Une lettre d'une donatrice : « Les médecins regardent ce petit enfant....20 semaines...ce petit crâne n'est pas tout à fait formé »
Voici une lettre que nous a écrite une donatrice :
Lire la suiteCause de maladie, j'ai retardé à aller poster ma lettre avec mon petit don.
Je voulais vous raconter un petit témoignage...lorsque je travaillais à l'hôpital à Ottawa.
J'avais une patiente qui avait 20 semaines de gestation. Elle avait des contractions.
On fait tout pour arrêter le travail...mais ça ne réussit pas et elle accouche dans son lit.
Les médecins regardent ce petit enfant....20 semaines...ce petit crâne n'est pas tout à fait formé.
L'Église catholique s'inquiète du projet de loi punissant la liberté d'expression sur le genre
(PourUneÉcoleLibre) Extrait d’un communiqué de Mgr Douglas Crosby, Évêque de Hamilton et président de la Conférence des évêques catholiques du Canada :
Lire la suite« Le projet de loi C-16, Loi modifiant la Loi canadienne sur les droits de la personne et le Code criminel, a récemment été adopté par le Parlement du Canada et a reçu la sanction royale le 19 juin 2017. Cette loi ajoute l’identité de genre et l’expression de genre à la liste des distinctions illicites en vertu de la Loi canadienne sur les droits de la personne, et elle modifie le Code criminel afin d’étendre la protection contre la propagande haineuse aux membres des groupes qui se distinguent par l’identité de genre ou l’expression de genre.
L’Église catholique regarde toutes les personnes, quelle que soit la manière dont elles s’identifient ou dont elles choisissent de vivre leur vie, comme investies d’une dignité inhérente que leur confère Dieu notre Créateur. Pour cette raison, toute discrimination injuste ou toute forme de violence contre une personne, ou une communauté, ou une classe de personnes, est toujours moralement mauvaise. Dès le moment de sa conception, l’être humain reçoit la dignité innée de porter l’image de Dieu. Toutes les personnes, y compris celles qui se disent « transgenres », doivent toujours être traitées avec compassion, respect et amour.
Le Canada promulgue une loi radicale imposant l'acceptation de la théorie du genre
Par Lianne Laurence traduit par Campagne Québec-Vie
Ottawa, 15 juin 2017 (LifeSiteNews) ̶ Le Sénat canadien a adopté, sans amendement, le projet de loi des libéraux de Justin Trudeau sur les droits des transgenres, par un vote à 67 contre 11, et 3 abstentions.
Le projet de loi ajoute « l'expression du genre » et « l'identité du genre » au Code Canadien des Droits de l'Homme et à la section du Code Criminel sur les crimes haineux. (…) [Le projet de loi a reçu la sanction royale le 19 juin 2017]
Les critiques avertissent que sous la loi C-16, les Canadiens qui nieront la théorie du genre pourraient être accusés de crime haineux, condamnés à une amende, emprisonnés et forcés de participer à un entraînement anti-préjugés.
Lire la suiteCanada : pour la première fois, la mention « genre inconnu » sur la carte santé d’un bébé
Par Jeanne Smits (Reinformation.tv)
L’idéologie du genre s’impose de manière de plus en plus ahurissante au Canada, où un enfant de huit mois a été noté comme étant de « genre inconnu » sur sa carte officielle de santé. L’enfant en question ne souffre pas d’un défaut génétique, son sexe biologique est parfaitement connu. Mais c’est à la demande de son parent (?) que la mention « U » (sans doute pour « unknown », inconnu, ou « unspecified », non spécifié) a été apposée sur le document au lieu du traditionnel M (« male ») ou F (« female »). Pour sauvegarder sa liberté de choix…
Les autorités sanitaires n’ont donc pas fait de difficultés pour suivre la requête du parent de « Searyl Atli » – nom qui ne révèle rien du sexe de l’enfant – exigeant l’omission du « genre » du bébé sur tous les documents d’identité ou officiels, tant que Searyl n’aura pas « la conscience de soi et une maîtrise suffisante pour (…) dire qui “ille” est ». En anglais ce parent qui se définit comme « non binaire » utilise la troisième personne du pluriel : « Who they are » (« qui ils sont »).
