Après l’arrestation en Pologne d’un militant LGBT pour des faits de violence, la gauche s’enflamme
Par Olivier Bault (Visegrád Post) — Photo : asier_relampagoestudio/Freepik
L’agression a eu lieu le 27 juin dernier rue Wilcza à Varsovie. Un groupe de militants LGBT a alors encerclé une fourgonnette de l’organisation pro-vie Pro-Prawo do Życia. Parmi eux, Michał Sz., qui semblait entraîner les autres. Le conducteur de la fourgonnette a filmé l’incident, tandis que le passager est descendu et a cherché à calmer les esprits, les pneus du véhicule ayant de toute façon été crevés par les agresseurs. Un des militants LGBT a cherché à le renverser sans y parvenir, mais il a rapidement été aidé par Michał Sz. qui l’a fait tomber à terre avant de lui assener quelques coups puis de le laisser, repartant accompagné de ses acolytes.
Aujourd’hui, sur la base des vidéos en possession du parquet, Michał Sz. est aussi accusé d’être un des auteurs des dommages causés à la fourgonnette (pneus et bâche de la remorque lacérés au couteau, rétroviseur cassé, plaques d’immatriculation arrachées…), et il a en outre appelé ultérieurement, sur les réseaux sociaux, à commettre d’autres agressions physiques du même type contre la fourgonnette de Pro-Prawo do Życia.
Comme nous l’expliquions en mai dernier sur le Visegrád Post à propos des agressions qu’ont à subir régulièrement les militants de Pro-Prawo do Życia :
« Ce qui a énervé les agresseurs, ce sont les inscriptions sur la fourgonnette dans le cadre d’une campagne contre la pédophilie et contre l’imposition dans certaines grandes villes dirigées par les libéraux de la Plateforme civique (PO), dont Varsovie, des Standards pour l’éducation sexuelle en Europe de l’OMS, avec notamment sur le côté du camion les mots suivants, écrits en lettres majuscules :
Qu’est-ce que le lobby LGBT veut enseigner aux enfants ?
- La masturbation à 4 ans,
- Le consentement au sexe à 6 ans,
- Les premières expériences sexuelles et l’orgasme à 9 ans »
Des inscriptions que la justice polonaise a refusé d’interdire au motif que « les informations présentées sur ce panneau et concernant l’éducation sexuelle ne sont pas fausses puisqu’elles proviennent de la matrice de l’éducation sexuelle élaborée par le bureau régional de l’OMS pour l’Europe et le BZgA » et qu’« il est de notoriété publique que le mouvement LGBT est favorable à l’éducation sexuelle selon les standards de l’OMS » (jugement du tribunal de Gdańsk prononcé en 2019, quand le juge a ordonné le retrait provisoire de plusieurs banderoles en attente d’un jugement définitif face à une plainte déposée par des organisations LGBT, tout en autorisant la Fondation Pro-Prawo do Życia à continuer de déployer les banderoles portant l’inscription ci-dessus).
Lire la suiteLes militantes LGBT qui ont profané une statue du Christ à Varsovie arrêtées
Statue du Christ portant la croix devant l’église de la Sainte-Croix dans la rue Krakowskie Przedmieście, à Varsovie en Pologne.
Par Olivier Beault (Présent) — Photo : Lee Kindness/Wikimedia Commons
De notre correspondant permanent à Varsovie – Dans la nuit du 28 au 29 juillet, trois militantes du mouvement LGBT grimpaient sur une statue du Christ portant la croix située devant l’église de la Sainte-Croix dans la rue Krakowskie Przedmieście à Varsovie, non loin du palais présidentiel et du centre ancien. Cette profanation avait fait réagir jusqu’au premier ministre Mateusz Morawiecki qui avait parlé de « barbarie ». Les trois jeunes femmes avaient masqué le visage du Christ à l’aide d’un foulard portant le symbole anarchiste, elles avaient accroché un drapeau LGBT à la statue et posé devant le socle une plaque avec des mots vulgaires à l’intention des « ignorants ». On peut supposer que dans les esprits « éclairés » de ces trois militantes les « ignorants » sont les croyants. Elles avaient ensuite pris des photos avant de les publier sur les médias sociaux accompagnées de revendications de leur droit à provoquer.
