Annulation d’une conférence internationale LGBT en Angleterre
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : zinkevych/Adobe Stock
Selon BBC News « Le Royaume-Uni a annulé sa toute première conférence internationale LGBT + après un boycottage de plus de 100 organisations... L’événement n’aura pas lieu après que les organisations caritatives LGBT + et d’autres groupes se soient retirés de la position du gouvernement sur la thérapie de conversion. »
En effet, l’interdiction des thérapies de conversion du gouvernement britannique ne porterait pas sur les « thérapies de conversions » pour transgenres, ce qui a fait enrager plusieurs groupes LGBT qui voudraient qu’il ne fût pas possible de prétendre que l’on peut changer d’« identité du genre », ou qu’un homme se retrouvât dans son identité d’homme.
L’événement « “Sûr d’être moi” devait avoir lieu à Londres en juin pour promouvoir les droits des LGBT au Royaume-Uni et dans le monde », rapporte BBC. Mais voilà que le désaccord total d’un si grand nombre de pro-transgenre avec « l’exclusion des transgenres » a fait reculer le gouvernement et a renversé le projet.
I'm told that the Prime Minister was shifted by the strength of reaction from Conservative MPs and ministers when they saw the story break.
— Paul Brand (@PaulBrandITV) March 31, 2022
But he has removed trans conversion therapy from the equation and is insisting any bill must not have 'unintended consequences'.
Boris Johnson, le premier ministre du Royaume-Uni, explique les raisons pour lesquelles il a décidé d’exclure les transgenres de l’interdiction.
« Je ne pense pas qu’il soit raisonnable pour les enfants d’être considérés comme soi-disant compétent Gillick pour prendre des décisions concernant leur sexe ou les traitements irréversibles qu’ils pourraient avoir... »
(« Gillick competant », du nom d’un jugement ayant instauré un critère de « compétence » ou de « maturité » selon lequel un mineur pourrait ou non suivre un traitement sans le consentement de ses parents.)
"We will have a ban on gay conversion therapy, which to me is utterly abhorrent. But there are complexities."
— Channel 4 News (@Channel4News) April 6, 2022
Boris Johnson speaks about government plans to ban so-called conversion therapy after campaigners criticised the exclusion of transgender people. pic.twitter.com/j5cP9XqfGg
Le gouvernement et les organisations pro-LGBT, des alliés dans un même combat contre les lois naturelles, s’affrontent eux-mêmes et se font la guerre. Est-ce surprenant alors que la division est la stratégie par excellence « du père de tous les vices » ?
Une survivante de la Shoah dénonce la dictature sanitaire
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : archives fédérales allemandes/Wikimedia Commons
Dans une plainte déposée devant la Cour pénale internationale par un groupe de Britanniques — notamment contre Boris Johnson, Bill et Melinda Gates, Klaus Schwab, le Dr Anthony Fauci, Tedros Adhanom Ghebreyesus et bien d’autres personnalités — pour crimes contre l’humanité et violations du Code de Nuremberg, une survivante de la Shoah, Vera Sharav, trace un parallèle saisissant entre les horreurs que perpétraient les nazis et les crimes de la dictature sanitaire actuelle :
« Sous le régime nazi, les normes morales ont été systématiquement oblitérées. La profession et les institutions médicales ont été radicalement transformées, la science universitaire, l’armée, l’industrie et la médecine clinique étaient étroitement imbriquées, comme elles le sont aujourd’hui. Le système nazi a détruit la conscience sociale au nom de la santé publique. Les violations contre des individus et des classes d’êtres humains ont été institutionnalisées. Les politiques de santé publique axées sur l’eugénisme ont remplacé l’accent mis par les médecins sur le bien de l’individu. La profession et les institutions médicales allemandes ont été perverties. Les politiques de santé publique coercitives violent les droits civils et humains individuels. Des méthodes criminelles sont utilisées pour faire appliquer ces politiques. La propagande nazie a utilisé la peur des épidémies infectieuses pour diaboliser les Juifs en tant que propagateurs de maladies, en tant que menace pour la santé publique... La peur et la propagande étaient les armes psychologiques utilisées par les nazis pour imposer un régime génocidaire et