Le Sénat de Californie vote contre le secret de la confession
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Remarquez que le secret professionnel des journalistes ou des avocats, qui ont plus de probabilités que les prêtres dans leur confessionnal d’entendre les aveux d’un criminel endurci et non repentant, n'est pas attaqué. C'est plutôt une forme de persécution envers l'Église qu'autre chose, comme l'estime Mgr José Gomez, archevêque de Los Angeles. Extrait de la FSSPX.News :
Le Sénat de l’Etat de Californie a adopté le 23 mai 2019, en troisième lecture, un projet de loi rédigé par le sénateur démocrate Jerry Hill (projet SB 360), qui s’attaque au secret du sacrement de confession. Le projet peut désormais faire l’objet d’un vote en assemblée, et constituerait — s’il était adopté — la première ingérence de la législation américaine dans le secret du confessionnal.
Cette loi considère les prêtres comme des « rapporteurs obligatoires », parmi de nombreuses autres catégories de personnes : ce qui signifie qu’ils ont le devoir de signaler toute maltraitance ou [tout] abus à l’égard d’enfants dont ils auraient connaissance. Jusqu’à présent, les « connaissances acquises au cours d’une confession » faisaient exception.
Ce ne serait plus le cas : 1) lorsque le prêtre a appris la chose à la fois au for interne (dans le confessionnal) et au for externe (confidence hors du confessionnal) ; 2) lorsque le prêtre a confessé un employé de la paroisse ; 3) enfin lorsque le prêtre a confessé un membre du clergé. Cette disposition est évidemment une réponse aux scandales commis par des clercs indignes, largement médiatisés ces dernières années.
Une étudiante pro-avortement frappe à répétition un pro-vie
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : capture d'écran de la vidéo de Created Equal
Encore un cas de partisan de l’avortement en train de se livrer à une démonstration époustouflante d’arguments rationnels en défense de l’avortement… Extrait de la Catholic News Agency :
Lire la suiteUne étudiante de l’Université de Caroline du Nord à Chapel Hill a été arrêtée pour agression après avoir attaqué un employé d’un groupe pro-vie appelé « Created Equal » lors d’une manifestation le 2 avril.
Une vidéo mise en ligne montre l’étudiante attaquant le membre du personnel après que celui-ci ait confirmé que les images d’avortement exposées dans le campus appartenaient à son groupe.
La vidéo a été prise par un autre membre de « Created Equal ». Il met en scène la femme demandant à l’homme « Avez-vous installé ceci (les pancartes) ? » et lui donnant plusieurs coups de poing au visage et à l’estomac lorsqu’il confirme qu’il les a mises en place.
Un projet de loi californien menace le secret de la confession
Par Doug Mainwaring — traduction abrégée par (Campagne Québec-Vie) — Photo : Wikimedia Commons
Le secret de la confession est mis en danger en Californie, un projet de loi a été tout récemment approuvé en première lecture au Sénat californien, rapporte FSSPX.News :
Le projet de loi 360 du sénateur Hill a été approuvé en première lecture par cinq voix pour et deux abstentions : rien n’est encore joué, mais c’est bien à une nouvelle bataille que l’Église doit faire face. Un comble dans un pays qui a fait de la liberté de religion l’une de ses principales revendications.
Avant que le projet de loi eût passé la première lecture, des prêtres signalaient déjà le danger que représente cette tentative visant à forcer les prêtres à révéler les violences commises sur les enfants que d’éventuels pénitents leur avoueraient. Franchement, c’est vraiment ailleurs qu’au confessionnal qu’il faut aller chercher des criminels, ceux qui vont confesser de tels crimes sont plutôt de la sorte qui se repent de ses actes. — A. H.
2 mai 2019 (LifeSiteNews) — Un prêtre dominicain qui enseigne le droit canonique prévient qu’un projet de loi en cours d’examen par les législateurs californiens, obligeant les prêtres à signaler à la police les péchés entendus dans le confessionnal concernant les abus sexuels, ne présente pas seulement un choix intenable pour le clergé catholique, mais annihile essentiellement le sacrement de pénitence […]
Dans un éditorial rédigé pour USA Today, le P. Pius Pietrzyk, avocat canonique, a écrit que les prêtres californiens devront « choisir entre maintenir la confidentialité du sacrement et risquer l’emprisonnement ou trahir cette confidentialité et violer leur conscience la plus profonde, les lois de Dieu et de l’Église catholique romaine. Aucun prêtre que je connaisse ne choisirait cette dernière voie. »
Lire la suiteQuand dans une université on compare les enfants à naître avec des cancers…
Bibliothèque Geisel de l'Université de Californie San Diego.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Wikimedia Commons
À l’Université de Californie San Diego a été donnée une présentation sur les fœtus (humains) qui les comparait à des cancers… Pour en être arriver à une telle considération, il faut être rendu bien bas dans le monde de la pensée. Charlie Kirk rapporte sur son Compte Twitter :
À la @UCSanDiego ils enseignent aux étudiants qu’un bébé dans le ventre de sa mère est comme un cancer tuant le corps.
