2,4 millions de pro-vie marchent dans les rues d’Argentine
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Campagne Québec-Vie participera aussi à la Marche pour la Vie du 9 mai à Ottawa, venez nombreux que nous puissions l’être autant qu’en Argentine ! Nous préparons d’ailleurs quelques autobus pour transporter les pro-vie désireux de marcher pour la Vie. Extrait de Gènéthique :
Ils étaient 300 000 dans les rues de Buenos Aires samedi dernier, selon les organisateurs. Et d’autres Marches pour la Vie étaient aussi organisées dans 200 villes à travers l’Argentine, « 2 400 000 en additionnant tous les participants aux différentes marches du pays ».
Devant la foule réunie avenue du Libérateur, majoritairement composée de jeunes, l’organisateur de cette Marcha por la Vida, Alejandro Geyer, a expliqué que « cette marche nous invite à continuer à défendre trois principes majeurs : la vie de l’enfant à naître, le droit pour les familles d’éduquer librement leurs enfants loin de l’idéologie du genre, et la prise de conscience que nous sommes dans une année d’élections, nous allons donc décider de l’avenir de la Patrie, de notre famille et de millions d’enfants à naître.
Une militante pro-vie argentine brutalement battue par trois agresseuses pro-avortement
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Les partisans de l’avortement accusent de temps en temps les pro-vie d’être violents, d’intimider les femmes voulant avorter, les avorteurs. Violent ! Nous ne le sommes en rien. Si des personnes peuvent se sentir intimidées par un paisible pro-vie se tenant sur le bord du trottoir avec une pancarte et une croix, il n’y a pas de quoi fouetter un chat. Par contre, des partisans de l’avortement se livrent à des gestes et à des violences que vous ignorez peut-être. Extrait de LiveActionNews :
Un membre de New Wave Feminists en Argentine a été attaqué par un groupe de femmes, a annoncé jeudi l’organisation pro-vie sur Facebook. Le récit était accompagné d’une photo représentant la femme, nommée Micaela, le visage ensanglanté.
Selon New Wave Feminists, Micaela portait son bandana bleu clair, symbole pro-vie à Buenos Aires, lorsqu’elle a été approchée par trois femmes qui l’ont jetée à terre en lui criant des injures et en proclamant l’avortement sur demande. « Ils l’ont frappée à coups de pied plusieurs fois à la tête, lui fendant la lèvre et le sourcil, avant qu’un bon samaritain ne vienne à son secours et ne la mette en sécurité, » peut-on lire dans la publication Facebook...
Micaela, victime d'une agression perpétrée
par trois partisanes de l'avortement.
Une fillette piétine une poupée lors d’une manif pro-avortement en Argentine
Par Jeanne Smits (le blog de Jeanne Smits) — Photo : Max Pixel
Cela se passe à Buenos Aires, le 19 février : une fillette d’une dizaine d’années a été photographiée piétinant une poupée de baigneur alors qu’elle participait à un Pañuelazo : une manifestation pour l’avortement marquée par le port de mouchoirs verts avec des inscriptions réclamant l’avortement légal.
La petite fille en question porte le mouchoir en guise de haut et a manifestement été incitée à prendre la pose. Par qui ? Par sa mère ? C’est par celle-ci que, semble-t-il, la photo a été mise en ligne sur Instagram — avant d’être effacée par la propriétaire du compte alors que le partage massif de la photo avait déclenché une avalanche de commentaires horrifiés.
La voici [rognée] :
Voilà qui a le mérite de la clarté.
Pauvre petite fille…
Des militants proavortement lancent des cocktails Molotov sur la police après le rejet du projet de loi sur l’avortement
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Pendant que les pro-vie célébraient la victoire, les militants proavortement en Argentine se sont adonnés à la violence mercredi soir après que le Sénat du pays ait rejeté un projet de loi visant à légaliser l’avortement à la demande.
