Le président du Brésil, Jair Bolsonaro : « je ne prendrai pas le vaccin covid, le Congrès ne le rendra pas obligatoire »
Jair Bolsonaro, président du Brésil.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Palácio do Planato/Flickr
Jair Bolsonaro, président du Brésil, a récemment déclaré qu’il ne se ferait administrer aucun vaccin contre le coronavirus, ajoutant qu’il était sûr que le Congrès brésilien ne le rendrait jamais obligatoire, rapporte LifeSiteNews :
Lire la suiteLe président brésilien Jair Bolsonaro a fermement déclaré la semaine dernière qu’il ne prendrait aucun vaccin covid-19 que son pays pourrait approuver et il était « sûr » que le Congrès ne rendrait aucun vaccin obligatoire.
« Je vous le dis, je ne le prendrai pas (le vaccin) », affirmait-il le 26 novembre lors d’une conférence de presse sur les « sujets de la semaine ». « C’est mon droit ».
« Et je suis sûr que le Congrès ne fera pas de difficultés à ceux qui ne veulent pas prendre de vaccin », ajouta-t-il.
« Forcer les gens à prendre le vaccin ou dire que celui qui ne le prend pas ne peut pas obtenir de passeport, avoir d’emploi dans la fonction publique, c’est de la dictature », poursuivit le président brésilien. « Celui qui défend une telle idée est un dictateur ou un faux dictateur qui est prêt à faire de l’argent avec la vie des autres ».
Bolsonaro a également critiqué l’emploi de masques pour lutter contre la propagation du virus, la qualifiant de « tabou » qui doit « tomber ».
Les États-Unis, le Brésil et 30 autres pays signent une déclaration contre l’imposition de l’avortement à l’international
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (rognée) : Freepik
Aujourd’hui, de hauts représentants des États-Unis, du Brésil, de la Pologne, de la Hongrie, de la Biélorussie et 27 autres pays ont signé un document déclarant un engagement à « réaffirmer qu’il n’existe pas de droit international à l’avortement, ni d’obligation de la part des États de financer ou de faciliter l’avortement », entre autres.
Signée par 32 pays, selon le site du Department of Health and Human Services (HHS) :
Le jeudi 22 octobre, le secrétaire d’État Michael R. Pompeo et le secrétaire du HHS Alex Azar ont participé à la signature virtuelle de la Déclaration du Consensus de Genève […] Le document a été coparrainé par les États-Unis, le Brésil, l’Égypte, la Hongrie, l’Indonésie et l’Ouganda, et signé par 32 pays au total, représentant plus de 1,6 milliard de personnes.
Le secrétaire d’État Azar a déclaré lors de l’événement : « La déclaration est bien plus qu’une déclaration de convictions — c’est un outil essentiel et utile pour défendre ces principes dans tous les organes des Nations unies et dans chaque cadre multilatéral, utilisant un langage préalablement accepté par les États membres de ces organes ».
Bien sûr, cette Déclaration de consensus de Genève n’est pas parfaite, et même contient de gros défauts. Par exemple, si elle reconnaît le droit aux pays de légiférer contre l’avortement, elle le leur reconnaît également pour. Le document déclare, selon le HHS :
Lire la suite3. Réaffirmons l’importance fondamentale « de la reconnaissance de la dignité inhérente à tous les membres de la famille humaine », le fait que « le droit à la vie est inhérent à la personne humaine » et l’engagement « [de permettre] aux femmes de mener à bien grossesse et accouchement et [de donner] aux couples toutes les chances d’avoir un enfant en bonne santé » ;
4. Soulignons que « l’avortement ne devrait, en aucun cas, être promu comme méthode de planification familiale » et que « toute mesure ou toute modification relatives à l’avortement au sein du système de santé ne peuvent être arrêtées qu’à l’échelon national ou local conformément aux procédures législatives nationales » ; Réaffirmons que « l’enfant… a besoin de protection spéciale et de soins spéciaux… avant comme après la naissance » et que « des mesures spéciales de protection et d’assistance doivent être prises en faveur de tous les enfants », sur la base du principe de l’intérêt supérieur de l’enfant ;
5. Réaffirmons que « la famille est l’élément naturel et fondamental de la société et a droit à la protection de la société et de l’État », que « la maternité et l’enfance ont droit à une aide et à une assistance spéciales », que « les femmes jouent un rôle critique dans la famille » et qu’il faut souligner « toute l’importance de la contribution que les femmes apportent au bien-être de la famille et au développement de la société » ;
Le Mouvement conservateur brésilien contre George Soros, agitateur mondial notoire
George Soros.
