Un contraceptif qui donne des tumeurs au cerveau
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Androcur est un produit entre autres utilisé comme contraceptif et qui a comme fâcheux effet secondaire d’augmenter de façon importante les risques de méningiomes. Extrait de Gènéthique :
Commercialisé depuis les années 1980 par les laboratoires Bayer, il a été prescrit à plus de 400 000 femmes entre 2006 et 2014. Un nombre qui confirme une « très large utilisation hors AMM* », d’après l’Assurance maladie, qui n’est pas justifiée, rappelle le Dr Isabelle Yoldjian, de l’ANSM.
Le risque de développer un méningiome — tumeur intracrânienne — est multiplié par 7 au-delà de 6 mois d’utilisation, dès 25 mg par jour, par 20 au bout de 5 ans à 50 mg par jour, ou au bout de 10 ans à 25 mg par jour. Il peut même être 30 fois plus fréquent en cas de prise prolongée.
Au moins 500 cas français de méningiomes ayant nécessité une opération sont attribuables à l’Androcur. « Avec 1,6 % de décès… et près de 30 % souffrent d’épilepsie… Des situations terribles alors que leurs troubles auraient pu être traités autrement… » Le risque était connu « de longue date », et figure même sur la notice d’utilisation depuis 2011. Certaines ont pourtant continué leur traitement même après avoir été opérées « car ni leur neurochirurgien ni leur médecin n’avait fait le lien avec l’Androcur ».
Ajoutons que l’Androcur peut occasionner la perte de mémoire, d’odorat ou de goût (agueusie).
*Il ne s’agit sûrement pas de l’Aide médicale à mourir (AMM — euthanasie) — A. M.
Jean Vanier, le fondateur de L’Arche, décède à l'âge de 90 ans
Par Catholic News Agency — traduction (abrégée) par Campagne Québec-Vie
Jean Vanier est décédé le 7 mai, à l’âge de 90 ans.
Il est mort dans une maison de L’Arche à Paris, dans l’unité de soins palliatifs il où il se trouvait depuis quelques semaines, après une longue lutte contre le cancer.
M. Vanier sera pleuré par ses amis : les faibles, les indigents, les oubliés, les perturbés, les rejetés et les handicapés.
La messe de ses funérailles sera célébrée en privé à Trosly, en France, mais sera diffusée dans le monde entier pour les personnes endeuillées qui souhaitent se souvenir de lui.
On se souviendra de M. Vanier comme d’un homme de compassion et de paix, d’une personne d’une profonde clairvoyance spirituelle et d’une grande délicatesse. Il parlait facilement avec les érudits et les dirigeants, avec les princes et les papes, mais il disait souvent que là où il se sentait le plus à l’aise était parmi les personnes intellectuellement déficientes, auxquelles il a consacré la majeure partie de sa vie.
M. Vanier est le fondateur de L’Arche, une communauté internationale formée des personnes intellectuellement déficientes et de leurs proches [...]
Né à Genève, il avait pour parents Georges et Pauline Vanier. Son père était un diplomate canadien qui allait devenir gouverneur général du Canada. Il fit ses études au Canada, en France et en Angleterre, et sa famille a vécu à Paris et en Suisse. À l’âge de 13 ans, il entra à l’école navale du Royaume-Uni, pour se préparer à devenir officier de marine. Il servit dans la Marine royale et la Marine royale du Canada jusqu’à 22 ans, âge auquel il démissionnera.
Lire la suiteQuand dans une université on compare les enfants à naître avec des cancers…
Bibliothèque Geisel de l'Université de Californie San Diego.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Wikimedia Commons
À l’Université de Californie San Diego a été donnée une présentation sur les fœtus (humains) qui les comparait à des cancers… Pour en être arriver à une telle considération, il faut être rendu bien bas dans le monde de la pensée. Charlie Kirk rapporte sur son Compte Twitter :
À la @UCSanDiego ils enseignent aux étudiants qu’un bébé dans le ventre de sa mère est comme un cancer tuant le corps.
C’est l’ordure qui est enseignée à nos étudiants dans les universités.
Enceinte et atteinte d’un cancer, elle décide d’accoucher avant de commencer la chimiothérapie
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (rognée) : Charlie Davidson/Flickr
Quand Sheila Downing apprend qu’elle a une tumeur au cerveau, elle est enceinte de 17 semaines. Cette Américaine se fait promptement opérer et « les médecins lui proposent deux options : débuter une chimiothérapie sans attendre, avec le risque d’exposer son bébé, ou attendre l’accouchement pour protéger le bébé, mais risquer sa vie. La jeune femme choisit la seconde option, avec le soutien de son mari. Son fils Josiah naît en août, » rapporte Gènéthique. Début 2019 elle commence le traitement.
L’avortement est mauvais pour la santé des femmes. Voici pourquoi
Par Sarah Ruiz — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : geograph
Le 18 mars 2019 (LifeSiteNews) — Saviez-vous que l’avortement comporte de sérieux risques pour la santé ? Au fil des années, j’ai constaté, en suivant les nouvelles sur l’avortement, que les risques pour la santé liés à l’avortement sont mis de côté. La recherche montre que l’avortement entraîne de graves complications de santé.
