Des parents refusent d’avorter un bébé « miracle » ; maintenant, c’est un garçon en santé de six ans
L’enfant sur la photo n’est pas Kaito Kryvenchuck.
Par Mark Hodges — traduit par Campagne Québec-Vie
Toronto, Canada, 3 janvier 2018 (LifeSiteNews) — Les experts médicaux insistaient pour dire que l’avortement était la seule option pour Kaito Kryvenchuk, qui était horriblement déformé.
Une échographie à 17 semaines avait révélé qu’il avait une énorme tumeur, plus grosse que sa tête, attachée à son cou et à sa mâchoire, jusqu’à son oreille. Il semblait vraiment avoir deux têtes.
Non seulement la tumeur bénigne menaçait la vie de Kaito à cause de sa taille, mais les incapacités qui en résulteraient étaient imprédictibles. La masse était si grosse que le garçon n’aurait pas été capable de respirer. Seulement un bébé sur 50 000 avec une tumeur semblable survit.
Les obstétriciens disaient que les hôpitaux canadiens ne pratiquent simplement pas de tels accouchements. Les médecins avaient dit aux parents de Kaito, Charles et Tamami, que la meilleure chose à faire, la plus compatissante, était de l’avorter et d’essayer à nouveau d’avoir un enfant viable.
Lire la suiteLe gouverneur du Texas promet à Jeremiah Thomas, un adolescent qui va mourir d’un cancer, de réaliser son vœu le plus cher : interdire l’avortement
Par Olivier Bault (reinformation.tv)
Le gouverneur du Texas Greg Abbott a appelé Jeremiah Thomas, un adolescent de 16 ans, sur son lit d’hôpital dans le cadre du programme Make a Wish (« Fais un vœu »). Ainsi qu’informe le site LifeSiteNews qui a relayé cette belle histoire, le programme Make a Wish permet aux jeunes gens en phase terminale d’une maladie incurable d’exprimer un souhait à une personne influente afin de pouvoir laisser quelque chose derrière eux après leur mort. La conversation téléphonique du gouverneur et du jeune citoyen du Texas a été enregistrée. Le vœu de Jeremiah, c’est que le gouverneur mette fin à l’avortement dans son État. Pour convaincre le gouverneur, l’adolescent, atteint d’un cancer dont il va mourir, cite un sondage selon lequel 68 % des Texans souhaitent l’abolition de l’avortement. « Je sais que vous êtes chrétien et pro-vie », dit encore Jeremiah au gouverneur du Texas, en se déclarant conscient de la difficulté de résister au pouvoir fédéral qui impose l’avortement aux Texans. Le visage de l’adolescent est devenu lumineux quand il a entendu la réponse de Greg Abbott : « Nous venons d’avoir une convention du Parti républicain de l’Etat (…) Ton vœu est dans le programme du parti républicain et nous allons chercher à le mettre en œuvre, c’est-à-dire à interdire complètement l’avortement dans l’Etat du Texas. Et donc, ton vœu est accordé ».
Lire la suiteCulture de vie : une jeune femme refuse d’avorter malgré son cancer – et vient d’accoucher d’un beau bébé en pleine santé
Aleks Patete et son fils nouveau-né, qui vint au monde le 26 août.
Par Jeanne Smits (Reinformation.tv)
Aleks Patete a choisi la vie pour son petit garçon, DJ, alors même que le corps médical l’incitait à avorter en raison d’un cancer à l’ovaire diagnostiqué lors de sa grossesse. La jeune femme, de Cleveland, Ohio, a refusé de mettre fin à la vie de l’enfant et celui-ci vient de naître, un beau bébé en pleine santé.
Il faut dire qu’Aleks Patete, 28 ans, estime lui devoir la vie. Elle s’était rendue à l’University Hospital de Cleveland en novembre dernier pour subir une échographie de routine à sept semaines de grossesse. C’est au cours de l’examen qu’on lui découvrit un kyste ovarien : on allait vite constater qu’il s’agissait d’un cancer.
« C’était un miracle. Le cancer aurait pu progresser bien davantage, et nous n’en aurions pas eu la moindre idée si je n’avais pas été enceinte. Dieu a envoyé DJ pour me sauver la vie », a-t-elle raconté à People Magazine.
