Planned Parenthood est derrière la loi californienne visant à faire payer aux églises l’avortement
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Americain League Life/Flickr
Non seulement Planned Parenthood (la mal nommée) veut pratiquer l’avortement, veut recevoir les petits sous de l’État, mais en plus veut que ceux qui sont directement opposés à l’avortement le payent via les couvertures d’assurance de leurs employés. Extrait de CNA :
Une loi californienne de 2014 obligeant les groupes religieux, y compris les églises, à couvrir les avortements pour les employés étaient le résultat de pressions directes de la part de Planned Parenthood, ont révélé des courriels internes.
Le 4 avril, trois églises ont déposé un avis de recours contre cette mesure qui, selon elles, viole la liberté religieuse fondamentale et la protection de la conscience. A l’appui de ce recours, les avocats d’Alliance Defending Freedom, qui représentent les églises, ont présenté des courriels internes entre les employés de Planned Parenthood et le Département d’État de la Santé et des Services sociaux.
Un test de dépistage prénatal peu fiable
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Le DPNI est un test de dépistage prénatal qui consiste en l’analyse de prises du sang de la mère, qui contient des traces d’ADN de son enfant à naître. Une mère, désireuse de connaître l’état de son enfant se fit dire que le test indiquait qu’il y avait moins d’une chance sur 1000 que le bébé pût avoir la trisomie 21, une chance très infime somme toute. Sa fille naquit trisomique. La mère poursuit donc la compagnie détentrice du test pour la non-fiabilité de celui-ci. Il est vrai que si une personne se fie à ce test pour connaître la santé de son enfant à naître, ce test pourrait très bien après tout indiquer que l’enfant a la trisomie alors qu’il ne l’a pas, et si la réponse de cette femme à cette maladie est l’avortement… Très nombreux sont les enfants porteurs d’un handicap même pas mortel se faisant avorter pour leurs malformations. Extrait de Gènéthique :
La mère d’une petite fille de deux ans, porteuse de trisomie 21, a intenté un procès le mois dernier auprès de la Cour supérieure du comté de San Mateo en Californie, contre la société de biotechnologie Natera. Nicole Stremlau remet en cause la fiabilité et l’exactitude de leur test de dépistage prénatal non invasif, dont les résultats se sont trouvés erronés pour son propre enfant.
Selon la brochure, le test Panorama de Natera est conçu pour dépister les anomalies génétiques, identifier le sexe du bébé. Il peut être réalisé dès neuf semaines de grossesse sans risque de fausse couche, à partir d’un échantillon de sang de la mère qui contient naturellement des informations génétiques provenant du placenta. Le test, pratiqué par Nicole Stremlau, avait conclu que le risque pour le bébé d’être porteur de trisomie 21 était minimal, moins d’une chance sur 1000.
L'avorteur qui avait lancé une tirade satanique à un pro-vie est mort
Robert J. Santella, l'avorteur, menaçant un pro-vie.
Par Cheryl Sullenger (LifeSiteNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Le 11 février 2019 (Operation Rescue) — Operation Rescue a appris que Robert J. Santella est décédé l'an dernier de façon inattendue à l'âge de 74 ans. Santella était un avorteur longtemps employé par le centre d'avortement du Family Planning Associates (maintenant FPA Women's Health) dans le comté de San Diego. Il a également tenu un cabinet privé où les avortements étaient parfois pratiqués près du campus de la San Diego State University (l'Université d'État de San Diego).
Santella était surtout connu pour un incident filmé en vidéo en juin 2016, qui le montrait se lançant dans une diatribe démoniaque contre un activiste pro-vie devant les bureaux de la clinique d'avortement de la FPA où il travaillait. Santella a été vu en blouse de chirurgien soufflant et grognant d'une voix démoniaque alors qu'il tenait des ciseaux devant la gorge d'un activiste pro-vie tout en affirmant qu'il aimait tuer des bébés.