C’est l’ordure qui est enseignée à nos étudiants dans les universités.
Des adultes ayant été élevés dans des familles « gaies » craignent de révéler leur triste expérience
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Max Pixel
C’est l’affligeante réalité qui se cache derrière la propagande LGBT qui veut faire paraître les « familles » « gaies » comme normales. Quatre adultes, élevés dans des familles « gaies », ont donné leur témoignage à la Cour du 5e circuit en Nouvelle-Orléans, qui doit statuer sur le maintien du statut du mariage comme étant entre un homme et une femme, au Texas, en Louisiane et au Mississippi. Extraits de CNS.News :
Lire la suiteDans son mémoire, Dawn Stefanowicz a décrit son expérience de vie dans un « ménage »* homosexuel.
« Je n’étais pas entourée de couples hétérosexuels moyens », dit-elle dans son mémoire. « Les partenaires de papa dormaient et mangeaient dans notre maison, et ils m’ont emmenée dans des lieux de rencontre des communautés LGBT. J’ai été exposée à des activités sexuelles ouvertes comme la sodomie, la nudité, la pornographie, le sexe en groupe, le sadomasochisme et de tout acabit. »
« Il n’y avait aucune garantie que les partenaires de mon père resteraient là pour longtemps, et pourtant j’ai souvent dû leur obéir, » dit-elle. « Mes droits et mon innocence ont été violés. »
« En tant qu’enfants, nous ne sommes pas autorisés à exprimer notre désaccord, notre douleur et notre confusion », explique Stefanowicz. « La plupart des enfants [devenus]** adultes issus de foyers homosexuels ne se sentent pas en sécurité ou libres d’exprimer publiquement leurs histoires et les défis de leur vie ; ils craignent de perdre leur permis professionnel, de ne pas obtenir de l’emploi dans le domaine de leurs préférences, d’être coupés de certains des membres de leur famille ou de perdre quelques relations qu’ils avaient avec leurs parent(s) “gais”*. Certains parents “gais”* ont menacé de ne laisser aucun héritage si leurs enfants n’acceptaient pas le partenaire du jour de leur parent. »
La pédophilie, une « orientation sexuelle » ? Aberrant !
Par Jeanne Smits (LeblogdeJeanneSmits) — Photo : (Capture d'écran) a4gpa/Flickr
Le cardinal Joseph Tobin, archevêque de Newark, Etats-Unis, aimerait bien que l’on modifie le Catéchisme de l’Eglise catholique. En qualifiant l’attraction homosexuelle d’« intrinsèquement désordonnée », a-t-il déclaré lors d’une interview sur une chaîne nationale, l’Eglise se rend coupable d’une formulation « très malencontreuse », et il espère qu’elle saura tenir à l’avenir un discours moins « blessant », quels que soient les résultats de sa réflexion sur les relations homosexuelles en elle-mêmes.
Sans doute le cardinal « gay-friendly » ne pensait-il point justifier ainsi la pédophilie. Mais les mots ont un sens et les concepts des prolongements logiques.
Rien ne l’illustre mieux que cette autre information, rapportée par l’excellent Newman Report sur les aberrations pédagogiques aux Etats-Unis, aussi présentes outre-Atlantique qu’en France.
Les responsables gouvernementaux des écoles publiques en Californie estiment « vraiment important » d’apprendre aux collégiens ce que sont la pédophilie et la pédérastie parce qu’il s’agit d’une « orientation sexuelle ». C’est ce qu’a reconnu une responsable du district scolaire de Brea Olinda, sur interpellation de parents indignés. Et pas question de mettre un terme à cet enseignement dans les classes, a-t-elle ajouté.
Lire la suitePlanned Parenthood est derrière la loi californienne visant à faire payer aux églises l’avortement
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Americain League Life/Flickr
Non seulement Planned Parenthood (la mal nommée) veut pratiquer l’avortement, veut recevoir les petits sous de l’État, mais en plus veut que ceux qui sont directement opposés à l’avortement le payent via les couvertures d’assurance de leurs employés. Extrait de CNA :
Une loi californienne de 2014 obligeant les groupes religieux, y compris les églises, à couvrir les avortements pour les employés étaient le résultat de pressions directes de la part de Planned Parenthood, ont révélé des courriels internes.
Le 4 avril, trois églises ont déposé un avis de recours contre cette mesure qui, selon elles, viole la liberté religieuse fondamentale et la protection de la conscience. A l’appui de ce recours, les avocats d’Alliance Defending Freedom, qui représentent les églises, ont présenté des courriels internes entre les employés de Planned Parenthood et le Département d’État de la Santé et des Services sociaux.