Le journal The Evening Standard rapporte que des activistes proavortement ont lancé des cocktails Molotov et du verre sur la police antiémeute dans les rues de Buenos Aires après le vote.
Tard mercredi, le Sénat a rejeté le projet de loi proavortement lors d’un vote par 38 à 31 voix après que la Chambre basse du Parlement l’ait adopté plus tôt cette année. Le projet de loi aurait légalisé l’avortement pour n’importe quelle raison jusqu’à 14 semaines, et jusqu’à la naissance dans certaines circonstances, dont le viol.
La loi actuelle interdit l’avortement d’un enfant à naître, sauf en cas de viol, de handicap grave ou de menace pour vie de la mère.
Dans la nuit du mercredi au jeudi, la police antiémeute a mis en place une barrière mobile pour protéger les gens contre les manifestants proavortement violents, selon le reportage. Les photos montrent des activistes proavortement allumant des feux le long de la barrière et jetant des bouteilles en verre par-dessus.
Lire la suiteDes centaines de médecins argentins manifestent contre l’avortement
Par Dorothy Cummings McLean — traduit par Campagne Québec-Vie
Buenos Aires, Argentine, 2 août 2018 (LifeSiteNews) — Ce n’est pas tous les médecins argentins qui ont envie d’assassiner un enfant à naître.
Des centaines de docteurs argentins pro-vie descendent dans la rue pour témoigner contre le mal de l’avortement à l’approche du vote du Sénat sur un projet de loi qui étendrait la permission d’avorter.
Si ce projet de loi est adopté, il mettra en danger la vie de tous les enfants à naître jusqu’à 14 semaines de grossesse. En outre, il autorisera de tuer les enfants à naître handicapés, ceux conçus dans le viol et ceux qui posent un danger pour la vie de leur mère, physiquement ou psychologiquement, jusqu’à la naissance. Actuellement, il est légal d’avorter les enfants à naître conçus dans le viol ou qui présentent une menace physique pour la santé de leur mère, mais seulement jusqu’à 14 semaines de grossesse.
Dans un article de l’Associated Press, la journaliste Almudena Calatrava a rapporté que certains des médecins pro-vie ont apporté des « poupées en forme de fœtus » et des pancartes disant « Je suis médecin, pas meurtrier ». Lors d’une récente manifestation, elle a écrit : « Ils ont déposé des blouses médicales blanches sur le sol devant le palais présidentiel ».
Lire la suiteDes millions de pro-vie marchent contre l’avortement
Par Francesca de Villasmundo (medias-presse.info)
L’Argentine est un des rares pays de culture catholique où l’avortement est encore interdit. Mais la pression de la culture de mort se fait toujours plus lourde et menaçante.
Actuellement est donc en discussion au Parlement un projet de loi de légalisation de l’avortement dans les 14 premières semaines de gestation qui a été déposé le 6 mars par la députée de centre gauche Victoria Donda et soutenu par 71 autres parlementaires de gauche et de droite. Quatre projets de loi sont discutés en commission depuis le 20 mars. Une fois que les députés se seront entendus sur le texte, il sera soumis au vote de la chambre basse, puis par les sénateurs, réputés plus conservateurs.
Dimanche 25 mars, fête de l’Annonciation, des millions d’Argentins sont descendus dans la rue pour défendre la vie et contre cette « proposition de loi visant à libéraliser l’avortement » qui sera en débat au Parlement après Pâques. A Buenos-Aires, la capitale, mais aussi dans les autres grandes villes telles Cordoba, Mendoza, Rosario, Bahia Blanca, Resistencia, Concordia, Paranà, Mar del Plata, Rio Grande et Ushuaia, la pointe la plus extrême du continent vers l’Antarctique.
Dans une lettre du 16 mars dernier aux Argentins, le pape François leur avait demandé « d’être des canaux de bien et de beauté afin que vous puissiez donner votre contribution dans la défense de la vie et de la justice… » Ses compatriotes y ont répondu avec cette mobilisation gigantesque contre la légalisation de l’avortement.