Décès du cardinal George Pell : la réaction attristée du cardinal Burke, qui lui avait rendu visite la veille
Le cardinal George Pell.
Le blog de Jeanne Smits — Photo : EWTN/YouTube
Je publie volontiers ci-dessous le communiqué du cardinal Raymond Burke publié le 11 janvier à la suite du décès du cardinal George Pell, mort à l’âge de 81 ans de complications cardiaques au cours d’une opération de la hanche.
Avec le cardinal Pell disparaît un grand serviteur du Christ, un prince de l’Église profondément atteint par la confusion régnant aujourd’hui. — J.S.
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Décès du Cardinal George PELL
11 janvier 2023
Le décès soudain du cardinal George Pell a privé l’Église du compagnonnage terrestre d’un pasteur sage et aimant, plein de joie et de courage. J’ai quant à moi perdu le compagnonnage terrestre d’un grand ami, qui fut un exemple au sein du Sacré Collège des Cardinaux. J’ai longuement rendu visite au cardinal Pell l’après-midi qui a précédé son hospitalisation pour une opération de remplacement de la hanche, et j’en garde le vif souvenir de son amour ardent pour le Christ et pour l’Église, son Épouse.
Le cardinal Pell était un défenseur infatigable et intrépide des vérités de la foi, à commencer par les préceptes fondamentaux de la loi morale relatifs à l’inviolabilité de la vie humaine innocente et sans défense, à la sauvegarde du sens intégral du mariage et de sa fructification dans la famille, et à la liberté de pratique de la religion, non pas en raison de quelque conviction idéologique mais parce que, prêtre du Christ, il L’aimait et désirait Le servir fidèlement. La « divine jalousie » de saint Paul à l’égard de l’Eglise l’animait, il ne cessait d’œuvrer pour la « présenter au Christ comme une vierge pure » (2 Co 11, 2). Je l’ai ainsi trouvé, à la veille de son hospitalisation, plein d’énergie pour aider toutes ces personnes qui souffrent aujourd’hui de la confusion et de la division qui règnent dans l’Eglise et qui sont, par conséquent, profondément découragées, se sentant même abandonnées par ceux qui ont été ordonnés pour être leurs pères spirituels.
Lire la suiteCardinal Burke : Les catholiques fidèles doivent rester dans l’Église et demander des comptes aux évêques par rapport à la tradition apostolique
Le cardinal Raymond Leo Burke.
Par Louis Knuffke — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Alpha News/YouTube
29 août 2022 (LifeSiteNews) — Dans une entrevue accordée au média catholique allemand Die Tagespost, le cardinal Raymond Leo Burke a encouragé les catholiques fidèles à rester dans l’Église par fidélité au Christ, et à travailler de l’intérieur de l’Église pour une réforme ecclésiastique indispensable, même si cela doit nécessiter de corriger ouvertement les évêques lorsqu’ils trahissent la foi.
« Les catholiques doivent témoigner de la vérité de la foi », a déclaré le cardinal Burke. Répondant à la détresse des catholiques orthodoxes face à l’agenda des évêques pro-synode, tels ceux d’Allemagne et d’Irlande qui poussent agressivement à la création d’une « autre Église et d’une autre foi », Burke a tenté de soutenir les laïcs dans leur témoignage au Christ, en déclarant : « Dans la tradition de l’Église, un synode est un moyen de trouver comment défendre et promouvoir la foi catholique, et non de créer une autre Église et une autre foi. Je pense que ces bons catholiques, aussi douloureux que cela soit, doivent rester dans leurs communautés et se battre pour la vérité de la foi. »
« Si tout le monde partait, a-t-il poursuivi, l’Église tomberait alors entre les mains de ceux qui détruisent la foi catholique et sa pratique. Il est important que les fidèles ne quittent pas l’Église, car le Christ nous a promis de rester toujours avec nous dans l’Église. Nous restons donc avec le Christ, même si nous devons parler très ouvertement avec nos propres évêques lorsqu’ils proposent quelque chose qui ne correspond pas à la foi catholique. Nous devons revenir à la tradition sacrée ».