aujourd’hui, certains commencent à comprendre pourquoi le peuple allemand ne s’est pas soulevé, la peur l’a empêché de faire ce qu’il fallait. Les mandats médicaux sont un grand pas en arrière vers une dictature fasciste et un génocide. Les dictats gouvernementaux, l’intervention médicale, tout cela porte atteinte à notre dignité ainsi qu’à notre liberté... La leçon brutale de l’Holocauste est que lorsque les médecins s’allient au gouvernement et s’écartent de leur engagement personnel, professionnel et clinique de ne pas nuire à l’individu, la médecine peut alors être pervertie et passer d’une profession de guérison et d’humanité à un appareil meurtrier... Ce qui distingue l’Holocauste de tous les autres génocides de masse, c’est le rôle central joué par le corps médical, tout le corps médical. Chaque étape du processus meurtrier a été approuvée par les autorités médicales académiques et professionnelles. Les médecins et les prestigieuses sociétés et institutions médicales ont donné un vernis de légitimité à l’infanticide et au meurtre de masse des civils. T4 a été le premier projet de meurtre médical industrialisé de l’histoire. Les premières victimes étaient des nourrissons et des enfants allemands handicapés de moins de 3 ans... Les victimes suivantes étaient les malades mentaux, puis les personnes âgées dans les maisons de retraite. Les opérations meurtrières étaient méthodiques, et suivaient le protocole très, très soigneusement. »
Big Pharma, Gates, Fauci, des responsables britanniques accusés de crimes contre l’humanité dans une plainte déposée devant un tribunal international
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : OSeveno/Wikimedia Commons
16 décembre 2021 (LifeSiteNews) — Un groupe qui comprend l’ancien vice-président de Pfizer, le Dr Michael Yeadon, a déposé une plainte auprès de la Cour pénale internationale (CPI) au nom de citoyens britanniques contre Boris Johnson et des fonctionnaires britanniques, Bill et Melinda Gates, des directeurs généraux de sociétés Big Pharma, le président exécutif du Forum économique mondial, Klaus Schwab, et d’autres personnes pour crimes contre l’humanité.
Le groupe britannique, composé d’un astrophysicien et d’un entrepreneur de pompes funèbres, a également accusé le Dr Anthony Fauci, Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), June Raine, directrice générale de la Medicines and Healthcare products regulatory agency (MHRA), le Dr Peter Daszak, président d’EcoHealth Alliance, comme « responsables de nombreuses violations du code de Nuremberg ... de crimes de guerre et de crimes d’agression » au Royaume-Uni et dans d’autres pays.
Après avoir tenté en vain, à plusieurs reprises, de saisir la justice anglaise, les requérants se sont résolus à demander de « toute urgence » à la CPI « d’arrêter le déploiement des vaccinations COVID, l’introduction de passeports de vaccination illégaux et tous les autres types de guerres illégales... menées contre la population du Royaume-Uni ».
Dans sa plainte déposée le 6 décembre, le groupe présente des preuves que les « vaccins » COVID-19 sont en fait des thérapies géniques expérimentales conçues à partir de recherches sur les gains de fonction des coronavirus de chauve-souris, et affirme que ces « vaccins » ont causé des décès et des blessures massifs et que le gouvernement britannique n’a pas enquêté sur ces décès et blessures signalés ; que les chiffres de cas et de décès du COVID ont été artificiellement gonflés ; que les masques faciaux sont nocifs en raison de l’hypoxie, de l’hypercapnie et d’autres causes ; et que les tests PCR sont « totalement peu fiables » et « contiennent de l’oxyde d’éthylène cancérigène ».
Ils ont également fait valoir que des traitements efficaces contre le COVID-19, tels que l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, ont été supprimés, ce qui a entraîné un nombre de décès dus au COVID-19 supérieur à ce qui aurait dû être le cas.
Lire la suiteLettre ouverte aux évêques catholiques au sujet de leur appui aux mesures « sanitaires » et particulièrement aux vaccins
Par Mark Mallett (markmallett.com) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : fizkes/AdobeStock
Lettre ouverte aux évêques catholiques
Les fidèles du Christ sont libres de faire connaître leurs besoins,
surtout leurs besoins spirituels, et leurs souhaits aux Pasteurs de
l’Église.
