Les pro-avortement présentent deux lesbiennes et un bébé portant le slogan : «Merci mon Dieu pour l’avortement» !
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Capture d'écran sur Twitter
15 novembre 2019 (LifeSiteNews) — Alors que les défenseurs de l’avortement les plus courants tentent de présenter l’avortement comme une nécessité tragique et insistent sur le fait que les personnes qui ont « besoin » de l’avortement ne le considèrent pas à la légère, les activistes moins soucieux des relations publiques compliquent souvent le message en glorifiant l’avortement ouvertement, par exemple avec une série de photos [montrant des personnes portant le chandail à manche courte] « Thank God for Abortion » (Merci mon Dieu pour l’avortement) qui sont devenues virales ce mois-ci.
ThankGodForAbortion.com vend des chandails portant le message, dans le but déclaré de faire en sorte que les gens puisse « habiter un endroit joyeux et authentique par rapport à notre propre expérience de l’avortement », et ceci, espèrent-ils, pour « éliminer la stigmatisation culpabilisante de l’avortement un chandail à la fois ». La page Instagram du groupe rassemble de plusieurs photos de sympathisants portant un de ces chandails, dont une qui attire l’attention, elle montre un couple de lesbiennes qui a mis un de ces habits pro-avortement sur un bébé :
« Hé bébé ! N’as-tu pas l’air mignon dans cette grenouillère pro-avortement ! Ta vie ne valait rien il y a à peine un mois ou deux », commentait sur Facebook Laura Klassen, fondatrice et directrice du groupe pro-vie ChoiceForTwo, résumant ainsi la logique exposée. Beaucoup de pro-vie étaient également dégoûtés :
« Thank God for Abortion » fait partie d’une vague de projets comme « Shout Your Abortion » (Crie ton avortement) qui tirent leur origine dans la théorie selon laquelle les récits « positifs » sur l’avortement sont la clé pour solidifier l’opinion publique, en mettant l’accent sur les bénéficiaires supposés de l’avortement et en repoussant toute idée que cette pratique est moins que saine. Ils ont toutefois eu peu d’impact sur la majorité de ceux qui s’opposent à la plupart des avortements, parce que ces essais n’ont pas abordé les aspects fondamentaux auxquelles l’avortement s’oppose : reconnaissance et compassion pour les enfants menacés par la procédure.
Les pro-vie soutiennent depuis longtemps que de telles glorifications de l’avortement sont une représentation plus exacte des vrais points de vue des défenseurs de l’avortement, même des plus courants, étant donné leur opposition à des restrictions même modestes en matière d’avortement, comme les périodes d’attente ou les échographies obligatoires.
Le prêtre qui a brûlé les Pachamama parle : elles « parodient » Notre Dame de Guadalupe
Par Bree A. Dail (LifeSiteNews) — Traduit par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits) — Photo : capture d'écran vidéo
Notre-Dame de Guadalupe est la patronne des pro-vie, aussi ne saurions-nous rester indifférents aux actes d’idolâtrie rendus aux statuettes de Pachamama, parodies de N.-D. de Guadalupe selon un exorciste mexicain, actes qui, outre leur sens idolâtre, blasphèment contre la Sainte Vierge par le culte qu’ils rendent à une caricature diabolique de l’Auguste Mère de Dieu.
Si nous parlons de cette affaire, c’est également parce que l’un des buts de notre organisme est de promouvoir la reconnaissance, par les représentants de tous les corps sociaux, y compris ceux de l’État, de la nécessité du christianisme, en tant que seule religion intégralement vraie, pour une réalisation pleine et entière du bien commun. Et un autre, de promouvoir la reconnaissance du fait que la foi chrétienne est raisonnable, et que la raison soutient la foi et la morale chrétiennes.
Pour promouvoir la foi chrétienne il faut donc la défendre de toutes atteintes qui lui sont portées. — A. H.
