L’école des jeunes mères
Par Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Elvis Kennedy/Flickr
L’école Rosalie-Jetté n’est pas une école ordinaire. Un article du Devoir rapporte qu'elle permet aux jeunes mères enceintes ou ayant un enfant de poursuivre leurs études secondaires. Leur âge va de 15 à 21 ans et elles sont de tous niveaux d’études, elles peuvent laisser leur enfant à la pouponnière de l’école avant de prendre leurs cours. L’école donne en plus du cursus ordinaire des cours de cuisine, des cours prénataux, postnataux et autres. Cette école est très flexible dans ses horaires pour accommoder les jeunes mères, par exemple, quand elles doivent s’absenter pour la naissance de leur enfant.
Lire la suiteLe gouvernement Trudeau veut abolir l'article 176 du Code criminel qui protège les membres du clergé, les pasteurs et les lieux de culte
Voici une lettre D'Éric Lanthier, s'adressant à tout un chacun, qui nous informe que Justin Trudeau veut enlever une loi qui protège spécialement les membres du clergé et les ministres du culte, les lieux de cultes (les prêtres, les pasteurs, les églises, les cimetières etc...). Bref encore un pas vers un Canada sans Dieu et sans l'Église Catholique — qui protège l'enfant à naître.
Bonjour,
J'ai une demande importante à te faire part. Tu peux accéder à mon message de trois façons, en lisant ce courriel, en visionnant ce vidéo ou en écoutant la bande sonore qui explique pourquoi je fais appel à toi:
VIDÉO: http://ericlanthier.net/appel-du-coeur-protegeons-nos-droits-detre-proteges-en-mode-video/
AUDIO: http://ericlanthier.net/appel-du-coeur-protegeons-nos-droits-detre-proteges-en-format-audio/
Chers amis, collègues et compagnons d’œuvres, il s'agit d'un moment historique. Le gouvernement Trudeau s’apprête à retirer du code criminel la protection que jouissent nos lieux de culte ainsi que les membres du clergé dans leurs fonctions.
L'article 176 protège nos lieux et nos représentants de représailles, de persécutions et d'agression. Maintenant, le gouvernement veut enlever cette reconnaissance.
Lire la suiteUn Cardinal canadien : Tuer les patients malades est « fondamentalement mal »
Le cardinal Collins parlant à la Marche nationale pour la vie du 11 mai 2017.
Par Pete Baklinski — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pete Baklinski/LifeSiteNews
Toronto, Ontario, 27 octobre 2017 (LifeSiteNews) — Le cardinal Collins a dénoncé l’euthanasie comme étant « fondamentalement mal » dans un discourt, hier [le 26 octobre].
Le Cardinal Collins, s’adressant aux plus de 1700 participants du Dîner du cardinal [événement archidiocésain] dans le centre-ville de Toronto le 26 octobre, disait que les « froides ténèbres de l’euthanasie » se « répandent à travers le pays » après que le Canada ait fait une loi régissant cette pratique, l’année passée.
Le cardinal Thomas Collins au Dîner du cardinal du 26 octobre 2017. |
« Une réflexion sur notre réserve limitée de temps nous rappelle que nous ne sommes pas les maîtres, mais seulement les intendants de nos propre vie. Nous ne sommes pas propriétaires de la vie des autres, et nous ne sommes pas propriétaires de la vie confiée à chacun d'entre nous. Parce que nous ne sommes pas propriétaires de la vie humaine, la nôtre ou celle d'autrui, nous n'avons pas le droit de prendre la vie d'une autre personne, et nous n'avons pas le droit de prendre notre propre vie », a déclaré l'archevêque de Toronto.
Lire la suiteUne militante nigérienne : La politique internationale canadienne sur l'avortement est néo-colonialiste
Obianuju Ekeocha (Uju) — Image tirée d'une émission de la BBC.