« Je n'écoute jamais le Christ », grognait Santella. « J'ai un cœur sombre. Je l'ai, je l'ai. Tout à fait. » [Il dit ces choses en réponse au pro-vie qui lui parle du Christ.]
À la suite de la vidéo, qui est devenue virale et a attiré l'attention des médias, Santella a été rejeté du Sharp Healthcare, un groupe d'hôpitaux où Santella avait des privilèges, et renvoyé de la chaîne FPA d'avortements. La clinique où l'incident s'est produit a fermé ses portes en novembre 2017, mais a refait surface plus tard dans la localité d'El Cajon, dans l'est du comté.
Lire la suiteGenderless, la nouvelle lubie hollywoodienne
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.Info) — Photo : Pexels/Pixabay
Éduquer ses enfants genderless, c’est-à-dire sans sexe attribué, est la nouvelle mode diffusée parmi les stars de Hollywood, cette usine à rêve américain. Peut-être aussi la dernière manière de faire parler de soi en s’affichant sexuellement correct.
Récemment, c’est l’actrice américaine Kate Hudson qui, dans un entretien, a déclaré avoir pris une décision avec le père de l’enfant par rapport à son éducation :
« J’habille ma fille nouveau-née avec des vêtements de femme mais je suis de toute façon ouverte à toutes les possibilités. Il faut que ce soit ma fille qui choisisse qui elle veut être. »
La fille des acteurs Angelina Jolie et Brad Pitt, Shiloh, a été éduquée de manière gender free et non en conformité avec sa nature féminine. Le résultat ? Aujourd’hui elle a 12 ans, s’habille et a les cheveux courts comme un garçon, et se fait appeler « John ».
La folie d’une telle idéologie semble avoir gagné également la maison régnante au Royaume-Uni : le royal baby de Harry et de Meghan, qui devrait naître au printemps, n’aura pas de chambre blanche, rose ou bleu, mais aux murs gris. Les couleurs rose et bleu sont décidément rétrogrades, vieux stéréotype culturel d’un monde en extinction. Le gris en revanche, couleur neutre par excellence reflète, peut-être plus que l’arc-en-ciel, le prétexte idéologique de qui souhaite par tous les moyens nier la réalité intrinsèque des choses, que le blanc est blanc et le noir est noir, qu’une femme est une femme et un homme un homme !
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Un obstétricien-gynécologue : « J’ai vu de première main comment “l’accès à l’avortement” aide les hommes qui profitent des femmes »
Par Steven Braatz — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Juan Paul Arenas/Pixnio
Analyse
12 Décembre 2018 (LifeSiteNews) — Lorsque le gouverneur de Californie Jerry Brown a opposé son veto à un projet de loi exigeant que la pilule abortive soit offerte dans les cliniques publiques universitaires en septembre dernier, la sénatrice Connie Leyva, qui a présenté le projet de loi, a déclaré : « C’est extrêmement important pour la santé des femmes, c’est extrêmement important pour leur choix et, que lui, un homme, décide ce que les femmes peuvent faire avec leur corps était très décevant ». Le sénateur Leyva prévoit de présenter à nouveau le projet de loi lorsque le gouverneur Newsom entrera en fonction, selon un article paru dans le Daily Californian.
Sénateur Leyva, je m’inquiète au sujet d’un autre genre d’homme qui sera ravi de la réintroduction de ce projet de loi. L’homme auquel je pense sera très heureux de voir votre projet de loi signé par le gouverneur Newsom. L’homme auquel je pense est celui qui profite des femmes.
Nous connaissons tous la sorte d’homme que je décris, l’homme qui utilise tout simplement les femmes pour le sexe et se soustrait aux conséquences. Au nom de tous les hommes, je vous demande pardon, mais nous ne sommes pas tous comme ça, je vous l’assure. Malheureusement, certains hommes, conditionnés par la pornographie et une culture hypersexualisant nos jeunes, profitent des femmes et ne se sentent pas responsables de prendre soin d’elle, de sa grossesse ou de son enfant.