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Les « Pachamama » vénérées de manière idolâtre au Vatican et dans la ville de Rome au moment du synode sur l’Amazonie étaient une « parodie » de la Vierge de Guadalupe, selon un exorciste mexicain cité par le prêtre qui a brûlé des effigies de la statuette il y a quelques jours au cours d’un rite de réparation que l’on peut voir ici sur le blog d’Yves Daoudal.
Ce prêtre catholique de l’archidiocèse de Mexico, le P. Hugo Valdemar Romero, a expliqué dans un entretien avec LifeSiteNews pourquoi il a décidé de brûler des statues païennes de la « Pachamama ». Son geste, visant à expier le péché public d’idolâtrie au synode sur l’Amazonie, se justifiait par la « loi de Dieu », a-t-il déclaré.
La vidéo de la cérémonie qui a eu lieu en fin de semaine dernière est vite devenue virale sur les réseaux sociaux.
Le P. Hugo Valdemar Romero, ancien porte-parole de l’Archidiocèse de Mexico, actuellement grand pénitencier, a déclaré à LifeSiteNews qu’il avait invité les fidèles à participer à cette cérémonie en raison du « scandale et de la douleur causés par les graves actes d’idolâtrie, réalisés au Vatican avec les idoles amazoniennes pendant le synode sur l’Amazonie ».
Voici ma traduction intégrale de l’interview du P. Hugo Valdemar Romero avec Bree A. Dail de LifeSiteNews.
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Qu’est-ce qui a inspiré votre geste, c’est-à-dire la décision de prendre la tête des fidèles pour prononcer des prières de réparation, puis brûler les effigies de la Pachamama ?
Ce sont le scandale et la douleur causés par les graves actes d’idolâtrie, perpétrés au Vatican avec des idoles amazoniennes pendant le synode sur l’Amazonie. De nombreux fidèles, très blessés et en colère, se sont tournés vers moi ; ils nous demandaient (au clergé) de faire quelque chose pour montrer que nous rejetions l’idolâtrie et pour demander pardon à Dieu pour tant de sacrilèges et de profanations. J’ai donc décidé de faire ces actes de réparation.
Avez-vous parlé à des exorcistes d’Amérique latine et croyez-vous que ces rituels relevaient d’une influence démoniaque ?
Oui, j’ai parlé à un exorciste de Mexico qui m’a affirmé que la figure de la Pachamama était une parodie de la Vierge de Guadalupe. La Sainte Vierge, Notre Dame de Guadalupe apparaît dans sa sainte image comme une femme enceinte. Elle est venue pour donner naissance à Jésus, Lumière du Monde et seul Vrai Dieu, le seul but de notre vie. Elle est venue comme la Femme de l’Apocalypse, revêtue de soleil, et la lune à ses pieds. Cette Pachamama, en revanche, est sur le point de donner naissance à une créature rouge, de couleur démoniaque, et cette créature n’est rien de moins qu’une « nouvelle église ». Cette « église » est née du synode qui vient de s’achever — cette soi-disant « église à visage amazonien » qui prétend célébrer des rites orthodoxes, mais qui promeut (la notion de) diacres féminins et de prêtres mariés, l’exact contraire de la doctrine catholique et de la tradition de l’Église (romaine).
Dans votre vidéo, nous vous voyons parler de Notre-Dame de Guadalupe. A S. Maria in Traspontina, l’image de Notre-Dame de Guadalupe pouvait se voir, poussée sur le côté d’un des autels latéraux — où les Pachamamas ont été placées. Estimez-vous que c’est important ?
Bien sûr, c’est la grande imposture de la déesse satanique Pachamama. Elle cherche à usurper la place de Notre Dame de Guadalupe, à ôter de la foi catholique Celle qui est la Mère du Vrai Dieu, et à mettre à la place de Notre Dame la Terre-Mère, qui en réalité est idolâtrie, panthéisme et superstition.