Ils ont le droit, en effet parfois le devoir,
en fonction de leurs connaissances, de leurs compétences et de leur
position,
de manifester aux pasteurs sacrés leurs vues sur les questions
qui concernent le bien de l’Église.
et de les faire connaître aux autres fidèles
mais ce faisant, ils doivent toujours respecter l’intégrité de la foi et de la
morale,
montrer le respect dû à leurs pasteurs,
et prendre en compte à la fois
le bien commun et la dignité des individus.
— Code de droit canonique, 212
CHERS évêques catholiques,
Après un an et demi de vie dans un climat de « pandémie », je suis contraint par les données scientifiques indéniables et les témoignages d’individus, de scientifiques et de médecins de supplier la hiérarchie de l’Église catholique de remettre en question son appui massif aux « mesures de santé publique » qui, en fait, mettent gravement en danger la santé publique. Alors que la société est divisée entre les « vaccinés » et les « non-vaccinés » — ces derniers souffrant de tout, de l’exclusion de la société à la perte de revenus et de moyens de subsistance — il est choquant de voir certains bergers de l’Église catholique encourager ce nouvel apartheid médical.
Il y a sept prémisses que l’Église a apparemment acceptées comme des faits scientifiques mais qui ne sont, en fait, au mieux, que de la pseudoscience. Je vais aborder chacune d’entre elles ci-dessous. Bien que je sois actuellement un évangélisateur laïc au sein de l’Église, mon parcours professionnel est celui d’un ancien journaliste de télévision avec CTV Edmonton au Canada. En tant que tel, je suis revenu à mes racines journalistiques ces derniers temps dans l’espoir de percer la censure intense et la culture de l’annulation qui ont privé les fidèles et le monde en général d’informations critiques qui représentent une question de vie ou de mort — une question en effet de « bien commun ». Le romancier américain Upton Sinclair a dit un jour : « Il est insensé d’être convaincu sans preuve, mais il est tout aussi insensé de refuser d’être convaincu par des preuves réelles. »
Avant d’aborder ces sept prémisses, il y a un thème sous-jacent qui a été accepté par la société dans son ensemble et qui a causé d’énormes dégâts. Et c’est l’idée tout à fait nouvelle qu’une personne en parfaite santé est en quelque sorte une menace virale. Le Dr Peter McCullough, MD, MPH, FACC, FAHA, est probablement le plus grand expert au monde aujourd’hui sur la réponse à la pandémie et le médecin le plus cité de la National Library of Medicine. Il a déclaré récemment :
Lire la suite« Le virus ne se propage pas de manière asymptomatique. Seuls les malades le donnent à d’autres ». — 20 septembre 2021, entretien, Gab tv, 6:32
Le Royaume-Uni coupe les vivres à l’International Planned Parenthood Federation
Boris Johnson, premier ministre de Grande-Bretagne.
Par Francesca de Villasmundo (Médias Presse Info) — Photo : Chatham House/Flickr
La crise économique issue de la crise covidienne a un peu de bon : elle pousse le gouvernement britannique à couper les fonds publics destinés à « l’aide » internationale, dont l’avortement. L’International Planned Parenthood Federation (Ippf) estime qu’elle perdra 14,2 millions de livres sterling en trois ans. L’organisme de l’avortement menace l’exécutif de poursuites judiciaires.
L’organisme clé de l’avortement dans le monde a dénoncé la décision du gouvernement britannique de couper le financement de « la promotion des droits reproductifs et de l’avortement dans le monde ».
La décision de l’Ippf de poursuivre judiciairement l’exécutif britannique est inédite, et a été décidée après que la Chambre des communes a approuvé le 13 juillet (333 pour et 298 contre) les coupes de l’exécutif britannique dans « l’aide internationale ».
