L’église Sacré-Cœur n’ouvrira pas ses portes pour accueillir un spectacle de « drag-queens »
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Khayman/Wikimedia Commons/Répertoire du patrimoine culturel du Québec — Mise à jour 26 juillet 2023
Bonne nouvelle, le spectacle de drag-queens qui devait se tenir dans l’église Sacré-Cœur du village Sacré-Cœur-sur-Le-Fjord-Du-Saguenay, dans le cadre du Festival du Fjord, n’aura finalement pas lieu dans l’édifice sacré ! L’église de la Côte-Nord n’accueillera pas un spectacle de drag, contrairement à ce que titrait (triomphalement ?) TVA Nouvelles le 14 juillet.
La pression populaire aura fait reculer les marguilliers de la fabrique ou les organisateurs du festival, sans doute peu désireux d’attirer une telle attention sur leur localité.
Nous avons d’abord appris, par un sympathisant de Campagne Québec-Vie, que le festival avait été déplacé. Un membre de sa famille ayant contacté la municipalité de Sacré-Cœur au sujet du spectacle de drag-queens, il s’est fait répondre qu’il devait avoir lieu dans le Centre récréatif.
Nous avons vu ensuite sur la page Facebook « Les Drags du Fjord | Festival du Fjord » que l’événement aurai lieu dans le « Centre récréatif (aréna) » du village Sacré-Cœur, le 1er septembre.
Victoire ! Bonne nouvelle ! Il est certes dommageable que l’événement de « drag » ait tout de même lieu, mais au moins il ne se tiendra pas dans l’église du Sacré-Cœur.
Nous avons fait quelques efforts pour dénoncer la tenue de ce spectacle dans une église, notamment en écrivant en un article, en rédigeant une pétition et en envoyant un courriel à nos lecteurs. À quel point notre action a-t-elle influencé la décision des organisateurs de l’événement ? Nous avons en tout cas la joie de voir que le sacrilège n’aura pas lieu.
Dieu merci !
Drag-queen dans une église au Québec
Église Sacré-Cœur de Jésus.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : LostRen/Wikimedia
Pétition : Non aux drag-queens à l’église Sacré-Cœur-de-Jésus
Ceci n’est pas le titre d’une émission douteuse, c’est un simple fait, c’est un événement à venir. Un événement de drag-queen aura lieu dans l’église Sacré-Cœur-de-Jésus dans la municipalité de Sacré-Cœur-sur-Le-Fjord-Du-Saguenay. La fabrique de cette paroisse du diocèse de Baie-Comeau a accepté la tenue du Festival du Fjord dans l’église du 31 août au 3 septembre, chose déjà scandaleuse en soi, dont un spectacle de « drag-queen ».
Un spectacle familial, garantit l’un des membres organisateurs, selon Le Journal de Québec :
« C’est un spectacle pour toute la famille, assure le président du comité, Billy Hovington. On veut montrer c’est quoi l’art de la drag et dans le fond, l’art de la drag, c’est du transformisme. »
Mais qu’est-ce qu’un « drag-queen » ou « reine de la drague » ? Si l’on se fie au nom, il s’agit d’une entreprise de séduction à des fins très intéressées. D’ailleurs, ce genre de personnage et de spectacle correspondant se trouvaient dans les cabarets et autres lieux interdits aux mineurs. Ce n’est qu’assez récemment que les drag-queens sont sortis de leurs tavernes pour lire des histoires aux enfants dans les bibliothèques et les écoles, ou pour se trémousser devant eux de façon obscène... Tout cela dans le but avoué de changer leur vision du monde et de leur identité propre. Maintenant, apparemment, ils s’en viennent dans les églises, ce qui est doublement scandaleux.
Lire la suiteDes fidèles catholiques prient le chapelet en réparation de la « messe de la fierté » LGBT à la paroisse de Joe Biden
Au premier plan, Doug Mainwaring.
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie
15 juin 2023 (LifeSiteNews) — Un groupe de fidèles catholiques s’est rassemblé pour prier le Rosaire devant la paroisse jésuite fréquentée par le président Joe Biden, tandis qu’une « messe arc-en-ciel » LGBT se déroulait à l’intérieur.
Une quarantaine de catholiques se sont réunis en face de l’église historique Holy Trinity Church, dans le quartier chic de Georgetown, à deux pas de l’entrée de l’université Georgetown, dans la capitale du pays.