Lire la suiteLe procès en homophobie de la Pologne après l’ultime provocation du lobby LGBT à Białystok
Par Olivier Bault (Visegrad Post)
Pologne – « Pologne : une gay pride attaquée par des ultranationalistes », titrait Le Figaro le 21 juillet pour illustrer une vidéo des moments les plus chauds publiée sur le site du journal le soir-même des troubles qui avaient agité la ville de Białystok, dans l’est de la Pologne, le samedi 20 juillet. Pour Le Monde, « Une Marche des fiertés LGBT à Białystok, bastion nationaliste en Pologne, vire au cauchemar » (titre du 22 juillet) : « Dans la région très conservatrice de la Podlachie, soixante contre-manifestations – nationalistes, ultracatholiques, parfois violentes – ont été signalées ».
Ce que les deux grands quotidiens français ne précisent pas, c’est que la « Marche des égalités » de Białystok était l’ultime provocation du lobby LGBT en Pologne. Un lobby peu nombreux mais massivement soutenu par les multinationales et les ambassades occidentales dans ce qui ressemble fort à une entreprise de colonisation culturelle du dernier grand pays majoritairement catholique du vieux continent. Ce lobby bénéficie aussi ces derniers temps du virage progressiste-libertaire tenté par l’opposition libérale polonaise, ce qui a sans doute fortement contribué à sa cuisante défaite aux élections européennes face au PiS.
Les militants LGBT ont beaucoup œuvré cette année pour remonter un grand nombre de Polonais contre eux, avec leurs profanations contre la foi catholique à Gdańsk (parodie de procession du Saint-Sacrement), Varsovie (parodie de messe) et Częstochowa (tentative de marche sur le sanctuaire de Jasna Gora au moment où s’y déroulait un pèlerinage d’enfants), sans parler les images de l’icône de la Vierge noire de Częstochowa repeinte avec une auréole aux couleurs de l’arc-en-ciel LGBT qu’ils brandissent régulièrement dans leurs manifestations depuis le printemps.
Białystok est au cœur d’une région conservatrice, comme l’est toute la partie orientale du pays où le parti social-conservateur Droit et Justice, qui gouverne la Pologne depuis 2015, est nettement mieux implanté que dans la moitié ouest. C’était donc l’endroit idéal pour organiser la première gay pride de l’histoire en sachant que beaucoup s’y opposeraient. Car le but du lobby LGBT en Pologne semble bien de causer les réactions les plus vives possibles afin de pouvoir se présenter en victimes de violences et de discriminations. Or si cela doit obligatoirement passer par une stratégie de la provocation permanente, en s’attaquant aux symboles les plus sacrés, cela montre bien que la société polonaise est de nature plutôt tolérante.
Lire la suitePlus de 100 catholiques, dont 7 prêtres, prient devant le lieu où se déroule une «messe noire» satanique à Ottawa
Les prêtres priant devant le lieu où se déroulait le sacrilège.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : capture d'écran vidéo
Plus de 120 catholiques, dont 7 prêtres ont prié devant le bar The Koven, en réparation du rituel satanique public (une cinquantaine de billets avaient même été vendus) qui était tenu en ce sombre lieu. C’est avec la bénédiction de l’archevêque d’Ottawa, Mgr Prendergast, que ces braves chrétiens sont allés prier jusque devant la tanière de l’Ennemi, pendant que l’archevêque, en présence d’autres catholiques, procédait à un salut du Saint-Sacrement. Extrait de LifeSiteNews :
Sept prêtres et plus de 120 catholiques ont prié devant le bar The Koven samedi soir alors qu'une messe noire satanique était perpétrée à l'intérieur.
Les catholiques se sont d'abord rassemblés sur les marches de la cathédrale Notre-Dame, à environ cinq minutes à pied du The Koven, où l'archevêque d'Ottawa, Mgr Terrence Prendergast, et l'évêque auxiliaire Guy Desrochers, de Cornwall, les ont bénis avant leur départ, comme l'indique Catholicnewsworld.
Lire la suiteUn certain nombre de personnes, d'autres prêtres et des membres des Sœurs de Marie Reine sont restés dans la cathédrale avec les évêques et l'évêque auxiliaire Christian Riesbeck pour l'adoration.
Parmi les sept prêtres se trouvait un célèbre Compagnon de la Croix (Companion of the Cross ), le P. Mark Goring.
