Trump prêt à châtier les vandales s’attaquant aux statues et aux églises catholiques
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Donald Trump, président des États-Unis promet de punir « avec toute la rigueur qu’impose la loi » les iconoclastes s’attaquant aux monuments ou aux églises catholiques aux États-Unis, affirme un haut responsable de la Maison-Blanche. Le président a par ailleurs signé un décret le 26 juin sanctionnant quiconque s’en prendrait aux monuments ; Trump avait déclaré, « ils s’en prennent également à Jésus-Christ, mais tant que je serai là, cela n’arrivera pas ». Selon Sputnik News :
Donald Trump a promis de punir « avec toute la rigueur qu’impose la loi » ceux qui attaquent des monuments ou églises catholiques aux États-Unis, relate le journal Daily Caller qui cite des propos d’un haut représentant de la Maison-Blanche.
« Le Président Trump se joint à la communauté catholique et exprime sa solidarité en ces temps difficiles. Rassurez-vous, le Président Trump exigera toujours le respect de la loi et de l’ordre dans les communautés américaines et veillera à ce que les criminels à l’origine de ces actes sacrilèges soient poursuivis avec toute la rigueur qu’impose la loi », a informé le responsable.
Et le responsable de rappeler le vandalisme mené contre les monuments catholiques comme cette statue de Jésus décapitée à Miami et celle de Marie brûlée à Boston.
Lire la suiteTrudeau voulait donner 900 millions de dollars à un organisme promouvant l’avortement et l’homosexualité
Justin Trudeau, (hélas) premier ministre du Canada.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Shutterstock
Le gouvernement canadien avait formé le projet de confier la gestion d’un programme destiné aux étudiants et nouveaux diplômés, ainsi que son coquet budget de 900 millions de dollars, et ce sans appel d’offre, à l’organisme WE Charity aussi appelé UNIS. Cependant, pour une raison que le gouvernement Trudeau n’a pas donnée, le contrat n’ira finalement pas à l’organisme, selon Le Journal de Montréal :
Le gouvernement et l’organisme WE Charity ou UNIS, qui avait obtenu le contrat sans appel d’offre, indiquent avoir convenu « mutuellement » que l’organisation proche de la famille Trudeau ne gérerait finalement pas le programme.
Destiné aux étudiants, d’après Le Journal de Montréal :
Le programme de 900 millions $ prévoit un versement de 1000 à 5000 $ aux étudiants qui feront du bénévolat au cours des quatre prochains mois.
Apparemment UNIS ferait l’objet d’accusations de racisme, rapporte Le Journal de Montréal :
WE Charity fait face à des allégations de racisme et de malversation qui ont visiblement résonné au sein du gouvernement.
Je ne sais trop quoi penser de ces accusations, vu qu’à notre époque on applique pour tout et rien cette étiquette. D’un autre côté, je ne serais pas surpris d’apprendre qu’un organisme gauchiste fût la proie à ce problème, tant il est vrai que ceux parmi les plus intolérants se trouvent parmi les promoteurs de la « tolérance », et qu’il y a souvent des racistes chez les « antiracistes ». Mais passons…
La méthode de recrutement qu’aurait suivi UNIS consistait à passer par les professeurs afin que ceux-ci recrutassent chacun 75 à 100 étudiants, 55 dans les régions rurales, pour la modique somme de 12 000 dollars ! Selon Radio-Canada :
Selon l’annonce du poste de « gestionnaire de volontaires » sur le site internet d’UNIS, les éducateurs devront recruter et gérer un nombre différent d’étudiants, selon qu’ils sont situés en zones rurales ou urbaines.
« Nous avons besoin d’éducateurs engagés comme vous pour recruter, diriger et encadrer un groupe de 75 à 100 étudiants admissibles de votre communauté dans le cadre de ce programme. En tant que responsable de groupe, vous recevrez une rémunération de 12 000 dollars », précise l’annonce.
Argent pour le recrutement
Les éducateurs en régions rurales doivent recruter et encadrer au moins 55 étudiants pour recevoir la même rémunération.
