La Californie supprime du programme scolaire les chants en l’honneur d’un dieu aztèque (auquel autrefois on offrait des sacrifices humains)
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Naradoa/Adobe Stock
18 janvier 2022 (LifeSiteNews) — À la suite d’un procès intenté par des parents inquiets, l’État de Californie a accepté de retirer un chant à un dieu aztèque [auquel on offrait autrefois des] sacrifices humain de son programme scolaire modèle d’études ethniques (ESMC).
« Les prières aztèques en question — qui demandent des bénédictions et l’intercession de ces forces démoniaques — n’étaient pas enseignées comme de la poésie ou de l’histoire », a fait remarquer l’avocat Paul M. Jonna, associé du cabinet LiMandri & Jonna LLP et conseiller spécial de la Société Thomas More, qui représentait les parents.
« L’ESMC a plutôt demandé aux élèves de chanter les prières pour se nourrir émotionnellement après une “leçon qui peut être émotionnellement éprouvante ou même lorsque l’engagement des élèves peut sembler faible”. L’idée était de les utiliser comme prière », a expliqué Jonna dans un fil Twitter.
« Les Aztèques accomplissaient régulièrement des actes macabres et horribles dans le seul but de pacifier et d’apaiser les êtres mêmes que les prières du programme invoquent », a déclaré Jonna lorsqu’il a déposé sa plainte en septembre. Il poursuit :
Les sacrifices d’êtres humains, l’extraction de cœurs [encore palpitants], l’écorchement des victimes et le port de leur peau font partie des archives historiques, tout comme les sacrifices de prisonniers de guerre et les autres actes et cérémonies répugnants que les Aztèques pratiquaient pour honorer leurs divinités. Toute forme de prière et de glorification de ces êtres sanguinaires au nom desquels d’horribles atrocités ont été commises est répugnante pour tout observateur raisonnablement informé.
Selon un communiqué de presse de la Thomas More Society, ce programme controversé, profondément ancré dans la théorie de la race critique et la pédagogie critique, s’appuie sur une vision de la culture basée sur la race et sur une dichotomie oppresseur-victime.
Lire la suiteLa Californie : « un abattoir plutôt qu’un sanctuaire »
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : standret/Adobe Stock
En panique devant un possible renversement de Roe vs Wade, les pro-avortement tentent de renforcer leurs campagnes de mort.
Selon Radio-Canada, « … une coalition de fournisseurs de service d’avortement, soutenue notamment par le gouverneur démocrate de l’État, veut faire de la Californie un refuge pour les femmes d’États conservateurs qui se verraient interdire d’interrompre leur grossesse. »
Le gouverneur Gavin Newson, « Disant souhaiter étendre les protections au droit à l’avortement … a affirmé que son État pourrait devenir un “refuge” non seulement pour les Californiennes, “mais aussi pour les femmes et les filles de tout le pays”. »
Cet état, l’un des plus « progressistes en matière d’avortement », deviendrait alors le lieu de rassemblement de ceux qui s’apprêtent à tuer volontairement des êtres innocents. Comme l’a dit la présidente de Live Action, Lila Rose, la Californie serait « un abattoir plutôt qu’un sanctuaire ».
Non seulement la Californie accueillerait des femmes voulant avorter mais elle les aiderait aussi financièrement. Les implications concrètes de ce projet seraient, « l’augmentation du financement des cliniques d’avortement, la création d’un programme de subventions dédié à la formation dans des régions mal desservies et la mise en place de protections légales des cliniciens qui fournissent un avortement à des patientes, y compris celles qui viennent d’États restreignant le droit à l’avortement. » De plus, « les patientes originaires d’autres États n’auraient pas à assumer des frais comme l’hébergement et le transport. »
Le temps, l’énergie, l’argent, et la passion déréglée que ces pro-avortement sont prêts à consacrer à cette cause ne font que prouver leur aveuglement. Tout cela pour encourager le meurtre d’innocents ? Tout cela alors qu’ils pourraient l’utiliser pour financer des centres pour femmes enceintes, pour développer des centres d’adoption, pour aider ces femmes à accepter le don précieux qu’est un enfant, ou tout simplement pour défendre la vie plutôt que de combattre pour la mort ?
