Une survivante de la Shoah dénonce la dictature sanitaire
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : archives fédérales allemandes/Wikimedia Commons
Dans une plainte déposée devant la Cour pénale internationale par un groupe de Britanniques — notamment contre Boris Johnson, Bill et Melinda Gates, Klaus Schwab, le Dr Anthony Fauci, Tedros Adhanom Ghebreyesus et bien d’autres personnalités — pour crimes contre l’humanité et violations du Code de Nuremberg, une survivante de la Shoah, Vera Sharav, trace un parallèle saisissant entre les horreurs que perpétraient les nazis et les crimes de la dictature sanitaire actuelle :
« Sous le régime nazi, les normes morales ont été systématiquement oblitérées. La profession et les institutions médicales ont été radicalement transformées, la science universitaire, l’armée, l’industrie et la médecine clinique étaient étroitement imbriquées, comme elles le sont aujourd’hui. Le système nazi a détruit la conscience sociale au nom de la santé publique. Les violations contre des individus et des classes d’êtres humains ont été institutionnalisées. Les politiques de santé publique axées sur l’eugénisme ont remplacé l’accent mis par les médecins sur le bien de l’individu. La profession et les institutions médicales allemandes ont été perverties. Les politiques de santé publique coercitives violent les droits civils et humains individuels. Des méthodes criminelles sont utilisées pour faire appliquer ces politiques. La propagande nazie a utilisé la peur des épidémies infectieuses pour diaboliser les Juifs en tant que propagateurs de maladies, en tant que menace pour la santé publique... La peur et la propagande étaient les armes psychologiques utilisées par les nazis pour imposer un régime génocidaire et aujourd’hui, certains commencent à comprendre pourquoi le peuple allemand ne s’est pas soulevé, la peur l’a empêché de faire ce qu’il fallait. Les mandats médicaux sont un grand pas en arrière vers une dictature fasciste et un génocide. Les dictats gouvernementaux, l’intervention médicale, tout cela porte atteinte à notre dignité ainsi qu’à notre liberté... La leçon brutale de l’Holocauste est que lorsque les médecins s’allient au gouvernement et s’écartent de leur engagement personnel, professionnel et clinique de ne pas nuire à l’individu, la médecine peut alors être pervertie et passer d’une profession de guérison et d’humanité à un appareil meurtrier... Ce qui distingue l’Holocauste de tous les autres génocides de masse, c’est le rôle central joué par le corps médical, tout le corps médical. Chaque étape du processus meurtrier a été approuvée par les autorités médicales académiques et professionnelles. Les médecins et les prestigieuses sociétés et institutions médicales ont donné un vernis de légitimité à l’infanticide et au meurtre de masse des civils. T4 a été le premier projet de meurtre médical industrialisé de l’histoire. Les premières victimes étaient des nourrissons et des enfants allemands handicapés de moins de 3 ans... Les victimes suivantes étaient les malades mentaux, puis les personnes âgées dans les maisons de retraite. Les opérations meurtrières étaient méthodiques, et suivaient le protocole très, très soigneusement. »
Big Pharma, Gates, Fauci, des responsables britanniques accusés de crimes contre l’humanité dans une plainte déposée devant un tribunal international
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : OSeveno/Wikimedia Commons
16 décembre 2021 (LifeSiteNews) — Un groupe qui comprend l’ancien vice-président de Pfizer, le Dr Michael Yeadon, a déposé une plainte auprès de la Cour pénale internationale (CPI) au nom de citoyens britanniques contre Boris Johnson et des fonctionnaires britanniques, Bill et Melinda Gates, des directeurs généraux de sociétés Big Pharma, le président exécutif du Forum économique mondial, Klaus Schwab, et d’autres personnes pour crimes contre l’humanité.
Le groupe britannique, composé d’un astrophysicien et d’un entrepreneur de pompes funèbres, a également accusé le Dr Anthony Fauci, Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), June Raine, directrice générale de la Medicines and Healthcare products regulatory agency (MHRA), le Dr Peter Daszak, président d’EcoHealth Alliance, comme « responsables de nombreuses violations du code de Nuremberg ... de crimes de guerre et de crimes d’agression » au Royaume-Uni et dans d’autres pays.
Après avoir tenté en vain, à plusieurs reprises, de saisir la justice anglaise, les requérants se sont résolus à demander de « toute urgence » à la CPI « d’arrêter le déploiement des vaccinations COVID, l’introduction de passeports de vaccination illégaux et tous les autres types de guerres illégales... menées contre la population du Royaume-Uni ».
