancé les recherches sur les cellules-souches.
Selon la revue Science, le CIRM n’a pas réussi à obtenir un financement relais de 200 millions de dollars auprès de sources privées. Ses partisans, dirigés par un acteur convaincu de la campagne de 2004, espèrent que la prochaine élection basculera vers la gauche contre Trump et que la pompe à fric pourra redémarrer au profit de leurs recherches ; de plus, les aides promises par les célébrités de l’ultragauche boboïsante californienne et celle des scientifiques la main sur le cœur, ne se sont pas matérialisés. Au pays des promesses, on en meurt.
Jeanne Loring, récemment retraitée du Scripps Research Institute de San Diego, avait déclaré à Science que le CIRM avait fait de la Californie le « centre de l’univers des cellules souches. Il serait tragique de démanteler [cette infrastructure] maintenant. Mais le financement de 2004 dépendait tellement de la politique et des intérêts de l’époque et je ne sais pas si ces circonstances peuvent être reproduites. » Cette personne peut toujours rechercher les succès sur les cellules souches embryonnaires pour voir que ces recherches ne mènent à rien. Faudrait faire une quête pour lui acheter des lunettes…
Lire la suitePMA, GPA : l’inquiétant rapport adopté par la mission d’information bioéthique de l’Assemblée Nationale
Par Léo Kersauzie (Medias-Presse.info) — Photo : Pixnio
Le mardi 15 janvier, la mission d’information bioéthique de l’Assemblée nationale a adopté le rapport formulant 60 propositions pour réviser les lois de bioéthique.
Parmi les propositions de ce rapport : l’ouverture de la PMA (procréation médicalement assistée) aux duos de femmes et aux célibataires, et son remboursement par la Sécurité sociale.
Le rapport adopté, très influencé par le lobby LGBT, dit vouloir « dépasser les limites biologiques de la procréation de demain », et reconnaître ainsi les « nouveaux modèles familiaux » présents dans la société française.
Ce rapport évoque le critère d’« autonomie des choix reproductifs » inventé par la fondation Jean Jaurès, un think tank très à gauche.
Ce rapport préconise également de retranscrire automatiquement en droit français la filiation des enfants nés par GPA à l’étranger.
Lire la suiteTraitement de la sclérose en plaques par cellules souches adultes et non d'embryon : un nouvel espoir
Par Reinformation.tv
Grâce au traitement, la maladie, qui affecte le cerveau et la moelle épinière, s’attaquant également au système immunitaire, arrête sa progression tandis que les patients éprouvent moins de symptômes grâce à cette nouvelle technique éprouvée cliniquement sur plus de 100 malades à Chicago, Sheffield, Stockholm et São Paolo. Tous étaient victimes d’une forme de sclérose en plaques caractérisée par des crises ponctuées de périodes de rémission.
Les médecins ont salué une avancée majeure, étant donné qu’au bout de quatre ans de traitement en moyenne on a constaté un taux d’échec de 6 % seulement, contre 60 % chez les malades recevant des médicaments classiques. Les traitements réussis par cellules souches étaient également associés à une réduction du handicap des malades.
La technique consiste à désactiver le système immunitaire du patient au moyen de chimiothérapie anti-cancéreuse, puis de le « réinitialiser » grâce à une transplantation de cellules souches.
Cellules souches embryonnaires ou adultes ? Quelle question ! Aucun traitement à part entière et efficace n’a été développé à ce jour grâce aux cellules prélevées sur des embryons, que l’on détruit ce faisant. Dans l’étude internationale dont on vient de publier ces résultats si encourageants, on a prélevé des cellules souches adultes sur le sang et la moelle épinière des patients eux-mêmes avant de les réinjecter après la chimiothérapie. Exemptes de sclérose en plaques, elles reconstruisent le système immunitaire sans présenter le moindre risque de rejet.
Le coût de la greffe, de l’ordre de 35 000 euros, équivaut à celui d’un an de traitement classique.
