Un projet de loi californien pro-avortement pourrait dépénaliser l’infanticide périnatal, selon un avocat
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Petr Bonek/Adobe Stock
26 mars 2022, Sacramento (LifeSiteNews) — En Californie, un effroyable nouveau projet de loi pro-avortement pourrait légaliser l’infanticide pendant des semaines, des mois, voire des années après la naissance d’un enfant, a déclaré à LifeSiteNews un avocat de la Thomas More Society.
Le projet de loi AB 2223 a été introduit en février en tant que document de référence pour un futur langage législatif parmi une série de propositions pro-avortement avancées par les législateurs, suite à la promesse du gouverneur démocrate radicalement pro-avortement Gavin Newsom de faire de la Californie un « sanctuaire » pour l’avortement, selon Right to Life League.
Le 17 mars, les auteurs du projet de loi ont soumis une mise à jour du langage afin de modifier les lois existantes de l’État.
Selon le nouveau libellé, une « personne ne sera tenue responsable, ou soumise à une pénalité civile ou criminelle, ou autrement privée de ses droits, en raison de ses actions ou omissions concernant sa grossesse ou l’issue réelle, potentielle ou présumée de sa grossesse, y compris une fausse couche, une mortinaissance, un avortement ou un décès périnatal ».
Le conseiller spécial de la Société Thomas More, Charles LiMandri, diplômé de droit de l’Université de Georgetown à Washington, D.C. et associé chez LiMandri and Jonna LLP, a déclaré à LifeSiteNews, dans un courriel, que le langage modifié permettrait « le meurtre brutal » de bébés des semaines, des mois, voire des années « après leur naissance ».
Selon M. LiMandri, la proposition « expose au grand jour le faux récit que le lobby de l’avortement colporte depuis plus d’un demi-siècle : “Personne ne sait quand la vie commence, et les bébés dans le ventre de leur mère ne ressentent aucune douleur”. Aucune personne saine d’esprit ne peut nier qu’un nouveau-né est un être humain pleinement développé, capable de ressentir une douleur intense. Pourtant, en incluant le terme “périnatal” dans ses dispositions, [le projet de loi] autoriserait le meurtre brutal de ces nourrissons même après leur naissance ».
Lire la suiteCe bébé a été sauvé de l’avortement lorsque des pro-vie ont aidé sa mère devant l’avortoir
Kairo.
Par Shawn Carney (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Le 18 mars, 2022 — Anniyah était déchirée lorsqu’elle s’est présentée à son rendez-vous pour un avortement à Cherry Hill, dans le New Jersey, en octobre dernier.
« Une partie d’elle ne voulait pas être là », a déclaré Claire, la responsable locale des 40 jours pour la Vie. « Mais elle n’avait pas de travail... et les gens lui disaient qu’elle ne devrait pas avoir [un bébé] ».
Anniyah est sortie du centre d’avortement lors d’un appel avec sa mère, qui encourageait Anniyah à parler avec une personne extérieure — quelqu’un qui n’était pas proche de la situation d’Anniyah et qui pourrait lui offrir une opinion impartiale.
C’est alors que Marie a fait signe à Anniyah de venir et lui a dit : « Tu n’es pas obligée de faire ça aujourd’hui ».
Marie lui a expliqué l’abondance des ressources qui pourraient permettre à Anniyah de choisir la vie et de s’épanouir... et elle a décidé de garder son bébé !
L’équipe de Cherry Hill l’a mise en contact avec toutes sortes d’aides : transport vers les rendez-vous chez le médecin, fournitures pour bébé, repas — et même nettoyage de tapis !
Récemment, Anniyah a donné naissance à un magnifique petit garçon de 2,72 kg appelé Kairo, grâce aux prières de Marie, Claire, de toute l’équipe de Cherry Hill et de vous !
Lire la suiteDes médecins chrétiens poursuivent la Californie à cause d’une loi les obligeant à participer au suicide assisté
Par Michael Haynes — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : jokekung/Adobe Stock
3 mars 2022, Los Angeles (LifeSiteNews) — Des médecins chrétiens de Californie poursuivent l’État après qu’il ait adopté une loi supprimant le droit des médecins de refuser de participer au suicide assisté et à l’euthanasie.