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info) ― Photo : Heinrich-Böll-Stiftung/Flickr
Au Brésil, un mouvement conservateur a récemment lancé une pétition pour contrer l’influence dans le pays du financier George Soros et de son réseau « philanthropique ».
La campagne promue par le Mouvement conservateur brésilien (Mbc) compte déjà le soutien de plus de 25 000 signatures, qui seront officiellement remises au Congrès national le 13 août. Comme l’expliquent les promoteurs, l’initiative vise à freiner l’activité et l’influence de George Soros, fondateur de l’Open Society Foundations (OSF), l’un des « principaux financiers des cliniques d’avortement dans le monde ».
La mobilisation, soulignent les représentants du mouvement conservateur brésilien, vise à devenir une campagne mondiale afin de faire du 12 août la Journée internationale contre l’influence encombrante du magnat libéral, l’un des plus importants sponsors du Parti démocrate américain et de nombreuses ONG progressistes dans le monde. Pour le mouvement conservateur brésilien, « Soros est le plus grand financier de gauche au monde, qui œuvre en coulisse à la chute des gouvernements et à l’instabilité des nations, avec des propositions allant de la destruction de la culture judéo-chrétienne*, à la légalisation de l’avortement, à la théorie de genre, jusqu’à la censure d’Internet. Le moment est venu de lutter solidairement contre la personnification du mondialisme ».
Le titre de la campagne est « Ne laissez pas George Soros penser à votre place ». Selon le mouvement conservateur brésilien, Soros finance des mouvements tels que Black Lives Matter, alimentant les divisions raciales. D’après une analyse du Washington Times, « l’Open Society Foundations a alloué au moins 33 millions de dollars en un an au mouvement ».
Récemment, un groupe de jeunes du Mouvement conservateur brésilien s’est réuni à Brasilia pour faire connaître la campagne avec une série d’affiches postées dans des points stratégiques de la capitale.
*Je ne vois pas pourquoi on emploierait le terme judéo-chrétien quand on parle de notre société, c'est le christianisme qui a formé notre civilisation, et non le judaïsme.
Brésil, le gouvernement Bolsonaro promeut l’abstinence (ou attente) pour éviter les grossesses d’adolescentes
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Pour éviter une grossesse rien de plus simple que de pratiquer l’abstinence (mais non peut-être pas difficile), autrement appelée la chasteté, mot qui doit faire frémir plus d’un cœur impudique, les plaisirs de la chair prenant beaucoup plus de place dans leur esprit que la prudence.
Damares Alves, ministre de la Femme, de la Famille et des Droits de l’homme au Brésil promeut, au moins depuis le mois de janvier, l’abstinence sexuelle des adolescents auprès des parents, afin que ces derniers guident les premiers d’une façon enfin efficace et morale. Elle promeut donc l’attente et le mariage. Selon LifeSiteNews :
Damares Alves, le ministre brésilien de la femme, de la Famille et des Droits de l’homme, a récemment demandé aux parents de songer à dire à leurs enfants adolescents d’attendre l’âge adulte pour avoir des relations sexuelles, déclenchant ainsi une vague de commentaires négatifs de la part des gauchistes de cette république sud-américaine.
Le ministre Alves a répondu au taux croissant de maladies sexuellement transmissibles et de grossesses chez les adolescentes en encourageant l’abstinence parmi les adolescents.
Damares Alves travaille de concert avec une campagne dirigée par des évangéliques, dont elle fait partie, ce qui fait dire aux partisans de l’avortement et militants LGBT que c’est une ingérence de l’« église » dans l’État, outre que ce plan déplût à ces hurluberlus. D’après LifeSiteNews :
Les partisans de l’avortement et du mouvement LGBT ont dénoncé la campagne, en invoquant la crainte qu’il s’agisse en fait d’une convergence entre l’Église et l’État. Selon le New York Times, Debora Diniz, professeur de droit brésilien et militante en faveur de l’avortement, a déclaré que ce programme aura « des conséquences terribles » et entraînera de nouveaux cas de grossesse chez les adolescentes et d’infections sexuellement transmissibles (IST).
Mme Diniz a affirmé que l’abstinence ne fonctionnait pas. Les prestataires d’avortement tels que Planned Parenthood et les organisations comme l’Institut Guttmacher essaient régulièrement de discréditer le fait de retarder les rapports sexuels comme moyen d’éviter les grossesses et les maladies sexuellement transmissibles chez les adolescents.
En fait, c’est l’éducation sexuelle moderne (redondance : elle n’existe que depuis le siècle dernier) qui est source de grossesse chez les adolescentes et de maladies. Planned Parenthood alimente son propre marché pourrait-on dire.
