Les drag-queens dans les bibliothèques : endoctrinement des enfants
Par Clémentine Jallais (Réinformation.TV)
Il y a moins d’un an, RiTV avait évoqué [l'affaire du] démon drag-queen qui avait fait son heure de lecture enfantine à la bibliothèque publique de Michelle Obama à Long Beach. Aujourd’hui, le phénomène s’est encore amplifié en Amérique du Nord. Pire, il se démocratise outre-Manche mais aussi en France. Et dans des édifices publics, des bibliothèques aux crèches. C’est « culturel », nous dit-on. Ce serait même humaniste, dans le sens où cette initiation maçonnique ouvre l’éventail des possibilités d’être de tout un chacun, et la tolérance pour tous, pour parler leur langage…
Ni plus ni moins, c’est le programme transgenre qui se met en marche à destination des petits. Car il faut que l’idéologie LGBT atteigne les jeunes esprits avant l’âge de trois ans, comme l’expliquait la directrice d’une bibliothèque américaine — après, ils sont déjà trop genrés… !
La communauté LGBTQ2+ pose les principes du transgénérisme
Évidemment que l’entreprise est idéologique. La première histoire racontée aux enfants par une drag-queen avait eu lieu à la bibliothèque Harvey Milk (activiste gay) de San Francisco et c’est l’auteur « queer » Michelle Tea qui en avait eu l’idée. Depuis, c’est une traînée de poudre. Les promoteurs de ces événements se défendent en disant vouloir créer « un endroit safe qui prépare un monde plus safe », comprenez inclusif, ouvert, sécurisant pour tous…
Lire la suite« Fake news » : l’arme de destruction massive de l’élite libérale
Par Eric Pilon (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : Eurolibertés
Par la censure des « fake news », médias traditionnels et réseaux sociaux ont trouvé le moyen de museler leurs opposants.
Depuis plusieurs années, on assiste à une reconfiguration de l’espace médiatique, les médias traditionnels n’étant plus les seuls diffuseurs d’information. Certains d’entre eux sont même en déroute, surclassés par des sites en ligne qui jouissent d’une popularité croissante.
Pris de panique par crainte de perdre le contrôle de l’information, ces médias ont dû chercher un moyen de museler cet ennemi redoutable. C’est ainsi que la censure des « fake news » est devenue l’outil de premier plan qui leur permet de discréditer leurs compétiteurs du Web. C’est la thèse développée par l’auteur québécois Rémi Tremblay dans un texte publié sur le site Eurolibertés.
L’élite médiatique avait bien essayé de « couper l’herbe sous le pied » des nouveaux médias en ligne, soutient M. Tremblay, mais la stratégie s’était révélée infructueuse. D’où la tactique qui consiste à les accuser de propager des « fake news ». Et comment risque-t-on d’être accusé de propager des « fake news » ? Simple : « Si un dissident émet une vérité, elle relève automatiquement de la “fausse nouvelle” », nous dit M. Tremblay, « alors que si un média du système émet une contre-vérité, il s’agit tout au mieux d’une erreur de bonne foi ».
Lire la suiteProfanation des cimetières
Par Paul-André Deschesnes
Nous entendons souvent parler de vandalisme dans nos cimetières au Québec. Durant la nuit, des groupes de jeunes en quête de sensations fortes envahissent ces lieux sacrés pour faire la fête (drogues, alcool, etc.) C’est une forme de profanation.
L’entretien des cimetières coûte de plus en plus cher. Les autorités paroissiales cherchent des sources de financement. Les héritiers légaux de toutes ces personnes décédées refusent souvent de soutenir financièrement les cimetières. Aujourd’hui, les enfants et les familles oublient pour toujours leurs parents qui reposent dans ces endroits en toute tranquillité. Pour nos cimetières, l’avenir s’annonce très sombre au Québec.
Les médias nous informaient dernièrement que certaines paroisses catholiques pensent avoir trouvé une façon très originale de régler ce problème (Journal de Montréal, 16 juillet 2018). Au Québec, c’est maintenant devenu banal de transformer les églises en salles de spectacles pour trouver de l’argent. Ne pourrions-nous pas faire la même chose avec les cimetières ?
Lire la suiteUniversité Trinity Western : La Cour suprême du Canada réinterprète les lois selon son penchant progressiste
Il y a près d’un mois, la Cour suprême du Canada a statué contre une université chrétienne qui désirait former des avocats. La nouvelle de cet arrêt que nous considérons comme liberticide a fait peu de bruit au Québec. C’est pourquoi nous pensons qu’il est utile de revenir sur celui-ci.
Trinity Western contre les barreaux britanno-colombien et ontarien
La Cour suprême du Canada a statué sur le fait que les barreaux de la Colombie-Britannique et de l’Ontario ont le droit de refuser d’agréer la faculté de droit proposée par l’Université chrétienne Trinity Western (UTW), à cause de son code de conduite jugé discriminatoire envers les homosexuels. Ce code de conduite interdit aux étudiants et au personnel de l’UTW d’utiliser un langage vulgaire ou obscène, d’être ivres, de consommer de la pornographie, de médire des gens ou de s’adonner à des activités sexuelles extra-conjugales ou homosexuelles. Il n’est donc pas « discriminatoire » envers les seuls homosexuels, mais contre toute une série de comportements considérés comme non bibliques.