Le 16 juillet dernier, à travers une déclaration, la multinationale de l’avortement a annoncé une action en justice contre le gouvernement Johnson. Rien d’idéal dans la bataille de l’Ippf, mais seulement une dénonciation des possibles pertes de revenus dans les années à venir :
« La Fédération internationale pour la planification familiale […] a envoyé une lettre de préaction au gouvernement suite à la fin du financement du projet Access par le Foreign, Commonwealth and Development Office, sur la base de la décision illégale du gouvernement de réduire le budget de l’aide étrangère […]. Les coupes gouvernementales, qui réduisent les contributions à l’aide à 0,5 % du revenu national brut et s’élèvent à 4,5 milliards de livres sterling, auront un impact catastrophique sur des millions de personnes vulnérables dans le monde, en particulier les femmes et les filles qui ont maintenant été renvoyées à un avenir sombre et incertain […]. L’IPPF devrait perdre 14,2 millions de livres sterling de financement au cours des trois prochaines années […]. Sans financement supplémentaire, l’IPPF sera contrainte de fermer ses services en Afghanistan, au Bangladesh, en Zambie, au Mozambique, au Zimbabwe, en Côte d’Ivoire, au Cameroun, en Ouganda, au Mozambique, au Népal et au Liban et pourrait être contrainte de fermer les services dans neuf autres pays, de retirer le soutien aux services de santé sexuelle et reproductive d’environ 4 500 points de prestation de services dans le monde. Malheureusement, cela signifiera également la perte de plus de 480 personnes de l’Ippf », lit-on dans le communiqué menaçant de Planned Parenthood.
Lire la suiteLe Premier ministre britannique veut interdire les thérapies pour les attirances indésirées envers les personnes de même sexe
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Freepik
La société actuelle a atteint un tel point de corruption morale, que ceux qui se réclamaient de la liberté pour promouvoir le vice abandonnent maintenant ce moyen, la « liberté » n’était qu’un prétexte, et maintenant qu’ils ont obtenu ce qu’ils voulaient, ils vous l’imposeront.
La thérapie réparative, également dépréciée sous le terme de « thérapie de conversion », est attaquée de toute part. Le prétexte ? ce serait « odieux », grogne notamment Boris Johnson. Si toutes les thérapies ne sont sans doute pas recommandables, il existe des thérapies verbales rien d’autre que très légitimes. Apparemment, si vous êtes homosexuel, vous n’avez pas le droit de demander de l’aide afin de changer votre inclination ; si vous êtes confus au sujet de votre sexe, vous n’avez surtout pas le droit de chercher du secours pour vous y conformer. Selon LifeSiteNews :
Le Premier ministre britannique Boris Johnson déclare que le gouvernement va interdire la « thérapie de conversion des homosexuels », sans toutefois définir l’impact que cela pourrait avoir sur les personnes qui cherchent de l’aide pour se débarrasser d’attirances indésirées pour les gens de même sexe.
Dans une entrevue accordée à Sky News en début de semaine, Boris Johnson déclare : « sur la question de la thérapie de conversion des homosexuels, je pense que c’est absolument odieux et que cela n’a pas sa place dans une société civilisée, n’a pas sa place dans ce pays — ce que nous allons faire, c’est une étude maintenant là-dessus, vous savez, où cela se passe réellement. À quel point cela est répandu. Et nous présenterons ensuite des plans pour l’interdire ».
Il veut donc déjà l’interdire avant même d’avoir étudié le sujet, comme s’il s’agissait d’une pratique abominable. L'ONU est aussi de la partie :
Le mois dernier, un « Rapport sur les pratiques de thérapies de conversion » des Nations unies encourageait les gouvernements à interdire aux médecins de proposer, et aux patients de demander, de l’aide pour surmonter les sentiments indésirables d’attraction homosexuelle ou de confusion sur l’identité sexuelle.
Nombre de personnes ont clamé que Boris Johnson était un « conservateur ». En fait de conservatisme, il en tient une sorte : la conservation du libéralisme. Mais il va bien plus loin que cela, il continue l’illogique développement de l’anarchie.
C’est pourquoi, si vous êtes membres du Parti conservateur du Canada depuis le 15 mai au moins, je vous exhorte à voter pour de vrais conservateurs pour l’élection du chef du parti (du moins, pour les meilleurs). Nous n’avons que faire de libéraux déguisés, se drapant des couleurs d’un parti qu’ils trahissent.