Soulignant la nécessité d’être fidèle à la tradition apostolique de l’Église, le cardinal a déclaré : « Appeler “rigidité” la fidélité à la doctrine catholique est tout simplement faux. » Le cardinal Burke a rappelé aux fidèles laïcs qu’ils ont le droit et le devoir d’exprimer leurs préoccupations concernant l’Église à leurs pasteurs. Il a également rappelé aux évêques leur devoir de maintenir la foi, ce dont ils ont fait serment lors de leur consécration épiscopale.
Lire la suiteUne lettre du cardinal Burke sur les responsables politiques, l’avortement et l’accès à la communion
Cardinal Raymond Leo Burke.
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits)
Le cardinal Burke, qui continue de se remettre de problèmes de santé qui lui ont failli lui coûter la vie, m’a priée de traduire sa lettre sur la question de l’application du can. 915 aux responsables politiques catholiques favorables à l’avortement lorsque ceux-ci prétendent recevoir la sainte communion. Elle a été publiée ce matin en plusieurs langues sur le site du cardinal Burke, et c’est avec son aimable autorisation que je la reproduis ici.
Cette lettre est remarquable à plus d’un titre. Par la vigueur et la clarté du propos, d’abord. Mais on est aussi frappé par la confirmation, par le cardinal Burke, du fait que la lettre envoyée par la Congrégation pour la Doctrine de la Foi (dont le cardinal Ratzinger était alors le préfet) aux évêques américains à ce sujet en 2004 ne fut alors pas transmise à lui-même et à nombre de ses confrères.
Enfin, ce texte marque en quelque sorte le retour public du cardinal Burke aux affaires de l’Eglise. N’écrivait-il pas dans sa dernière lettre à ceux qui continuent de prier pour lui : « Notre Seigneur a préservé ma vie en vue d’une œuvre qu’Il veut me voir réaliser, avec l’aide de Sa grâce, pour Son amour et celui de Son Corps Mystique, l’Eglise » ?
Alors que le pape François doit recevoir ce vendredi 29 octobre le président américain pro-avortement Joe Biden — lui qui continue de s’approcher de la table de communion alors que son administration a demandé à la Cour suprême de bloquer une loi de quasi-interdiction de l’avortement au Texas — ces réflexions du cardinal Burke prennent un poids encore plus significatif.
On peut lire le texte original du cardinal Burke et accéder à ses différentes traductions ici. — J.S.
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Lettre du cardinal Burke sur le canon 915
28 octobre 2021
Fête des saints Simon et Jude, apôtres
Loué soit Jésus-Christ !
Chers frères et sœurs en Jésus-Christ,
Ces derniers mois, ma prière aux intentions de l’Eglise aux Etats-Unis d’Amérique s’est faite plus intense. Lors de leur prochaine réunion en novembre, les évêques des États-Unis examineront l’application du canon 915 du Code de droit canonique : « Les excommuniés et les interdits, après l’infliction ou la déclaration de la peine et ceux qui persistent avec obstination dans un péché grave et manifeste, ne seront pas admis à la sainte communion. » (1) Leurs délibérations porteront, en particulier, sur la situation gravement scandaleuse et durable des responsables politiques catholiques qui persistent à soutenir et à promouvoir des programmes, des politiques et des lois gravement contraires aux préceptes les plus fondamentaux de la loi morale, alors même qu’ils prétendent être de fervents catholiques, notamment en se présentant pour recevoir la sainte communion. En priant pour les évêques et pour ma patrie, les États-Unis d’Amérique, j’ai pensé de plus en plus à l’expérience vécue par la Conférence des évêques catholiques des États-Unis il y a plus de 17 ans, lors de leur réunion d’été à Denver en juin 2004, où cette même question fut abordée. C’est une expérience que je vécus intensément.