Au nom des Associations médicales et dentaires chrétiennes (CMDA) et du Dr Leslee Cochrane, l’Alliance Defending Freedom (ADF) a intenté une action en justice contre le procureur général de Californie, Rob Bonta, le directeur du département de la santé publique, Tomas Aragon, et le conseil médical de l’État.
Déposée le 22 février dans l’U.S. District of the Central District of California, la poursuite intervient en réponse à la loi SB 380, qui a été promulguée par le gouverneur Gavin Newsom le 5 octobre 2021, et qui supprime le droit des médecins de ne pas participer au suicide assisté.
« Malgré le consensus en matière d’éthique médicale selon lequel aucun médecin ne devrait être forcé de participer au suicide assisté, même lorsque cette pratique est autorisée, la Californie a récemment légiféré pour non seulement éliminer d’importantes garanties de la loi sur les options de fin de vie, mais aussi pour forcer des médecins consciencieux à participer à la procédure », a déclaré l’ADF.
Le suicide assisté a été légalisé dans l’État en 2015, en vertu de la Loi sur l’option de fin de vie « End of Life Option Act ». En vertu de cette Loi, les médecins pouvaient choisir de ne pas participer au suicide assisté et restaient exempts de toute responsabilité pour avoir « refusé d’informer » un patient de son « droit » au suicide assisté et pour avoir refusé d’orienter un patient vers un médecin favorable à l’euthanasie.
Lire la suiteDes activistes pro-avortement font irruption dans la cathédrale de San Francisco durant la messe
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie)
« Le dimanche 27 février, des manifestantes pro-avortement ont perturbé la messe à la cathédrale Sainte-Marie de l’Assomption à San Francisco. » selon LiveAction. Elles ont affirmé que l’objectif de leur geste était « d’accuser le rôle de l’Église catholique dans la pression pour interdire l’avortement et asservir les femmes ».
L’une des femmes pro-mort proclamait en hurlant que l’Église cherche, « à nier l’humanité de toutes les femmes et à éliminer un droit fondamental, le droit à l’avortement. » Mais comment l’Église peut-elle nier l’humanité des femmes alors qu’au contraire, elle affirme et défend la nature maternelle de la femme ?
Ne serait-ce pas plutôt les « féministes » pro-avortement qui nient non seulement l’humanité de l’enfant à naître, mais aussi leur propre humanité en rejetant violemment la maternité naturelle de la femme ?
En ayant comme objectif constant de défendre le « droit fondamental à l’avortement », les militantes pro-mort se trouvent victimes d’un mirage. Puisqu’un droit ne peut pas être injuste, et qu’objectivement tuer un être humain innocent est injuste, ce fameux « droit » à l’avortement est inexistant et sera toujours inexistant.
De plus, l’avortement n’est absolument pas compatible avec le droit fondamental à la vie qu’ont tous les êtres humains.
Elles portaient des pancartes sur lesquelles étaient écrits divers messages, dont « Brisez toutes les chaînes ».
Oui, brisez toutes les chaînes qui empêchent les femmes d’êtres fidèles à leur maternité. Brisez toutes les chaînes qui rendent les femmes prisonnières du culte de la mort. Brisez toutes les chaînes de l’égoïsme qui empêchent des millions d’êtres humains de voir le jour chaque année.
La Californie supprime du programme scolaire les chants en l’honneur d’un dieu aztèque (auquel autrefois on offrait des sacrifices humains)
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Naradoa/Adobe Stock
18 janvier 2022 (LifeSiteNews) — À la suite d’un procès intenté par des parents inquiets, l’État de Californie a accepté de retirer un chant à un dieu aztèque [auquel on offrait autrefois des] sacrifices humain de son programme scolaire modèle d’études ethniques (ESMC).