Vous vous demandez peut-être pourquoi les médias et de nombreux experts de la santé négligent de donner cet avertissement. Les cliniques d’avortement, qui comprennent Planned Parenhood, sont en affaires pour faire des profits. Par conséquent, il n’est pas dans leur intérêt de fournir des informations qui pourraient faire réfléchir la patiente à des alternatives à l’avortement, comme l’adoption.
Si l’on met de côté l’argument moral pour l’instant, il y a de plus en plus de preuves qui montrent que les femmes qui ont recours à l’avortement risquent beaucoup plus de développer de graves problèmes physiques et émotionnels dans l’avenir.
Lien entre l’avortement et le cancer du sein
Une méta-analyse a été menée auprès de femmes chinoises entre l’avortement provoqué et le risque de cancer du sein. La conclusion ?
« L’avortement provoqué est associé de façon significative à un risque accru de cancer du sein chez les femmes chinoises, et le risque de cancer du sein augmente au fur et à mesure que le nombre d’avortements provoqués augmente. Si l’avortement provoqué était confirmé comme facteur de risque de cancer du sein, cela signifierait que les taux élevés d’avortements provoqués en Chine pourraient contribuer à l’augmentation des taux de cancer du sein. »
En d’autres termes, plus une femme a d’avortements, plus le risque de cancer du sein est élevé. Cela pourrait peut-être expliquer les taux américains de cancer du sein. Une femme sur huit développera un cancer du sein au cours de sa vie. On estime qu’une femme sur quatre avortera avant l’âge de 45 ans.
Lire la suiteCette courageuse mère atteinte d’un cancer a choisi la vie plutôt que l’avortement
Brianna Rawlings.
Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Brianna Rawlings, âgée 19 ans, était ravie d’être mère lorsqu’elle apprit qu’elle avait la leucémie. La courageuse mère a choisi de se battre pour sa vie et celle de son fils, risquant sa propre vie pour lui. Malheureusement, elle est décédée le mois dernier, quelques jours seulement après son anniversaire et quelques mois après la mort de son petit garçon. Pourtant, Rawlings ne semblait pas avoir de regrets, qualifiant les jours qu’elle a passés avec son fils de meilleurs moments de sa vie.
Rawlings, qui venait d’Australie, avait une forme agressive de leucémie et avait le choix de se faire avorter pour pouvoir commencer immédiatement une chimiothérapie. Rawlings, cependant, a refusé, bien qu’elle sût que les médecins avaient dit que cela réduirait ses chances de survie de moitié, a-t-elle mentionné au Daily Mail. « Ma décision ne concernait que Kyden et Kyden seulement, c’était mon fils et mon petit miracle », a-t-elle dit. « J’étais très heureuse et excitée d’être mère, tout ce que j’ai toujours voulu, c’est avoir une famille. J’avais aussi peur de ce que le monde me réservait. »
Mme Rawlings a expliqué que les médecins lui ont diagnostiqué une leucémie après qu’elle ait commencé à souffrir de douleurs horribles. « Tous les tests ont finalement révélé une infection quelque part dans mon corps », a-t-elle déclaré au Daily Mail. « Les médecins ne m’ont pas autorisée à partir avant d’avoir trouvé la cause de la douleur et de la maladie. Ils ont vérifié mon cœur et tous les autres organes, mais comme ils n’ont rien trouvé, ils ont suggéré une biopsie de la moelle osseuse. » C’est alors qu’ils ont découvert qu’elle souffrait d’une leucémie agressive à cellules NK, une forme très rare de leucémie qui est habituellement traitée par chimiothérapie. « Après qu’on me l’ait expliqué, j’ai été très surprise et en colère, car je ne m’attendais pas à ce que ce soit aussi grave », a-t-elle dit. « Je pensais que c’était juste les nausées matinales. » Mais Rawlings demeurait déterminée à donner à son fils la meilleure chance qu’elle pouvait afin qu’il puisse survivre.
Lire la suiteLe médecin qui voulait mourir par suicide assisté est heureux d’être vivant
Par Alex Schadenberg (Euthanasia Prevention Coalition) traduit par Campagne Québec-Vie
Le Detroit Free Press a publié un article de Meira Gebel sur un nouveau traitement contre le cancer de l’estomac et sur la façon dont un homme, un médecin, avait prévu de se rendre en Suisse pour mourir par suicide assisté, avant de recevoir ce nouveau traitement.
Randy Hilliard, qui était professeur de psychiatrie à la Michigan State University (Université d’État du Michigan), a reçu un diagnostic de cancer de l’estomac de stade 4. Il est devenu obsédé par le suicide et a planifié sa mort par suicide assisté en Suisse et ses funérailles. Le Dr Hilliard raconte :
« Ma réaction immédiate a été : “Je suis mort”, ce qui vous montre bien sûr pourquoi accéder à votre dossier médical n’est peut-être pas la meilleure idée.
