Une femme forcée de partager une chambre avec un transgenre
Par Eric Pilon (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : The National Post/Voici la source de la photo : nancydowd CC0
Elle poursuit un refuge pour atteinte aux droits de la personne alléguant que la situation lui a causé de l’anxiété.
Une Ontarienne a déposé une plainte pour atteinte aux droits de la personne contre un refuge de Toronto pour femmes toxicomanes, alléguant que le personnel l’avait forcée à partager une chambre avec une personne transgenre en période préopératoire.
Kristi Hanna a signalé au Tribunal des droits de la personne de l’Ontario que la présence de la personne transgenre dans la même chambre qu’elle lui avait causé de l’anxiété en plus de lui avoir occasionné un manque de sommeil. Mme Hanna garde des séquelles des abus sexuels dont elle a été victime dans le passé, ainsi que des problèmes résultant de la dépendance à l’alcool et à la cocaïne.
L’Ontarienne a passé sept mois au Jean Tweed Centre, dont deux jours avec la personne transgenre. Étrangement, quand elle a appelé le Centre d’assistance juridique en matière de droits de la personne (CADJP) pour demander conseil, on lui a dit que c’était elle qui avait fait preuve de discrimination pour avoir dit de son chambreur qu’il était un homme. Du côté du refuge, on lui aurait dit que l’endroit était inclusif et qu’elle devait surmonter ses craintes ou partir.
Rappelons que la discrimination en fonction de l’« identité de genre » est interdite au fédéral depuis juin 2017. Selon ce concept central à l’idéologie transgenre, une personne peut être un homme ou une femme comme elle peut s’identifier autrement que comme homme ou comme femme, et ce, sur la simple base de sa déclaration, sans égard pour sa réalité biologique.
En Alberta, « David » a changé d’identité sexuelle pour faire baisser sa prime d’assurance automobile
Par Matthieu Lenoir (Reinformation.TV) — Photo : PxHere
Où vont se cacher l’identité sexuelle et le douloureux questionnement sur le genre ? « David », discret pseudonyme d’un habitant de l’Alberta, province canadienne des prairies et des Rocheuses, vient de profiter d’une loi lui permettant de changer de sexe sur ses documents d’identité afin de réduire sa prime d’assurance automobile. Âgé d’à peine plus de 20 ans, « David » va ainsi économiser quelque 1 100 dollars canadiens par an, soit environ 720 euros, par le simple fait de s’être déclaré « femme ». Emotion parmi les organismes LGBT de défense des transsexuels, aigreur chez les assureurs.
David a profité d’un « vide juridique » pour faire baisser sa prime d’assurance automobile
« J’ai voulu profiter d’un vide juridique », a expliqué « David » à la chaîne publique CBC. Etant âgé de moins de 25 ans et jusqu’ici considéré comme un homme, « David » entrait dans la catégorie à haut risque dans les référentiels de nos très chers assureurs. Son historique d’assurance automobile comporte déjà une collision et au moins une amende. Quand il a reçu le montant de la prime d’assurance pour sa Chevrolet Cruze, soit 4 500 dollars par an, il a demandé à sa compagnie quelle serait la note s’il était une femme. Réponse de l’assureur : 3 400 dollars. Presque 25 % de réduction.
Lire la suiteUne entreprise chrétienne de restauration rapide américaine va prochainement ouvrir un établissement à Toronto
Par Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
L’entreprise de restauration rapide Chick-fil-A ouvrira en 2019 son premier restaurant à l’extérieur des États-Unis, d’après un de ses tweets.
Nous nous réjouissons de ce que cette compagnie vienne s’installer au Canada. On peut lire sur son site qu’elle a la particularité chrétienne de fermer le dimanche, habitude qui remonte jusqu’au fondateur Truett Cathy qui décida, quand il lança son premier restaurant, de fermer boutique ce jour-là. Cette décision lui vient en partie de son expérience de travail dans des restaurants ouverts sept jours sur sept, vingt-quatre heures sur vingt-quatre; cela lui fit comprendre l’importance du respect du repos dominical, du jour réservé à Dieu.
De plus, la compagnie affiche clairement son but de travailler pour la plus grande gloire de Dieu :
« Objectif de l’entreprise
“Glorifier Dieu en étant un fidèle intendant de tout ce qui nous est confié et avoir une influence positive sur tous ceux qui entrent en contact avec Chick-fil-A.” »
Enfin, outre ses œuvres caritatives, Chick-fil-A soutient le mariage traditionnel, selon Wikipédia.
Bref, voici une entreprise chrétienne que nous souhaitons voir imiter en ses bonnes valeurs.
Éducation à la sexualité et « aux relations égalitaires » imposées dès la garderie
Par Pour une école libre — Photo : Carole LR/Pixabay
Communiqué de la Presse Canadienne (avec le manque de distance habituelle envers les mesures gouvernementales imposées, pardon, offertes aux enfants captifs) :
Ce ne sont pas que les écoles primaires et secondaires du Québec qui offriront [novlangue pour « imposeront », car normalement on peut refuser une offre] cet automne des cours d’éducation sexuelle, certaines garderies et maternelles accueilleront [imposeront] un programme similaire spécialement adapté aux tout-petits.