« Les prières aztèques en question — qui demandent des bénédictions et l’intercession de ces forces démoniaques — n’étaient pas enseignées comme de la poésie ou de l’histoire », a fait remarquer l’avocat Paul M. Jonna, associé du cabinet LiMandri & Jonna LLP et conseiller spécial de la Société Thomas More, qui représentait les parents.
« L’ESMC a plutôt demandé aux élèves de chanter les prières pour se nourrir émotionnellement après une “leçon qui peut être émotionnellement éprouvante ou même lorsque l’engagement des élèves peut sembler faible”. L’idée était de les utiliser comme prière », a expliqué Jonna dans un fil Twitter.
« Les Aztèques accomplissaient régulièrement des actes macabres et horribles dans le seul but de pacifier et d’apaiser les êtres mêmes que les prières du programme invoquent », a déclaré Jonna lorsqu’il a déposé sa plainte en septembre. Il poursuit :
Les sacrifices d’êtres humains, l’extraction de cœurs [encore palpitants], l’écorchement des victimes et le port de leur peau font partie des archives historiques, tout comme les sacrifices de prisonniers de guerre et les autres actes et cérémonies répugnants que les Aztèques pratiquaient pour honorer leurs divinités. Toute forme de prière et de glorification de ces êtres sanguinaires au nom desquels d’horribles atrocités ont été commises est répugnante pour tout observateur raisonnablement informé.
Selon un communiqué de presse de la Thomas More Society, ce programme controversé, profondément ancré dans la théorie de la race critique et la pédagogie critique, s’appuie sur une vision de la culture basée sur la race et sur une dichotomie oppresseur-victime.
Lire la suiteLa Californie : « un abattoir plutôt qu’un sanctuaire »
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : standret/Adobe Stock
En panique devant un possible renversement de Roe vs Wade, les pro-avortement tentent de renforcer leurs campagnes de mort.
Selon Radio-Canada, « … une coalition de fournisseurs de service d’avortement, soutenue notamment par le gouverneur démocrate de l’État, veut faire de la Californie un refuge pour les femmes d’États conservateurs qui se verraient interdire d’interrompre leur grossesse. »
Le gouverneur Gavin Newson, « Disant souhaiter étendre les protections au droit à l’avortement … a affirmé que son État pourrait devenir un “refuge” non seulement pour les Californiennes, “mais aussi pour les femmes et les filles de tout le pays”. »
Cet état, l’un des plus « progressistes en matière d’avortement », deviendrait alors le lieu de rassemblement de ceux qui s’apprêtent à tuer volontairement des êtres innocents. Comme l’a dit la présidente de Live Action, Lila Rose, la Californie serait « un abattoir plutôt qu’un sanctuaire ».
Non seulement la Californie accueillerait des femmes voulant avorter mais elle les aiderait aussi financièrement. Les implications concrètes de ce projet seraient, « l’augmentation du financement des cliniques d’avortement, la création d’un programme de subventions dédié à la formation dans des régions mal desservies et la mise en place de protections légales des cliniciens qui fournissent un avortement à des patientes, y compris celles qui viennent d’États restreignant le droit à l’avortement. » De plus, « les patientes originaires d’autres États n’auraient pas à assumer des frais comme l’hébergement et le transport. »
Le temps, l’énergie, l’argent, et la passion déréglée que ces pro-avortement sont prêts à consacrer à cette cause ne font que prouver leur aveuglement. Tout cela pour encourager le meurtre d’innocents ? Tout cela alors qu’ils pourraient l’utiliser pour financer des centres pour femmes enceintes, pour développer des centres d’adoption, pour aider ces femmes à accepter le don précieux qu’est un enfant, ou tout simplement pour défendre la vie plutôt que de combattre pour la mort ?
Des parents poursuivent la Californie pour un programme scolaire où l’on fait chanter aux enfants des prières aux « dieux aztèques »
Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Noradoa/AdobeStock
Sacramento, Californie, 10 septembre 2021 (LifeSiteNews) — Le samedi 4 septembre, un groupe de parents a intenté une action en justice contre le ministère de l’Éducation de Californie au sujet du nouveau « programme d’études ethniques » qui exige que les élèves prient en chantant les « dieux » aztèques.