Il n'existe aucune raison éthique pour autoriser la recherche à partir de la destruction d'embryons humains
Sur le site de zenit.org du 16 juillet 2013:
(Le docteur Xavier Mirabel, président d'Alliance Vita)
Alliance VITA dénonce le passage en force de la proposition de loi qui vise, sans réel débat préalable, à autoriser la recherche qui détruit l’embryon humain. Pour Alliance VITA, ce texte bouleverse les conditions de la recherche sur l’embryon et les cellules souches embryonnaires, en supprimant l’interdiction de principe pour y substituer un cadre beaucoup plus large et flou. Cette discussion a eu lieu sans que les Français aient été préalablement consultés par des états généraux, comme le prévoit pourtant la loi bioéthique du 7 juillet 2011.Pour le docteur Xavier Mirabel, président d’Alliance VITA : « Autoriser la recherche sur l’embryon est grave éthiquement car c’est chosifier l’ être humain à son premier stade. De plus il n’y a aucune raison scientifique à traiter l’embryon humain comme un cobaye de laboratoire. Le prix Nobel de médecine vient d’être décerné au japonais Shinya Yamanaka et au britannique John Gurdon pour leurs découvertes sur la reprogrammation nucléaire, qui est une technique éthique. En autorisant explicitement la recherche sur l’embryon conduisant à sa destruction, la proposition de loi bouleverse un principe bioéthique majeur qui confère à l’embryon humain une protection symbolique. Je rappelle que la recherche sur l’embryon n’a donné aucun résultat probant à ce jour, et que les autres pays se tournent vers les cellules souches reprogrammées (iPS). A titre d’exemple, la société américaine Geron, qui avait annoncé un essai clinique à base de cellules souches embryonnaires en 2009, a mis fin à ses recherches en 2011, faute de résultats probants ; en sens inverse, le Japon est en cours d’autorisation de recherche clinique à base de cellules iPS concernant une maladie de l’œil, ce qui constituerait une première mondiale très prometteuse. »Alliance VITA demande au Parlement et au Gouvernement de privilégier les recherches éthiques et exige un moratoire sur la congélation des embryons humains. En son absence, il faut appliquer strictement la loi bioéthique, en limitant les dérogations trop largement accordées. VITA rappelle que la France reste en pleine contradiction avec les orientations européennes qui interdisent tout brevet sur l’embryon humain et la convention d’Oviedo qui, dans son article 18, exige une « protection adéquate » dont doivent bénéficier les embryons in vitro.Alliance VITA, avec les autres associations partenaires du Collectif « Un de nous », demande l’arrêt des financements par l’Union européenne de la recherche sur l’embryon impliquant sa destruction, comme l’a demandé la Commission des affaires juridiques du Parlement européen dans le cadre de l’examen du programme-cadre pour la recherche et l’innovation « Horizon 2020 ».Elle invite tous les citoyens européens soucieux d’une recherche éthique à signer l’initiative citoyenne européenne www.undenous.fr qui demande l’arrêt du financement de ces recherches par les fonds européens. 760 000 citoyens européens dont 67 000 Français ont déjà signé en quelques semaines.
Le pourquoi de l'autorisation de l'utilisation d'embryons humains pour la recherche...
Sur le site du journal Le Monde du 11 mai 2011 (via le Salon beige) :
(Le gouvernement socialiste français permet le charcutage criminel de 50 000 embryons pour assouvir l'industrie pharmaceutique.)