« C'était un témoignage de foi extraordinaire », a écrit Michael Dopp, l'un des organisateurs de la veillée, dans un courriel aux partisans.
« Voir plus d'une centaine de chrétiens prier ensemble et dehors dans le marché à 23h00 un samedi soir ! Je faisais le tour du pâté de maisons et pendant environ une heure, j'étais derrière un groupe de six Québécois de 25 ans qui récitaient le chapelet en latin pendant qu'ils marchaient ", note Dopp.
« J'ai été frappé en les suivant par le fait que si Satan veut disperser les chrétiens, cela nous a fait montrer à la lumière », écrit-il.
Un archevêque polonais et le LGBTisme
Mgr Marek Jędraszewski, archevêque de Cracovie.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Archidiecezja Krakowska Biuro Prasow/Flickr
Voilà un évêque qui sait mettre les poings sur les « i », d’après Le blog d’Yves Daoudal :
« La peste rouge ne parcourt plus notre terre. Ce qui ne veut pas dire qu’il n’y en ait pas une nouvelle. Une Pologne libre est née, même s'il a fallu attendre sa naissance très longtemps. La peste rouge ne parcourt plus notre terre, heureusement, mais cela ne signifie pas qu’une nouvelle peste ne veuille contrôler nos âmes, nos cœurs et nos esprits. Non pas marxiste, bolchevique, mais née du même esprit. Pas rouge, mais arc-en-ciel. »
Propos de Mgr Marek Jędraszewski, archevêque de Cracovie, hier [1er août], au cours d’une messe à la basilique Sainte-Marie pour le 75e anniversaire du soulèvement de Varsovie.
De telles paroles sur la mouvance LGBT ont été vertement critiquées un peu partout par les médias comme l’AFP, tandis qu’en Pologne on se contente de les publier en mentionnant qu’elles ont été applaudies.
Précisons qu’en Pologne, les partisans LGBT forment des manifestations provocatrices aux mêmes moments que des pèlerinages catholiques à des lieux comme Częstochowa, proférant des blasphèmes et commettant des dégradations sur les églises. Mieux (pire je veux dire), le 28 juillet, trois hommes sont entrés dans la sacristie d’une église de Szczecin, frappant le prêtre qui s’y trouvait et qui refusait de leur céder des ornements sacerdotaux que les individus réclamaient pour procéder à une cérémonie de « mariage » entre hommes. Voilà la « peste arc-en-ciel » dont il est question.
Mais qui l’OGM (Ordinaire et gros média) critique-t-il ? Un évêque…
Protéger son pays, d’après Le blog d’Yves Daoudal :
A propos de peste, on peut rappeler que si la Pologne fut largement épargnée par la peste noire au XIVe siècle, c’est parce que le roi Casimir le Grand avait établi une rigoureuse quarantaine pour toute personne voulant entrer dans le royaume.
Asia Bibi déjà menacée par un islamiste sur Internet
Par Eric Pilon (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : British Pakistani Christians et Catholic Philly/Voici la source de la photo : Asia Bibi
L’homme, dont on ne connaît pas l’identité, dit qu’il est débarqué au Canada pour tuer la chrétienne d’origine pakistanaise
Une semaine à peine après son arrivée au Canada, Asia Bibi est déjà l’objet de menaces sur Internet. Un individu, dont on ne connaît pas l’identité, a publié une vidéo dans laquelle il affirme être débarqué au Canada pour tuer la chrétienne d’origine pakistanaise.
La vidéo a été rapportée par la British Pakistani Christian Association et la nouvelle relayée par le Catholic News Service. Dans la vidéo, on peut entendre l’homme, qui ne montre jamais son visage, entonner un chant islamique en l’honneur de Mahomet, le fondateur de l’islam, et déclarer qu’il veut tuer « la blasphématrice Asia Bibi ».
« On ne sait pas si la menace proférée par l’homme de la vidéo est réelle ou non, cependant, le fait que [celle-ci] existe représente une [très grande] source d’inquiétude », a déclaré Wilson Chowdhry de la British Pakistani Christian Association. Selon cet organisme, « un certain nombre » d’églises au Pakistan auraient reçu des menaces après la libération de Mme Bibi le 8 mai dernier. Les autorités pakistanaises auraient pris des mesures pour renforcer la sécurité de ces lieux de culte.