Selon le site SpurOttawa, notre Premier ministre, Justin Trudeau, a consacré 650 millions de dollars pour répandre encore plus l'avortement dans le monde (plus de 5 fois le montant dépensé pour combattre la famine en Afrique). 65 % des 650 millions de dollars destinés à l'avortement sont envoyés en Afrique.
Le Canada auparavant envoyait de l'aide avec le financement des initiatives en matière de santé infantile, maternelle et néonatale. Maintenant le Canada envoie de l'argent à plein flot pour financer l'avortement et va favoriser, en matière d'aide, les pays qui acceptent l'avortement, tandis que les pays ou les organisations qui continueront de refuser le meurtre de l'enfant à naître recevront une aide limitée.
Lire la suiteUn drag queen à la Grande Bibliothèque pour lire pendant une heure des « contes » à des enfants de 3 à 5 ans!!
Source : Dominique Scali (JDM)
Montréal — Un drag queen à la Grande Bibliothèque pour lire pendant une heure des « contes » à des enfants de 3 à 5 ans!! On croit se tromper! Selon le Journal de Montréal ce personnage doit mettre un de ses déguisements et raconter des « contes » qui, dans certains, pourront aborder des questions de genre.
« “Un exemple que je prends souvent, c’est celui de Mickey Mouse. Est-ce un garçon ou une fille ? On ne le sait pas. Mais ce qui est important, c’est qu’on le trouve amusant et coloré”, illustre M. Potvin [le drag queen]. » rapporte le JDM. Voici une façon non rationnelle de penser ; trouver cela amusant ! ce n'est pas parce qu'on trouve une chose amusante qu'elle sera moins dangereuse. Quant à la souris (fort discutable) de Disney, ce n'est pas un excellent exemple de la théorie du genre étant donné que c'est un personnage imaginaire.
Pauvres enfants!
En cette période de dénonciations d’inconduite sexuelle au Québec, n’oublions pas le rôle des parents
Par Solange Lefebvre-Pageau du Centre international de recherche d’éducation familiale (CIREF)
En la troisième semaine du mois d’octobre 2017, marquée par de nombreuses dénonciations d’inconduites sexuelles au Québec, les médias nous ont fait entendre, plusieurs fois, la rengaine : Éducation à la sexualité en milieu scolaire de la maternelle au secondaire.
Curieusement, les parents sont absents de cette proposition reliée à l’éducation sexuelle de leurs petits et de leurs ados. On fait comme si la famille n’existait pas ou, encore, qu’elle n’avait plus raison d’être comme la principale éducatrice de sa progéniture à deux des éléments essentiels d’humanité : l’amour et la sexualité, deux réalités fondamentales que nous ne devrions jamais dissocier si nous voulons véritablement faire œuvre d’éducation.
En entendant le refrain qui prône l’éducation à la sexualité en milieu scolaire, les paroles choquantes d’un conférencier me sont revenues à la mémoire avec force. Elles furent prononcées en 1986, lors d’un Symposium sur l’éducation sexuelle tenu à Liverpool (citées par Valerie Riches, Sex & Social Engineering, Family Education Trust, 1994).
Lire la suiteLettre du président de Campaign Life Coalition au premier ministre : L’avortement n’est pas « un droit reconnu par la Charte »
Cette lettre de Jim Hughes (président de Campaign Life Coalition), traduite par Campagne Québec-Vie, démontre que le premier ministre du Canada, Justin Trudeau, allègue faussement que l'avortement est « un droit reconnu par la Charte » — NDLR
29 septembre 2017
Au très honorable Justin Trudeau
Cabinet du premier ministre
80 rue Wellington
Ottawa, ON K1A 0A2
M. le premier ministre,
J’espère que vous apprécierez que je porte à votre attention, quelques unes des très graves allégations que vous faites fréquemment, au sujet de l’avortement.
L’avortement n’est pas « un droit reconnu par la Charte », et n’est pas non plus « un droit de l’homme ».
