Un conseil scolaire réclame 47 000 $ à Josh Alexander pour avoir soutenu qu’il n’y a que deux sexes
Josh Aleander.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/Jordan Peterson/YouTube
6 décembre 2024, Renfrew, Ontario (LifeSiteNews) — La commission scolaire Renfrew County Catholic District School Board (RCCDSB) réclame maintenant des dizaines de milliers de dollars à Josh Alexander, un collégien canadien qui a été suspendu en 2022 pour s’être exprimé contre l’idéologie transgenre.
Dans un message publié le 28 novembre, Josh Alexander a révélé que RCCDSB lui réclamait près de 47 000 dollars après que la Cour divisionnaire de l’Ontario ait rejeté son appel visant à annuler la décision du conseil scolaire de le suspendre pour avoir défendu les croyances bibliques sur les questions regardant le sexe.
« La commission scolaire Renfrew County Catholic District réclame maintenant à Josh des dizaines de milliers de dollars », a posté Alexander sur X, citant une campagne GiveSendGo mise en place pour couvrir ses frais de justice.
« L’arrestation, la suspension, l’exclusion, la diffamation, l’échec et le retrait permanent de Josh n’étaient pas suffisants. Cela mettra Josh en faillite à l’âge de 18 ans », cite-t-il.
« Mon conseil scolaire, le RCCDSB, soutient que j’ai le droit de croire ce que je veux, mais à la seconde où j’exprime cette opinion, il est acceptable de me soumettre au ridicule, à la discrimination basée sur ma foi, à la suspension, à l’exclusion, aux arrestations, aux accusations, à une interdiction permanente d’éducation, et maintenant à une facture de près de 47 000 dollars », écrit Alexander dans un message de mise à jour le 4 décembre.
« S’ils peuvent me faire ça, ils peuvent le faire à vous et à vos enfants », avertit Alexander.
Lire la suiteUn maire canadien refuse de céder aux réclamations pro-LGBT après que sa ville ait rejeté le drapeau de la « fierté »
Harold McQuaker.
Par Jonathan Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Facebook
4 décembre 2024 (LifeSiteNews) — Le mois dernier, la Commission ontarienne des droits de la personne a ordonné à la municipalité d’Emo de verser 10 000 $ au groupe d’activistes LGBT Borderland Pride pour avoir voté en 2020 de ne pas arborer de drapeau de la « fierté ». Le maire Harold McQuaker a été condamné à payer personnellement 5 000 $ et à suivre un cours de rééducation intitulé « Droits de la personne 101 ». Nous avons couvert l’histoire originale ainsi qu’un suivi, détaillant les menaces et les exigences de Borderland Pride.
L’affaire a connu un nouveau rebondissement : le maire Harold McQuaker refuse catégoriquement de faire ce qu’on lui demande. Interrogé par le Toronto Sun pour savoir s’il paierait l’amende ou s’il suivrait des cours de rééducation, McQuaker, âgé de 77 ans, a été catégorique. « Absolument pas », a-t-il répondu. « Je ne me laisserai pas extorquer. » Il a également déclaré qu’il n’organiserait pas non plus de « Drag Queen Story Hour » (Heure du conte avec Drag queen) à la bibliothèque locale — une des demandes formulées dans une lettre ouverte publiée par Borderland Pride.
Emo Township est une petite ville d’un peu plus de 1 200 habitants située à 380 kilomètres à l’ouest de Thunder Bay. La municipalité doit maintenant décider si elle paiera le groupe d’activistes LGBT comme l’exige la Commission ontarienne des droits de la personne ou si elle refusera de le faire. McQuaker a pris sa décision. « Je refuse catégoriquement de payer les 5 000 $ parce que c’est de l’extorsion », a-t-il déclaré. « J’ai beaucoup de respect pour nos quatre conseillers. Nous avons une réunion spéciale du conseil et ils décideront de cela et de ce qu’il faut faire ensuite, soit payer l’amende [de 10 000 $ infligée à la Ville], soit faire appel. »
Lire la suiteLettre au ministre Biron au sujet de son plan sur l’avortement au Québec
Par Solange Lefebvre-Pageau — Photo : bearfotos/Freepik
Montréal, 19 novembre 2024
Madame Martine Biron
Ministre de la Condition féminine
Bonjour madame Biron,
Je vous écris en tant que maman, grand-maman et ex-infirmière qui ai eu le privilège d’enseigner pendant 10 ans, en milieu collégial, le cours Fécondité, santé, autonomie, axé sur le concept d’intégration de l’amour et de la sexualité à la lumière des sciences humaines et de l’humanisme chrétien. Je vous prie de me lire avec un préjugé favorable.
Le 18 novembre 2024, je fus profondément attristée. Il m’a fait mal de vous entendre présenter à la télé votre plan d’action préconisant un accès toujours plus facile à l’avortement dans l’ensemble de notre Québec, avec le soutien de nos élus de la CAQ.
En effet, votre plan, qui préconise la continuité de la gratuité de l’avortement mais aussi l’accès gratuit à la pilule abortive et à la contraception — que vous souhaiteriez être particulièrement utilisées par notre jeunesse du Québec — m’a énormément déçue.
