Lettre de la fondatrice de Canada Silent No More à l'honorable Eric (Rick) N. Libman, juge : Justice pour les enfants à naître et pour ceux qui tentent de les protéger
Denise Mountenay
Par Denise Mountenay traduit par Campagne Québec-Vie
24 août 2017
L'honorable Eric (Rick) N. Libman : [Objet] RE : Mary Wagner
En tant qu'ancienne patiente ayant subi un avortement, fondatrice et présidente du mouvement Canada Silent No More, je voudrais amener certaines informations urgentes et cruciales à votre attention, en ce qui concerne ce qui se déroule derrière les portes des cliniques d'avortement.
Comme c'est le cas pour la plupart des patientes des cliniques d'avortement, les fournisseurs de services d'avortement m'ont menti et m'ont trompée. On m'a dit que mon bébé n'était qu'un "amas de cellules" à 9 semaines de grossesse, et on m'a aussi dit que c'était une procédure "sécuritaire". Tragiquement, l'avortement est rarement une nécessité médicale, mais il s'agit plutôt d'une forme violente et sanglante de contraception. La plupart des femmes enceintes subissent de la pression pour se faire avorter, comme celle que j'ai subie de la part de mes parents et de mon copain, et simplement de par la peur de l'inconnu.
Malheureusement, les fournisseurs d'avortements ont un énorme conflit d'intérêt, puisque c'est ainsi qu'ils gagnent des millions de dollars sur le dos de naïves femmes enceintes.
Lire la suiteDes médecins lui refusent le traitement et laissent l’homme mourir d’une infection urinaire
Par Lianne Laurence (LifeSiteNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
SHAWVILLE, Québec, 13 septembre 2017 (LifeSiteNews) — Une québécoise a déposé une plainte auprès des autorités provinciales, affirmant que les médecins du seul hôpital de la région avaient refusé de traiter l'infection urinaire de son mari parce qu'il avait un cancer.
Herman Morin avait un diagnostic qui lui donnait plus d'un an à vivre, et aurait commencé la chimiothérapie ce mois-ci, a déclaré Mary Lucille Durocher à LifeSiteNews.
Mais Morin, âgé de 65 ans, est décédé cinq jours après son admission à l'hôpital de Shawville, selon la plainte déposée par Durocher le 31 juillet au Centres intégrés de santé et de services sociaux (CISSS) de l'Outaouais.
Le Dr Stanislav Drachek a déclaré à Durocher qu'ils [lui et d’autres] ne traiteraient pas l'infection urinaire de Morin car « ils savaient qu’Herman avait un cancer dans l'os et qu'il s’était étendu au foie », dit-elle dans le document.
Lire la suiteProjet de loi 144 : des craintes pour les parents qui font l’école à la maison
Assemblée nationale du Québec — Photo : Wikimedia Commons
(pouruneécolelibre) — Radio-Canada communique :
« Les parents qui font l’école à la maison ont suivi attentivement cette semaine la commission parlementaire sur le projet de loi 144. Ce projet de loi, qui vise à garantir à tous les enfants de 6 à 16 ans l’accès à l’éducation, encadrera mieux les familles qui ont fait ce choix. »
Admirez l’euphémisme : on pourrait presque croire que l’État va aider les parents. Il s’agit en réalité de contrôler de plus près les parents et de les empêcher, si le gouvernement le décide, de faire les choix éducatifs qu’ils préfèrent. Bref, de serrer encore la vis.
« Le ministre de l’Éducation, Sébastien Proulx, souhaite mettre de l’ordre dans les règles encadrant ce choix éducatif. »
Qui peut être contre l’ordre ? Mais y avait-il désordre ? De quelle manière ? À nouveau, il s’agit d’une présentation méliorative et non objective. Rappelons qu’il n’y a aucune preuve que plus de contrôles tatillons améliorent les résultats des enfants instruits à domicile.