L’insulte aux sentiments religieux étant un délit en Pologne, les trois militantes ont été arrêtées mardi par la police pour être interrogées avant d’être libérées à l’issue de leur garde à vue. Leur arrestation fait hurler les médias de gauche en Pologne, qui crient une fois de plus à la dictature. Curieusement, ces mêmes médias n’avaient rien trouvé à redire en juillet 2015 lors de l’arrestation par la police, sous les gouvernements des libéraux, d’une jeune femme qui avait jeté une tête de porc devant une mosquée nouvellement construite à Varsovie. Le délit est pourtant le même : insulte aux sentiments religieux, même si la femme en question avait expliqué son geste par une déception amoureuse concernant son petit ami musulman, tandis que les trois militantes LGBT du Collectif Stop aux Bêtises (Kolektyw Stop Bzdurom) revendiquent le caractère idéologique de leur profanation.
Un eurodéputé du PiS, Adam Bielan, ayant souligné le parallèle entre les deux affaires, le site d’information de gauche Oko.press explique doctement que la comparaison ne vaut pas raison puisque le geste de 2015 visait une minorité tandis que celui commis il y a quelques jours est le fait d’une minorité « discriminée » contre la majorité et sa culture dominante. Dans le premier cas, l’arrestation de la coupable était donc souhaitable, car il s’agissait d’un acte haineux, mais dans le deuxième l’arrestation des coupables serait caractéristique d’un régime autoritaire et homophobe.
Des militants LGBT profanent une statue du Christ à Varsovie
Statue du Christ à Varsovie, en Pologne.
Par Olivier Beault (Présent) — Photo : ddouk/Pixabay
« En Pologne, nous ne commettrons pas les erreurs de l’Occident. Nous voyons tous à quoi mène la tolérance vis-à-vis de la barbarie. La tolérance implique aussi la réciprocité*. Sans respect des idéaux de la majorité, les minorités, au lieu de gagner le soutien des gens, ne se font que des ennemis. » C’est en ces mots que le Premier ministre polonais Mateusz Morawiecki a réagi à la nouvelle de la profanation par des militants LGBT d’une statue du Christ en plein centre de Varsovie. Une figure du Christ portant la croix d’autant plus symbolique aux yeux des habitants de la capitale polonaise à l’approche de la date anniversaire du 1er août qu’elle était tombée au moment de la défaite de l’Insurrection de Varsovie d’août-septembre 1944. Elle était alors restée à terre, le bras du Christ dirigé vers le Ciel avec, visible, la sentence latine « Sursum corda » (Élevons les cœurs). Les militants LGBT prenant part à la profanation ont grimpé sur cette statue pour y accrocher un drapeau LGBT et mettre un foulard avec le symbole anarchiste sur le visage du Christ, avant de prendre des photos qu’ils ont publiées sur les réseaux sociaux en revendiquant leur droit à provoquer.
Le parquet a été saisi par le ministère de la Justice, l’insulte aux sentiments religieux étant un délit en Pologne même si c’est rarement puni par les tribunaux.
Profanateurs LGBT à l'œuvre.
*La vraie tolérance n’est pas exactement cela, elle n’est pas forcément réciproque, dans le sens que quelqu’un peut tolérer un autre qui fait le mal, par contre il serait erroné de dire qu’un individu malfaisant devrait aussi tolérer une personne faisant le bien, vu que cette dernière n’est pas passible de tolérance, mais digne de louanges. Ce que je veux dire, c’est qu’il n’y a que le mal qui peut être toléré et que le bien, lui, doit être honoré. — A. H.
Trump prêt à châtier les vandales s’attaquant aux statues et aux églises catholiques
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Donald Trump, président des États-Unis promet de punir « avec toute la rigueur qu’impose la loi » les iconoclastes s’attaquant aux monuments ou aux églises catholiques aux États-Unis, affirme un haut responsable de la Maison-Blanche. Le président a par ailleurs signé un décret le 26 juin sanctionnant quiconque s’en prendrait aux monuments ; Trump avait déclaré, « ils s’en prennent également à Jésus-Christ, mais tant que je serai là, cela n’arrivera pas ». Selon Sputnik News :
Donald Trump a promis de punir « avec toute la rigueur qu’impose la loi » ceux qui attaquent des monuments ou églises catholiques aux États-Unis, relate le journal Daily Caller qui cite des propos d’un haut représentant de la Maison-Blanche.