Lire la suiteLe cardinal Burke nous met en garde et nous parle du plan diabolique du covid et de la Grande Réinitialisation à venir
Par le Cardinal Raymond Leo Burke (Blogue de Guy Boulianne) — Photo : Alpha News/YouTube
Loué soit Jésus-Christ. Nous venons à Notre-Dame de Guadalupe le jour de sa fête avec le cœur troublé et lourd. Notre nation traverse une crise qui menace son avenir libre et démocratique. La propagation mondiale du matérialisme marxiste, qui a déjà causé la destruction et la mort de tant de personnes et qui a menacé les fondements de notre nation pendant des décennies et semble maintenant s’emparer du pouvoir gouvernant notre nation pour réaliser des gains économiques. Nous, en tant que nation, nous nous sommes autorisés à devenir dépendants du Parti communiste chinois et de l’idéologie, totalement opposés aux fondations chrétiennes sur lesquelles les familles et notre nation restent en sécurité et prospèrent.
Je parle des États-Unis d’Amérique, mais il est évident que de nombreuses autres nations sont en proie à une crise similaire, des plus alarmantes. Ensuite, il y a le mystérieux virus de Wuhan, sur la nature et la prévention duquel les médias nous donnent quotidiennement des informations contradictoires. Ce qui est clair, cependant, c’est qu’il a été utilisé par certaines forces hostiles aux familles et à la liberté des nations pour faire avancer leur programme diabolique. Ces forces nous disent que nous sommes maintenant les sujets de la soi-disant grande réinitialisation, la nouvelle normalité qui nous est dictée par leur manipulation des citoyens et des nations, par l’ignorance et la peur.
Lire la suiteD’autres évêques américains se déclarent publiquement pro-LGBT
Liste sur site Tyler Clementi d'évêques qui ont signé une déclaration de support à la « jeunesse LGBT ».
Par Pete Baklinski — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : tylerclementi.org
18 mai 2021 (LifeSiteNews) — Quatorze évêques catholiques américains, dont un cardinal, ont ajouté leur nom à une déclaration de partenariat avec un groupe de défense pro-homosexuel pour soutenir les jeunes qui s’identifient comme LGBT, clamant à ces jeunes : « Dieu est de votre côté ».
Les évêques ont été rejoints par près de 150 ordres religieux, écoles, paroisses et organisations ─ tous catholiques ─ qui soutiennent la déclaration. Pour les catholiques qui s’efforcent d’être fidèles aux enseignements éternels de l’Église catholique, cette liste les renseignera sur le clergé, les paroisses et les écoles qui ne voient aucun problème à la normalisation de l’homosexualité au sein de l’Église catholique.
LifeSiteNews avait rapporté le 25 janvier que sept évêques ainsi que le cardinal Joseph Tobin de Newark avaient initialement signé une déclaration de partenariat avec le groupe de défense pro-homosexuel Tyler Clementi Foundation pour soutenir les jeunes qui s’identifient comme LGBT.
« En tant qu’évêques catholiques des États-Unis, nous nous joignons à la Tyler Clementi Foundation pour défendre les jeunes LGBT à risque dans notre pays », ont déclaré les évêques.
La déclaration insinue que Dieu a créé l’attrait pour le même sexe chez certaines personnes et que cette attirance est saine et normale.
« Avant tout, sachez que Dieu vous a créé, qu’il vous aime et qu’il est de votre côté », peut-on lire dans la déclaration.
Lire la suiteCardinal Burke : Déclaration concernant la réception de la Sainte Communion par ceux qui persistent dans le péché public grave (dont l’avortement)
Cardinal Raymond Leo Burke.
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits) ― Photo : Alpha News/YouTube
Avec l’aimable autorisation du cardinal Burke, je publie volontiers ci-dessous la traduction française que j’ai réalisée à sa demande de sa Déclaration concernant la réception de la Sainte Communion par ceux qui persistent dans le péché public grave, et qu’il a approuvée. La Déclaration est d’ordre général mais il est difficile de ne pas y voir une application très actuelle à la situation où se trouvent les Etats-Unis, avec à leur tête un président, Joe Biden, qui met en avant sa foi et sa pratique catholiques, mais qui les contredit par ses choix et actes politiques, en particulier en faveur de l’avortement.