Des parents poursuivent la Californie pour un programme scolaire où l’on fait chanter aux enfants des prières aux « dieux aztèques »
Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Noradoa/AdobeStock
Sacramento, Californie, 10 septembre 2021 (LifeSiteNews) — Le samedi 4 septembre, un groupe de parents a intenté une action en justice contre le ministère de l’Éducation de Californie au sujet du nouveau « programme d’études ethniques » qui exige que les élèves prient en chantant les « dieux » aztèques.
La poursuite a été déposée par la Société Thomas More, un cabinet d’avocats à but non lucratif qui se consacre à la lutte pour les droits de la famille et de la religion, au nom des parents d’élèves, ainsi que par la Fondation Californians for Equal Rights.
L’action en justice a été lancée après que les plaignants aient adressé une lettre au superintendant de l’enseignement public, Tony Thurmond, lui demandant de retirer les chants païens du programme scolaire. La lettre, datée du 24 août, est restée sans réponse.
Sur le plan juridique, la plainte cite que « le libre exercice et la jouissance de la religion sans discrimination ni préférence sont garantis » par la loi californienne et que « la législature ne fera aucune loi concernant l’établissement d’une religion ». « En outre, l’aide gouvernementale à la religion est interdite », ajoute le texte.
Plus précisément, « les Cours suprêmes des États-Unis et de Californie ont clairement indiqué que la prière dans les écoles publiques est interdite » et « les prières rédigées par les responsables des écoles publiques sont doublement interdites », peut-on lire dans le dossier de plainte.
En termes simples, la loi fédérale et la loi de l’État interdisent la promotion de toutes les religions, y compris les cérémonies, les prières et les doctrines, dans toute école publique, selon la plainte.
Ces psalmodies démoniaques, qui font partie du « programme modèle d’études ethniques », étaient initialement un programme volontaire, mais selon le Christian Post, de nombreux districts scolaires en ont autorisé l’intégration dans les classes de tous les élèves.
Ces chants comprennent une demande aux « dieux » pour la « libération, transformation, décolonisation » de l’Amérique.
Lire la suiteLes pro-vie protestent contre le prélèvement d’organes de fœtus avortés opéré par l’Université de Californie à San Francisco
Par Bettina di Fiore (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Le 13 juillet 2021, une centaine de militants de Live Action, de Pro-Life San Francisco et de Survivors of the Abortion Holocaust [Survivants de l’holocauste par avortement] ont collaboré à une action de protestation devant le Département de la santé publique de San Francisco (SFDPH). Cette action faisait partie d’une série d’actions coordonnées par Pro-Life San Francisco et Survivors of the Abortion Holocaust pour protester contre les pratiques de recherche et de prélèvement d’organes et de tissus fœtaux de l’University of California, San Francisco (UCSF).
Le département de la santé publique de San Francisco et l’UCSF gèrent conjointement l’hôpital général Zuckerberg de San Francisco ; l’un des deux centres d’avortement du Women’s Options Center, où sont prélevés les organes fœtaux après les avortements, se trouve dans cet hôpital.
Le 6 mai 2021, le coordinateur exécutif de Pro-Life San Francisco a passé un appel téléphonique à la ligne 311 de la ville de San Francisco, dont l’une des fonctions est de recevoir le signalement des problèmes municipaux. Cet appel avait pour but d’établir une communication avec le département de la santé publique concernant le prélèvement et l’expérimentation de tissus et d’organes fœtaux à l’UCSF. Il a reçu un numéro de suivi par courrier électronique pour suivre l’évolution de sa plainte.
Le lendemain, des militants de la coalition Pro-Life San Francisco et Survivors of the Abortion Holocaust ont remis en main propre une lettre au bureau du Dr Grant Colfax, directeur de la santé de la ville et du comté de San Francisco. La lettre faisait état de leurs griefs à l’encontre des pratiques de prélèvement et d’expérimentation de tissus et d’organes fœtaux de l’UCSF et demandait une réponse. À ce jour, aucune réponse n’a été reçue ou publiée. Pendant ce temps, le statut de la plainte 311 reste également en suspens.