Initialement en filigrane, les enjeux véritables de ces recherches, portés notamment par Les Entreprises du Médicament émergent. Ils sont d'abord commerciaux. Et ils sont considérables.Les cellules embryonnaires humaines : quelle utilité thérapeutique ? L'enjeu scientifique des hES qui ont été découvertes en 1990 n'est plus prioritairement de parvenir à des thérapies, objectif difficile à atteindre, mais d'utiliser ces cellules pour modéliser des maladies et cribler des molécules au profit de l'industrie pharmaceutique. Pour ces travaux de recherche, les cellules humaines induites pluripotentes (iPS) découvertes fin 2007 concurrencent efficacement les cellules embryonnaires humaines, sans poser de problème éthique. Issues des cellules de la peau des patients, les iPS ont permis de modéliser plus d'une dizaine de maladies en seulement 3 ans. Les annonces qui affirmeraient le contraire enferment les patients, les familles, l'opinion publique, les médias et les responsables politiques dans l'idée erronée selon laquelle la recherche sur les maladies génétiques ne pourrait désormais progresser que grâce aux embryons humains.L'embryon humain, un "matériau" rentable ? En moyenne, le développement d'un nouveau médicament pour les grandes entreprises pharmaceutiques prend 15 ans et coûte environ 650 millions de dollars. Cela signifie qu'en utilisant les cellules souches embryonnaires pour tester de nouvelles molécules, l'industrie pharmaceutique pourrait réduire ses investissements sur les essais en supprimant des étapes coûteuses, notamment celles sur le modèle animal. L'industrie pharmaceutique mondiale pourrait économiser environ 8 milliards de dollars par an3 actuellement nécessaires à la modélisation de nouvelles molécules thérapeutiques. Or, cette même économie pourrait être réalisée en utilisant des iPS.(...) A coup sûr, une politique réduite à l'utilitarisme et au pragmatisme sans valeurs conduirait à l'abandon des préoccupations éthiques ; celles-là même qui garantissent une certaine indépendance des scientifiques vis-à-vis des intérêts économiques.Laurent Aventin, économiste de la santé, Alexandra Henrion Caude, chercheur à l'INSERM, Alain Privat, ancien chercheur à l'INSERM
Désinformation sur la nouvelle de cellules souches embryonnaires créées par clonage?
Cette nouvelle se retrouvait dans plusieurs journaux, dont La Presse du 15 mai 2013:
(Progrès?)
Des chercheurs américains ont créé des cellules souches embryonnaires humaines à partir de cellules de peau en recourant à une technique de clonage, une première après plusieurs tentatives infructueuses dans le monde ces dernières années.
Sans produire de clone, ces scientifiques ont démontré pour la première fois avec leurs travaux dévoilés mercredi qu'il est possible de créer des cellules souches embryonnaires génétiquement identiques à la personne dont elles sont dérivées.(...)Un autre avantage présenté par cette recherche est qu'elle n'utilise pas d'embryons fertilisés pour obtenir des cellules souches. Cette approche soulève d'importantes questions éthiques puisque l'embryon est détruit dans le processus.
L’enthousiasme de la presse faisant écho à cette découverte est à modérer en raison des problèmes éthiques qui en découlent :Tout d’abord, et contrairement à ce qu’avance la presse, cette découverte créant des cellules souches embryonnaires humaines passe bien par la création d’embryons obtenus non par fécondation mais par clonage. La nouveauté de cette découverte réside dans l'amélioration de la technique de clonage: des chercheurs ont pu récupérer des cellules souches sur un embryon clôné âgé d'une semaine, pour obtenir les cellules embryonnaires humaines. Il y a alors inéluctablement destruction de l'embryon créé.Cette technique nécessite donc la création d'embryons aux seules fins de recherche, ce qui est interdit en France, par exemple, au nom de l’éthique, que ce soit par fécondation in vitro ou par clonage.Enfin, il convient de souligner que les nombreux ovules nécessaires à cette découverte ont été obtenus après stimulation ovarienne intensive (prélèvement de 10 ovules par femmes) technique dont on connaît les risques de cancer notamment. La publication précise que celles-ci ont été indemnisées.
La recherche sur les cellules souches embryonnaires est "caduque"
Sur le site de genethique.org du 22 octobre 2012:
(Alain Privat, professeur de neurobiologie)
Dans une tribune du quotidien Le Figaro, Alain Privat, professeur de neurobiologie à l’Ecole pratique des hautes études (EPHE), ancien directeur d'unité à l’Inserm et membre correspondant de l'Académie de médecine, "réagit à la récente décision du Parlement de réexaminer la législation relative à la recherche sur l’embryon humain". Ainsi, le neurobiologiste s’oppose au soutien du gouvernement concernant la proposition de loi visant à autoriser la recherche sur l’embryon humain, soutien marqué par le discours de la ministre de la recherche lors de la discussion générale au Sénat le 15 octobre dernier. (Cf Synthèse de presse Gènéthique du 17/10/12).