Lire la suiteLes avocats du gouvernement canadien demandent une peine de prison pour le pasteur qui a protesté contre les heures du conte des drag-queens à la bibliothèque
Derek Reimer jeté hors d'un événement de drag-queen dans une bibliothèque de Calgary.
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :
2 décembre 2024, Calgary, Alberta (LifeSiteNews) — Les avocats du gouvernement cherchent à obtenir une éventuelle sentence d’un an de prison et une période de probation pour un pasteur de Calgary, accusé de harcèlement criminel et de violation des conditions de sa libération sous caution pour avoir protesté contre les « heures du conte des drag-queens » destinées aux enfants dans une bibliothèque publique l’année dernière.
Le pasteur Derek Reimer, de Mission 7 Ministries, se trouvait jeudi devant la Cour du Banc du Roi de l’Alberta pour la détermination de la peine suite à un verdict de culpabilité rendu en octobre.
Reimer a déclaré à LifeSiteNews qu’en dépit de « l’énorme proposition de peine de la Couronne », il se sent « encouragé par le fait qu’il y a une bonne chance que je rentre à la maison avec ma famille après le verdict de la peine ».
« Même si ce n’est pas le cas, je sais que le Seigneur arrangera les choses pour le bien et je me réjouirai d’avoir été jugé digne de souffrir la honte pour le nom de Jésus », a-t-il ajouté.
En octobre, M. Reimer a été condamné à une peine criminelle et à une amende de 500 dollars après qu’un juge l’ait reconnu coupable d’avoir enfreint les conditions de sa libération sous caution parce qu’il s’était élevé contre une activité « heure du conte de drag queens » destinée aux enfants dans une autre bibliothèque publique.
Lire la suiteLa plupart des Canadiens craignent que l’euthanasie cible les pauvres, mais restent généralement favorables à cette pratique
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
27 novembre 2024 (LifeSiteNews) — Selon un nouveau sondage, la plupart des Canadiens craignent que le régime d’euthanasie de la nation ne cible injustement ceux qui sont financièrement et socialement vulnérables, mais ils soutiennent toujours la pratique en général.
Le sondage, réalisé par Angus Reid et publié le 21 novembre, a montré qu’environ trois personnes interrogées sur cinq, soit 62 %, « craignent que des personnes financièrement ou socialement vulnérables n’envisagent l’aide médicale à mourir (AMM) parce qu’elles ne disposent pas de soins adéquats ».
Fait inquiétant, le sondage a également révélé que 63 % des personnes interrogées n’avaient rien contre les lois actuelles du Canada en matière d’euthanasie.
Le sondage a été réalisé à partir des réponses de 468 personnes, dont beaucoup travaillent dans le secteur de la santé. Il a révélé que 24 % des Canadiens ont un certain « niveau d’expérience personnelle de l’AMM », parce qu’ils connaissent un ami ou un membre de leur famille qui a eu recours à la procédure pour mettre fin à ses jours.
Lire la suiteQuébec : un plan de 7,5 millions de dollars pour promouvoir l’avortement et la contraception
François Legault.
Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : CBC News/YouTube
Ville de Québec (LifeSiteNews) — Le gouvernement du Québec a lancé un « Plan d’action » de 7,5 millions de dollars visant à élargir l’accès à l’avortement et à la contraception sur l’ensemble du territoire québécois.
Dans un communiqué de presse publié le 18 novembre, Martine Biron, ministre responsable de la Condition féminine, a annoncé que cette somme serait investie de 2024 à 2027 afin d’accroître l’accès à ces services.
« Partout dans le monde, on observe un recul du droit des femmes. Une onde de choc a eu lieu en 2022 avec l’annulation du jugement Roe v. Wade aux États-Unis. L’avortement est un soin de santé essentiel. Tout cela nous rappelle que rien n’est acquis, et que nous devons toujours rester vigilants pour défendre le libre choix des femmes », a affirmé Mme Biron, qualifiant directement le meurtre d’un enfant à naître, de « droit » des femmes.
« En agissant pour améliorer l’accès à l’avortement, nous construisons une société plus juste où les femmes peuvent choisir librement », a-t-elle ajouté, sans aborder le fait que les bébés avortés n’ont aucun choix dans cette situation.
« La décision d’une femme de mener sa grossesse à terme ou non lui appartient entièrement », a poursuivi la politicienne pro-avortement. « Au Québec, l’avortement est reconnu comme un soin de santé sûr qui doit être accessible à toutes les femmes, peu importe leur région. »
Lire la suiteLe nouveau « Plan d’action gouvernemental sur l’accès à l’avortement 2024-2027 » du Québec
Martine Biron annonçant le plan du gouvernement sur l'avortement.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : capture d'écran vidéo/TVA Nouvelles
Le lundi 18 novembre, le ministre responsable de la Condition féminine du Québec, Martine Biron, a présenté le Plan d’action gouvernemental sur l’accès à l’avortement 2024-2027. Ce plan, doté d’un budget de 7,5 millions de dollars, a pour but de faciliter l’accès à l’avortement, à contrer la désinformation sur l’avortement et à prévenir tout recul dans le « droit » à l’avortement. Le plan se veut une réponse à une supposée montée en puissance du mouvement pro-vie, notamment aux États-Unis, et à en contrer les effets au Québec.