Je sais que c’est vrai parce que je suis un obstétricien-gynécologue. J’entends des histoires de femmes.
En parlant d’un avortement antérieur, les femmes expriment presque toujours des remords et confient souvent quelque chose sur les raisons pour lesquelles elles ont subi cet avortement. Le petit ami qui exerce des pressions, la menace de partir ou de la faire partir semblent avoir une influence puissante sur la prise de décision d’une jeune femme. Il lui est plus facile de lui faire prendre une pilule que de lui faire subir un avortement chirurgical. Avec l’aide de la sénatrice Leyva, elle n’aura même pas besoin d’aller dans une clinique d’avortement. Il [l’homme] lui fera traverser le campus et ensemble, ils demanderont cette pilule. Ils diront : « Ouf, c’était pas loin, mais c’est fini maintenant. » Alors qu’ils sont sur le point de quitter la clinique, il demandera : « Pourra-t-on bientôt recommencer ? »
L’avortement tue des êtres humains, mais ici en Californie, beaucoup de nos législateurs ne semblent pas s’en soucier. Ils ne semblent pas non plus être préoccupés par les conséquences de l’avortement. Des femmes sont mortes après avoir pris la pilule abortive « extrêmement sûre ». Étant donné leur ambition sans bornes de faciliter l’accès à l’avortement à tout prix, je ne peux qu’espérer qu’ils se rendront compte que la pilule abortive ne profite qu’à ceux qui en bénéficient le plus : les hommes qui profitent des femmes.
Plus il fait chaud, moins la population augmente
Par Réinformation.TV — Photo : Rod Waddington/Flickr
Si cela est vrai et si le réchauffement planétaire était vrai, il n’y aurait pas à craindre pour une population en augmentation au milieu de catastrophes dues à un réchauffement planétaire. — CQV
Contradiction majeure chez les écologistes malthusiens, ou solution providentielle à la surpopulation mondiale ? Après d’autres études dont les résultats sont semblables, Alan Barreca, économiste écologiste à l’université de Californie à Los Angeles a observé un « choc thermique » en démographie, démontrant que la fertilité masculine décroît chez l’homme avec la température [...] Si de nouvelles études devaient confirmer cette tendance, un système de régulation naturelle serait en place : à mesure que la température de la planète augmenterait, la natalité décroîtrait, ce qui limiterait les inconvénients du réchauffement climatique en réduisant les populations. C’est du moins ainsi que doit raisonner un citoyen qui croit au réchauffement climatique et à la surpopulation.
Un homme « transgenre » remporte un championnat de cyclisme féminin
Blog d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pembrokeshire Herald
Eh bien oui c'est normal, ce n'est pas pour rien que les épreuves olympiques sont divisées en deux catégories: masculine et féminine. Encore une preuve (par l'absurde) que les hommes et les femmes sont différents (mais complémentaires), et que les notions d'homme et de femme sont bien physiques, inscrites jusque dans l'ADN.
Extrait du Daily Signal :
Un homme biologique qui s'identifie comme une femme transgenre a gagné un championnat du monde de cyclisme féminin dimanche en Californie.
Rachel McKinnon, professeur adjoint de philosophie au College of Charleston en Caroline du Sud, a gagné dans la catégorie des 35-39 ans pour femmes aux Masters Track Cycling World Championships de 2018 à Los Angeles.
McKinnon, représentant le Canada, a battu les cyclistes Carolien Van Herrikhuyzen, des Pays-Bas, et l'Américaine Jennifer Wagner, pour prendre la première place dans cette catégorie d'âge dans l'Union cycliste internationale.
Culture de mort : la Californie veut que ses universités offrent la pilule abortive
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info)
Nouvelle attaque contre la vie ! Aux États-Unis, la Californie veut devenir le premier État fédéral à rendre disponible dans les centres sanitaires des campus universitaires les pilules abortives.