La poursuite a été déposée par la Société Thomas More, un cabinet d’avocats à but non lucratif qui se consacre à la lutte pour les droits de la famille et de la religion, au nom des parents d’élèves, ainsi que par la Fondation Californians for Equal Rights.
L’action en justice a été lancée après que les plaignants aient adressé une lettre au superintendant de l’enseignement public, Tony Thurmond, lui demandant de retirer les chants païens du programme scolaire. La lettre, datée du 24 août, est restée sans réponse.
Sur le plan juridique, la plainte cite que « le libre exercice et la jouissance de la religion sans discrimination ni préférence sont garantis » par la loi californienne et que « la législature ne fera aucune loi concernant l’établissement d’une religion ». « En outre, l’aide gouvernementale à la religion est interdite », ajoute le texte.
Plus précisément, « les Cours suprêmes des États-Unis et de Californie ont clairement indiqué que la prière dans les écoles publiques est interdite » et « les prières rédigées par les responsables des écoles publiques sont doublement interdites », peut-on lire dans le dossier de plainte.
En termes simples, la loi fédérale et la loi de l’État interdisent la promotion de toutes les religions, y compris les cérémonies, les prières et les doctrines, dans toute école publique, selon la plainte.
Ces psalmodies démoniaques, qui font partie du « programme modèle d’études ethniques », étaient initialement un programme volontaire, mais selon le Christian Post, de nombreux districts scolaires en ont autorisé l’intégration dans les classes de tous les élèves.
Ces chants comprennent une demande aux « dieux » pour la « libération, transformation, décolonisation » de l’Amérique.
Lire la suiteLes pro-vie protestent contre le prélèvement d’organes de fœtus avortés opéré par l’Université de Californie à San Francisco
Par Bettina di Fiore (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Le 13 juillet 2021, une centaine de militants de Live Action, de Pro-Life San Francisco et de Survivors of the Abortion Holocaust [Survivants de l’holocauste par avortement] ont collaboré à une action de protestation devant le Département de la santé publique de San Francisco (SFDPH). Cette action faisait partie d’une série d’actions coordonnées par Pro-Life San Francisco et Survivors of the Abortion Holocaust pour protester contre les pratiques de recherche et de prélèvement d’organes et de tissus fœtaux de l’University of California, San Francisco (UCSF).
Le département de la santé publique de San Francisco et l’UCSF gèrent conjointement l’hôpital général Zuckerberg de San Francisco ; l’un des deux centres d’avortement du Women’s Options Center, où sont prélevés les organes fœtaux après les avortements, se trouve dans cet hôpital.
Le 6 mai 2021, le coordinateur exécutif de Pro-Life San Francisco a passé un appel téléphonique à la ligne 311 de la ville de San Francisco, dont l’une des fonctions est de recevoir le signalement des problèmes municipaux. Cet appel avait pour but d’établir une communication avec le département de la santé publique concernant le prélèvement et l’expérimentation de tissus et d’organes fœtaux à l’UCSF. Il a reçu un numéro de suivi par courrier électronique pour suivre l’évolution de sa plainte.
Le lendemain, des militants de la coalition Pro-Life San Francisco et Survivors of the Abortion Holocaust ont remis en main propre une lettre au bureau du Dr Grant Colfax, directeur de la santé de la ville et du comté de San Francisco. La lettre faisait état de leurs griefs à l’encontre des pratiques de prélèvement et d’expérimentation de tissus et d’organes fœtaux de l’UCSF et demandait une réponse. À ce jour, aucune réponse n’a été reçue ou publiée. Pendant ce temps, le statut de la plainte 311 reste également en suspens.