« De même que notre Seigneur Jésus-Christ a été crucifié en public, de même notre réparation pour les péchés commis à son encontre doit être faite en public », a expliqué Preston Noell de Tradition, Family, and Property (TFP), qui a dirigé le rassemblement de prière empreint de dignité, sur le trottoir.
« Si nous ne nous opposons pas à ces choses par des rassemblements pour prier le chapelet comme nous le faisons aujourd’hui, elles deviendront légion et se normaliseront », a déclaré M. Noell. « Nous ne pouvons pas permettre que cela se produise ».
« La partie saine de la société, en particulier parmi les catholiques, doit réagir face à cet assaut mené contre la civilisation chrétienne par les promoteurs de l’homosexualité », a-t-il ajouté.
« C’est un événement blasphématoire », a déclaré Lori Hall, qui a fait le voyage depuis la Virginie pour assister au rassemblement. « Notre messe est profanée par cette façon de faire ».
Janet Pin, également originaire de Virginie, a abondé dans le même sens. « Ce qu’ils font dans cette église est tellement choquant », a-t-elle déclaré. « C’est un blasphème de ce qu’est la sainte messe ».
« Je suis venue aujourd’hui parce que je voulais offrir une réparation à notre Seigneur pendant le mois du Sacré-Cœur », a déclaré Rebecca Oas, directrice de recherche de C-Fam, le Centre pour la famille et les droits de l’homme.
« Je pense qu’il est important qu’il y ait une forte participation des laïcs, surtout quand nos bergers ne sont pas prêts à se lever », a ajouté Mme Oas.
Lire la suiteLa mobilisation catholique éclipse la « Pride Night » blasphématoire dans le stade des Dodgers
Par Pierre-Alain Depauw (Médias-Presse-Info)
Plus de 5 000 catholiques se sont présentés à l’énorme rassemblement de prière vendredi contre la cérémonie LGBT blasphématoire dans le Dodger Stadium pratiquement vide lorsque l’équipe a honoré les homosexuels travestis en religieuses.
Aux Etats-Unis, l’affaire a fait grand bruit depuis plusieurs semaines. Dans le cadre de l’étouffante propagande LGBT du mois de juin qui ne devait épargner aucun secteur, l’équipe des Dodgers était mise à contribution. La direction des Dodgers croyait se faire de la publicité à bon compte en organisant une cérémonie avec un groupe d’homosexuels blasphémateurs travestis en religieuses. En matière de publicité, la direction des Dodgers a été servie. Les catholiques de tout le pays ont organisé une énorme campagne contre cette provocation blasphématoire LGBT. Les réseaux sociaux se sont emparés du sujet. L’image des Dodgers en est sortie sérieusement ternie.
Le camouflet final est arrivé vendredi dernier. Au moment où devait se tenir cette cérémonie blasphématoire dans le stade des Dodgers, un rassemblement de prières de réparation organisé à Los Angeles a attiré plusieurs milliers de personnes. Tandis que la cérémonie blasphématoire LGBT s’est tenue dans un stade quasi vide.
C’est une victoire pour les catholiques et « un signal d’alarme » pour les évêques américains car les organisateurs de la campagne catholique ont annoncé : « nous n’attendrons plus qu’ils prennent l’initiative ».
Lire la suiteLa Cour européenne juge que la pro-avortement poitrine nue qui a profané une église de Paris avait droit à la « liberté d’expression »
Par Jeanne Smits, correspondante à Paris — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Facebook/Baya Komza
13 octobre 2022 (LifeSiteNews) — La Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a accordé près de 10 000 euros (9791 dollars américains) de dommages et intérêts et de frais de justice à une ancienne membre des « Femen », Éloïse Bouton, au motif que son droit à la « liberté d’expression » a été violé par les tribunaux français qui l’ont condamnée pour son intrusion choquante « seins nus » dans l’église parisienne de La Madeleine peu avant 10 heures du matin le 20 décembre 2013.
Les juges européens ont décidé que le gouvernement français, défendeur dans cette affaire, devait verser 2 000 euros de dommages et intérêts et 7 800 euros supplémentaires pour couvrir les frais de justice de Bouton, car elle a été condamnée à une peine pénale trop lourde pour des actes qui visaient à exprimer une opinion politique.
Au moment de « l’exhibition » de Bouton devant le maître-autel de La Madeleine, la France sortait à peine de plusieurs mois d’affrontements entre partisans et adversaires du « mariage » homosexuel, devenu loi en mai 2013. Pendant plus d’un an, dans toute l’Europe, des femmes membres de l’organisation féministe d’origine ukrainienne « Femen » s’étaient introduites dans des événements publics et des lieux symboliques chrétiens, les seins nus et affichant des slogans offensants peints sur leur corps.