« Le Président Trump se joint à la communauté catholique et exprime sa solidarité en ces temps difficiles. Rassurez-vous, le Président Trump exigera toujours le respect de la loi et de l’ordre dans les communautés américaines et veillera à ce que les criminels à l’origine de ces actes sacrilèges soient poursuivis avec toute la rigueur qu’impose la loi », a informé le responsable.
Et le responsable de rappeler le vandalisme mené contre les monuments catholiques comme cette statue de Jésus décapitée à Miami et celle de Marie brûlée à Boston.
Lire la suiteTrudeau voulait donner 900 millions de dollars à un organisme promouvant l’avortement et l’homosexualité
Justin Trudeau, (hélas) premier ministre du Canada.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Shutterstock
Le gouvernement canadien avait formé le projet de confier la gestion d’un programme destiné aux étudiants et nouveaux diplômés, ainsi que son coquet budget de 900 millions de dollars, et ce sans appel d’offre, à l’organisme WE Charity aussi appelé UNIS. Cependant, pour une raison que le gouvernement Trudeau n’a pas donnée, le contrat n’ira finalement pas à l’organisme, selon Le Journal de Montréal :
Le gouvernement et l’organisme WE Charity ou UNIS, qui avait obtenu le contrat sans appel d’offre, indiquent avoir convenu « mutuellement » que l’organisation proche de la famille Trudeau ne gérerait finalement pas le programme.
Destiné aux étudiants, d’après Le Journal de Montréal :
Le programme de 900 millions $ prévoit un versement de 1000 à 5000 $ aux étudiants qui feront du bénévolat au cours des quatre prochains mois.
Apparemment UNIS ferait l’objet d’accusations de racisme, rapporte Le Journal de Montréal :
WE Charity fait face à des allégations de racisme et de malversation qui ont visiblement résonné au sein du gouvernement.
Je ne sais trop quoi penser de ces accusations, vu qu’à notre époque on applique pour tout et rien cette étiquette. D’un autre côté, je ne serais pas surpris d’apprendre qu’un organisme gauchiste fût la proie à ce problème, tant il est vrai que ceux parmi les plus intolérants se trouvent parmi les promoteurs de la « tolérance », et qu’il y a souvent des racistes chez les « antiracistes ». Mais passons…
La méthode de recrutement qu’aurait suivi UNIS consistait à passer par les professeurs afin que ceux-ci recrutassent chacun 75 à 100 étudiants, 55 dans les régions rurales, pour la modique somme de 12 000 dollars ! Selon Radio-Canada :
Selon l’annonce du poste de « gestionnaire de volontaires » sur le site internet d’UNIS, les éducateurs devront recruter et gérer un nombre différent d’étudiants, selon qu’ils sont situés en zones rurales ou urbaines.
« Nous avons besoin d’éducateurs engagés comme vous pour recruter, diriger et encadrer un groupe de 75 à 100 étudiants admissibles de votre communauté dans le cadre de ce programme. En tant que responsable de groupe, vous recevrez une rémunération de 12 000 dollars », précise l’annonce.
Argent pour le recrutement
Les éducateurs en régions rurales doivent recruter et encadrer au moins 55 étudiants pour recevoir la même rémunération.
Ils doivent notamment être disponibles pour « recruter activement » des étudiants et aider à superviser la participation bénévole au programme pendant les mois de juillet et août.
Les étudiants eux-mêmes ont la possibilité de gagner entre 1 000 et 5 000 dollars, selon le nombre d’heures qu’ils effectuent auprès d’un organisme à but non lucratif.
D’après ce que je peux comprendre, des professeurs devaient être payés 12 000 dollars pour recruter 55 à 100 élèves afin de les envoyer travailler bénévolement dans des organismes à but non lucratif. Combien pariez-vous qu’UNIS aurait fait le tri parmi les organisations auxquelles les étudiants eussent été aller pour remplir leur tâche bénévole et recevoir le subside promis ? Certes, un certain tri est toujours nécessaire, mais UNIS est un organisme international qui propage l’idéologie pro-avortement et LGBT. Cela serait un peu revenu à envoyer de la main-d’œuvre à toutes sortes d’alliés de Trudeau.
Lire la suiteAsia Bibi demande l’asile en France
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info)
Je trouve l’idée d’aller en France bien curieuse, je crains bien que Mme Bibi n’aille devant les ennuis en se rendant dans ce malheureux pays où les musulmans et les islamistes sont en plus grande proportion qu’au Canada. — A. H.