Lire la suiteCalifornie : des « ressources de grossesse » dans les prisons pour femmes en prévoyance de transferts d’hommes…
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Matthew Henry/Burst
Le système pénitencier californien, dans la section féminine, a mis en place de nouvelles mesures et des « ressources de grossesse » (de vraies : soins prénataux, adoption ; et de fausses : préservatifs, contraception, avortement), en prévoyance du transfert d’hommes se prétendant « femmes » vers leurs établissements, permis par une nouvelle loi de l’État. Ces mesures sont un aveu implicite que ces « femmes transgenres » n’en sont pas de vraies femmes et qu’il en résultera des incidents fâcheux. Selon le Women Liberation Front (un site féministe que je ne citerai pas souvent) :
Les femmes incarcérées dans la plus grande prison pour la gent féminine de Californie décrivent leurs conditions comme « le pire des cauchemars » après l’introduction de nouvelles ressources de grossesse dans les cliniques du Central California Women’s Facility (CCWF). Ces nouvelles ressources constituent un aveu tacite de la part des responsables que les femmes doivent s’attendre à être violées lorsqu’elles sont logées en prison avec des hommes, où toute relation sexuelle est considérée comme non consensuelle par défaut dans le système.
De nouvelles affiches sont récemment apparues dans les salles médicales, décrivant les options disponibles pour les « personnes enceintes » en prison, notamment les soins prénataux, l’avortement et l’adoption. L’affiche déclare également que les femmes ont droit à « des conseils offerts par un prestataire de soins de santé agréé sur la contraception et le choix des méthodes de régulation des naissances dans les 60 à 180 jours précédant la date de libération prévue ». Cependant, les seules méthodes disponibles pour les femmes incarcérées afin de prévenir une grossesse sont les préservatifs, qui sont apparus peu après les hommes, et les contraceptifs d’urgence Plan B.
« Personnes enceintes » ! L’idéologie du genre, à l’origine du transfert d’hommes se prétendant « femmes » dans les établissements destinés à ces dernières, se rencontre jusque sur les affiches s’adressant aux futures victimes… (Au passage, les « contraceptifs d’urgence Plan B » sont en fait des abortifs, mais ceci n’est pas le sujet de mon billet.)
Lire la suiteDes enfants de 12 ans pourront être vaccinés sans le consentement de leurs parents à San Francisco...
Par Kenton Biffert — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
San Francisco, 4 juin 2021 (LifeSiteNews) — Dans une ordonnance sanitaire publiée le 28 avril 2021, la ville de San Francisco a officiellement autorisé les enfants de 12 ans à se faire vacciner contre le coronavirus sans notification ni consentement parental.
L’ordonnance sanitaire a été publiée alors que les vaccins n’ont pas été entièrement approuvés par la Food and Drug Administration (FDA), mais qu’ils ont simplement reçu une autorisation d’utilisation d’urgence.
En fait, le décret indique que « dans les mois à venir, non seulement il est probable que l’autorisation de ces vaccins sera élargie (à la fois en termes de nombre de vaccins et d’autorisation non urgente), mais il est également probable que la tranche d’âge des personnes autorisées à recevoir le vaccin aux États-Unis sera élargie pour permettre à davantage de mineurs de recevoir le vaccin ».
Le document insiste sur le fait que « bien que de nombreuses personnes aient reçu les vaccins COVID-19, il est essentiel, du point de vue de la santé publique, que le plus grand nombre possible de personnes, y compris les mineurs, reçoivent le vaccin ».
Le département de la santé de San Francisco a justifié cette décision en se référant à des cas antérieurs qui permettaient aux enfants de donner leur propre consentement : « Cette capacité de consentement est similaire au concept utilisé ailleurs dans la loi de l’État selon lequel les mineurs de 12 ans ou plus peuvent consentir au diagnostic ou au traitement de maladies infectieuses, y compris spécifiquement le COVID-19, sans le consentement des parents. Permettre la prévention de la maladie par la vaccination est tout aussi important que de permettre à un mineur d’être testé pour cette maladie ou d’être traité pour elle. »
LifeSiteNews a contacté le directeur général, Michael Ramey, de ParentalRights.org, un groupe d’action politique à but non lucratif qui travaille à l’adoption de lois protégeant les familles, afin de commenter la question du consentement.