On notera que par rapport aux paroles de cardinaux (voire mieux) exprimant des préférences et des idées personnelles (voire une idéologie personnelle) qui s’éloignent très visiblement de l’enseignement de l’Église, on a ici affaire à un rappel clair et documenté de la doctrine et des lois de l’Église par un cardinal qui ne recherche en rien la mise en avant d’opinions personnelles. — J.S.
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De nombreux catholiques, mais aussi des non-catholiques qui, tout en n’embrassant pas la foi catholique, respectent l’Église catholique pour son enseignement en matière de foi et de morale, m’ont demandé comment il est possible pour des catholiques de recevoir la sainte communion, alors que dans le même temps ils soutiennent publiquement et obstinément des programmes, des politiques et des lois qui sont en contradiction directe avec la loi morale. En particulier, mes interlocuteurs posent la question de savoir comment des responsables politiques et des autorités civiles catholiques qui défendent et soutiennent publiquement et obstinément la pratique de l’avortement volontaire peuvent s’approcher de la sainte communion. Leur question s’applique clairement de la même façon aux catholiques qui font publiquement la promotion de politiques et de lois portant atteinte à la dignité de la vie humaine de ceux qui sont frappés par une maladie grave, l’âge ou le handicap, et de celles qui violent la nature propre de la sexualité humaine, du mariage et de la famille, ainsi que la libre pratique de la religion.
Leur question mérite une réponse, d’autant plus qu’elle touche aux fondements mêmes de l’enseignement de l’Église en matière de foi et de morale. Elle touche surtout à la sainte Eucharistie, « Sacrement de l’amour… le don que Jésus Christ fait de lui-même, nous révélant l’amour infini de Dieu pour tout homme. … dans le Sacrement de l’Eucharistie, Jésus continue de nous aimer “jusqu’au bout”, jusqu’au don de son corps et de son sang. » (1)
J’espère que les points suivants de l’enseignement de l’Église seront utiles à ceux qui sont à juste titre déroutés, et même souvent scandalisés, par la trahison publique trop fréquente de l’enseignement de l’Église en matière de foi et de morale par ceux qui se proclament catholiques. Je me pencherai sur la question de l’avortement provoqué, mais les mêmes points s’appliquent à d’autres violations de la loi morale.
Lire la suiteCardinal Burke : les catholiques qui, comme Joe Biden, promeuvent l’avortement sont en « état d’apostasie »
Cardinal Leo Raymond Burke.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Le Cardinal Leo Raymond Burke a affirmé dans une entrevue que ceux qui, comme Joe Biden, se disent « fervent catholique » et promeuvent obstinément l’avortement sont en « état d’apostasie », selon LifeSiteNews :
Le cardinal américain Raymond Burke a déclaré que les catholiques qui tiennent des positions pro-avortement dans la vie publique, comme le président Joe Biden, qui nient « obstinément et publiquement » les vérités de la foi et agissent contre elles, doivent non seulement se voir refuser la sainte communion, mais doivent maintenant répondre du « crime d’apostasie » où la « peine canonique » pour le coupable est « l’excommunication ».
« Une telle personne, qui prétend être catholique et qui pourtant promeut de manière aussi ouverte, obstinée et agressive un crime comme l’avortement procuré, est en état, pour le moins, d’apostasie », a déclaré le cardinal dans une entrevue cette semaine avec Thomas McKenna du Catholic Action for Faith and Family.
« En d’autres termes, agir ainsi, c’est s’éloigner du Christ et s’éloigner de la foi catholique. Par conséquent, la deuxième mesure à envisager est une peine canonique, une sanction, pour le crime d’apostasie, qui serait l’excommunication », a ajouté le cardinal.
Le cardinal Burke, l’un des plus grands juristes canoniques du monde, ancien préfet de la plus haute cour de l’Église, a émis ce commentaire, répondant à la question de McKenna sur « ce qui peut être fait maintenant... quelle est la prochaine étape » pour les catholiques d’envergure en réponse au président Biden, qui professe être catholique pratiquant prenant sa foi au sérieux tout en signant des décrets qui encouragent directement l’avortement.