Ils doivent notamment être disponibles pour « recruter activement » des étudiants et aider à superviser la participation bénévole au programme pendant les mois de juillet et août.
Les étudiants eux-mêmes ont la possibilité de gagner entre 1 000 et 5 000 dollars, selon le nombre d’heures qu’ils effectuent auprès d’un organisme à but non lucratif.
D’après ce que je peux comprendre, des professeurs devaient être payés 12 000 dollars pour recruter 55 à 100 élèves afin de les envoyer travailler bénévolement dans des organismes à but non lucratif. Combien pariez-vous qu’UNIS aurait fait le tri parmi les organisations auxquelles les étudiants eussent été aller pour remplir leur tâche bénévole et recevoir le subside promis ? Certes, un certain tri est toujours nécessaire, mais UNIS est un organisme international qui propage l’idéologie pro-avortement et LGBT. Cela serait un peu revenu à envoyer de la main-d’œuvre à toutes sortes d’alliés de Trudeau.
Lire la suiteAsia Bibi demande l’asile en France
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info)
Je trouve l’idée d’aller en France bien curieuse, je crains bien que Mme Bibi n’aille devant les ennuis en se rendant dans ce malheureux pays où les musulmans et les islamistes sont en plus grande proportion qu’au Canada. — A. H.
Asia Bibi, cette chrétienne pakistanaise condamnée à mort pour blasphème en 2010 au Pakistan, puis acquittée fin 2018 après une vaste campagne internationale de soutien, demande l’asile en France. C’est ce qu’elle a annoncé ce lundi 24 février sur RTL.
« J’ai le désir que le Président entende ma demande d’asile », a déclaré cette mère de famille pakistanaise qui ne peut retourner vivre dans son pays à cause des menaces islamistes qui pèsent sur sa vie. Selon ce que rapporte RTL, Asia Bibi va être reçue par Emmanuel Macron ce vendredi 28 février. En 2010, elle avait été condamnée à mort pour « blasphème » après avoir bu de l’eau d’un puits qu’elle aurait « souillé » par ce geste. Elle a finalement été acquittée fin 2018 après 11 ans de prison et a trouvé refuge au Canada.
Vivre en France « est mon désir », a indiqué Asia Bibi, expliquant qu’elle voulait « travailler aux côtés » d’Anne-Isabelle Tollet, avec qui elle a écrit un livre autobiographique, Enfin libre !
Il insulte les catholiques sur France Inter : il présente ses excuses aux… LGBT
Frédéric Formet.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Le prétendu « humoriste » Frédéric Formet avait braillé, sur la chaîne de télévision France Inter, une chanson blasphématoire où il faisait du Christ une sorte de pervers, tant à la mode actuellement, pendant que les animateurs riaient comme des bossus.
Mais devant l’avalanche de critiques, justement indignées, de ceux qui honorent Jésus-Christ, et devant les clameurs de quelques-uns qui se sont insurgés contre le caractère « homophobe » qu’ils ont apparemment ressenti dans cette chansonnette, M. Formet s’est excusé… auprès du mouvement LGBT, oubliant les principaux intéressés, ou Le principal. Selon Le Salon Beige :
Après sa chronique « humoristique » intitulée « Jésus est pédé », sur France Inter, Frédéric Fromet a reçu une avalanche de reproches sur les réseaux sociaux, mais aussi plusieurs plaintes via la médiatrice des antennes de Radio France. Problème : le chansonnier ne s’est pas excusé pour ce qu’on lui reproche réellement.
En effet, si une partie de la gauche s’est insurgée du caractère homophobe de sa chanson, la majorité des critiques venaient de sa charge contre le catholicisme.
Ignoble blasphème contre le Christ sur France Inter
Par Léo Kersauzie (Medias-Presse.info)
Nous recevons ce communiqué de CIVITAS :
Un ignoble blasphème public a été commis contre Notre-Seigneur Jésus-Christ et ne peut rester sans réaction.
Le vendredi 10 janvier, sur les ondes de la radio France Inter, une « chanson » ordurière intitulée « Jésus est pédé » a été diffusée, entonnée par le soi-disant « humoriste » Frédéric Fromet.