Divers mouvements américains pro-vie dénoncent cette proposition de loi qui sera soumise au vote de la California State Assembly la semaine prochaine. Le projet de loi prévoit que les collèges et les universités puissent offrir les pilules abortives à leurs étudiantes.
Cette législation, qui a déjà été approuvée par le Sénat de l’État de Californie en janvier dernier, est une proposition radicale, la première du genre. Selon ses promoteurs elle devrait encourager les étudiantes à avorter. Le « State Senate Bill 320 », sponsorisé par la sénatrice démocrate Connie Leyva, demande que les centres estudiantins rendent disponibles ces pilules abortives jusqu’à la 10e semaine de grossesse. Le texte prévoit également que les écoles financées par les contribuables couvrent le coût des avortements dans leurs plans d’assurance sanitaire des étudiants. La sénatrice Leyva et les autres activistes pour l’avortement veulent fournir un meilleur accès à l’interruption de grossesse pour les jeunes femmes. Pourtant l’association Californians for Life a révélé que la distance moyenne entre une université publique et un centre d’avortement est de moins de 6 milles.
Si ce plan pro-avortement était approuvé, il rentrerait en vigueur à partir du 1er janvier 2022.
Victoire des pro-vie de Californie à la Cour suprême des Etats-Unis
Par Jeanne Smits (reinformation.tv)
Vous allez voir que l’on dénoncera le « gouvernement des juges ». La Cour suprême des Etats-Unis, qui aligne actuellement les décisions « conservatrices », a jugé mardi que la Californie ne peut légalement obliger les centres de conseil pour femmes enceintes à donner des informations pour l’avortement s’ils ont une optique pro-vie. Une belle victoire, acquise par cinq voix contre quatre dans l’affaire National Institute of Family and Life Advocates v. Becerra.
L’association pro-vie en question contestait une loi de 2015 de l’Etat de Californie qui contraignait les centres d’information pour futures mères à fournir une documentation écrite aux femmes enceintes pour expliquer comment obtenir un avortement gratuit aux frais du contribuable. En outre, cette loi obligeait les centres à assortir leurs publicités d’un avertissement dès lors qu’ils ne possèdent pas de licence d’exercice de la médecine et n’offre aucun service médical, sous le prétexte d’interdire la « publicité trompeuse ».
La NIFLA fait fonctionner près de 1 500 centres de conseil à travers les Etats-Unis.
Lire la suiteDes médecins démolissent une étude célébrée des militants proavortement
Par Bradley Mattes (LifeSiteNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Le 19 avril 2018 (Life Issues Institute) — L’avortement légal s’est construit sur des mensonges flagrants, des vérités tronquées et des suppositions bâclées.
On connaît celle-ci : « Les lois pro-vie tuent des femmes ».
Une étude clé, sur laquelle repose cette blâmable allégation se révèle gravement erronée, contenant de sérieuses erreurs et arrivant à des conclusions que ses données ne soutiennent pas.
Son auteure principale est Marian MacDorman, du Maryland Population Research Center (Centre de recherche sur la population du Maryland). Le MPRC a un penchant extrême en faveur de l’avortement. Il s’oppose à l’interdiction de l’avortement sélectif et préconise plutôt des messages de masse ainsi que d’autres mesures pour aborder les graves inégalités des sexes.
L’étude MacDorman s’est concentrée sur le taux de mortalité maternelle dans l’état du Texas. Elle a découvert une augmentation dramatique de décès liés aux grossesses entre 2010 et 2012, comparée à des chiffres relativement stables au cours de la décennie précédente. Cette augmentation suivait la fermeture de nombreux centres d’avortement, suite à une législation pro-vie exigeant que ces établissements satisfassent aux normes chirurgicales ambulatoires et accordant aux avorteurs des privilèges d’admission dans un hôpital avoisinant.
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