Dans sa plainte déposée le 6 décembre, le groupe présente des preuves que les « vaccins » COVID-19 sont en fait des thérapies géniques expérimentales conçues à partir de recherches sur les gains de fonction des coronavirus de chauve-souris, et affirme que ces « vaccins » ont causé des décès et des blessures massifs et que le gouvernement britannique n’a pas enquêté sur ces décès et blessures signalés ; que les chiffres de cas et de décès du COVID ont été artificiellement gonflés ; que les masques faciaux sont nocifs en raison de l’hypoxie, de l’hypercapnie et d’autres causes ; et que les tests PCR sont « totalement peu fiables » et « contiennent de l’oxyde d’éthylène cancérigène ».
Ils ont également fait valoir que des traitements efficaces contre le COVID-19, tels que l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, ont été supprimés, ce qui a entraîné un nombre de décès dus au COVID-19 supérieur à ce qui aurait dû être le cas.
Lire la suiteLe cardinal Müller dénonce le Great Reset : le covid est utilisé pour établir un « état de surveillance » mondial
Cardinal Gerhard Müller.
Par Pierre-Alain Depauw (Medias Presse Info)
« Je ne veux pas être sauvé et créé à l’image et à la ressemblance de Klaus Schwab ou de Bill Gates, ou de Soros et d’autres personnes de ce genre », a déclaré le cardinal Gerhard Müller.
Le cardinal Gerhard Müller, ancien préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, a averti que les partisans de la grande réinitialisation utilisent le COVID comme une opportunité pour « soumettre le peuple à un contrôle total et établir un état de surveillance. »
Mgr Müller a fait ce commentaire dans une interview accordée à l’Institut autrichien Saint-Boniface ce mois-ci.
L’interview, menée en allemand, a été intégralement publiée aujourd’hui, mais de courts extraits avaient été envoyés plus tôt.
Le cardinal Müller a parlé de la façon dont le COVID est utilisé par les élites mondialistes comme un moyen d’inaugurer leur programme de grande réinitialisation (le Great Reset promu par le Forum économique mondial).
Il a expliqué que les restrictions sont en partie « nées de la volonté de saisir cette opportunité pour soumettre le peuple à un contrôle total [et] pour établir un état de surveillance, tout comme les partisans de la Grande Réinitialisation l’ont dit eux-mêmes ».
Le cardinal allemand a cité le fondateur et président exécutif du Forum économique mondial (WEF), Klaus Schwab, qui a décrit la pandémie de COVID-19 comme une « opportunité » de mettre en œuvre le Great Reset lorsqu’il a écrit dans un article de juin 2020 que « la pandémie représente une fenêtre d’opportunité rare mais étroite pour réfléchir, réimaginer et réinitialiser notre monde. »
Lire la suiteBill Gates est « optimiste » pour 2022 : nous devrions l’être aussi, mais pour des raisons totalement différentes
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : U.S. Department of Energy/Flickr/rawpixel
13 décembre 2021 (LifeSiteNews) — Nous voici presque à la fin de 2021, et cela signifie qu’il est temps de regarder d’où nous venons et où nous allons.
C’est ce qu’a fait Bill Gates dans un long billet de blogue publié le 7 décembre. Il se lit comme l’une de ces lettres du Nouvel An qu’un parent éloigné écrit toujours, énumérant tout ce qu’il a accompli au cours de l’année écoulée.
Le billet commence par un bref récapitulatif de la vie de Gates en 2020 et 2021 ─ selon ses dires, il s’agit d’une existence bizarre, sans doute étrangère à ceux qui étaient sceptiques depuis le début quant au récit du COVID, mais certainement familière à beaucoup d’autres : une vie sans interaction sociale, vécue presque exclusivement à travers un écran, ne quittant la maison que pour se promener dans le jardin. La vaccination a ouvert la porte aux interactions sociales, mais seulement en petit nombre, et tout cela conformément aux directives des CDC, bien sûr.
« Ce fut une expérience étrange et déroutante », a déclaré Gates. « Mon univers personnel ne m’a jamais semblé aussi petit qu’au cours de ces 12 derniers mois. »
Personnellement, je doute que M. Gates ait vécu de cette façon. Avec le gouverneur de Californie Gavin Newsom, le maire de Chicago Lori Lightfoot, le Dr Anthony Fauci et le président Joe Biden parmi les nombreux adeptes du COVID pris en flagrant délit de violation de leurs propres mandats draconiens tout au long de cette prétendue « crise », je suis dubitative chaque fois que les élites suggèrent qu’elles ont vécu comme « nous », soumis à tous les caprices des puissants de la santé publique.