C’était une façon plutôt pathétique d’exercer un certain contrôle sur ma vie. Le cancer allait me tuer, et je n’avais pas l’intention de mourir. »
Le Dr Hilliard a abandonné l’idée du suicide assisté et a ensuite accepté le traitement. Gebel rapporte :
En 2010, le médicament venait tout juste d’être approuvé pour le traitement du cancer de l’estomac et promettait une espérance de vie légèrement plus longue — de 11 à 13 mois. Ce n’était pas gagnant : seulement 20 % des patients atteints de cancer ont [une surexpression de*] la protéine HER2 autour de la cellule cancéreuse ciblée par le médicament. [S’il y a surexpression de la protéine HER2 dans la tumeur, cela signifie que le médicament peut agir.*]
Les tumeurs métastatiques d’Hillard avaient cette protéine spécifique [en surexpression*]. Et huit ans plus tard, il est toujours perplexe... eh bien, les statistiques le déconcertent toujours. Le cancer de l’estomac à son stade a un taux de survie de 18 pour cent, et sans parler, que c’est l’un des cancers les plus rares en Amérique.
« Je me réveille tous les jours choqué de voir que je ne suis pas mort, »
Depuis 2010, le Dr Hilliard et son épouse ont voyagé en Amérique du Sud, à Dubaï, à Singapour et à Sydney. Il est devenu un ardent défenseur des droits des patients, un blogueur dans des forums professionnels et un collecteur de fonds pour la recherche sur le cancer.
Le suicide assisté met fin à la vie lorsqu’une personne est à son point le plus bas.
Combien de personnes comme le Dr Hilliard se sont vus refuser la possibilité d’une nouvelle vie parce qu’elles ont été tues par suicide assisté ?
*CQV
Jeremiah Thomas, l'adolescent qui a demandé la fin de l'avortement comme dernier souhait, est décédé
Par Newsroom (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Jeremiah Thomas, l'adolescent luttant contre un cancer et qui s'était servi de son vœu offert par l'organisme Make-A-Wish pour demander au gouverneur du Texas Greg Abbott de mettre fin à l'avortement dans son État natal du Texas, est décédé à l'âge de 16 ans.
Le 26 août 2018, son père Rusty Thomas a annoncé la mort de son fils sur Facebook :
Lire la suite« Le guerrier est à terre! Jeremiah a terminé le dernier tour de la course pour la foi. Il a franchi la ligne d'arrivée à 19h 20. La bataille est terminée et le Christ a gagné. Il a bien vécu pour Son Seigneur et est mort pour Lui mieux encore.
"Mort où est ton dard et ton tombeau où est ta victoire ? Jésus-Christ est la Résurrection et la Vie ! À Lui soit la gloire pour l'éternité." »
Le mythe de la « contraception sûre » est révolu
Par Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Source de l’article : Le Salon Beige
« Selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS, 2005) les œstrogènes et les progestatifs, les ingrédients de chaque “pilule”, sont parmi les substances les plus cancérigènes pour les humains... », rapporte Le Salon Beige.
En outre, d’après ce site il ne se passerait pas une semaine sans que paraisse une étude mettant en garde contre les effets des ingrédients de ces pesticides antihumains que sont les pilules contraceptives, abortives, anticonceptionnelles, etc.
Hommes et femmes inégaux devant les traitements de cancers
Par Jean-Pierre Dickès (Medias-Presse.info)
L’immunothérapie connaît depuis quelques années un essor incroyable en matière de traitement des cancers. De quoi s’agit-il ? La chimiothérapie classique visait à détruire les cellules jeunes des cancers. Ce faisant, toutes les cellules jeunes de l’organisme étaient atteintes. Un des effets les plus connus est la perte des cheveux par l’absence de renouvellement des cellules du bulbe pileux.
On sait maintenant que les cellules cancéreuses portent et diffusent des antigènes. L’idée est de produire des anticorps contre ces antigènes et par-là détruire les cellules. On parle de biotraitements dans la mesure où les médicaments ne s’adressent qu’à des produits existant eux-mêmes dans les organismes. Quasiment presque tous les cancers bénéficient désormais de ce type de traitements appelés « anti-TNF ». Certains résultats sont très spectaculaires, y compris dans les cancers généralisés et nous nous en réjouissons tous. Certains de ces malades devraient être décédés depuis longtemps alors qu’ils mènent une vie normale. La survie face aux cancers solides s’est améliorée considérablement en 2017.
De tels traitements reposent sur la génétique ; or le génome n’est pas le même selon le sexe. Par exemple un traitement de cette nature sera en général plus efficace (et rapide) chez 80 % des femmes et 20 % des hommes. En d’autres termes, il y a une différence d’efficacité selon le sexe ; celle-ci étant liée aux points biologiques de contrôle immunitaire (immunocheckpoints). Les effets positifs sont très favorables aux femmes.
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