Quelque 1200 enfants âgés de 0 à 5 ans seront ainsi exposés à certaines notions touchant à la sexualité et aux relations égalitaires dans le cadre d’un projet-pilote déployé par la Fondation Marie-Vincent.
Si cette première phase d’implantation est couronnée de succès [elle le sera, car il n’y a aucun objectif vérifiable défini à l’avance et vérifié par la suite par des gens qui ne sont pas juges et parties du projet, ces innovations du gouvernement sont généralisées peu d’années après leur introduction. À moins que la mesure du succès soit le silence des parents.], le projet Lanterne/Awacic pourrait par la suite être étendu à davantage de garderies, maternelles et centres communautaires.
Lire la suiteEst-ce le résultat du hasard ?
Par Paul-André Deschesnes
Après une sécheresse record (2000 cultivateurs ont presque tout perdu), on annonce maintenant un déluge (50 à 100 mm de pluie) dans plusieurs régions du Québec.
Depuis 4 jours, on parle abondamment à la télévision des incroyables feux en Grèce qui ont détruit plusieurs petites villes et stations balnéaires près d’Athènes. C’est apocalyptique ! Tout est détruit ! Les gens se jettent même à la mer pour échapper aux flammes ! On a retrouvé 80 corps calcinés, mais il y a des centaines de disparus. La température indique 45 c° avec des vents de 100 km/h. À RDI ce matin (25 juillet 2018), on a ridiculisé un message de certains évêques orthodoxes qui ont dit : « Peuple de la Grèce, votre style de vie, votre sexualité débridée et votre athéisme ont attiré la colère de Dieu. Convertissez-vous ». Tous les villes et villages détruits étaient très populaires pour leurs plages très fréquentées où la nudité était à l’honneur.
Aux nouvelles télévisées de TVA et RDI (23 et 24 juillet 2018), on nous a montré des images inimaginables des plages en République Dominicaine. Ces endroits diaboliques, où la nudité et la prostitution sont à l’honneur (c’est la principale destination soleil de nos Québécois décadents), sont envahis par des milliers de tonnes de déchets, venant de l’océan et rendant inutilisables pour très longtemps les plages du pays.
Lire la suiteUn activiste chrétien accusé de « crime haineux »
Par Lianne Laurence — traduit par Campagne Québec-Vie
TORONTO, 4 juillet 2018 (LifeSiteNews) — L’activiste catholique Bill Whatcott est en liberté sous caution et sans emploi depuis qu’il s’est rendu aux autorités de Calgary le 22 juin, pour faire face à une accusation criminelle, provenant de Toronto, de promouvoir la haine envers « la communauté gaie ».
En mai, le Toronto Police Service a lancé un mandat d’arrêt pancanadien contre Bill Whatcott pour crime haineux, suite à une enquête qui eut lieu pendant deux ans, laquelle était motivée par des plaintes reçues contre lui en 2016.
Whatcott, ainsi que plusieurs autres personnes ont paradé lors du défilé de la fierté 2016 à Toronto. En tant que membres de la « Gay Zombies Cannabis Consumers Association », ils portaient des justaucorps verts et des masques.
Ils ont distribué 3000 pamphlets sur le « Zombie Safe Sex » (Sexe zombie sécuritaire) comportant un message d’avertissement sur les dangers physiques et spirituels de l’activité homosexuelle.
Lire la suiteBonne nouvelle : Le festival rock n’aura pas lieu dans le cimetière
Nos défunts pourront reposer en paix.
Par Paul-André Deschesnes — Photo : Tibauk/Wikimedia Commons
Au milieu de juillet 2018, un festival rock, rap, punk et métal avait été annoncé dans les médias et devait se tenir dans le cimetière de la paroisse d’une petite ville du Centre-du-Québec un mois plus tard.
Tout avait été soigneusement préparé : les groupes d’artistes, l’installation des tentes de camping pour les spectateurs, la programmation, etc. Le 17 juillet 2018, j’avais écrit une chronique sur ce sujet intitulée : « Profanation des cimetières ».
Bonne nouvelle ! Ce festival organisé dans un cimetière catholique a provoqué un tollé général dans la population. Les autorités et les organisateurs ont été bombardés de pétitions et de commentaires sur les réseaux sociaux pour dénoncer l’utilisation profane du cimetière à des fins commerciales. Les familles des défunts se sont mobilisées et elles ont monté aux barricades.
Face à la pression populaire, les autorités municipale, diocésaine et paroissiale, ainsi que les responsables de ce festival, se sont mis d’accord pour annuler l’événement à cet endroit. Un autre lieu plus approprié sera donc choisi dans les jours qui viennent.