Quoi qu’il en soit, M. Gates dénonce la solitude d’une telle vie, avant de promouvoir la « connectivité » offerte par nos écrans et notre cycle d’informations 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 (avec des réserves, que nous allons aborder).
Il poursuit en exposant quatre grandes questions qu’il a en tête au moment où le monde fait ses adieux à la vieille année : « les derniers progrès accomplis pour mettre fin à la pandémie de COVID-19, les raisons pour lesquelles la perte de confiance dans les institutions pourrait être le plus grand obstacle sur notre chemin, ce que la conversation sur le climat peut nous apprendre pour progresser, et comment la numérisation rapide provoquée par la pandémie façonnera notre avenir ».
Lire la suiteUn médecin qui a été le pionnier du protocole covid au HCQ exhorte à « la résistance contre la tyrannie gouvernementale »
Le Dr Zelenko.
Extraits de LifeSiteNews traduits par Pierre-Alain Depauw (Medias presse Info)
Le Dr Vladimir Ze’ev Zelenko a été l’un des pionniers du protocole de traitement précoce pour COVID-19 impliquant l’hydroxychloroquine (HCQ) et le sulfate de zinc. Il avait écrit une lettre ouverte au président Donald Trump annonçant son protocole de traitement du coronavirus.
Ce médecin juif orthodoxe partage également fréquemment des réflexions sur la bataille entre le Bien et le Mal. Dans une interview du mois de mars avec le Dr Peter Breggin, Zelenko a expliqué à son hôte que l’histoire elle-même est marquée par une lutte « entre des personnes essayant de vivre une vie consciente ou centrée sur Dieu » et d’autres qui « ont toujours essayé d’être Dieu » et voulu « avoir un contrôle global sur le reste de l’humanité ».
Ce que nous vivons est probablement la plus grande opération psychologique de l’histoire de l’humanité », a-t-il déclaré. Une opération « extrêmement bien orchestrée, brillamment exécutée, [et] exceptionnellement maléfique ».
Atteint d’une forme de cancer particulièrement sévère, le Dr Zelenko estime que son devoir est de parler tant qu’il le peut encore. Il commente la publication du 19 novembre de documents utilisés par la FDA (organe officiel des Etats-Unis) pour autoriser pleinement les injections anti-COVID de Pfizer, malgré leur connaissance de 150 000 effets indésirables graves recensés et de plus de 1 200 décès liés aux « vaccinations » au cours des trois premiers mois suivant son autorisation d’utilisation d’urgence.
« Le gouvernement des États-Unis a agressé la population américaine avec ses politiques meurtrières, la preuve étant que la FDA était au courant des effets secondaires bien avant de déployer ce vaccin auprès du public américain », a déclaré Zelenko. Des propos qui valent pour tous les gouvernements occidentaux.
Lire la suiteEntrevue avec le Dr Zelenko médecin à l’origine du traitement par HCQ et zinc contre le COVID-19 aux États-Unis
Entrevue de Claire Chrétien (à gauche) de LifeSiteNews avec le Dr Vladimir Zelenko (à droite).
Par David McLoane — Traduit par Campagne Québec-Vie
Correction importante : Cet article indiquait à l’origine, à tort, que le Dr Zelenko recommandait « corcidin, vitamine C, vitamine D et zinc » comme protocole de traitement du COVID. Nous corrigeons : le premier élément est en fait la quercétine et NON la corcidine. Nous nous excusons pour l’erreur résultant de la transcription de l’audio.
De plus : Dans l’entrevue vidéo, le Dr Zelenko mentionne que Michael Yeadon a déclaré que la plupart des personnes vaccinées avec les vaccins Covid-19 mourront dans les 2 ans suivant la vaccination. C’est plutôt le professeur Dolores Cahill qui a fait cette déclaration, à propos de laquelle le Dr Yeadon a été enregistré déclarant qu’il « n’irait pas aussi loin ».
9 juillet 2021 (LifeSiteNews) — Le Dr Vladimir Zelenko, ce médecin de Monsey, dans l’état de New York, qui a été le premier à utiliser l’hydroxychloroquine (HCQ) et le zinc comme traitement du COVID-19, a accordé une longue entrevue à LifeSiteNews pour expliquer pourquoi ce protocole a donné de si bons résultats. S’adressant à Claire Chrétien de LifeSite, Zelenko a parlé des vaccins contre le coronavirus et du « groupe de sociopathes » qui veut administrer ces injections au monde entier, ainsi que de la censure généralisée des informations sur le traitement du virus.