Lire la suiteUne mère pro-vie refuse un traitement contre le cancer pour que son fils puisse vivre
Dannielle Janofsky avec sa fille Avery
Par Steve Weatherbe (LifeSiteNews) - traduit par Campagne Québec-Vie
Williamstown,New Jersey, 20 avril 2017 - Une jeune mère est pleurée et célébrée par sa famille, parce qu’elle avait choisi de sacrifier sa vie dans le but de faire naître son enfant prématurément par une césarienne.
Danielle Janofsky est morte à l’âge de 30 ans, trois jours après la naissance du bébé. Celui-ci continue à se battre pour sa vie dans un hôpital de Pennsylvanie.
« Elle était une mère phénoménale. » disait sa mère, Barbara Jackson, à LifeSiteNews.
Janofsky est morte en février d'un cancer qui apparut, sous une forme s’étendant rapidement, au cours du sixième mois de sa deuxième grossesse. Rejetant les chances de survie jusqu’à ce qu’un second traitement immunothérapeutique puisse commencer, elle donna le jour à son fils le 14 février.
Lire la suiteMa mère vient de mourir d'un cancer au cerveau. Voici pourquoi elle s'est opposée au suicide assisté
Par Mary Kerner pour The Federalist- traduit par Campagne Québec-Vie
Le 6 octobre 2015 -- Je l'admets, je suis une droguée de l'adrénaline. Et à en juger par la pléthore de nouvelles émissions de télévision comme "Trauma: la vie dans les urgences" ou "Code noir”, la plupart des Américains le sont aussi. Sauf que c’est ma vie. Je suis une infirmière en traumatologie. Je mange, dors, et respire traumatisme.
Chaque fois que je me promène avec un Latte Vanille française de Dunkin' Donuts dans ma main, vie et mort sont en attente pour moi. Et jusqu'à cette semaine, je pensais que j’avais à peu près tout vu.
Lire la suiteUne mère de 6 enfants, qui avait reçu un diagnostic de cancer du sein et qui avait refusé d'avorter son dernier bébé, vient de découvrir qu'elle est maintenant guérie
Par John Jalsevac de LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Heather Choate était déjà mère de cinq jeunes enfants et venait tout juste d’apprendre qu’elle attendait son sixième lorsqu’elle a reçu la nouvelle dévastatrice qu’elle avait le cancer du sein.
Cela, c’était l’été dernier.
Les médecins insistaient sur ce que Heather devait faire : avorter le bébé pour augmenter ses chances de survie, puis suivre les traitements pour son cancer.
Mais Heather n’a rien voulu entendre de tout cela. « Je préférerais mourir plutôt que d’enlever la vie à mon enfant », a-t-elle récemment déclaré à CBS news.
Ainsi, au lieu de se faire avorter, Heather a trouvé un spécialiste qui lui a proposé un plan de traitement (incluant de la chimiothérapie et une chirurgie) qu’elle pourrait recevoir tout en demeurant enceinte.
Même s’il y a des risques associés au fait de subir de la chimiothérapie pour une femme qui est enceinte, il existe un nombre grandissant de cas de femmes qui ont refusé d’avorter tout en choisissant de suivre des traitements contre leur cancer et qui ont donné naissance par la suite à des bébés parfaitement en santé.
Ce fut le cas avec Heather. Le 6 janvier, son mari et elle accueillaient leur petite fille, Kiery Celeste, en parfaite santé.
Ce ne fut que le début des bonnes nouvelles pour cette courageuse mère. En effet, il y a tout juste une semaine, Heather a appris que son traitement avait été efficace : les imageries médicales montrent qu’elle est officiellement guérie.
« Mes yeux se sont remplis de larmes parce que cela signifiait que nous avions réussi. Nous avons un bébé ici, et l’avenir se présente bien », a-t-elle dit.
Le chemin ne fut pas facile pour Heather. Elle a récemment rédigé sur son blogue un article traitant des événements des derniers mois.
« J’ai le sentiment qu’après avoir passé à travers ces deux semaines, nous pouvons maintenant tout traverser. Un accouchement avec une grippe? Fait. 48 heures sans mon nouveau-né? Fait. Une chirurgie une semaine après mon accouchement? Fait », a-t-elle écrit.