Lire la suite« Plus tôt cette semaine, il a laissé entendre qu’il voulait respecter les droits des parents tout en évitant les abus et les laisser-aller. »
Le raz-de-marée LGBT
Par Paul-André Deschesnes
L’été 2017 nous a abondamment chloroformés et intoxiqués avec ses 250 festivals au Québec. L’heure est aux divertissements de tout acabit. Le bon peuple ne pense qu’à s’amuser et se distraire en oubliant complètement ses fins dernières et son éternité qui arriveront bien un jour.
Dans cette ambiance jouissive, permissive et athée, il y a eu un événement historique qui s’est passé au cours de ce tsunami de festivités. Je veux parler de l’incontournable défilé de la fierté LGBTQ qui s’est déroulé à Montréal le dimanche (Jour du Seigneur ???) 20 août 2017. Il y avait 300,000 spectateurs (un record historique) agglutinés le long du parcours (familles, adultes, enfants, bébés en grand nombre, etc.) pour admirer cette croustillante parade où la nudité règne toujours en maître. Du jamais vu !
En tête du cortège, on a longuement applaudi Justin Trudeau, premier ministre du Canada, Philippe Couillard, premier ministre du Québec, Denis Coderre, maire de Montréal, et cette année, une première, Léo Varadkar, le premier ministre de la très catholique Irlande, invité spécial de Monsieur Trudeau, car il est sorti du placard il y a quelques mois.
Lire la suiteUne maman d’ici a résisté vaillamment à la pression sociale et a gardé son enfant trisomique à naître
Par Augustin Hamilton
Stéphanie Cloutier, avocate de son métier, n’avait pas imaginé, avant de devenir enceinte, tout ce que comportait le fait de porter en elle, un enfant à naître atteint de trisomie 21.
Elle rapporte avec ironie, dans une lettre écrite au journal La Presse, combien elle reçut de commentaires négatifs : « Le “ouache” a grandi dans mon ventre. Pire. J’ai choisi en toute connaissance de cause de le laisser vivre… Je suis une égoïste qui a sacrifié sa vie, son couple et sa carrière ». Elle ne comptait plus le nombre de fois où on lui a dit : « À ta place je me serais fait avorter »¹, opinion brutale qui lui fut assenée par ce qu’elle appelle si bien « Le tribunal populaire », qui semble-t-il, croyait que la seule solution pour elle était l’avortement.
Stéphanie Cloutier poursuis sa lettre en expliquant qu’à une époque, elle croyait elle aussi que l’avortement était « la seule option rationnelle », un geste de bonté envers l’enfant à naître atteint de trisomie 21… et pour les autres. Malheureusement elle considère l’avortement comme étant une option.
Lire la suiteUne lettre d'une donatrice : « Les médecins regardent ce petit enfant....20 semaines...ce petit crâne n'est pas tout à fait formé »
Voici une lettre que nous a écrite une donatrice :
Lire la suiteCause de maladie, j'ai retardé à aller poster ma lettre avec mon petit don.
Je voulais vous raconter un petit témoignage...lorsque je travaillais à l'hôpital à Ottawa.
J'avais une patiente qui avait 20 semaines de gestation. Elle avait des contractions.
On fait tout pour arrêter le travail...mais ça ne réussit pas et elle accouche dans son lit.
Les médecins regardent ce petit enfant....20 semaines...ce petit crâne n'est pas tout à fait formé.
L'Église catholique s'inquiète du projet de loi punissant la liberté d'expression sur le genre
(PourUneÉcoleLibre) Extrait d’un communiqué de Mgr Douglas Crosby, Évêque de Hamilton et président de la Conférence des évêques catholiques du Canada :
Lire la suite« Le projet de loi C-16, Loi modifiant la Loi canadienne sur les droits de la personne et le Code criminel, a récemment été adopté par le Parlement du Canada et a reçu la sanction royale le 19 juin 2017. Cette loi ajoute l’identité de genre et l’expression de genre à la liste des distinctions illicites en vertu de la Loi canadienne sur les droits de la personne, et elle modifie le Code criminel afin d’étendre la protection contre la propagande haineuse aux membres des groupes qui se distinguent par l’identité de genre ou l’expression de genre.