Ni la British Pakistani Christian Association ni le Catholic News Service n’ont indiqué si la vidéo avait été signalée aux autorités canadiennes.
Rappelons qu’Asia Bibi avait été acquittée en novembre dernier des accusations d’avoir blasphémé l’islam après huit ans de purgatoire dans les geôles du Pakistan. Elle a trouvé asile au Canada où elle est arrivée mercredi dernier.
Asia Bibi quitte le Pakistan et arrive au Canada
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Enfin Asia Bibi est arrivée au Canada, où, espérons-le, elle pourra être en paix, loin des islamistes qui voulaient sa mort pour un prétendu blasphème contre Mahomet. En prison depuis 2010, Mme Bibi attendait sa pendaison, décidée en même temps par le tribunal qui avait « reconnu sa culpabilité » (il n’y aurait rien eu à lui reprocher combien même elle aurait vraiment insulté Mahomet). En appelant à une instance supérieure, elle finit par obtenir la reconnaissance de son innocence, après de longues années carcérales passées dans l’angoisse et les menaces, tant bien de l’intérieur de la prison que de l’extérieur. Extrait de la Catholic News Agency :
Asia Bibi, l’épouse et mère catholique qui a passé 9 ans dans le couloir de la mort pour accusation de blasphème au Pakistan, a quitté le pays et est arrivée en sécurité au Canada.
Selon l’agence de presse espagnole COPE, Mme Bibi, cette Pakistanaise, est arrivée au Canada, où elle et ses filles ont obtenu l’asile. Son état de santé serait délicat.
Des représentants du gouvernement pakistanais ont confirmé que Mme Bibi avait quitté le pays, mais n’ont pas indiqué sa destination.
Bibi, 53 ans, était en détention préventive à Islamabad depuis que sa condamnation à mort a été annulée à la fin octobre. Le verdict et sa libération subséquente de prison ont déclenché des protestations de la part des partisans de la ligne dure islamique qui soutiennent les rigoureuses lois contre le blasphème dans ce pays.
L’emprisonnement de Bibi a commencé en 2010 lorsqu’elle a été reconnue coupable de blasphème et condamnée à mort par pendaison. Les accusations découlaient d’accusations de 2009 selon lesquelles elle aurait tenu des propos désobligeants à l’égard du prophète islamique Mohammed après une dispute autour d’une tasse d’eau.
L’incendie de Notre-Dame de Paris, symbole pour l’Occident apostat ?
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Le désastre qui a frappé la cathédrale Notre-Dame de Paris hier est inexprimable, des vitraux ont été abîmés, son toit et sa charpente vieux de plus de 770 ans et d'avantage pour certaines parties ont complètement brûlé, sa grande flèche s’est abattue. combien d’autres dégâts a-t-elle à déplorer ? La structure a heureusement tenu, bien qu’une inspection soit nécessaire pour s’assurer des dommages qu’elle a dû souffrir.
Un trésor d’histoire s’est ainsi anéanti en peu de temps, un grand sanctuaire qui renferme la Couronne d’épines, sans doute essaiera-t-on de reconstruire ce qui a été perdu, mais, les églises ayant été confisquées par l’État et lui « appartenant » depuis 1905 et n’étant prêtées à l’Église catholique que pour un but religieux, Notre-Dame sera-t-elle réparée conformément à ce qu’elle était auparavant ou sera-t-elle l’objet des outrages de l’« art » contemporain ?
L’incendie de la Cathédrale Notre-Dame de Paris est un symbole pour l’Occident apostat, car il représente bien la destruction actuelle de la morale, de la foi et de la raison qui s’y opère, il est peut-être aussi un avertissement de la destruction qui menace la France et l’Occident s’ils continuent sur cette voie glissante… Extraits de Pierre et les Loups (traduction d'un article de Mark Mallett) :
Lire la suiteUn Occident qui renie sa foi, son histoire, ses racines [, sa culture] est condamné au mépris et à la mort.