Éloïse Bouton, une journaliste indépendante travaillant pour la presse grand public qui a ensuite quitté les Femen en 2014, était la vedette de l’événement prévu par le groupe pour exiger la protection du « droit » à l’avortement. Accompagnée d’une douzaine de journalistes, dont un rédacteur de la grande agence France Presse, elle est entrée à La Madeleine pendant une répétition de la chorale, se déshabillant jusqu’à la taille et plaçant un voile bleu clair sur sa tête ainsi qu’une « couronne » de fleurs rouges.
Les mots « 344e salope » (expression obscène désignant une femme aux mœurs légères) sont peints en rouge sur sa poitrine, en référence au manifeste de 343 « salopes » autoproclamées, incluant des célébrités, qui ont admis en 1971 avoir avorté illégalement afin de faire pression sur les autorités pour légaliser le meurtre des enfants à naître. L’avortement sera dépénalisé en France peu après, en décembre 1974.
Sur le dos de Bouton étaient peints les mots suivants : « Christmas is canceled » (sic).
Elle « simule un avortement » puis se tient face à la nef, les bras tendus comme si elle était crucifiée, portant dans ses deux mains des morceaux de foie de bœuf ensanglantés. Selon le curé de La Madeleine, elle aurait également uriné sur les marches de l’autel, bien que ce point n’ait jamais été confirmé. Bouton a été arrêtée et placée en garde à vue pendant quelques heures avant d’être inculpée d’« attentat à la pudeur », appelé « exhibition sexuelle » dans le Code pénal français.
Ce choix d’inculpation s’explique par le fait que la loi française n’incrimine pas la profanation d’objets sacrés en tant que telle, ni les blasphèmes ; tout au plus permet-elle de poursuivre la discrimination religieuse, les appels à la « haine » ou la diffamation dans la mesure où ils touchent les croyants d’une croyance donnée.
Lire la suiteUne colonne du New York Times expose les objectifs antichrétiens et pro-avortement de la révolution féministe
Par John Horvat II — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Jordan Uhl/Flickr
13 septembre 2022 (LifeSiteNews) — L’une des plus fortes contradictions de l’avortement provoqué est que cette pratique est si contraire à l’instinct maternel. Elle défie l’imagination de tous ceux qui ont connu et révèrent leur mère.
Le lien intime qui s’établit pendant le temps de la grossesse crée une affection indéniable entre la mère et l’enfant. Ainsi, les mères chérissent et nourrissent leurs enfants avec tendresse et amour. Dans une famille saine, le lien se prolonge toute la vie, car les enfants rendent naturellement la pareille en exaltant leur mère. C’est ainsi que les choses devraient être.
Les féministes ne sont pas d’accord. Cependant, elles ont du mal à surmonter ce récit parce qu’il est si naturel. L’affection maternelle s’est toujours avérée un obstacle à la révolution sexuelle qui cherche à priver la sexualité de sa conséquence naturelle : les enfants. L’idéal de la maternité doit être détruit pour une véritable « libération ». Plus important encore, la véritable cible est le christianisme et la plus haute manifestation de l’instinct maternel que l’on trouve dans la Sainte Mère.
La maternité, produit de l’imagination fertile des hommes ?
Pour faciliter cette attaque, certaines féministes prétendent maintenant que l’instinct maternel n’est pas féminin. « La science » vient à la rescousse en déclarant que l’instinct maternel est la création d’imaginations masculines fertiles et oppressives. Ces féministes affirment que de nouvelles preuves suggèrent que la maternité est une construction sociale qui aide les hommes à opprimer les femmes.
Cette conclusion irrationnelle se trouve dans un long et scandaleux essai du New York Times intitulé « L’instinct maternel est un mythe créé par les hommes ». L’auteur en est Chelsea Conaboy, journaliste spécialisée dans la santé et auteur du livre à paraître Mother Brain : How Neuroscience Is Rewriting the Story of Parenthood.
Il est rare de voir un mélange aussi explosif de pseudoscience, de dialectique marxiste et de rhétorique anti-chrétienne. L’article est plein de ressentiment et de colère. Il n’y a rien de spirituel dans cette évaluation. Elle réduit l’instinct maternel à des impulsions neurologiques. En effet, rien n’est sacré. La maternité et la tarte aux pommes ne sont plus à la mode, mais les « personnes qui accouchent » le sont.
