Le Mouvement conservateur brésilien contre George Soros, agitateur mondial notoire
George Soros.
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info) ― Photo : Heinrich-Böll-Stiftung/Flickr
Au Brésil, un mouvement conservateur a récemment lancé une pétition pour contrer l’influence dans le pays du financier George Soros et de son réseau « philanthropique ».
La campagne promue par le Mouvement conservateur brésilien (Mbc) compte déjà le soutien de plus de 25 000 signatures, qui seront officiellement remises au Congrès national le 13 août. Comme l’expliquent les promoteurs, l’initiative vise à freiner l’activité et l’influence de George Soros, fondateur de l’Open Society Foundations (OSF), l’un des « principaux financiers des cliniques d’avortement dans le monde ».
La mobilisation, soulignent les représentants du mouvement conservateur brésilien, vise à devenir une campagne mondiale afin de faire du 12 août la Journée internationale contre l’influence encombrante du magnat libéral, l’un des plus importants sponsors du Parti démocrate américain et de nombreuses ONG progressistes dans le monde. Pour le mouvement conservateur brésilien, « Soros est le plus grand financier de gauche au monde, qui œuvre en coulisse à la chute des gouvernements et à l’instabilité des nations, avec des propositions allant de la destruction de la culture judéo-chrétienne*, à la légalisation de l’avortement, à la théorie de genre, jusqu’à la censure d’Internet. Le moment est venu de lutter solidairement contre la personnification du mondialisme ».
Le titre de la campagne est « Ne laissez pas George Soros penser à votre place ». Selon le mouvement conservateur brésilien, Soros finance des mouvements tels que Black Lives Matter, alimentant les divisions raciales. D’après une analyse du Washington Times, « l’Open Society Foundations a alloué au moins 33 millions de dollars en un an au mouvement ».
Récemment, un groupe de jeunes du Mouvement conservateur brésilien s’est réuni à Brasilia pour faire connaître la campagne avec une série d’affiches postées dans des points stratégiques de la capitale.
*Je ne vois pas pourquoi on emploierait le terme judéo-chrétien quand on parle de notre société, c'est le christianisme qui a formé notre civilisation, et non le judaïsme.
Consécration du Brésil et de l’Italie au Cœur immaculé de Marie
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (rognée) : Diana Ringo/Wikimedia Commons
Deux consécrations consécutives sont arrivées respectivement le 20 et 21 mai, plus exactement, la consécration de l’Italie au Cœur immaculé de Marie par Matteo Salvini, ministre de l’Intérieur de l’Italie, au beau milieu d’une réunion politique, sans doute à la plus grande surprise de l’assemblée et à la plus grande joie des catholiques alors présents ; la seconde est plutôt le renouvellement de la consécration du Brésil de 1946 en présence du Président Jair Bolsonaro qui, bien que baptisé catholique, est assez proche des évangéliques brésiliens (ce qui explique sans peut-être la position en retrait qu'il tiens lors de la cérémonie).
Toujours est-il que ce sont deux gestes importants, tant il est vrai que les gouvernements ont l’obligation morale de reconnaitre le règne de Jésus-Christ, en l’occurrence à travers la consécration à Sa sainte Mère. Extrait de LifeSiteNews :
Lire la suiteAu cours d’un rassemblement politique samedi, auquel ont participé des dizaines de milliers de personnes sur la Piazza del Duomo à Milan, Salvini a invoqué les six saints patrons de l’Europe, rapporte The Tablet, les Saints Benoît de Nursie, Brigitte de Suède, Catherine de Sienne, Cyrille et Méthode, et Thérèse Bénédicte de la Croix (Édith Stein).
Salvini embrassa alors son chapelet, leva les yeux vers la statue de la Sainte Mère sise au sommet de la cathédrale de Milan (XIVe siècle) et dit : « Je confie l’Italie, ma vie et vos vies au Cœur immaculé de Marie, qui nous mènera sûrement à la victoire ».
Matteo Salvini, ministre de l'Intérieur d'Italie. — Source (capture d'écran)
Le Brésil élit un président pro-vie fort, brisant des décennies de pouvoir gauchiste
Jair Bolsonaro, président du Brésil.
Par Guilherme Ferreira Araújo et Gualberto Garcia Jones, Esq. — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Estudios nacionais
Analyse
Brasilia, Brésil, 28 octobre 2018 (LifeSiteNews) — Le 28 octobre est une date importante pour le Brésil. Jair Bolsonaro a été élu président, mettant fin à une génération de gouvernement de gauche. Sous Bolsonaro, le Brésil pourrait passer du statut de refuge pour les marxistes latino-américains et leurs alliés mondialistes corrompus à celui d'allié précieux de la vision du président Trump d'une zone où les gouvernements sont motivés par leurs intérêts souverains. Plus important encore, le Brésil passera du statut de promoteur de la culture de mort à celui de défenseur de la culture de la vie.
Face à cette réalité, les médias libéraux du monde entier ont tenté de qualifier M. Bolsonaro d'extrémiste. C'est un « raciste», un « sexiste », un « homophobe », un « misogyne ». C'est un « néo-nazi » qui veut ramener la dictature militaire ! C'est plus ou moins ce que les adversaires de Jair Messias Bolsonaro disent de lui. Mais qui est-il ? Certains l'appellent le « Trump brésilien ». Mais pour comprendre qui il représente vraiment, nous devons comprendre un peu l'histoire récente du Brésil.
En 1964, l'armée brésilienne, répondant à un appel légitime de la société civile, décide de prendre le pouvoir afin d'éviter la menace communiste qui pesait sur tous les pays Occidentaux de l'époque. Au début, les militaires ont assuré à la société civile qu'ils redonneraient le pouvoir à un gouvernement civil dès que possible, mais bientôt une division interne prit forme au sein même de l'armée, ce qui a abouti à un « coup d'État à l'intérieur du coup d'État ». En fin de compte, les militaires sont restés au pouvoir jusqu'en 1985, date à laquelle ils ont tenu leur promesse et entamé un processus de transition vers un gouvernement civil.
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