Lire la suiteCalifornie : des « ressources de grossesse » dans les prisons pour femmes en prévoyance de transferts d’hommes…
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Matthew Henry/Burst
Le système pénitencier californien, dans la section féminine, a mis en place de nouvelles mesures et des « ressources de grossesse » (de vraies : soins prénataux, adoption ; et de fausses : préservatifs, contraception, avortement), en prévoyance du transfert d’hommes se prétendant « femmes » vers leurs établissements, permis par une nouvelle loi de l’État. Ces mesures sont un aveu implicite que ces « femmes transgenres » n’en sont pas de vraies femmes et qu’il en résultera des incidents fâcheux. Selon le Women Liberation Front (un site féministe que je ne citerai pas souvent) :
Les femmes incarcérées dans la plus grande prison pour la gent féminine de Californie décrivent leurs conditions comme « le pire des cauchemars » après l’introduction de nouvelles ressources de grossesse dans les cliniques du Central California Women’s Facility (CCWF). Ces nouvelles ressources constituent un aveu tacite de la part des responsables que les femmes doivent s’attendre à être violées lorsqu’elles sont logées en prison avec des hommes, où toute relation sexuelle est considérée comme non consensuelle par défaut dans le système.
De nouvelles affiches sont récemment apparues dans les salles médicales, décrivant les options disponibles pour les « personnes enceintes » en prison, notamment les soins prénataux, l’avortement et l’adoption. L’affiche déclare également que les femmes ont droit à « des conseils offerts par un prestataire de soins de santé agréé sur la contraception et le choix des méthodes de régulation des naissances dans les 60 à 180 jours précédant la date de libération prévue ». Cependant, les seules méthodes disponibles pour les femmes incarcérées afin de prévenir une grossesse sont les préservatifs, qui sont apparus peu après les hommes, et les contraceptifs d’urgence Plan B.
« Personnes enceintes » ! L’idéologie du genre, à l’origine du transfert d’hommes se prétendant « femmes » dans les établissements destinés à ces dernières, se rencontre jusque sur les affiches s’adressant aux futures victimes… (Au passage, les « contraceptifs d’urgence Plan B » sont en fait des abortifs, mais ceci n’est pas le sujet de mon billet.)
Lire la suiteDes enfants de 12 ans pourront être vaccinés sans le consentement de leurs parents à San Francisco...
Par Kenton Biffert — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
San Francisco, 4 juin 2021 (LifeSiteNews) — Dans une ordonnance sanitaire publiée le 28 avril 2021, la ville de San Francisco a officiellement autorisé les enfants de 12 ans à se faire vacciner contre le coronavirus sans notification ni consentement parental.
L’ordonnance sanitaire a été publiée alors que les vaccins n’ont pas été entièrement approuvés par la Food and Drug Administration (FDA), mais qu’ils ont simplement reçu une autorisation d’utilisation d’urgence.
En fait, le décret indique que « dans les mois à venir, non seulement il est probable que l’autorisation de ces vaccins sera élargie (à la fois en termes de nombre de vaccins et d’autorisation non urgente), mais il est également probable que la tranche d’âge des personnes autorisées à recevoir le vaccin aux États-Unis sera élargie pour permettre à davantage de mineurs de recevoir le vaccin ».
Le document insiste sur le fait que « bien que de nombreuses personnes aient reçu les vaccins COVID-19, il est essentiel, du point de vue de la santé publique, que le plus grand nombre possible de personnes, y compris les mineurs, reçoivent le vaccin ».
Le département de la santé de San Francisco a justifié cette décision en se référant à des cas antérieurs qui permettaient aux enfants de donner leur propre consentement : « Cette capacité de consentement est similaire au concept utilisé ailleurs dans la loi de l’État selon lequel les mineurs de 12 ans ou plus peuvent consentir au diagnostic ou au traitement de maladies infectieuses, y compris spécifiquement le COVID-19, sans le consentement des parents. Permettre la prévention de la maladie par la vaccination est tout aussi important que de permettre à un mineur d’être testé pour cette maladie ou d’être traité pour elle. »
LifeSiteNews a contacté le directeur général, Michael Ramey, de ParentalRights.org, un groupe d’action politique à but non lucratif qui travaille à l’adoption de lois protégeant les familles, afin de commenter la question du consentement.
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