Un juge brésilien ordonne à Netflix de retirer un film qui dépeint le Christ comme homosexuel
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Signez la pétition : Netflix, retirez le film « La première tentation du Christ »
Mise à jour (10 janvier 2020) : « Comme prévu par la source de renseignements LifeSite, la Cour suprême du Brésil vient d'annuler la décision du juge Benedicto Abicair, permettant ainsi à Netflix de laisser le film blasphématoire La première tentation du Christ disponible au Brésil », rapporte LifeSiteNews.
Un juge brésilien a ordonné à la branche brésilienne de Netflix de retirer le film blasphématoire La première tentation du Christ qui montre le Christ en homosexuel ayant un amant. Ceci est assurément une bonne nouvelle, bien qu’il y ait de forts risques que ce jugement soit cassé en de plus hautes instances, dans ce pays qui a eu deux décades de socialistes au pouvoir, et qui a, par conséquent, de mauvais juges. Selon LifeSiteNews :
Un juge a ordonné à Netflix de retirer un film blasphématoire de son service.
Le juge, Benedicto Abicair, a rendu son jugement mercredi dernier à Rio de Janeiro. La décision fait suite à une pétition signée par plus de deux millions de Brésiliens qui affirment que le film humoristique, intitulé La première tentation du Christ, a enfreint la loi et « a gravement offensé les chrétiens ». Dans le film, le Christ est représenté comme homosexuel.
Ricardo German, étudiant brésilien basé à Édimbourg, a déclaré à LifeSiteNews qu’il était enchanté de cette décision.
« Je pense que c’est génial », déclara-t-il via les médias sociaux, et il a expliqué que le juge s’appuyait sur une base juridique solide. Selon l’article 208 du Code pénal brésilien, « dénigrer publiquement un acte ou un objet de culte religieux » est un crime passible d’une peine d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à un an ».
« Le juge Abicair n’a fait qu’ordonner la suspension provisoire d’une œuvre en violation flagrante de cette interdiction juridique », déclara German. Le juge, selon German, peut interdire à la succursale brésilienne de Netflix, officiellement une « personne morale » aux fins de la procédure judiciaire, de mettre le film à disposition pour le visionner. Il peut également interdire à Porta dos Fundos [le producteur] de faire de la publicité pour le film dans tout endroit accessible depuis le Brésil, « ce qui techniquement inclurait l’Internet dans son ensemble (du moins en langue portugaise, pourraient dire certains juristes) ».
Signez la pétition : Netflix, retirez le film « La première tentation du Christ »
Un évêque sanctionne l’un de ses prêtres pour avoir « béni » une union homosexuelle
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo :
Au Brésil, l’évêque Argemiro de Azevedo a suspendu de ses fonctions le P. Gomes, celui-ci ayant « béni » un couple d’homosexuels et approuvé leur « union », selon LifeSiteNews :
La vidéo d’une cérémonie tenue le 7 décembre montrait le père Vicente Paula Gomes (âgé 56 ans) déclarant avec humour qu’il « tremblait un peu », étant donné qu’il donnait une telle bénédiction à des homosexuels pour la première fois. Le Père Gomes ne portait pas de vêtements liturgiques pendant la cérémonie, mais il était entièrement vêtu de blanc comme le reste des participants à la fête. Aucun objet liturgique n’était apparent dans la vidéo.
Une suspension selon le Code de droit canonique :
Un document de l’évêque Argemiro de Azevedo fait référence à ce qu’il appelle de « graves accusations » contre le Père Gomes, qui le mois dernier a « célébré l’union homo-affective » de deux hommes, Luis Carlos dos Santos et Claudinei Batista de Almeida, à Assis, une ville proche de la métropole de São Paulo au Brésil.
La lettre citait le Code de droit canonique de l’Eglise catholique, qui sanctionne les clercs qui scandalisent les fidèles. L’évêque a suspendu Gomes de ses fonctions de pasteur d’une paroisse. Il devait, lundi, devenir vicaire paroissial d’une église du diocèse. Cependant, on ne sait pas exactement quelle aura été la décision par rapport à cette nomination suite à la sanction.
Netflix dépeint le Christ comme homosexuel et la Vierge Marie comme adultère
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Stock Catalog/Flickr
Signez la pétition : Netflix, retirez le film « La première tentation du Christ »
Netflix était déjà un dépotoir à films obscènes, mais le trois décembre il a ajouté à son palmarès un film blasphématoire, au titre sulfureux La première tentation du Christ, montrant Jésus comme homosexuel et la Vierge Marie comme adultère. Selon LifeSiteNews :
Netflix a lancé un film blasphématoire « spécial Noël » qui dépeint Jésus comme homosexuel et la Vierge Marie comme adultère, ce qui a incité plus d’un million de personnes à signer une pétition pour que le film soit retiré de ce populaire service de diffusion.