Un test de dépistage prénatal peu fiable
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Le DPNI est un test de dépistage prénatal qui consiste en l’analyse de prises du sang de la mère, qui contient des traces d’ADN de son enfant à naître. Une mère, désireuse de connaître l’état de son enfant se fit dire que le test indiquait qu’il y avait moins d’une chance sur 1000 que le bébé pût avoir la trisomie 21, une chance très infime somme toute. Sa fille naquit trisomique. La mère poursuit donc la compagnie détentrice du test pour la non-fiabilité de celui-ci. Il est vrai que si une personne se fie à ce test pour connaître la santé de son enfant à naître, ce test pourrait très bien après tout indiquer que l’enfant a la trisomie alors qu’il ne l’a pas, et si la réponse de cette femme à cette maladie est l’avortement… Très nombreux sont les enfants porteurs d’un handicap même pas mortel se faisant avorter pour leurs malformations. Extrait de Gènéthique :
La mère d’une petite fille de deux ans, porteuse de trisomie 21, a intenté un procès le mois dernier auprès de la Cour supérieure du comté de San Mateo en Californie, contre la société de biotechnologie Natera. Nicole Stremlau remet en cause la fiabilité et l’exactitude de leur test de dépistage prénatal non invasif, dont les résultats se sont trouvés erronés pour son propre enfant.
Selon la brochure, le test Panorama de Natera est conçu pour dépister les anomalies génétiques, identifier le sexe du bébé. Il peut être réalisé dès neuf semaines de grossesse sans risque de fausse couche, à partir d’un échantillon de sang de la mère qui contient naturellement des informations génétiques provenant du placenta. Le test, pratiqué par Nicole Stremlau, avait conclu que le risque pour le bébé d’être porteur de trisomie 21 était minimal, moins d’une chance sur 1000.
L'avorteur qui avait lancé une tirade satanique à un pro-vie est mort
Robert J. Santella, l'avorteur, menaçant un pro-vie.
Par Cheryl Sullenger (LifeSiteNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Le 11 février 2019 (Operation Rescue) — Operation Rescue a appris que Robert J. Santella est décédé l'an dernier de façon inattendue à l'âge de 74 ans. Santella était un avorteur longtemps employé par le centre d'avortement du Family Planning Associates (maintenant FPA Women's Health) dans le comté de San Diego. Il a également tenu un cabinet privé où les avortements étaient parfois pratiqués près du campus de la San Diego State University (l'Université d'État de San Diego).
Santella était surtout connu pour un incident filmé en vidéo en juin 2016, qui le montrait se lançant dans une diatribe démoniaque contre un activiste pro-vie devant les bureaux de la clinique d'avortement de la FPA où il travaillait. Santella a été vu en blouse de chirurgien soufflant et grognant d'une voix démoniaque alors qu'il tenait des ciseaux devant la gorge d'un activiste pro-vie tout en affirmant qu'il aimait tuer des bébés.
« Je n'écoute jamais le Christ », grognait Santella. « J'ai un cœur sombre. Je l'ai, je l'ai. Tout à fait. » [Il dit ces choses en réponse au pro-vie qui lui parle du Christ.]
À la suite de la vidéo, qui est devenue virale et a attiré l'attention des médias, Santella a été rejeté du Sharp Healthcare, un groupe d'hôpitaux où Santella avait des privilèges, et renvoyé de la chaîne FPA d'avortements. La clinique où l'incident s'est produit a fermé ses portes en novembre 2017, mais a refait surface plus tard dans la localité d'El Cajon, dans l'est du comté.
Lire la suiteGenderless, la nouvelle lubie hollywoodienne
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.Info) — Photo : Pexels/Pixabay
Éduquer ses enfants genderless, c’est-à-dire sans sexe attribué, est la nouvelle mode diffusée parmi les stars de Hollywood, cette usine à rêve américain. Peut-être aussi la dernière manière de faire parler de soi en s’affichant sexuellement correct.
Récemment, c’est l’actrice américaine Kate Hudson qui, dans un entretien, a déclaré avoir pris une décision avec le père de l’enfant par rapport à son éducation :
« J’habille ma fille nouveau-née avec des vêtements de femme mais je suis de toute façon ouverte à toutes les possibilités. Il faut que ce soit ma fille qui choisisse qui elle veut être. »
La fille des acteurs Angelina Jolie et Brad Pitt, Shiloh, a été éduquée de manière gender free et non en conformité avec sa nature féminine. Le résultat ? Aujourd’hui elle a 12 ans, s’habille et a les cheveux courts comme un garçon, et se fait appeler « John ».
La folie d’une telle idéologie semble avoir gagné également la maison régnante au Royaume-Uni : le royal baby de Harry et de Meghan, qui devrait naître au printemps, n’aura pas de chambre blanche, rose ou bleu, mais aux murs gris. Les couleurs rose et bleu sont décidément rétrogrades, vieux stéréotype culturel d’un monde en extinction. Le gris en revanche, couleur neutre par excellence reflète, peut-être plus que l’arc-en-ciel, le prétexte idéologique de qui souhaite par tous les moyens nier la réalité intrinsèque des choses, que le blanc est blanc et le noir est noir, qu’une femme est une femme et un homme un homme !
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