Pour que chacun mesure la gravité du blasphème, voici quelques extraits de ce qui a été diffusé par une radio du service public.
« Jésus est pédé, membre de la LGBT [… etc.] »
Ce « chanteur humoriste » Frédéric Fromet n’en est pas à sa première provocation foncièrement antichrétienne. Il s’était déjà illustré sur cette même radio France Inter en chantant « elle a cramé la cathédrale » — aux paroles également ignobles — quelques jours seulement après l’incendie de la cathédrale Notre-Dame de Paris.
Le blasphème public diffusé par France Inter vendredi dernier a entraîné l’hilarité des animateurs présents sur le plateau radio.
Il est bien évident qu’il serait inconcevable que France Inter diffuse une chanson qui se moquerait de façon équivalente du judaïsme ou de l’islam. Sous couvert d’humour, c’est le christianisme qu’ils haïssent publiquement.
CIVITAS appelle tous les catholiques à réagir massivement. Non pas par une pétition mais en protestant directement à France Inter. Nous devons exiger des excuses publiques et des sanctions à l’égard des responsables récidivistes d’actes antichrétiens.
Par mail : [email protected]
Par téléphone : 01.45.24.70.00/01.56.40.22.22
Par courrier postal : Maison de la Radio – France Inter, 116 avenue du Président Kennedy, 75220 Paris Cedex 16
Notre silence serait impardonnable. L’antichristianisme qui sévit en ce moment ne se résume ni à des paroles ni à des dessins immondes. Il se traduit aussi, en France, par de très nombreuses profanations de lieux de culte et même parfois des tentatives d’incendie de lieux de culte.
Cela doit cesser !
Alain Escada,
président de CIVITAS
Un juge brésilien ordonne à Netflix de retirer un film qui dépeint le Christ comme homosexuel
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Signez la pétition : Netflix, retirez le film « La première tentation du Christ »
Mise à jour (10 janvier 2020) : « Comme prévu par la source de renseignements LifeSite, la Cour suprême du Brésil vient d'annuler la décision du juge Benedicto Abicair, permettant ainsi à Netflix de laisser le film blasphématoire La première tentation du Christ disponible au Brésil », rapporte LifeSiteNews.
Un juge brésilien a ordonné à la branche brésilienne de Netflix de retirer le film blasphématoire La première tentation du Christ qui montre le Christ en homosexuel ayant un amant. Ceci est assurément une bonne nouvelle, bien qu’il y ait de forts risques que ce jugement soit cassé en de plus hautes instances, dans ce pays qui a eu deux décades de socialistes au pouvoir, et qui a, par conséquent, de mauvais juges. Selon LifeSiteNews :
Un juge a ordonné à Netflix de retirer un film blasphématoire de son service.
Le juge, Benedicto Abicair, a rendu son jugement mercredi dernier à Rio de Janeiro. La décision fait suite à une pétition signée par plus de deux millions de Brésiliens qui affirment que le film humoristique, intitulé La première tentation du Christ, a enfreint la loi et « a gravement offensé les chrétiens ». Dans le film, le Christ est représenté comme homosexuel.
Ricardo German, étudiant brésilien basé à Édimbourg, a déclaré à LifeSiteNews qu’il était enchanté de cette décision.
« Je pense que c’est génial », déclara-t-il via les médias sociaux, et il a expliqué que le juge s’appuyait sur une base juridique solide. Selon l’article 208 du Code pénal brésilien, « dénigrer publiquement un acte ou un objet de culte religieux » est un crime passible d’une peine d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à un an ».
« Le juge Abicair n’a fait qu’ordonner la suspension provisoire d’une œuvre en violation flagrante de cette interdiction juridique », déclara German. Le juge, selon German, peut interdire à la succursale brésilienne de Netflix, officiellement une « personne morale » aux fins de la procédure judiciaire, de mettre le film à disposition pour le visionner. Il peut également interdire à Porta dos Fundos [le producteur] de faire de la publicité pour le film dans tout endroit accessible depuis le Brésil, « ce qui techniquement inclurait l’Internet dans son ensemble (du moins en langue portugaise, pourraient dire certains juristes) ».