L’Université Trinity Western est une université chrétienne évangélique privée à Langley, en Colombie-Britannique. La Fédération des ordres professionnels de juristes du Canada a approuvé le programme de droit de l’UTW et a reconnu qu’il respectait les normes universitaires et professionnelles. Les barreaux n’alléguaient donc pas que quelque chose clochait dans le programme juridique de l’UTW, que ses professeurs étaient inaptes, que les étudiants à l’issue de leur cursus ne connaîtraient pas le droit, mais ils prétendaient que le code de vie de UTW est discriminatoire envers la communauté LGBTQ+. Seule cette « communauté » intéressaient les barreaux en question, les hétérosexuels obscènes ou aux mœurs légères ne suscitaient aucun intérêt de leur part.
Lire la suiteDoug Ford annulera le cours de sexualité des libéraux
Par Le Peuple — Voici la ou les sources de cet article : CBC News et The Toronto Star
On reprochait notamment à ce cours d’enseigner aux enfants des concepts plus proches de l’idéologie que de la réalité [très loin de la réalité — CQV].
Mercredi, la ministre de l’Éducation de l’Ontario, Lisa Thompson, a confirmé que le gouvernement progressiste-conservateur de Doug Ford allait remplacer l’actuel cours d’éducation à la sexualité, implanté par les libéraux de Kathleen Wynne en 2015, par une mouture plus ancienne datant de 1998. En campagne électorale, le premier ministre de l’Ontario, Doug Ford, avait promis d’abolir ce cours qui a énormément polarisé les électeurs ontariens.
On lui reprochait notamment d’être trop explicite avec de jeunes enfants, mais aussi d’enseigner des concepts plus proches de l’idéologie que de la réalité. Ainsi, dès la fin de leur primaire, on enseignait aux enfants le concept d’« identité de genre », selon lequel une personne peut être un homme ou une femme comme elle peut s’identifier autrement que comme homme ou comme femme, et ce, sur la simple base de sa déclaration, sans égard pour sa réalité biologique.
Lire la suiteUne pièce blasphématoire : « Les fées ont soif »
Par Paul-André Deschesnes
En 1978, le Québec vivait à plein régime la disparition de la « grande noirceur ». On pataugeait dans « l’ivresse » de la Révolution tranquille. On annonçait fièrement sur toutes les tribunes qu’on s’était débarrassé de Dieu. On entrait tête première dans l’ère de la liberté tous azimuts.
En 1978, le Théâtre du Nouveau Monde de Montréal présentait une populaire pièce très féministe intitulée « Les fées ont soif » durant plusieurs mois. Ce supposé chef-d’œuvre appelait haut et fort les mouvements de libération de la femme à accentuer la lutte et, en même temps, pourfendait violemment l’époque de la grande noirceur. Cette pièce ridiculisait en particulier et méprisait vicieusement en termes vulgaires la Vierge Marie, présentée comme un épouvantable symbole de la soumission féminine. Les spectateurs accouraient de partout pour venir gober le contenu blasphématoire de cette pièce qui se moquait allègrement et grossièrement de la virginité mariale, de la naissance du Christ grâce à l’opération du St-Esprit et de la chasteté dans une atmosphère toxique et athée. Alors, la Vierge Marie a été massacrée et violée pendant plusieurs semaines lors de la présentation de cette pièce à Montréal en 1978.
Lire la suiteFemme enceinte tuée : deux morts
Par Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Source de l’article : TVA Nouvelles
La famille de la défunte n’a pas hésité à qualifier l’acte qui a enlevé la vie à la mère et à son enfant à naître de double meurtre : « Nous sommes conscients que, selon la loi, une grossesse de 20 semaines n’est pas reconnue. Cependant, pour la famille, c’était un être à part entière qui aurait eu sa chance dans la vie si Cheryl n’avait pas subi ces atrocités », rapporte TVA Nouvelles.
Cheryl Bau-Tremblay, enceinte de cinq mois, s’était fait étrangler à mort par son « conjoint » lequel avait des problèmes d’alcoolisme.
Le jury a condamné le coupable pour meurtre non prémédité et il resterait au juge de décider combien d’années il devra passer en prison avant d’être mis en libération conditionnelle.
Le fait que la victime ait été enceinte de cinq mois au moment du meurtre devrait être une circonstance aggravante, comme l’ont affirmé la Couronne et la défense.
Quand est-ce que la loi reconnaîtra une personne humaine dans un fœtus humain?
Un ministère de la vérité vient d’être créé
Justin Trudeau, premier ministre du Canada.
Par Patrice Hans-Perrier (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : Archives et culture pop, Spencer Fernando et The Globe and Mail/Voici la source de la photo : 2017 Canada Summer Games, Wikimedia, CC BY 2.0
Le gouvernement Trudeau se sert de Facebook comme d’un détecteur de mensonges afin de filtrer les informations indésirables.