Au Québec, d’après le Journal de Montréal du 21 juillet 2018, il y a d’autres cimetières catholiques au Québec qui auraient accueilli des événements profanes de tout acabit sur leur territoire. C’est honteux et inacceptable.
La conclusion de cette saga n’est pas très compliquée. Quand les catholiques décident de se tenir debout, de faire respecter leurs principes religieux et d’affronter l’Adversaire, au lieu de se montrer « cool » comme c’est la mode actuellement, on gagne la bataille.
Une grosse défaite pour les forces du Mal !
La DPJ retire deux filles à leurs parents sur fond d’instruction à la maison
Un couple lance un cri du cœur contre la DPJ, qui lui a retiré ses deux filles il y a plus de trois ans. Au centre du désaccord, la scolarisation et un diagnostic d’autisme.
Lorsque Sylvie et François (prénoms modifiés) vont voir leurs deux filles, âgées de 10 et 11 ans, ils ne peuvent même pas les toucher. Ni les consoler. Ils ont le droit de les voir une heure et demie par semaine, sous supervision, dans un endroit déterminé par la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ). Sylvie et François se sont vu retirer leurs droits parentaux et tous les autres droits. Aussi bien dire qu’ils se sont fait retirer leurs enfants, point. Depuis plus de trois ans. L’histoire commence en région, leur première fille a huit mois, Sylvie et François font le choix de s’acheter une maison sur le bord d’un lac privé, dans les pays d’en haut, avec plein d’animaux, des poules, des canards, des lapins, des chèvres miniatures.
Ils ont un élevage de chiens de race.
Presque un an plus tard, ils ont eu une autre fille. « On est resté là pendant sept ans, les filles étaient libres, raconte Sylvie. C’est ce qu’on voulait, qu’elles grandissent dans la nature. Elles allaient se baigner dans le lac, avec une veste de sauvetage bien sûr, elles ont appris à faire du vélo, du quatre roues... »
Lisez le reste de l'article sur le journal Le Soleil.
Les drag-queens dans les bibliothèques : endoctrinement des enfants
Par Clémentine Jallais (Réinformation.TV)
Il y a moins d’un an, RiTV avait évoqué [l'affaire du] démon drag-queen qui avait fait son heure de lecture enfantine à la bibliothèque publique de Michelle Obama à Long Beach. Aujourd’hui, le phénomène s’est encore amplifié en Amérique du Nord. Pire, il se démocratise outre-Manche mais aussi en France. Et dans des édifices publics, des bibliothèques aux crèches. C’est « culturel », nous dit-on. Ce serait même humaniste, dans le sens où cette initiation maçonnique ouvre l’éventail des possibilités d’être de tout un chacun, et la tolérance pour tous, pour parler leur langage…
Ni plus ni moins, c’est le programme transgenre qui se met en marche à destination des petits. Car il faut que l’idéologie LGBT atteigne les jeunes esprits avant l’âge de trois ans, comme l’expliquait la directrice d’une bibliothèque américaine — après, ils sont déjà trop genrés… !
La communauté LGBTQ2+ pose les principes du transgénérisme
Évidemment que l’entreprise est idéologique. La première histoire racontée aux enfants par une drag-queen avait eu lieu à la bibliothèque Harvey Milk (activiste gay) de San Francisco et c’est l’auteur « queer » Michelle Tea qui en avait eu l’idée. Depuis, c’est une traînée de poudre. Les promoteurs de ces événements se défendent en disant vouloir créer « un endroit safe qui prépare un monde plus safe », comprenez inclusif, ouvert, sécurisant pour tous…
Lire la suite« Fake news » : l’arme de destruction massive de l’élite libérale
Par Eric Pilon (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : Eurolibertés
Par la censure des « fake news », médias traditionnels et réseaux sociaux ont trouvé le moyen de museler leurs opposants.
Depuis plusieurs années, on assiste à une reconfiguration de l’espace médiatique, les médias traditionnels n’étant plus les seuls diffuseurs d’information. Certains d’entre eux sont même en déroute, surclassés par des sites en ligne qui jouissent d’une popularité croissante.
Pris de panique par crainte de perdre le contrôle de l’information, ces médias ont dû chercher un moyen de museler cet ennemi redoutable. C’est ainsi que la censure des « fake news » est devenue l’outil de premier plan qui leur permet de discréditer leurs compétiteurs du Web. C’est la thèse développée par l’auteur québécois Rémi Tremblay dans un texte publié sur le site Eurolibertés.
L’élite médiatique avait bien essayé de « couper l’herbe sous le pied » des nouveaux médias en ligne, soutient M. Tremblay, mais la stratégie s’était révélée infructueuse. D’où la tactique qui consiste à les accuser de propager des « fake news ». Et comment risque-t-on d’être accusé de propager des « fake news » ? Simple : « Si un dissident émet une vérité, elle relève automatiquement de la “fausse nouvelle” », nous dit M. Tremblay, « alors que si un média du système émet une contre-vérité, il s’agit tout au mieux d’une erreur de bonne foi ».
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