Lire la suiteArtiste montréalais, Mayne Champagne compose une chanson pro-vie en réponse à Kendrick Lamar
Mayne Champagne.
Par Joanne D’Arc (Campagne Québec-Vie)
Suite au renversement de la décision Roe v. Wade en Juin 2022, un nombre d’artistes et musiciens à travers le monde se sont exprimés ouvertement au sujet de l’avortement. Parmi eux, Kendrick Lamar s’exclama « Godspeed for women’s rights » soit « Dieu est pour les droits de la femme » et « They judge you, they judge Christ » soit « S’ils vous jugent, ils jugent le Christ ».
C’est de cette façon qu’à la fin de sa performance de la chanson « Saviour » au festival annuel de musique en Angleterre, à Glastonbury, que Kendrick insinue que Jésus-Christ serait pour les droits de la femme à l’avortement. Furieux et préoccupé par cette hérésie, Mayne Champagne artiste montréalais, compose la chanson « Vanity » qui dénonce ce blasphème.
M. Champagne est un artiste hip-hop qui a subi une conversion importante dans sa vie. Le reportage de CBC news nous fait part qu’il a passé son adolescence à fuir les autorités et près de huit ans en aller-retour de la prison. Il vient récemment de déménager de Toronto à Montréal et nous avons eu le plaisir de discuter avec lui lors d’un entretien avec Campagne Québec Vie, le 10 août 2022.
Joanne pour CQV : Monsieur Champagne, qu’est-ce qui vous a inspiré à composer la chanson « Vanity »?
Mayne Champagne : J’ai composé cette chanson en réponse à la chanson de Kendrick Lamar qu’il a présenté au festival de Glastonbury. J’ai découvert son blogue en ligne et j’ai vu qu’il portait une couronne d’épines comme le Christ. Ensuite, j’ai réalisé qu’il essaie d’influencer le public en passant un message sur l’avortement et les droits de la femme. Il a laissé les gens penser que les droits de la femme sont plus importants que le droit des enfants à la vie. Je ne suis pas d’accord avec ça [...]. Je ne pense pas qu’il comprend l’amplitude de ce qu’il a fait. Il a fait croire à tout le monde que l’avortement était une question de droits de la femme, alors que c’est une question de vie ou de mort.
Lire la suitePelosi aurait reçu la communion à une messe présidée par le pape François
Nancy Pelosi (à droite), assistant à la messe dans la Basilique Saint-Pierre-de-Rome, le 29 juin 2022.
Par Tim Jackson — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Vatican News/YouTube
29 juin 2022, Citée du Vatican (LifeSiteNews) — La présidente de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi, aurait reçu la Sainte Communion lors d’une messe présidée par le Pape François ce matin, malgré l’interdiction de recevoir la Communion intimée par son ordinaire local, Mgr Salvatore Cordileone, archevêque de San Francisco.
La dirigeante démocrate s’est rendue à Rome pour une rencontre spéciale avec le pape François, au cours de laquelle elle a reçu une bénédiction, avant d’assister à la messe dans la basilique Saint-Pierre.
Pelosi aurait ensuite reçu la communion d’un prêtre lors de la messe.
Selon l’enseignement de l’Église catholique, le fait que Mme Pelosi soutienne de façon persistante et avec force le meurtre des enfants à naître empêche cette politicienne très en vue de recevoir le corps et le sang du Christ, en raison de la nature gravement peccamineuse et scandaleuse du meurtre et de la réception sacrilège de la sainte communion.
« Vous ne devez pas vous présenter à la Sainte Communion et, si vous le faites, vous ne devez pas être admise à la Sainte Communion, jusqu’à ce que vous répudiiez [publiquement] votre plaidoyer pour la légitimité de l’avortement, que vous vous confessiez et receviez l’absolution de ce grave péché dans le sacrement de la pénitence », a écrit Cordileone à Pelosi dans une « notification » le mois dernier.
Le pape François, cependant, s’était déjà prononcé contre l’interdiction de la communion aux politiciens pro-avortement, affirmant que les prêtres devraient accompagner ces législateurs avec « compassion et tendresse ».
L’année dernière, à Rome, Joe Biden a déclaré aux journalistes que le pape François lui avait recommandé de continuer à recevoir la communion, malgré le soutien de longue date du président des États-Unis au meurtre des bébés à naître.