« Mais je sais que je n’aurais rien pu faire de tout cela sans mon merveilleux mari, l’ange que j'ai comme mère et le Seigneur qui m’a donné les forces nécessaires et m’a aidée au-delà de mes propres capacités. Maintenant que j’ai été témoin de l’action de sa main dans nos vies, ma foi est plus forte, et je sais que nous serons en mesure de faire face à d’autres défis aussi longtemps que nous nous tournons vers Lui. »
Dans un autre de ses articles racontant de nouveau la naissance de sa fille, Heather a écrit : « Elle mérite tous les sacrifices. Elle est mon enfant, le Seigneur me l’a donnée et me bénit en faisant de moi sa mère. C’est une joie et une responsabilité que je chérirai toujours, et je vais faire tout en mon pouvoir pour accomplir mon devoir jusqu’à son plus haut degré. La maternité est sacrée. Je suis reconnaissante, et c’est pour moi une leçon d’humilité que d’être bénie au point d’avoir cette précieuse Kiery comme fille. Elle est forte et adorable et bonne. Je suis impatiente de voir ce que le Seigneur et la Vie nous réservent pour le futur. »
Elle a rajouté : « Elle est entière, elle est en santé. Cela va sans dire : elle est la preuve vivante qu’un bébé peut naître normalement et en santé même si sa mère a subi des traitements contre le cancer. »
Le combat de Heather n’est toutefois pas encore fini puisqu’il lui reste encore quelques traitements à suivre. Mais avec une magnifique petite fille et un pronostic favorable, les choses se présentent bien pour elle.
Enceinte, elle refuse des traitements de chimio pour protéger son enfant. Elle ne regrette rien même si elle est maintenant condamnée à mourir
Par Lisa Bourne de LifeSiteNews - Traduit par Campagne Québec-Vie
Ashley Caughey, une jeune mère cancéreuse de Californie, a délibérément renoncé à suivre des traitements pouvant lui sauver la vie afin de protéger la vie de son enfant à naître. De plus, elle avoue qu’elle ne regrette pas d’avoir pris une telle décision.
Selon ABC 8 News, la décision prise par Ashley de donner préséance à sa fille Paisley sur ses traitements de chimiothérapie lui est venue tout naturellement, tout en étant consciente des conséquences néfastes qui pourraient en découler. Et elle demeure convaincue d’avoir pris la bonne décision.
«Je n’en changerais rien» dit-elle, en ajoutant «c’est la plus belle petite fille que je puisse avoir et lorsque je la regarde je me dis que c’était bien là ce que je devais faire.»
Son mari, Jonathan, est du même avis.
«Chaque fois que je la regarde, que je la prends dans mes bras ou tout simplement pense à elle» dit-il «elle me fait chaud au cœur. C’est un véritable petit ange.»
Ashley Caughey a su qu’elle avait un cancer terminal des os alors qu’elle en était à sa dixième semaine de grossesse. Les médecins lui annoncèrent alors qu’elle devait choisir entre l’enfant à naître et les traitements de chimio. Elle opta résolument pour l’enfant.
«Ce n’est pas que j’étais contre les traitements mais je voulais attendre que l’enfant soit hors danger avant de les commencer.»
Après la naissance de l’enfant en juin 2014, les parents ont malheureusement appris que le cancer s’était propagé dans tout le corps d’Ashley.
Selon le Daily Mail, les médecins ont annoncé à la mère de 24 ans qu’elle n’avait que quelques mois à vivre.
Loin de se décourager, le couple a devancé la date de leur mariage et c’est ainsi que son fils de six ans, Braiden, a accompagné sa mère lors de la cérémonie.
Ashley est heureuse d’avoir donné la vie à ses enfants et de pouvoir maintenant leur montrer comment vivre.
«Je suis contente de ce que mes enfants vont pouvoir assister à mon combat plutôt que de l’apprendre plus tard par personnes interposées. Ils pourront constater par eux-mêmes l’amour que j’ai pour eux. Paisley saura ainsi toute l’affection que je lui porte.»
Contemplant leur petite, les parents reconnaissent qu’ils ont pris la bonne décision malgré les dures conséquences et leur moral demeure très positif.
«Voir les choses négativement ne peut que les rendre pires» dit Jonathan Caughey « et il y a toujours place pour l’espérance, voire un miracle!»
Si vous désirez aider financièrement la famille Caughey, vous n’avez qu’à cliquer ici.