Au début des années 1980, notre organisation, Campaign Life Coalition avait travaillé très fort pour ajouter le droit à la vie dans la Charte des droits et des libertés. Le premier ministre de l’époque, votre père, nous a assuré que la Charte n’aurait aucun impact sur la question de l’avortement.
Dans une lettre datée du 6 juillet 1981, concernant un amendement proposé, lettre adressée à l’archevêque d’Edmonton, Mgr MacNeil, président de la Conférence des évêques catholiques du Canada, le premier ministre écrivit : « Les points soulevés montrant que la Charte créerait un droit à l’avortement sur demande ont été clairement réfutés dans l’opinion émise par le ministère de la justice. Aussi, selon moi, le besoin d’amender la Charte n’a pas été clairement démontré. »
Lire la suiteDès la première année de la légalisation de l’euthanasie on en rapporte près de 2000
Par Alex Schadenberg (LifeSiteNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
10 octobre 2017, (Euthanasia Prevention Coalition) (Coalition pour la prévention de l'euthanasie) — Les données du deuxième rapport intérimaire sur l'aide médicale à mourir de Santé Canada indiquent qu'il y a eu 1982 morts assistées (1 977 cas d’euthanasie et 5 cas de suicide assisté) du 17 juin 2016 au 30 juin 2017) depuis la légalisation [« de l’aide médicale à mourir »].
Il y a eu 167 euthanasies déclarées au Québec avant que le gouvernement fédéral ne légalise l'aide à mourir. Par conséquent, le 30 juin, 2 149 morts assistées avaient été déclarées au Canada (1 982 + 167).
Les gouvernements canadiens ont établi un système d'auto-déclaration, c'est-à-dire que le médecin qui donne la mort est le même médecin que celui qui signale le décès (il n'y a pas de contrôle de la loi). Il est donc possible qu'il y ait une sous-déclaration et de l’abus de la loi. D'après le premier rapport du gouvernement du Québec sur l’euthanasie, 14 % des euthanasies n'étaient pas conformes à la loi.
Lire la suiteLettre d'opinion : « Cours d'éducation sexuelle : Le pompier pyromane »
Par Stéphane Bürgi, marié, père de quatre jeunes enfants, agent de pastorale et doctorant au Centre d'études du religieux contemporain de l'Université de Sherbrooke
Depuis quelques années, il est question d'éducation sexuelle au Québec. Hypersexualisation, maladies transmissibles sexuellement, grossesses précoces, le tout accompagné de détresses psychologiques : personne ne peut aujourd’hui nier que les jeunes ont un réel besoin d’éducation à la sexualité.
Doit-on pour autant se réjouir de l'arrivée du nouveau cours dans les salles de classe du Québec? En fait, si on y regarde de plus près, on peut sérieusement se demander si le contenu du programme, plutôt que d'offrir une solution, ne fera pas qu'aggraver le problème.
Par exemple, est-il approprié d'enseigner, en classe, le fonctionnement des organes sexuels – incluant la fonction du plaisir – dès les premières années du primaire? Il s'agit pourtant d'un apprentissage prévu dans le programme, où il est écrit qu'un enfant de 6-7 ans doit pouvoir « situer les organes sexuels des filles et des garçons et leurs fonctions (reproduction, plaisir, élimination) »
Lire la suiteDébat pro-vie en France provoqué par...Québec-Vie ?
Mairie de Laroque-Timbaut dans le sud-ouest de la France
Par Georges Buscemi, président de Campagne Québec-Vie — Photo : Wikimedia Commons
Lorsque nous avons lancé notre site Web de nouvelles pro-vie nous n'aurions jamais pu croire que notre influence s'étendrait jusqu'en... France.
Mais en 2015 nous avons vite constaté que même si notre site de nouvelles avait principalement pour but de sensibiliser la population québécoise sur les enjeux reliés à la foi, la famille et la vie humaine, les Français aussi pouvaient être fort intéressés par ce que nous publiions. C'était à un tel point qu'en février 2015, un article à lui seul avait été lu par plus d'un million de Français !
Lire la suite