Lire la suiteDes activistes pro-avortement font irruption dans la cathédrale de San Francisco durant la messe
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie)
« Le dimanche 27 février, des manifestantes pro-avortement ont perturbé la messe à la cathédrale Sainte-Marie de l’Assomption à San Francisco. » selon LiveAction. Elles ont affirmé que l’objectif de leur geste était « d’accuser le rôle de l’Église catholique dans la pression pour interdire l’avortement et asservir les femmes ».
L’une des femmes pro-mort proclamait en hurlant que l’Église cherche, « à nier l’humanité de toutes les femmes et à éliminer un droit fondamental, le droit à l’avortement. » Mais comment l’Église peut-elle nier l’humanité des femmes alors qu’au contraire, elle affirme et défend la nature maternelle de la femme ?
Ne serait-ce pas plutôt les « féministes » pro-avortement qui nient non seulement l’humanité de l’enfant à naître, mais aussi leur propre humanité en rejetant violemment la maternité naturelle de la femme ?
En ayant comme objectif constant de défendre le « droit fondamental à l’avortement », les militantes pro-mort se trouvent victimes d’un mirage. Puisqu’un droit ne peut pas être injuste, et qu’objectivement tuer un être humain innocent est injuste, ce fameux « droit » à l’avortement est inexistant et sera toujours inexistant.
De plus, l’avortement n’est absolument pas compatible avec le droit fondamental à la vie qu’ont tous les êtres humains.
Elles portaient des pancartes sur lesquelles étaient écrits divers messages, dont « Brisez toutes les chaînes ».
Oui, brisez toutes les chaînes qui empêchent les femmes d’êtres fidèles à leur maternité. Brisez toutes les chaînes qui rendent les femmes prisonnières du culte de la mort. Brisez toutes les chaînes de l’égoïsme qui empêchent des millions d’êtres humains de voir le jour chaque année.
Le jésuite James Martin, pro-homosexualité, conseiller au Vatican, profane l’image de Notre-Dame de Częstochowa
La Vierge Noire de Częstochowa.
Olivier Bault (Présent) ― Photo (côtés flous rajoutés) : Wikimedia Commons
Le 19 janvier dernier, le jésuite James Martin a publié sur son compte Twitter une image blasphématoire de l’icône de la Vierge Noire de Częstochowa vénérée par les catholiques dans le monde entier et particulièrement en Pologne. L’auréole de la Madone y est représentée aux couleurs de l’arc-en-ciel LGBT. Des panneaux avec cette représentation de la Vierge Noire ont été utilisés par les activistes du mouvement lors de marches LGBT aux forts accents anticatholiques organisées en Pologne en 2019. James Martin a accompagné la photo de son propre commentaire accusant la Pologne d’homophobie et expliquant que l’icône arc-en-ciel n’est qu’une forme d’infiltration culturelle parmi d’autres : « En Pologne, où l’homophobie est endémique, les personnes LGBT sont traduites en justice pour avoir “profané” l’image de la Vierge Noire. Mais Marie est pour tous, y compris pour les personnes LGBT. Il existe une longue histoire de sa représentation correspondant à différentes communautés de foi. » Il a ensuite ajouté « Il n’est donc pas surprenant qu’elles souhaitent ajouter, d’une manière respectueuse, leur propre symbole, l’arc-en-ciel, à l’image de leur mère bien-aimée ».
James Martin est un prêtre américain jésuite, qui a été nommé en 2017 consultant auprès du Secrétariat aux communications du Saint-Siège. Il est considéré comme un conseiller officiel du pape. Il est connu pour ses positions progressistes et ses efforts visant à promouvoir l’idéologie politique du mouvement LGBT et la « normalisation » de la situation des homosexuels au sein de l’Église.
En réaction au tweet du père James, il y a deux semaines le site Life Site News a lancé une pétition par laquelle les signataires appellent l’ordre des Jésuites à discipliner son membre éminent : « Martin a besoin d’apprendre que ses idées erronées sur la culture et la religion ainsi que sa désinvolture en ce qui concerne la sensibilité et les croyances religieuses des autres ne peuvent pas être tolérées […] Le père Martin a clairement franchi les limites avec sa décision de profaner cette icône sainte. Ses actions sont une tache sur l’Ordre des Jésuites ».
La pétition disponible en ligne a été signée jusqu’ici par plus de 21 000 personnes. Les supérieurs du père James n’ont pas pris position sur ce sujet.