Signez la pétition : Netflix, retirez le film « La première tentation du Christ »
Netflix dépeint le Christ comme homosexuel et la Vierge Marie comme adultère
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Stock Catalog/Flickr
Signez la pétition : Netflix, retirez le film « La première tentation du Christ »
Netflix était déjà un dépotoir à films obscènes, mais le trois décembre il a ajouté à son palmarès un film blasphématoire, au titre sulfureux La première tentation du Christ, montrant Jésus comme homosexuel et la Vierge Marie comme adultère. Selon LifeSiteNews :
Netflix a lancé un film blasphématoire « spécial Noël » qui dépeint Jésus comme homosexuel et la Vierge Marie comme adultère, ce qui a incité plus d’un million de personnes à signer une pétition pour que le film soit retiré de ce populaire service de diffusion.
A Primeira Tentação de Cristo, ou La première tentation du Christ, est une production de la troupe de comédiens brésilienne Porta dos Fundos [Porte de derrière]. Dans la scène imaginaire, Jésus est montré en train de ramener à la maison un amant homosexuel pour le présenter à Marie et Joseph.
Une troupe douteuse, d’après LifeSiteNews :
Lire la suitePlus d’un million de personnes ont signé une pétition sur Change.org demandant que la vidéo « gravement offensante » soit retirée du service de diffusion en ligne. Des politiciens et des personnalités publiques ont dénoncé la vidéo et Porta dos Fundos. Le célèbre acteur et réalisateur brésilien Carlos Vereza, par exemple, a écrit sur Facebook que la troupe de satiristes était « lamentable » pour ses créations de « films poubelle-pornos ».
Les pro-avortement présentent deux lesbiennes et un bébé portant le slogan : «Merci mon Dieu pour l’avortement» !
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Capture d'écran sur Twitter
15 novembre 2019 (LifeSiteNews) — Alors que les défenseurs de l’avortement les plus courants tentent de présenter l’avortement comme une nécessité tragique et insistent sur le fait que les personnes qui ont « besoin » de l’avortement ne le considèrent pas à la légère, les activistes moins soucieux des relations publiques compliquent souvent le message en glorifiant l’avortement ouvertement, par exemple avec une série de photos [montrant des personnes portant le chandail à manche courte] « Thank God for Abortion » (Merci mon Dieu pour l’avortement) qui sont devenues virales ce mois-ci.
ThankGodForAbortion.com vend des chandails portant le message, dans le but déclaré de faire en sorte que les gens puisse « habiter un endroit joyeux et authentique par rapport à notre propre expérience de l’avortement », et ceci, espèrent-ils, pour « éliminer la stigmatisation culpabilisante de l’avortement un chandail à la fois ». La page Instagram du groupe rassemble de plusieurs photos de sympathisants portant un de ces chandails, dont une qui attire l’attention, elle montre un couple de lesbiennes qui a mis un de ces habits pro-avortement sur un bébé :
« Hé bébé ! N’as-tu pas l’air mignon dans cette grenouillère pro-avortement ! Ta vie ne valait rien il y a à peine un mois ou deux », commentait sur Facebook Laura Klassen, fondatrice et directrice du groupe pro-vie ChoiceForTwo, résumant ainsi la logique exposée. Beaucoup de pro-vie étaient également dégoûtés :
« Thank God for Abortion » fait partie d’une vague de projets comme « Shout Your Abortion » (Crie ton avortement) qui tirent leur origine dans la théorie selon laquelle les récits « positifs » sur l’avortement sont la clé pour solidifier l’opinion publique, en mettant l’accent sur les bénéficiaires supposés de l’avortement et en repoussant toute idée que cette pratique est moins que saine. Ils ont toutefois eu peu d’impact sur la majorité de ceux qui s’opposent à la plupart des avortements, parce que ces essais n’ont pas abordé les aspects fondamentaux auxquelles l’avortement s’oppose : reconnaissance et compassion pour les enfants menacés par la procédure.