Asia Bibi, cette chrétienne pakistanaise condamnée à mort pour blasphème en 2010 au Pakistan, puis acquittée fin 2018 après une vaste campagne internationale de soutien, demande l’asile en France. C’est ce qu’elle a annoncé ce lundi 24 février sur RTL.
« J’ai le désir que le Président entende ma demande d’asile », a déclaré cette mère de famille pakistanaise qui ne peut retourner vivre dans son pays à cause des menaces islamistes qui pèsent sur sa vie. Selon ce que rapporte RTL, Asia Bibi va être reçue par Emmanuel Macron ce vendredi 28 février. En 2010, elle avait été condamnée à mort pour « blasphème » après avoir bu de l’eau d’un puits qu’elle aurait « souillé » par ce geste. Elle a finalement été acquittée fin 2018 après 11 ans de prison et a trouvé refuge au Canada.
Vivre en France « est mon désir », a indiqué Asia Bibi, expliquant qu’elle voulait « travailler aux côtés » d’Anne-Isabelle Tollet, avec qui elle a écrit un livre autobiographique, Enfin libre !
Il insulte les catholiques sur France Inter : il présente ses excuses aux… LGBT
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Le prétendu « humoriste » Frédéric Formet avait braillé, sur la chaîne de télévision France Inter, une chanson blasphématoire où il faisait du Christ une sorte de pervers, tant à la mode actuellement, pendant que les animateurs riaient comme des bossus.
Mais devant l’avalanche de critiques, justement indignées, de ceux qui honorent Jésus-Christ, et devant les clameurs de quelques-uns qui se sont insurgés contre le caractère « homophobe » qu’ils ont apparemment ressenti dans cette chansonnette, M. Formet s’est excusé… auprès du mouvement LGBT, oubliant les principaux intéressés, ou Le principal. Selon Le Salon Beige :
Après sa chronique « humoristique » intitulée « Jésus est pédé », sur France Inter, Frédéric Fromet a reçu une avalanche de reproches sur les réseaux sociaux, mais aussi plusieurs plaintes via la médiatrice des antennes de Radio France. Problème : le chansonnier ne s’est pas excusé pour ce qu’on lui reproche réellement.
En effet, si une partie de la gauche s’est insurgée du caractère homophobe de sa chanson, la majorité des critiques venaient de sa charge contre le catholicisme.
Ignoble blasphème contre le Christ sur France Inter
Par Léo Kersauzie (Medias-Presse.info)
Nous recevons ce communiqué de CIVITAS :
Un ignoble blasphème public a été commis contre Notre-Seigneur Jésus-Christ et ne peut rester sans réaction.
Le vendredi 10 janvier, sur les ondes de la radio France Inter, une « chanson » ordurière intitulée « Jésus est pédé » a été diffusée, entonnée par le soi-disant « humoriste » Frédéric Fromet.
Pour que chacun mesure la gravité du blasphème, voici quelques extraits de ce qui a été diffusé par une radio du service public.
« Jésus est pédé, membre de la LGBT [… etc.] »
Ce « chanteur humoriste » Frédéric Fromet n’en est pas à sa première provocation foncièrement antichrétienne. Il s’était déjà illustré sur cette même radio France Inter en chantant « elle a cramé la cathédrale » — aux paroles également ignobles — quelques jours seulement après l’incendie de la cathédrale Notre-Dame de Paris.
Le blasphème public diffusé par France Inter vendredi dernier a entraîné l’hilarité des animateurs présents sur le plateau radio.
Il est bien évident qu’il serait inconcevable que France Inter diffuse une chanson qui se moquerait de façon équivalente du judaïsme ou de l’islam. Sous couvert d’humour, c’est le christianisme qu’ils haïssent publiquement.
CIVITAS appelle tous les catholiques à réagir massivement. Non pas par une pétition mais en protestant directement à France Inter. Nous devons exiger des excuses publiques et des sanctions à l’égard des responsables récidivistes d’actes antichrétiens.
Par mail : [email protected]
Par téléphone : 01.45.24.70.00/01.56.40.22.22
Par courrier postal : Maison de la Radio – France Inter, 116 avenue du Président Kennedy, 75220 Paris Cedex 16
Notre silence serait impardonnable. L’antichristianisme qui sévit en ce moment ne se résume ni à des paroles ni à des dessins immondes. Il se traduit aussi, en France, par de très nombreuses profanations de lieux de culte et même parfois des tentatives d’incendie de lieux de culte.