George Orwell, dans son célèbre roman d’anticipation 1984, avait déjà mis en scène un « ministère de la vérité » qui avait pour mandat de remanier les archives historiques pour que le Parti de Big Brother puisse contrôler la mémoire collective. C’est un peu ce concept que l’on retrouve derrière la nouvelle politique de contrôle de l’information sur les médias sociaux mise de l’avant par la ministre Mélanie Joly.
On se rappellera que le gouvernement canadien promettait, au sortir du Sommet économique mondial de Davos, en janvier 2017, de lutter contre les « fausses nouvelles » et avait mandaté Mélanie Joly, ministre du Patrimoine canadien, pour qu’elle organise des rencontres « informelles » avec plusieurs leaders de la presse et des médias sociaux.
Big Sister vous observe
Et, bien, nous y sommes. Patrimoine Canada vient subitement de se transformer en ministère de la vérité. Et, comme il fallait s’y attendre, Mélanie Joly y tient le rôle vedette de Big Sister ! Le temps des groupes de discussion est terminé : le gouvernement Trudeau a décidé de passer à l’action en obligeant Facebook à instaurer un système de contrôle des contenus mis en ligne par ses usagers.
Lire la suiteL’élection de Doug Ford : un regain d’espoir ?
Par Paul-André Deschesnes
Le nouveau premier ministre de l’Ontario, Doug Ford, a annoncé officiellement après son élection en juin 2018 trois bonnes nouvelles qui avaient semé la controverse en campagne électorale.
- Le nouveau cours d’éducation sexuelle en vigueur depuis quelques années dans toutes les écoles primaires et secondaires de cette province du Canada sera aboli.
- Le gouvernement conservateur de l’Ontario ne subventionnera plus le gros défilé de la fierté gaie de Toronto.
- Doug Ford ne participera pas, contrairement à la tradition, aux défilés et aux activités de la communauté LGBTQR2 de Toronto. [et il n'y a pas participer.]
Le gouvernement conservateur de l’Ontario, qui vient d’être élu fortement majoritaire, est un « méchant » gouvernement de droite. La gauche ontarienne hurle à tue-tête. Les communautés issues de l’immigration, les migrants clandestins, les réfugiés de tout acabit et les musulmans sont sous le choc. Le gouvernement fédéral gauchiste, moderniste, socialiste, incompétent et irresponsable de Justin Trudeau tremble de frayeur ; en effet, il y aura une élection fédérale au Canada en octobre 2019 et, actuellement, les derniers sondages prédisent une victoire du Parti conservateur du Canada.
Est-ce possible qu’une importante partie de la population commence à se rendre compte que les politiques de nos gouvernements de gauche qui se sont succédé depuis deux ou trois décennies en Occident sont un désastre à tous les points de vue : économique, social, moral, judiciaire, sans oublier le chaos en santé et en éducation.
En terminant, il faut rappeler que tous ces gouvernements très populaires de gauche qui nous ont fait de nombreux cadeaux empoisonnés (avortement, euthanasie, légalisation des drogues et de la prostitution, cours de perversion sexuelle dans nos écoles publiques, abolition des frontières, diabolisation de notre histoire et de notre passé, etc.) sont de plus en plus contestés en Occident, au Canada et même au Québec.
Avant de heurter le mur, le bon peuple semble se réveiller. La province de l’Ontario, la plus populeuse du Canada, a compris. Espérons que ce ne soit pas un feu de paille. Les idéologies athées et les philosophies de gauche, dites postmodernes, indiscutables, incontournables et inchangeables agonisent.
On a semé le vent. On a récolté la tempête. On commence peut-être à se réveiller collectivement.
L’étau se resserre-t-il autour du bon usage de la liberté d’expression?
Par Patrice Hans-Perrier (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : La Presse n° 1, n° 2, Centre de la sécurité des télécommunications
Facebook, avec l’Agence France-Presse (AFP), lancera bientôt un outil dédié à la lutte aux « fausses nouvelles » au Canada.
Le gouvernement canadien promettait, au sortir du Sommet économique mondial de Davos, en janvier 2017, de lutter contre les « fausses nouvelles » et avait mandaté Mélanie Joly, ministre du Patrimoine canadien, pour qu’elle organise des rencontres « informelles » avec plusieurs leaders de la presse et des médias sociaux.
Par la suite, l’équipe Trudeau n’a pas pris de temps pour mettre en action son plan de match à l’effet de mettre en branle une concertation serrée avec les géants de l’information, incluant Facebook aux premiers rangs.
Facebook prend les devants
Le journal Le Peuple soulignait d’ailleurs, en décembre dernier, que Kevin Chan, directeur des politiques publiques au sein de la compagnie Facebook, avait déjà rencontré des ministres du cabinet Trudeau dans le courant de l’année 2017. Il appert que M. Chan aurait participé à plusieurs rencontres auxquelles assistait une brochette de ministres canadiens.
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