Lire la suiteLettre pastorale de Mgr Cordileone sur la dignité de l’enfant à naître, l’avortement et la réception de l’Eucharistie
Mgr Salvatore Joseph Cordileone, archevêque de San Francisco.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : National Shrine/YouTube
Mgr Salvatore Joseph Cordileone, archevêque de San Francisco est notoirement connu pour son zèle pour la défense de l’enfant à naître. Mgr Cordileone a récemment écrit une lettre pastorale, traitant de la question de la dignité de l’enfant à naître, l’avortement et de la réception de l’Eucharistie, spécialement adressée aux catholiques engagés dans la vie publique. Je vous propose ci-dessous la traduction du résumé de la lettre, selon le site de l’Archidiocèse de San Francisco :
« Avant que Je t’eusse formé dans les entrailles de ta mère, Je t’ai connu ; avant que tu fusses sorti de son sein, Je t’ai sanctifié, et Je t’ai établi prophète parmi les nations » (Jérémie 1, 5). Le jeune Jérémie entendit le Seigneur lui adresser ces paroles il y a plus de 2500 ans. Dans les temps que nous vivons, le fléau de l’avortement fait fi de la réalité de l’être humain fait à l’image de Dieu, connu et aimé de Dieu. Cette lettre pastorale s’adresse à tous les catholiques, mais en particulier aux catholiques engagés dans la vie publique, et appelle à une réflexion profonde sur le mal de l’avortement et sur le sens de la réception de la Sainte Communion, le Pain de Vie.
Cette lettre s’articule autour de quatre points essentiels :
- La gravité du mal de l’avortement : La science enseigne que la vie humaine commence dès la conception. La suppression de la vie par avortement blesse profondément la femme et détruit le fondement d’une société juste ; c’est une « priorité prééminente » parce qu’elle viole le droit à la vie, fondement de tous les autres droits. En tant que catholiques, nous devons être une voix pour les sans-voix et les impuissants ; il n’y a personne plus vulnérable qu’un enfant dans le ventre de sa mère.
- Coopération au mal moral : qui porte la culpabilité de l’avortement quand il est commis ? Ce n’est jamais uniquement l’acte de la mère. Ceux qui tuent ou aident à tuer l’enfant sont directement impliqués dans l’accomplissement d’un acte gravement mauvais. Celui qui fait pression sur la mère pour qu’elle avorte ou l’encourage à le faire, celui qui paie pour l’avortement ou apporte une aide financière à des organisations qui pratiquent des avortements, ou celui qui soutient des candidats qui font progresser des lois en faveur de l’avortement, coopère également à un degré divers à un mal moral grave.
- La signification du choix de recevoir la Sainte Eucharistie : l’Église enseigne de façon constante depuis 2000 ans que ceux qui reçoivent l’Eucharistie professent publiquement leur foi catholique et s’efforcent sérieusement de vivre selon les enseignements moraux de l’Église. Ceux qui rejettent l’enseignement de l’Église sur le caractère sacré de la vie humaine et ceux qui ne cherchent pas à vivre en accord avec cet enseignement se placent en contradiction avec la communion de l’Église, et ne devraient donc pas recevoir le sacrement de cette communion, la Sainte Eucharistie. Nous manquons tous à nos devoirs de diverses manières, mais il y a une grande différence entre s’efforcer de vivre selon les enseignements de l’Église et rejeter ces enseignements.
- Les responsabilités des catholiques dans la vie publique : il ressort des trois points ci-dessus que les catholiques qui jouent un rôle important dans la vie publique ont la responsabilité particulière de témoigner pleinement de l’enseignement de l’Église. En plus de leur propre bien spirituel, il y a aussi le danger du scandale : c’est-à-dire que par leur faux témoignage, d’autres catholiques peuvent en venir à douter de l’enseignement de l’Église sur l’avortement, la Sainte Eucharistie, ou les deux. Cela devient de plus en plus difficile à notre époque.
Nous sommes tous appelés à la conversion, et non seulement les catholiques tenant une position en vue dans la vie publique. Comprenons ce qui est en jeu ici et travaillons ensemble à la construction d’une culture de vie. À ceux qui ont besoin d’entendre clairement ce message : Détournez-vous du mal et retournez chez vous dans la plénitude de votre foi catholique. Nous vous attendons les bras ouverts pour vous accueillir à nouveau avec joie.