Pour le professeur de neurobiologie "une mise au point s’impose". En effet, "la remise du prix Nobel au professeur Yamanaka pour sa découverte des cellules souches reprogrammées (iPS) a déclenché une manœuvre de récupération par les promoteurs de la recherche sur l’embryon humain", ajoutant qu’ "il est vrai que ceux-ci peuvent se sentir fragilisés puisque leurs recherches avancent si peu au regard de la révolution des iPS et des résultats thérapeutiques prometteurs apportés par les cellules souches non embryonnaires".
Alors que "certains prétendent que les travaux couronnés par le prix Nobel cautionnent la recherche sur l’embryon humain", Alain Privat précise que "c’est tout le contraire. L’amalgame qui est fait entre cellules souches et cellules souches embryonnaire est fallacieux. La découverte du Pr Yamanaka a ouvert une nouvelle voie : une cellule adulte spécialisée peut être ramenée au stade indifférencié et ensuite dirigée de façon à donner naissance à tous les tissus d’un organisme !". De fait, pour Alain Privat, "la découverte du Pr Yamanaka rend caduque la recherche sur l’embryon humain et pointe les errances stratégiques de la recherche française : faire de l’embryon humain à tout prix".(...)
François Hollande veut utiliser les enfants à naître pour récupérer leurs cellules souches
Le candidat socialiste à la présidentielle française a prouvé à plusieurs reprises que son seul souci concernant les plus faibles était de bien les utiliser ou de s'en débarasser par l'euthanasie. La folie n'est plus drôle lorsqu'elle s'empare d'un homme de pouvoir... Espérons pour le parti socialiste français qu'il recouvrera bientôt la raison.
Le site du Salon Beige du 22 février nous apporte cette nouvelle:
Décidemment, cet homme est dangereux pour ceux qui ne peuvent rien contre lui : après les malades, les blessés et les vieux, voici qu'il faudrait éliminer des foetus pour utiliser leurs cellules au profit des (sur)vivants...
Démogagie, retard ou encore opposition systématique à la droite? Le candidat socialiste, qui semble faire campagne en ne levant que des dossiers à scandale, propose aujourd'hui de réviser les lois bioéthiques pour autoriser les recherches sur les cellules souches embryonnaires.
Cela prouve une telle méconnaissance du dossier sur les réussites des recherches sur les cellules souches adultes, une telle volonté d'acharnement sur les plus faibles, que l'on n'a aucune envie de rire de propos pourtant par ailleurs bien ringards, totalement hors de sujet et si loin des soucis premiers de notre pays.
Horreur: des embryons humains tués pour soigner le Parkinson chez les singes...
La thérapie vise à soigner ultérieurement des humains, mais pour l'instant, on utilise les cellules souches provenant d'enfants à naître plutôt que celles provenant du cordons ombilical par exemple, pour soigner des singes. La science et l'éthique sont deux disciplines qui ne sont pas nécessairement simultanées chez les scientifique... Le site de Radio-Canada du 22 février 2012 nous apporte cette nouvelle:
Les symptômes de la maladie de Parkinson que présentaient des singes de laboratoire ont grandement diminué après l'implantation de cellules souches humaines dans leur cerveau, ont affirmé des chercheurs japonais.
Le Pr Jun Takahashi et son équipe de l'Université de Kyoto expliquent que quatre des primates dont les membres bougeaient spasmodiquement (un symptôme courant de la maladie) ont montré des signes d'amélioration trois mois après la transplantation.
Les animaux testés étaient de nouveau capables de marcher dans leur cage six mois après l'intervention.
Les chercheurs notent qu'au moment de l'implantation, 35 % des cellules souches embryonnaires étaient des neurones de type dopamine, et qu'environ un dixième d'entre elles étaient encore vivantes un an après. Avant de pouvoir mener des expériences sur des humains, ce qui pourrait commencer en 2015, l'équipe voudrait faire passer ce taux de survie à 70 %.