L’Église catholique regarde toutes les personnes, quelle que soit la manière dont elles s’identifient ou dont elles choisissent de vivre leur vie, comme investies d’une dignité inhérente que leur confère Dieu notre Créateur. Pour cette raison, toute discrimination injuste ou toute forme de violence contre une personne, ou une communauté, ou une classe de personnes, est toujours moralement mauvaise. Dès le moment de sa conception, l’être humain reçoit la dignité innée de porter l’image de Dieu. Toutes les personnes, y compris celles qui se disent « transgenres », doivent toujours être traitées avec compassion, respect et amour.
Le Canada promulgue une loi radicale imposant l'acceptation de la théorie du genre
Par Lianne Laurence traduit par Campagne Québec-Vie
Ottawa, 15 juin 2017 (LifeSiteNews) ̶ Le Sénat canadien a adopté, sans amendement, le projet de loi des libéraux de Justin Trudeau sur les droits des transgenres, par un vote à 67 contre 11, et 3 abstentions.
Le projet de loi ajoute « l'expression du genre » et « l'identité du genre » au Code Canadien des Droits de l'Homme et à la section du Code Criminel sur les crimes haineux. (…) [Le projet de loi a reçu la sanction royale le 19 juin 2017]
Les critiques avertissent que sous la loi C-16, les Canadiens qui nieront la théorie du genre pourraient être accusés de crime haineux, condamnés à une amende, emprisonnés et forcés de participer à un entraînement anti-préjugés.
Lire la suiteCanada : pour la première fois, la mention « genre inconnu » sur la carte santé d’un bébé
Par Jeanne Smits (Reinformation.tv)
L’idéologie du genre s’impose de manière de plus en plus ahurissante au Canada, où un enfant de huit mois a été noté comme étant de « genre inconnu » sur sa carte officielle de santé. L’enfant en question ne souffre pas d’un défaut génétique, son sexe biologique est parfaitement connu. Mais c’est à la demande de son parent (?) que la mention « U » (sans doute pour « unknown », inconnu, ou « unspecified », non spécifié) a été apposée sur le document au lieu du traditionnel M (« male ») ou F (« female »). Pour sauvegarder sa liberté de choix…
Les autorités sanitaires n’ont donc pas fait de difficultés pour suivre la requête du parent de « Searyl Atli » – nom qui ne révèle rien du sexe de l’enfant – exigeant l’omission du « genre » du bébé sur tous les documents d’identité ou officiels, tant que Searyl n’aura pas « la conscience de soi et une maîtrise suffisante pour (…) dire qui “ille” est ». En anglais ce parent qui se définit comme « non binaire » utilise la troisième personne du pluriel : « Who they are » (« qui ils sont »).
Lire la suiteL'Archevêque d'Ottawa appuie les lignes directrices des évêques d'Alberta: Les prêtres devront peut-être refuser les sacrements
Monseigneur Terrence Prendergast
Par Lianne Laurence traduit par Campagne Québec-Vie
Ottawa, 2 juin 2017 (LifeSiteNews) ̶ L'archevêque d'Ottawa a donné son appui aux normes des évêques d'Alberta et des Territoires du Nord-Ouest, qui précisent quand les prêtres peuvent accorder ou refuser les sacrements et les rites funéraires de l'Église aux catholiques recherchant ou ayant été tués par euthanasie.
L'archevêque Terrence Prendergast a loué les mérites des normes albertaines, dans sa lettre du 12 mai dernier, en tant « qu'outil efficace nous aidant à être à la fois compatissants et fidèles, dans la lutte contre cette grave menace pour la dignité et pour la valeur de la vie humaine »
La réponse pastorale catholique au programme d'euthanasie du Canada s'est fragmentée à travers le pays, depuis que le gouvernement libéral de Justin Trudeau a légalisé l'euthanasie et le suicide assisté en juin 2016 avec la loi C-14.
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