A Primeira Tentação de Cristo, ou La première tentation du Christ, est une production de la troupe de comédiens brésilienne Porta dos Fundos [Porte de derrière]. Dans la scène imaginaire, Jésus est montré en train de ramener à la maison un amant homosexuel pour le présenter à Marie et Joseph.
Une troupe douteuse, d’après LifeSiteNews :
Lire la suitePlus d’un million de personnes ont signé une pétition sur Change.org demandant que la vidéo « gravement offensante » soit retirée du service de diffusion en ligne. Des politiciens et des personnalités publiques ont dénoncé la vidéo et Porta dos Fundos. Le célèbre acteur et réalisateur brésilien Carlos Vereza, par exemple, a écrit sur Facebook que la troupe de satiristes était « lamentable » pour ses créations de « films poubelle-pornos ».
Le Brésil et les lignes directrices de l'Organisation mondiale de la santé sur l'avortement
Damares Alves, Ministre de la Femme, de la Famille et des Droits de l'homme du Brésil.
Par Stefano Gennarini, J.D. ― traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo : La Nata com Antonia Fontanelle/YouTube
New York, 11 octobre (C-Fam) — Les procureurs brésiliens pourraient lancer une enquête criminelle sur un magazine qui fait la promotion d'avortements illégaux sur la base de directives controversées de l'Organisation mondiale de la santé.
La ministre brésilienne de la Femme, de la Famille et des Droits de l'homme, Damares Alves, a officiellement dénoncé le magazine en ligne AzMina au procureur général de Sao Paolo. Alves croit qu'un article publié par l'AzMina avec des indications sur la façon de s'auto-administrer l'avortement avec des produits obtenus illégalement, ainsi que d'autres méthodes d'avortement, met en danger la vie des femmes et des filles brésiliennes. Le procureur général a confirmé qu'une enquête criminelle sur la publication a été ouverte le mois dernier.
La tentative d'Alves de poursuivre AzMina est plus qu'un simple débat national. C'est une salve d’artillerie contre la tentative de l'industrie internationale de l'avortement de contourner les lois qui protègent l'enfant à naître et restreignent l'avortement. Au cœur de cette campagne se trouvent les lignes directrices de l'Organisation mondiale de la santé sur l'avortement, qui sont devenues les normes mondiales de l'industrie de l'avortement.
Dans le but de rendre l'avortement toujours plus accessible, l'Organisation mondiale de la Santé recommande maintenant des procédures d'avortement dangereuses, découragées par les établissements médicaux des pays développés, y compris l'avortement chimique auto-administré sans surveillance médicale.
Lire la suiteLe président du Brésil, Jair Bolsonaro, combat l’idéologie du genre dans les écoles
Jair Bolosonaro, président du Brésil.
Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Au Brésil on va donc dans la direction inverse de celle que l’on prend au Québec. Medias-Presse.info rapporte :
Le président du Brésil, Jair Bolsonaro, dans un tweet a annoncé :
« J’ai ordonné au Ministère de l’Instruction publique, en tenant compte du principe de protection globale des mineurs prévu par la Constitution, de préparer un projet de loi qui interdise l’idéologie du genre dans les écoles primaires ».
Les Brésiliens sont par ailleurs fortement opposés à cette idéologie perverse.
En 2017, un sondage avait révélé que 9 Brésiliens sur 10 étaient contraires à l’endoctrinement du « genre » dans les écoles.
Bolsonaro critique la décision de la Cour suprême du Brésil criminalisant «l’homophobie et la transphobie»
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Fabio Rodrigues Pozzebom/Agência Brasil/Wikimedia Commons
La Cour suprême du Brésil a décrété jeudi dernier, par huit voix contre trois, que ce qu’elle considèrait être de « l’homophobie » ou de la « transphobie », comme assimilée au racisme, était criminel. Jair Bolsonaro, président du Brésil, a blâmé la Cour suprême pour ce qu’on pourrait appeler de l’activisme judiciaire. Extrait du site Le Blog d’Yves Daoudal :
Hier [14 juin], le président Jair Bolsonaro a vertement critiqué cette décision, déclarant que la Cour suprême est « complètement dans l’erreur », parce que ce n’est pas à elle de faire les lois.
« Seul le Congrès peut approuver la définition des crimes et des sanctions, seul le Congrès peut voter des lois sur les agissements criminels », a également martelé l’un des trois juges qui ont voté contre.