Pour les militants de l’avortement, les mesures « sanitaires » représentent l’occasion idéale pour atteindre leurs objectifs politiques
Par Jonathon Van Maren ― Traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo : AdobeStock
15 avril 2021 (LifeSiteNews) ― Alors que les restrictions covid-19 rendent plus difficile l’obtention d’avortements, les démocrates s’activent pour rendre le meurtre des enfants dans le ventre de leur mère aussi accessible que faire se peut. La FDA de l’administration Biden vient de rendre les pilules abortives disponibles par la poste sans consultation en personne ou supervision médicale. Cette semaine également, le gouverneur démocrate d’Hawaï, David Ige, a signé le projet de loi 576, qui autorise les infirmières en pratique avancée (APRN) à prescrire des pilules abortives et à pratiquer l’avortement par succion de fœtus « non viables », c’est-à-dire trop jeunes pour survivre hors de l’utérus.
Douze autres États autorisent déjà certaines infirmières à pratiquer ou à ordonner des avortements du premier trimestre, notamment le Vermont, le Colorado, le Maine, le Massachusetts, le Montana, la Californie, le New Hampshire, le Vermont, la Virginie et la Virginie-Occidentale. Cette décision n’est pas due à de nouvelles informations médicales — jusqu’à lundi encore, Hawaï réservait la pratique de l’avortement aux médecins — mais plutôt au fait qu’il y a une pénurie de médecins prêts à pratiquer des avortements, et que l’avortement est donc pratiquement inaccessible sur de nombreuses îles hawaïennes.
Celles qui cherchent à avorter prennent souvent l’avion pour Honolulu, la capitale d’Hawaï, sur l’île d’Oahu, où vivent et travaillent la plupart des avorteurs. Il est possible de se procurer des avortements sur l’île d’Hawaï, mais uniquement à Hilo, au nord-est de l’île.
Selon plusieurs médias, il n’y a pas d’avorteurs sur Kauai, Molokaï et Lanai, tandis qu’un avorteur se rend à Maui deux fois par mois (comme c’est le cas dans de nombreux autres États où il n’y a pas d’avorteur local). L’année dernière, lorsque les restrictions covid-19 étaient en vigueur, les avorteurs n’ont pu prendre l’avion, rendant l’avortement inaccessible pendant des mois.
Lire la suiteLe gouvernement Trump retiendra 200 000 000 $ par trim. à la Californie qui oblige les assurances à payer l’avortement
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Pikist
Le ministère de la Santé des États-Unis a déclaré mercredi dernier qu’il retiendrait 200 millions de dollars à la Californie pour le prochain trimestre, mesure qui sera reconduite de trimestre en trimestre tant que la Californie ne se conformera pas à la loi fédérale, à cause du remboursement de l’avortement que cet État impose aux employeurs et aux assurances privées, ce qui va à l’encontre de la liberté de conscience, rapporte Gènéthique :
La Californie va être sanctionnée de 200 millions de dollars par trimestre jusqu’à ce qu’elle se mette en conformité avec la loi fédérale américaine. Depuis 2014, la Californie oblige les employeurs et les assurances privées « à inclure dans leur couverture santé le remboursement des IVG ». En début d’année, le gouvernement américain a fait savoir aux autorités californiennes « que cette disposition allait à l’encontre d’une loi fédérale sur la liberté de conscience », loi qui interdit « toute discrimination contre les assureurs qui refusent de couvrir les avortements ».
Le gouvernement Trump retiendra 200 000 000 $ par trim. à la Californie qui oblige les assurances à payer l’avortement
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Pikist
Le ministère de la Santé des États-Unis a déclaré mercredi dernier qu’il retiendrait 200 millions de dollars à la Californie pour le prochain trimestre, mesure qui sera reconduite de trimestre en trimestre tant que la Californie ne se conformera pas à la loi fédérale, à cause du remboursement de l’avortement que cet État impose aux employeurs et aux assurances privées, ce qui va à l’encontre de la liberté de conscience, rapporte Gènéthique :
La Californie va être sanctionnée de 200 millions de dollars par trimestre jusqu’à ce qu’elle se mette en conformité avec la loi fédérale américaine. Depuis 2014, la Californie oblige les employeurs et les assurances privées « à inclure dans leur couverture santé le remboursement des IVG ». En début d’année, le gouvernement américain a fait savoir aux autorités californiennes « que cette disposition allait à l’encontre d’une loi fédérale sur la liberté de conscience », loi qui interdit « toute discrimination contre les assureurs qui refusent de couvrir les avortements ».