Le Père Peter Lang : l’immoralité des vaccins covid-19 développés sur des lignées cellulaires de bébés avortés
Par Fabien Laurent (Médias Presse Info) ― Photo : Rawpixel
Voici une intéressante analyse écrite par le Père Peter Lang, reprenant nombres d’avis émis notamment par des évêques et des cardinaux comme le cardinal Burke, Mgr Schneider, Mgr Viganò sur l’illicéité des vaccins développés sur des lignées cellulaires issues de bébés avortés, rassemblant plusieurs avertissements lancés par des scientifiques sur les dangers des vaccins covid-19 développés hâtivement et comprenant des technologies inusitées. J’émettrais toutefois quelques réserves sur l’importance à attacher, dans le présent jugement moral, du possible futur marquage inclus dans les vaccins covid-19 (puisque ce n'est pas le cas maintenant). Je ne suis pas certain qu’il faille forcément parler des vaccins covid-19 liés à l’avortement comme étant une sorte de « marque de la Bête » ; cependant, il est éminemment vrai que recevoir de tels vaccins est hautement immoral. C’est pourquoi je propose à votre lecture le présent article. ― A. H.
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Au milieu des mensonges et de la peur, des pressions et des intérêts personnels et financiers pour certains, voici une démonstration claire et étayée des motifs qui interdiraient à tout catholique la prise du « vaccin » contre la Covid-19. Et notre lecteur le constatera par lui-même : il ne s’agit pas ici d’une simple opinion personnelle, mais bien d’un jugement réfléchi et objectif.
Nous remercions vivement M. l’Abbé Peter Lang (1) pour sa participation à ce débat, à son honnêteté intellectuelle et à son courage [Traduction de l’allemand par le correspondant de MPI en Suisse alémanique].
(1) [Ex-]Econome en poste dans le District d’Allemagne de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X [Priorat St. Athanasius, Stuttgarter Str. 24 70469 STUTTGART FEUERBACH].
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Le vaccin contre la Covid-19 : un programme satanique ?
Les médias et les politiciens ne cessent de nous répéter, à travers une propagande massive, constante et savamment orchestrée, qu’il n’y aurait d’autre alternative contre le « Coronavirus 2019 » (Covid-19 ; SARS-CoV-2) que le vaccin. Ces derniers sont unanimes : seule la vaccination de l’ensemble de la population mondiale sera à même de garantir à l’avenir la santé et la prospérité générale. Mais est-ce vrai ? Bien sûr que non. Et même l’OMS nous avertit : « Le vaccin ne ramènera pas l’ancienne normalité » [1]. Néanmoins, partout à travers le monde, les programmes de vaccination se mettent en place. C’est pourquoi, face à toutes ces contradictions, il est de notre devoir, en tant que catholiques, de nous interroger : quels jugements devons-nous porter sur ces faits couverts par de nombreuses zones d’ombre ?
I — Remarques préliminaires
- Il conviendrait idéalement de développer la question du vaccin de façon générale, or cela nécessiterait toute une étude qui nous éloignerait du cœur de ce dont il est question ici.
- En 2005, c’était la grippe aviaire, en 2009 la grippe porcine [2], en 2014 le virus Ebola [3] et en 2016, le virus Zika [4], qui furent systématiquement présentés comme très dangereux et face auxquels la vaccination fut proposée comme étant la solution ultime, le remède miracle pour maîtriser leur propagation. Ainsi, certains gouvernements ont-ils commandé des millions de doses de vaccins, qui furent toutefois détruites par la suite [5].
- En parallèle, le mensonge du réchauffement climatique (à savoir que le CO2, qui ne représente guère plus de 0,39 % de l’atmosphère, en serait seul responsable) se propageait à travers la face de la terre.
- Une simple analyse objective agrémentée d’un peu de bon sens montre que les mensonges se succèdent les uns après les autres : ne perdons pas de vue cet état de fait lorsque nous appréhendons la question de la Covid-19. Restons donc toujours prudents face à ce qui nous est présenté comme sans alternative par les hautes sphères politiques mondiales et nationales, tout particulièrement lorsqu’elles se mettent à évoquer un « salut de l’humanité » par le vaccin contre la Covid-19.