Les pro-vie soutiennent depuis longtemps que de telles glorifications de l’avortement sont une représentation plus exacte des vrais points de vue des défenseurs de l’avortement, même des plus courants, étant donné leur opposition à des restrictions même modestes en matière d’avortement, comme les périodes d’attente ou les échographies obligatoires.
Le prêtre qui a brûlé les Pachamama parle : elles « parodient » Notre Dame de Guadalupe
Par Bree A. Dail (LifeSiteNews) — Traduit par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits)
Notre-Dame de Guadalupe est la patronne des pro-vie, aussi ne saurions-nous rester indifférents aux actes d’idolâtrie rendus aux statuettes de Pachamama, parodies de N.-D. de Guadalupe selon un exorciste mexicain, actes qui, outre leur sens idolâtre, blasphèment contre la Sainte Vierge par le culte qu’ils rendent à une caricature diabolique de l’Auguste Mère de Dieu.
Si nous parlons de cette affaire, c’est également parce que l’un des buts de notre organisme est de promouvoir la reconnaissance, par les représentants de tous les corps sociaux, y compris ceux de l’État, de la nécessité du christianisme, en tant que seule religion intégralement vraie, pour une réalisation pleine et entière du bien commun. Et un autre, de promouvoir la reconnaissance du fait que la foi chrétienne est raisonnable, et que la raison soutient la foi et la morale chrétiennes.
Pour promouvoir la foi chrétienne il faut donc la défendre de toutes atteintes qui lui sont portées. — A. H.
***
Les « Pachamama » vénérées de manière idolâtre au Vatican et dans la ville de Rome au moment du synode sur l’Amazonie étaient une « parodie » de la Vierge de Guadalupe, selon un exorciste mexicain cité par le prêtre qui a brûlé des effigies de la statuette il y a quelques jours au cours d’un rite de réparation que l’on peut voir ici sur le blog d’Yves Daoudal.
Ce prêtre catholique de l’archidiocèse de Mexico, le P. Hugo Valdemar Romero, a expliqué dans un entretien avec LifeSiteNews pourquoi il a décidé de brûler des statues païennes de la « Pachamama ». Son geste, visant à expier le péché public d’idolâtrie au synode sur l’Amazonie, se justifiait par la « loi de Dieu », a-t-il déclaré.
La vidéo de la cérémonie qui a eu lieu en fin de semaine dernière est vite devenue virale sur les réseaux sociaux.
Le P. Hugo Valdemar Romero, ancien porte-parole de l’Archidiocèse de Mexico, actuellement grand pénitencier, a déclaré à LifeSiteNews qu’il avait invité les fidèles à participer à cette cérémonie en raison du « scandale et de la douleur causés par les graves actes d’idolâtrie, réalisés au Vatican avec les idoles amazoniennes pendant le synode sur l’Amazonie ».
Voici ma traduction intégrale de l’interview du P. Hugo Valdemar Romero avec Bree A. Dail de LifeSiteNews.
*
Qu’est-ce qui a inspiré votre geste, c’est-à-dire la décision de prendre la tête des fidèles pour prononcer des prières de réparation, puis brûler les effigies de la Pachamama ?
Ce sont le scandale et la douleur causés par les graves actes d’idolâtrie, perpétrés au Vatican avec des idoles amazoniennes pendant le synode sur l’Amazonie. De nombreux fidèles, très blessés et en colère, se sont tournés vers moi ; ils nous demandaient (au clergé) de faire quelque chose pour montrer que nous rejetions l’idolâtrie et pour demander pardon à Dieu pour tant de sacrilèges et de profanations. J’ai donc décidé de faire ces actes de réparation.
Avez-vous parlé à des exorcistes d’Amérique latine et croyez-vous que ces rituels relevaient d’une influence démoniaque ?