Lire la suiteL'Archevêque d'Ottawa appuie les lignes directrices des évêques d'Alberta: Les prêtres devront peut-être refuser les sacrements
Monseigneur Terrence Prendergast
Par Lianne Laurence traduit par Campagne Québec-Vie
Ottawa, 2 juin 2017 (LifeSiteNews) ̶ L'archevêque d'Ottawa a donné son appui aux normes des évêques d'Alberta et des Territoires du Nord-Ouest, qui précisent quand les prêtres peuvent accorder ou refuser les sacrements et les rites funéraires de l'Église aux catholiques recherchant ou ayant été tués par euthanasie.
L'archevêque Terrence Prendergast a loué les mérites des normes albertaines, dans sa lettre du 12 mai dernier, en tant « qu'outil efficace nous aidant à être à la fois compatissants et fidèles, dans la lutte contre cette grave menace pour la dignité et pour la valeur de la vie humaine »
La réponse pastorale catholique au programme d'euthanasie du Canada s'est fragmentée à travers le pays, depuis que le gouvernement libéral de Justin Trudeau a légalisé l'euthanasie et le suicide assisté en juin 2016 avec la loi C-14.
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Une infirmière d’Ontario contrainte à la démission parce qu’elle refuse toute participation à l’euthanasie
Mary Jean Martin
Par Jeanne Smits (réinformationtv)
On ne fusille pas ceux qui s’opposent à la dictature du relativisme, pour laquelle tout est relatif sauf la culture de mort. On les persécute dans leur vie familiale ou professionnelle : au bout du compte, c’est la mort sociale qui est recherchée. Une infirmière canadienne vient d’en faire l’expérience : Mary Jean Martin a été contrainte à la démission en Ontario pour la simple raison qu’elle refuse toute participation à l’euthanasie, devenue légale dans le pays l’an dernier. C’est une grave atteinte à l’objection de conscience, dira-t-on. C’est surtout une intolérable pression pour obliger des personnes à participer non pas à ce qu’elles jugent subjectivement mauvais, mais à ce qui est objectivement criminel.
Mary Jean Martin s’occupait principalement de personnes âgées et très malades. C’était sa vocation : entrée dans la profession à la fin des années 1980, elle voulait avant tout aider les plus « vulnérables », ceux qui sont en difficulté. Elle était chargée de coordonner les soins à domicile pour le compte du Local Health Integrated Network (Réseau local intégré pour la santé), organisme public parfaitement aligné sur l’idéologie du gouvernement socialiste de l’Ontario.
Lire la suiteTotalitarisme gay au Canada : l’Ontario adopte une loi permettant d’arracher les enfants aux parents chrétiens
Par Jeanne Smits (Réinformation.tv)
En pointe depuis longtemps pour tout ce qui concerne la culture de mort, l’Ontario vient de franchir une nouvelle étape dans la mise en place du totalitarisme gay et antichrétien. La majorité de gauche du parlement de la province vient d’adopter, à la veille de la levée de la session pour les vacances d’été, la « Loi 89 » qui élargit les pouvoirs des services sociaux en vue de placer des enfants dont les parents contreviendraient à l’idéologie dominante. Adoptée à une large majorité – 63 contre 23 – la loi prévoit que les enfants puissent être arrachés à leurs foyers si leurs parents s’opposent aux droits LGBTQI et à l’idéologie du genre. Premiers visés : les chrétiens.
La loi permet également d’empêcher les couples opposés à ces droits et à cette idéologie d’adopter ou d’être reconnus comme familles d’accueil.
L’intitulé de la loi, dans la plus pure tradition d’inversion de la Pravda et du « Newspeak » orwellien, annonce le contraire de ce qui sera fait : « Soutien aux enfants, aux jeunes et aux familles ». Le texte ajoute les facteurs d’« identité de genre » et de l’« expression de genre » à tous ceux qui doivent être pris en considération pour déterminer « l’intérêt supérieur de l’enfant » en fonction duquel celui-ci pourra être séparé de ses parents et placé auprès d’adultes ayant obtenu l’agrément des pouvoirs publics.