Dr Zelenko est médecin de famille depuis deux décennies dans le nord de l’État de New York. Le COVID-19 a balayé cette région lors de l’apparition de l’épidémie de coronavirus en mars 2020. À l’époque, les patients les plus gravement atteints du coronavirus de Wuhan étaient mis sous respirateur, mais « 80 à 90 % des personnes sous respirateur mouraient, ce n’était donc pas un très bon protocole de traitement », a noté Dr Zelenko.
Sur les 3 000 patients positifs au COVID dont il s’occupait, Dr Zelenko en a identifié 1 000 comme étant « à haut risque », mais son intervention médicale à base d’HCQ et de zinc a « réduit [leur] taux de mortalité de 7,5 % à moins de 0,5 % ».
« Cela représente une réduction de 84 % des hospitalisations et des décès. »
« Sur les 600 000 Américains décédés, nous aurions pu en empêcher 510 000 d’aller à l’hôpital et de mourir. »
Pourtant, ce protocole n’a pas été largement adopté par la communauté médicale. De nombreux Américains qui ont attrapé le coronavirus ont constaté que leurs médecins ne voulaient pas leur prescrire d’hydroxychloroquine ou que les pharmaciens ne voulaient pas en exécuter les ordonnances.
« L’HCQ a été adoptée par des médecins de renommée mondiale qui sont honnêtes et capables de raisonnement déductif et qui ne sont pas endoctrinés », a déclaré Zelenko à LifeSite, mais « malheureusement, 90 % des médecins de ce pays sont incapables d’une pensée indépendante ».
« Le résultat net est qu’ils suivent aveuglément les recommandations de leurs employeurs ou des agences gouvernementales sans faire appel au bon sens. Ils ne font que suivre les ordres, comme le faisaient les nazis. »
Lire la suiteL’armée mondialiste
L'armée d'Hannibal à la bataille de Zama.
Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie) — Photo : Wikimedia Commons
Planétaire, multisectorielle et cohésive
C’est quand un animal bouge qu’il se révèle. En 2020, les forces mondialistes ont accéléré la cadence de leurs activités et sont sorties de l’ombre. Une opération d’envergure mondiale est maintenant en cours. Elle se déroule avec une précision militaire. Or, là où il y a une opération, ça signifie qu’il y a aussi une organisation. Comme on dirait dans le militaire, il y a du SMEAC* derrière tout ça. Mais quelle est la forme de cette organisation, quels sont ses composantes et ses mécanismes ?
Je n’ai pas la réponse définitive à ces questions mais je commence à entrevoir les contours. Je vais décrire, ici, la composition et la structure de l’armée mondialiste telle que je la perçois présentement. Je dis bien « armée », car, malgré sa composition diversifiée, il s’agit d’une organisation hiérarchique capable d’effectuer des opérations complexes et coordonnées. Les opérations de cette organisation se déroulent à l’échelle de la planète et intègrent des décisions administratives, des distributions massives de produits, des résultats « scientifiques » ciblés, des actions politiques et policières, le tout soutenu et justifié par des narratifs médiatiques uniformisés. Cela signifie la présence d’un système mondial de Commandement et de Contrôle.
Comme dans n’importe quelle armée, les forces qui tentent d’imposer le Nouvel Ordre Mondial sont donc hiérarchiques. Il s’agit d’une organisation pyramidale avec, en haut, un groupe restreint qui prend des décisions stratégiques et en bas, une troupe nombreuse d’activistes qui cassent des vitres et intimident les opposants. Je distingue cinq niveaux ou strates dans cette organisation. Ils sont, de haut en bas : le Cartel, les Gnomes, les Kapos, les Lieutenants et les Brutes. Examinons-les tour à tour :
Le Cartel**. Au plus haut niveau on trouve le Cartel. Celui-ci est composé des grands investisseurs et des PDG des plus grandes multinationales. Les membres du Cartel comprennent les grandes fortunes (Rothschild, Rockefeller, Bush, Windsor…), quelques individus (Gates, Bezos, Zuckerberg), et la haute direction des principales multinationales de la planète. Ces dernières constituent un monopole effectif à l’échelle mondiale. Ce monopole n’est pas restreint à un seul secteur d’activité (comme nos banques canadiennes, par exemple, qui forment un monopole effectif dans le secteur financier) mais couvrent un éventail de secteurs (finance, médias, pharmaceutiques…). Comme dans tout monopole, ces organisations se soutiennent mutuellement effectuant des actions concertées qui les bénéficient toutes.