— Cardinal Sarah, dix jours avant l’incendie ; Catholic Herald, le 5 avril 2019« Il n’y a pas de culture française. »
— Emmanuel Macron, février 2017 ; lefigaro.fr« Madame la Présidente, je suis dans un travail de démolition que je mène depuis cinq ans avec obstination... Donc, euh... Laissez-moi faire ! »
— François Hollande (parlant sans doute de la France, le démon ne cache même plus ses intentions !), de passage à la basilique de Saint-Denis, mars 2017 ; rt.com (Ajout de Pierre et les Loups.)C’est la perte du symbole du christianisme en Europe.
— Un commentateur de la CSNB lors de l’incendie du 15 avril 2019La société occidentale est une société dans laquelle Dieu est absent de la sphère publique et n’a plus rien à y dire. Et c’est pourquoi nous voyons une société dans laquelle se perd la mesure de ce qui est humain.
— Pape émérite Benoît XVI, Essai : « L’Église et le scandale des abus sexuels » ; har22201.blogspot.com, le 10 avril 2019
Vague de vandalisme contre des églises en France
Par Eric Pilon (Le Peuple) ― Voici la ou les sources de cet article : Breitbart, Spero, Huffpost et Twitter / Voici la source de la photo : Wikimedia Commons
Selon un organisme, 80 % des profanations de lieu de culte dans ce pays concernent des églises.
Médias et politiciens sont restés silencieux sur l'affaire, mais quelques voix se sont élevées pour tenter de réveiller la conscience sociale. Au moins une dizaine d'églises ont été soit vandalisées soit la proie des flammes ces derniers jours en France. La plus connue, l'église Saint-Sulpice de Paris, a subi des dégâts causés par un incendie dont l'origine reste, semble-t-il, inconnue.
Sauf que Laurent Wauquiez, le chef du parti Les Républicains, est convaincu que l'acte est de nature antichrétienne. Il a souligné qu'en janvier seulement, 66 églises avaient été « profanées ». « Assez d'omerta. Ouvrons les yeux », a-t-il écrit sur Twitter.
Ailleurs, à Nîmes, l'église Notre-Dame-des-Enfants a été l'objet de vandalisme. Des profanateurs y ont peint une croix avec des excréments humains et s'en sont pris à l'autel ainsi qu'au tabernacle. L'église Notre-Dame de Dijon, à l'est du pays, a subi à peu de choses près le même sort, de même que d'autres églises à travers le pays.
Le phénomène en inquiète plusieurs, surtout le silence des médias et des personnalités politiques. Une pétition a même été lancée pour que le gouvernement s'attaque au problème.
Les parrains de cette pétition demandent au ministre de l'Intérieur de publier « une liste exhaustive de toutes les attaques antichrétiennes en France » et souhaitent « qu'il condamne ces actes sacrilèges, qui sont une atteinte directe aux Chrétiens de France et à tous les Français qui respectent l'héritage chrétien de notre pays ».
Selon eux, « 80 % des profanations de lieu de culte en France concernent des églises ».
Une BD blasphématoire américaine doit se chercher un nouvel éditeur
Par Pierre-Alain Depauw (Medias-Presse.info) — Photo : PxHere
L’entreprise américaine de bandes dessinées DC Comics s’apprêtait à publier une nouvelle série mettant en scène Jésus-Christ en tant que coéquipier d’un superhéros « tout-puissant ».
Le contenu scandaleux et blasphématoire de cette bande dessinée ne faisait aucun doute.
Selon Fox News, la bande dessinée « Second Coming » « explique pourquoi Jésus a quitté la Terre pour la première fois et revient encore ». L’auteur, Mark Russell, avait récemment expliqué sur quoi reposait le scénario blasphématoire de sa bande dessinée : « Dieu était tellement en colère contre la performance de Jésus la première fois qu’il est venu sur Terre. Il a été arrêté si tôt et crucifié [si] peu de temps après, qu’il l’a depuis gardé enfermé. »
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