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Comment l'Église catholique a aidé le Canada à élire le Premier ministre le plus favorable à l’avortement de son histoire
Par Lianne Laurence de LifeSiteNews - Traduit par Campagne Québec Vie
OTTAWA, le 4 novembre 2015 (LifeSiteNews) -- Par une chaude nuit de juillet 2001, un homme de 29 ans, mince et aux cheveux ébouriffés, fait une pause pour prier avant d’entrer en scène au Nathan Phillips Square de Toronto sous les folles acclamations de milliers de jeunes.
« Je suis Justin Trudeau », annonce-t-il. « Je suis catholique ».
Treize ans après cette apparition publique pour le lancement de la Journée mondiale de la jeunesse catholique, Trudeau fait une autre annonce, cette fois comme chef du Parti libéral: Toute personne opposée à l'avortement ne pourra se présenter comme candidat libéral. Et désormais, tous les députés libéraux sont censés voter « pro-choix ».
Lire la suiteUn projet de loi au Sénat pour légaliser le suicide assisté et l'euthanasie
Pour voir le projet de loi, vous pouvez consulter le site du parlement. Le site du journal Métro du 2 décembre 2014 précise :
(Photo : jean-louis zimmermann sur flickr.com, licence creative commons)
Si le projet de loi était adopté au Sénat, il reviendrait alors aux Communes où se tiendrait enfin le débat que le député Fletcher réclame depuis quelques années. Les sénateurs croient possible d’en arriver là avant le printemps prochain.
L'Euthanasia Coalition Prevention a commenté ce projet de loi. En voici un extrait (traduction libre) :
La sénatrice Nancy Ruth et le sénateur Larry Campbell ont introduit au Sénat le projet de loi privé S 225, un projet de loi qui légalise l'euthanasie par injection létale et le suicide assisté par prescription mortelle. Ce projet de loi est basé sur le projet de loi privé du député Stephen Fletcher introduit plus tôt cette année.
(…)
Le langage utilisé par le Sénat pour le projet de loi S 225 est volontairement permissif. Le projet de loi est conçu pour protéger les médecins qui tuent par injection létale ou aident au suicide de leurs patients. Il n’est pas conçu pour protéger les patients.Le projet de loi autorise spécifiquement l'euthanasie et le suicide assisté pour les personnes handicapées.
Le projet de loi permet l'euthanasie ou le suicide assisté pour les « souffrances psychologiques. » Le terme « souffrance psychologique » n’est pas défini.
Le projet de loi n’est pas limité aux cas de maladie terminale.
Le projet de loi exige que le médecin rapporte la mort après qu'elle ait déjà eu lieu. Cela suppose que les médecins vont dénoncer leur propre abus par rapport à la loi. Comme le patient est mort, lorsque l'acte est signalé, par conséquent, il n’existe pas de protection réelle du patient.
Les personnes handicapées s’opposent généralement à l'euthanasie et au suicide assisté. Le Conseil des Canadiens avec déficiences (CCD) est intervenu à la Cour suprême du Canada concernant l'euthanasie et le suicide assisté. La porte-parole pour les médias de presse de CCD, Catherine Frazee, a déclaré :
Dans les pays où le suicide assisté/euthanasie est légal, les principales raisons invoquées par les mourants ne sont pas liées à la douleur, mais plutôt à la sensation de « perdre sa dignité et de l'autonomie » et de « devenir un fardeau pour la famille et les amis ».
(…)
Espérons que les députés conservateurs continueront de s'opposer à la légalisation de meurtres médicaux.
46 des 94 avortoirs au Canada se trouvent au Québec
Sur le blog de Jeanne Smits du 24 novembre 2014, une information reprise du National Post du 23 novembre 2014 :
Le National Post fait le compte des avorrtements au Canada – plus de 100.000 par an –, observe que 46 des 94 établissements fournissant l'avortement chirurgical au Canada sont au Québec, (...)
Selon ces statistiques, plus de 1900 avortements annuellement au Canada se dérouleraient après la 21e semaine de grossesse. Vous pouvez consulter le tableau détaillé sur les avortements au Canada sur le site du National Post du 23 novembre 2014.