Cardinal Burke : chacun d’entre nous est appelé à lutter contre le mensonge dans l’Église
Le cardinal Raymond Leo Burke.
Par le Cardinal Raymond Leo Burke (Daily Compass) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Le meilleur terme pour décrire l’état actuel de l’Église est la confusion, concernant l’identité même de l’Église. Chacun d’entre nous, en tant que membres vivants du Corps Mystique du Christ, est appelé à mener le bon combat contre le mal et le Malin, et à maintenir le cap sur le bien, sur Dieu, avec le Christ. Il y a une confusion sur la nature même de l’Église et de sa relation avec le monde.
Le meilleur terme pour décrire l’état actuel de l’Église est la confusion, confusion qui frise souvent l’erreur. La confusion ne se limite pas à l’une ou l’autre doctrine, discipline ou aspect de la vie de l’Église, mais il semble qu’il s’agisse d’une confusion concernant l’identité même de l’Église.
La confusion trouve sa source dans un manque de respect de la vérité, soit dans la négation de la vérité, soit dans la prétention de ne pas connaître la vérité, soit dans le manquement à déclarer la vérité que l’on connaît.
Dans sa discussion avec les scribes et les pharisiens à l’occasion de la fête des Tabernacles, Notre Seigneur a parlé en termes clairs de ceux qui favorisent la confusion, refusant de reconnaître la vérité et de dire la vérité. La confusion est l’œuvre du Malin, comme Notre Seigneur lui-même l’a enseigné, lorsqu’il a prononcé ces paroles devant les scribes et les pharisiens :
Lire la suite« Pourquoi ne connaissez-vous pas Mon langage ? Parce que vous ne pouvez entendre Ma parole. Vous avez le diable pour père, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été homicide dès le commencement, et il n’est pas demeuré dans la vérité, parce qu’il n’y a pas de vérité en lui. Lorsqu’il profère le mensonge, il parle de son propre fonds, car il est menteur, et père du mensonge. Mais Moi, quand Je dis la vérité, vous ne Me croyez pas. Qui de vous Me convaincra de péché ? Si Je vous dis la vérité, pourquoi ne Me croyez-vous pas ? Celui qui est de Dieu écoute les paroles de Dieu. C’est pour cela que vous n’écoutez point, parce que vous n’êtes pas de Dieu » (Jean 8, 43-47).
Le Prince Harry insinue que la « pandémie » de coronavirus serait une punition de « Mère Nature »
Par Emily Mangiaracina ― Traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo : Pxfuel
Évidemment, de tels propos n’ont rien de rationnel, du vrai panthéisme, ce qui les rend encore plus inquiétants dans la bouche d’une personne d’une certaine notoriété comme le prince Harry… ― A. H.
7 décembre 2020 (LifeSiteNews) — Dans une entrevue visant à promouvoir le WaterBear Network, un nouveau service de diffusion vidéo dédié au soutien des objectifs de développement durable des Nations Unies, le prince Harry a parlé du covid-19 comme d’une punition de « Mère Nature ».
« Quelqu’un m’a dit au début de la pandémie, c’est presque comme si Mère Nature nous avait envoyés dans nos chambres à cause de notre mauvais comportement, afin que nous prenions vraiment un moment pour réfléchir à ce que nous avons fait », déclarait-il à Ellen Windemuth, PDG de WaterBear, et à Sam Sataria, responsable de la stratégie.
Le 24 mars, la duchesse Sarah Ferguson, ex-femme du prince Andrew, écrivait dans un tweet : « Mère Nature nous a envoyés dans nos chambres, comme les enfants gâtés que nous sommes. Elle nous a donné du temps et elle nous a donné des avertissements. Elle a été si patiente avec nous. Elle nous a donné du feu et des inondations, elle a essayé de nous avertir mais à la fin elle a repris le contrôle ».
10 jours seulement avant le tweet de la duchesse Ferguson, un prêtre défroqué, largement crédité comme « théologien de référence » pour le synode de l’Amazonie de 2019, a soutenu que le coronavirus était le résultat des mauvais traitements que la terre a subis de la part de l’humanité, dans son article « The Origins of the Coronavirus ».
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