Justin Trudeau promeut l’avortement de concert avec 38 autres premiers ministres
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Justin Trudeau, notre pitoyable premier ministre, a participé à une déclaration endossée par 38 autres premiers ministres, dont ceux d’Allemagne, Angela Merkel, du Royaume-Uni, Boris Johnson, de France, Édouard Philippe, et d’Italie, Giuseppe Conte, trente-neuf en tout, pour soutenir ce qu’ils appellent les « services de santé sexuelle et reproductive pour toutes les femmes et les filles » (avortement, contraception) durant ce qu’ils considèrent comme étant une « pandémie » de coronavirus, et ce, au nom de 59 nations. Ils craignent que des restrictions n’empêchent cette abominable pratique de se poursuivre comme d’habitude. Selon LifeSiteNews :
Le gouvernement libéral du premier ministre canadien Justin Trudeau a publié mercredi une déclaration commune au nom de 59 nations, préconisant l’accès mondial aux « besoins en matière de santé sexuelle et reproductive » en réaction à la pandémie de coronavirus.
« Nous en appelons aux gouvernements du monde entier à garantir un accès complet et sans entrave à tous les services de santé sexuelle et reproductive pour toutes les femmes et les filles », indique la déclaration publiée le 6 mai par Affaires mondiales Canada.
Le gouvernement Trudeau est bien connu pour sa promotion agressive de l’avortement sur la scène internationale. Il s’est engagé à verser 7,1 milliards de dollars d’ici 2030 pour financer et promouvoir l’avortement dans le cadre de son aide internationale, et a décrit l’accès mondial à l’avortement et les « droits sexuels et reproductifs » comme étant « au cœur » de sa politique étrangère.
La « Déclaration sur la protection de la santé et des droits sexuels et reproductifs et la promotion de l’égalité des genres pendant la crise de la COVID-19 » publiée sur Affaires mondiales Canada l’a été également sur l’ordre des ministres de 38 nations différentes « au nom des peuples et des gouvernements de 59 pays ».
Pour éviter la mortalité infantile ! :
« Le financement de la santé et des droits sexuels et reproductifs doit rester une priorité pour éviter une augmentation de la mortalité maternelle et infantile, répondre au besoin accru de méthodes contraceptives et éviter la hausse d’avortements à risque et d’infections sexuellement transmissibles », y déclare-t-on.
Alors c’est en tuant un enfant à naître qu’on le sauver d’une possible mort plus tard ? Quel est donc ce raisonnement débilement tordu ? Si vous tuez un enfant dans le sein de sa mère, vous ne réduirez pas la mortalité infantile !
Un catholique pro-vie, chef de la Chambre des communes du Royaume-Uni
Jacob Rees-Mogg, chef de la Chambre des communes et Lord président du Conseil du Royaume-Uni.
Par Martin M. Barillas ― traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo :
Londres, Angleterre, 25 juillet 2019 (LifeSiteNews) — Jacob Rees-Mogg, ce député connu pour aimer la messe latine traditionnelle et défendre la vie et le mariage, sera chef de la Chambre des communes britannique pendant que Boris Johnson assumera son rôle de nouveau Premier ministre du pays.
M. Rees-Mogg est membre du Parti conservateur et défenseur du Brexit. Mercredi, il a déclaré à SkyNews que son nouveau rôle est « un travail très intéressant à remplir » et « quelque chose qui m'intéresse beaucoup parce que j'ai consacré beaucoup de temps à la procédure et aux pratiques parlementaires. »
M. Rees-Mogg a décrit le premier ministre Johnson comme « un homme avec une mission », ajoutant : « Boris réalisera le Brexit et ensuite d'importantes politiques nationales. Le soleil brillera. »
Rees-Mogg est un catholique pratiquant qui s'est attiré les foudres des LGBT et des défenseurs de l'avortement pour avoir soutenu le mariage de entre homme et femme, et le droit à la vie.
« Jacob Rees Mogg, qui s'oppose à l'avortement en cas de viol et qui s'oppose ardemment aux droits des LGBTQ, est maintenant l'un des politiciens les plus puissants de Grande-Bretagne », a tweeté un chroniqueur socialiste du The Guardian.
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