Oui, j’ai parlé à un exorciste de Mexico qui m’a affirmé que la figure de la Pachamama était une parodie de la Vierge de Guadalupe. La Sainte Vierge, Notre Dame de Guadalupe apparaît dans sa sainte image comme une femme enceinte. Elle est venue pour donner naissance à Jésus, Lumière du Monde et seul Vrai Dieu, le seul but de notre vie. Elle est venue comme la Femme de l’Apocalypse, revêtue de soleil, et la lune à ses pieds. Cette Pachamama, en revanche, est sur le point de donner naissance à une créature rouge, de couleur démoniaque, et cette créature n’est rien de moins qu’une « nouvelle église ». Cette « église » est née du synode qui vient de s’achever — cette soi-disant « église à visage amazonien » qui prétend célébrer des rites orthodoxes, mais qui promeut (la notion de) diacres féminins et de prêtres mariés, l’exact contraire de la doctrine catholique et de la tradition de l’Église (romaine).
Dans votre vidéo, nous vous voyons parler de Notre-Dame de Guadalupe. A S. Maria in Traspontina, l’image de Notre-Dame de Guadalupe pouvait se voir, poussée sur le côté d’un des autels latéraux — où les Pachamamas ont été placées. Estimez-vous que c’est important ?
Bien sûr, c’est la grande imposture de la déesse satanique Pachamama. Elle cherche à usurper la place de Notre Dame de Guadalupe, à ôter de la foi catholique Celle qui est la Mère du Vrai Dieu, et à mettre à la place de Notre Dame la Terre-Mère, qui en réalité est idolâtrie, panthéisme et superstition.
Lire la suiteLe procès en homophobie de la Pologne après l’ultime provocation du lobby LGBT à Białystok
Par Olivier Bault (Visegrad Post)
Pologne – « Pologne : une gay pride attaquée par des ultranationalistes », titrait Le Figaro le 21 juillet pour illustrer une vidéo des moments les plus chauds publiée sur le site du journal le soir-même des troubles qui avaient agité la ville de Białystok, dans l’est de la Pologne, le samedi 20 juillet. Pour Le Monde, « Une Marche des fiertés LGBT à Białystok, bastion nationaliste en Pologne, vire au cauchemar » (titre du 22 juillet) : « Dans la région très conservatrice de la Podlachie, soixante contre-manifestations – nationalistes, ultracatholiques, parfois violentes – ont été signalées ».
Ce que les deux grands quotidiens français ne précisent pas, c’est que la « Marche des égalités » de Białystok était l’ultime provocation du lobby LGBT en Pologne. Un lobby peu nombreux mais massivement soutenu par les multinationales et les ambassades occidentales dans ce qui ressemble fort à une entreprise de colonisation culturelle du dernier grand pays majoritairement catholique du vieux continent. Ce lobby bénéficie aussi ces derniers temps du virage progressiste-libertaire tenté par l’opposition libérale polonaise, ce qui a sans doute fortement contribué à sa cuisante défaite aux élections européennes face au PiS.
Les militants LGBT ont beaucoup œuvré cette année pour remonter un grand nombre de Polonais contre eux, avec leurs profanations contre la foi catholique à Gdańsk (parodie de procession du Saint-Sacrement), Varsovie (parodie de messe) et Częstochowa (tentative de marche sur le sanctuaire de Jasna Gora au moment où s’y déroulait un pèlerinage d’enfants), sans parler les images de l’icône de la Vierge noire de Częstochowa repeinte avec une auréole aux couleurs de l’arc-en-ciel LGBT qu’ils brandissent régulièrement dans leurs manifestations depuis le printemps.
Białystok est au cœur d’une région conservatrice, comme l’est toute la partie orientale du pays où le parti social-conservateur Droit et Justice, qui gouverne la Pologne depuis 2015, est nettement mieux implanté que dans la moitié ouest. C’était donc l’endroit idéal pour organiser la première gay pride de l’histoire en sachant que beaucoup s’y opposeraient. Car le but du lobby LGBT en Pologne semble bien de causer les réactions les plus vives possibles afin de pouvoir se présenter en victimes de violences et de discriminations. Or si cela doit obligatoirement passer par une stratégie de la provocation permanente, en s’attaquant aux symboles les plus sacrés, cela montre bien que la société polonaise est de nature plutôt tolérante.
Lire la suite