Cela doit cesser !
Alain Escada,
président de CIVITAS
Un juge brésilien ordonne à Netflix de retirer un film qui dépeint le Christ comme homosexuel
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Signez la pétition : Netflix, retirez le film « La première tentation du Christ »
Mise à jour (10 janvier 2020) : « Comme prévu par la source de renseignements LifeSite, la Cour suprême du Brésil vient d'annuler la décision du juge Benedicto Abicair, permettant ainsi à Netflix de laisser le film blasphématoire La première tentation du Christ disponible au Brésil », rapporte LifeSiteNews.
Un juge brésilien a ordonné à la branche brésilienne de Netflix de retirer le film blasphématoire La première tentation du Christ qui montre le Christ en homosexuel ayant un amant. Ceci est assurément une bonne nouvelle, bien qu’il y ait de forts risques que ce jugement soit cassé en de plus hautes instances, dans ce pays qui a eu deux décades de socialistes au pouvoir, et qui a, par conséquent, de mauvais juges. Selon LifeSiteNews :
Un juge a ordonné à Netflix de retirer un film blasphématoire de son service.
Le juge, Benedicto Abicair, a rendu son jugement mercredi dernier à Rio de Janeiro. La décision fait suite à une pétition signée par plus de deux millions de Brésiliens qui affirment que le film humoristique, intitulé La première tentation du Christ, a enfreint la loi et « a gravement offensé les chrétiens ». Dans le film, le Christ est représenté comme homosexuel.
Ricardo German, étudiant brésilien basé à Édimbourg, a déclaré à LifeSiteNews qu’il était enchanté de cette décision.
« Je pense que c’est génial », déclara-t-il via les médias sociaux, et il a expliqué que le juge s’appuyait sur une base juridique solide. Selon l’article 208 du Code pénal brésilien, « dénigrer publiquement un acte ou un objet de culte religieux » est un crime passible d’une peine d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à un an ».
« Le juge Abicair n’a fait qu’ordonner la suspension provisoire d’une œuvre en violation flagrante de cette interdiction juridique », déclara German. Le juge, selon German, peut interdire à la succursale brésilienne de Netflix, officiellement une « personne morale » aux fins de la procédure judiciaire, de mettre le film à disposition pour le visionner. Il peut également interdire à Porta dos Fundos [le producteur] de faire de la publicité pour le film dans tout endroit accessible depuis le Brésil, « ce qui techniquement inclurait l’Internet dans son ensemble (du moins en langue portugaise, pourraient dire certains juristes) ».
Signez la pétition : Netflix, retirez le film « La première tentation du Christ »
Netflix dépeint le Christ comme homosexuel et la Vierge Marie comme adultère
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Signez la pétition : Netflix, retirez le film « La première tentation du Christ »
Netflix était déjà un dépotoir à films obscènes, mais le trois décembre il a ajouté à son palmarès un film blasphématoire, au titre sulfureux La première tentation du Christ, montrant Jésus comme homosexuel et la Vierge Marie comme adultère. Selon LifeSiteNews :
Netflix a lancé un film blasphématoire « spécial Noël » qui dépeint Jésus comme homosexuel et la Vierge Marie comme adultère, ce qui a incité plus d’un million de personnes à signer une pétition pour que le film soit retiré de ce populaire service de diffusion.
A Primeira Tentação de Cristo, ou La première tentation du Christ, est une production de la troupe de comédiens brésilienne Porta dos Fundos [Porte de derrière]. Dans la scène imaginaire, Jésus est montré en train de ramener à la maison un amant homosexuel pour le présenter à Marie et Joseph.
Une troupe douteuse, d’après LifeSiteNews :
Lire la suitePlus d’un million de personnes ont signé une pétition sur Change.org demandant que la vidéo « gravement offensante » soit retirée du service de diffusion en ligne. Des politiciens et des personnalités publiques ont dénoncé la vidéo et Porta dos Fundos. Le célèbre acteur et réalisateur brésilien Carlos Vereza, par exemple, a écrit sur Facebook que la troupe de satiristes était « lamentable » pour ses créations de « films poubelle-pornos ».