Ce plan représente-t-il un sérieux obstacle à la propagation de la vérité sur l'avortement ? L'avenir nous le dira. Peut-être, malheureusement, que les moyens mis dans l'élargissement de l'avortement, notamment par le biais de la pilule abortive, permettra-t-il à un plus grand nombre de femmes, si cela était possible, de tuer leur enfant à naître.
En guise d’avant-propos, on y trouve un « Mot du premier ministre » du Québec, François Legault :
Lire la suiteLe Plan d’action gouvernemental sur l’accès à l’avortement 2024-2027 est un jalon important qui vient renforcer un droit fondamental pour les Québécoises : celui de choisir de poursuivre ou non une grossesse. L’avortement est un soin de santé sécuritaire et essentiel ; un meilleur accès aux services contribue à la santé, à l’égalité et à l’autonomie des femmes dans notre société.
Nous avons parcouru un long chemin pour garantir ce droit, mais il est clair que nous devons rester vigilants. Comme société, nous avons la responsabilité de garantir que les Québécoises puissent exercer leur libre choix. Ce plan d’action reflète notre engagement à soutenir les femmes.
Ensemble, nous veillerons à ce que ce droit, ancré dans nos valeurs d’égalité et de justice, demeure solide et inébranlable.
Des conseillers scolaires vindicatifs cherchent à ruiner Michael Del Grande
Par John-Henry Westen — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Lianne Laurence/LifeSiteNews
20 novembre 2024 (LifeSiteNews) — Il existe une certaine vérité que j’ai vue se manifester à maintes reprises au cours de mes années de reportage sur les questions concernant l’Église.
Voici : absolument personne n’est plus haineux et destructeur pour l’Église catholique que ceux qui se disent « catholiques », mais qui rejettent ses enseignements contre l’homosexualité.
Plus encore que ceux qui rejettent l’enseignement de l’Église sur le divorce, la contraception ou l’avortement, les pro-LGBT qui se disent catholiques se distinguent, par leur vindicte inégalée et leur attaque impitoyable de la doctrine de l’Église... et de tous ceux qui se mettent en travers de leur chemin.
Pensez au cardinal homosexuel Theodore McCarrick, responsable de l’accord secret du Vatican avec la dictature du PCC, qui a abandonné des millions de catholiques chinois clandestins à la persécution brutale de l’État.
Lire la suiteLe Tribunal des droits de la personne d’Ontario condamne une ville à une amende pour avoir refusé d’arborer le drapeau LGBT
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Trey Musk/Unsplash
25 novembre 2024 Emo, Ontario (LifeSiteNews) — Le Tribunal des droits de la personne d’Ontario a imposé une amende au canton d’Emo pour avoir refusé de faire flotter le « drapeau de la fierté » en juin 2020.
Dans une décision rendue le 20 novembre, le Tribunal des droits de la personne d’Ontario a accordé à Borderland Pride, un groupe militant LGBT local, une amende de 15 000 $ au canton d’Emo et au maire d’Emo, Harold McQuaker, après que la petite ville d’Ontario ait refusé de se plier aux exigences des militants LGBT et de célébrer le mois de juin comme le mois de la « fierté ».
« J’estime que la somme de 15 000 dollars est un niveau d’indemnisation approprié pour le préjudice subi par Borderland Pride en termes de dignité, de sentiments et de respect de soi », a écrit Karen Dawson, juge du Tribunal des droits de la personne d’Ontario, dans sa décision.
Lire la suiteNouveau-Brunswick : les écoles pourront cacher aux parents les changements de pronoms et de « genre » de leurs enfants
Susan Holt.
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/YouTube
21 novembre 2024 (LifeSiteNews) — Le nouveau premier ministre pro-avortement du Nouveau-Brunswick déclare que l’une de ses premières mesures sera de changer la loi afin que les enfants, y compris les jeunes élèves du primaire, puissent utiliser les pronoms qu’ils veulent à l’école et que les éducateurs ne soient pas obligés d’informer les parents de tout changement.
Le premier ministre Susan Holt a déclaré qu’elle avait décidé d’adopter de nouvelles règles sur la base des recommandations de militants LGBT et d’autres éducateurs.
Sa mesure annulera les règles actuelles mises en place sous le gouvernement conservateur de l’ancien premier ministre Blaine Higgs, qui exigent le consentement des parents pour que les enseignants utilisent des noms ou des pronoms différents pour les élèves de moins de 16 ans. La politique de M. Higgs prévoyait également des vestiaires et des toilettes séparés pour les garçons et les filles en fonction de leur biologie.
Le programme de Mme Holt contraste fortement avec celui de M. Higgs, qui, en septembre, alors qu’il était encore au pouvoir, a interdit des écoles une présentation graphique sur l’éducation sexuelle, trois jours après les protestations des parents.
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