Les membres du Cartel sont un groupe restreint de quelques centaines d’individus (quelques milliers tout au plus). Ces gens sont physiquement disséminés mais évoluent dans le même environnement et partagent la même culture (mêmes écoles privées, hôpitaux, jets personnels, châteaux, clubs exclusifs, paradis fiscaux, prostitution de luxe…). Ils interagissent constamment entre eux. Les membres du Cartel vivent, en quelque sorte, dans un village global ; un genre de mini pays, invisible et sans frontières, dont les composantes sont éparpillées ici et là (surtout où il fait beau et chaud).
Lire la suiteL’offensive mondiale pro-avortement
Par Grégor Puppinck — Communiqué de presse de l’European Center for Law & Justice — Photo : Unsplash
Avortement : un conflit mondial
Alors que j’écris ces lignes, le combat pour la défense de la vie humaine se mène au Parlement européen contre la Résolution Matic, mais aussi au sein de parlements nationaux (en France, à Malte ou encore à Gibraltar), devant des juridictions : à la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) contre la clause de conscience, à la Cour interaméricaine des droits de l’homme contre l’interdiction de l’avortement, ou encore à la Cour Suprême des États-Unis contre l’introduction d’un délai légal antérieur au seuil de viabilité. À chaque fois et en tous lieux, les mêmes lobbies de l’avortement agissent, et à chaque fois, quelques groupes pro-vie chrétiens tentent de résister.
Au-delà des arguments, l’issue de ces combats dépend largement des forces en présence au sein de ces instances, d’où l’importance de la composition de la CEDH ou de la Cour Suprême. En effet, depuis l’origine du Planning Familial, la promotion de l’avortement a toujours été faite par un petit groupe de militants, de préférence via les tribunaux plutôt que les urnes, et grâce aux soutiens de fondations et de milliardaires anglo-saxons, tels que, par ordre chronologique, les fondations Rockefeller, Ford, Open Society, et surtout Gates, en lien avec des instances internationales, en particulier la Banque Mondiale et le Fonds des Nations Unies pour les activités en matière de population (FNUAP). Ces fondations et institutions financent et collaborent étroitement avec les multinationales de l’avortement que sont la Fédération Internationale du Planning Familial (IPPF) et Mary Stopes International. Ce sont ces grandes institutions qui décident d’ouvrir un nouveau front, tantôt en Irlande, puis en Pologne ou en Amérique latine. Elles disposent d’un budget quasi illimité, en milliards de dollars. La Fondation Gates, à elle seule, a versé plus de 25 millions de dollars depuis 2010 à la branche européenne de l’IPPF et près de trois millions de dollars, rien qu’en 2018, au European Parliamentary Forum on Population and Development (EPF), le lobby de l’IPPF auprès des institutions européennes, l’auteur probable du Rapport Matic. L’EPF est aussi financé par 22 autres organisations dont les fondations Open Society de George Soros, Nike ou Hewlett, etc.
L’objectif du lobby de l’industrie de l’avortement est de normaliser le recours à cette pratique en la présentant comme une composante essentielle des droits de l’homme, et comme exigeant par conséquent de « lever tous les obstacles à l’accès à l’avortement », en particulier la clause de conscience des professions médicales, et jusqu’à l’existence de délais légaux. La reconnaissance de l’avortement comme un droit de l’homme permet aussi de dénoncer les opposants pro-vie comme des ennemis des droits de l’homme, et de justifier l’atteinte à leur liberté d’expression. C’est ainsi que la Résolution Matic recommande de lutter contre la « désinformation » pro-vie.
Lire la suiteMgr Viganò parle de la grande réinitialisation et donne de l’espoir à la lumière des messages de la Vierge à Fatima
Mgr Carlo Maria Viganó.
Par Maike Hickson — Traduit par Campagne Québec-Vie
19 mai 2021 (LifeSiteNews) — Mgr Carlo Maria Viganò m’a aimablement accordé une entrevue que nous avons réalisée pour Schloss Rudolfshausen, un bel apostolat catholique en Allemagne, dirigé par Mme Hélène Walterskirchen et sa fille, Alexandra. Elles publient des traductions de Mgr Viganò, ainsi que de LifeSite et de bien d’autres. Mme Walterskirchen et sa fille publient également la revue Kultur-Magazin, pour laquelle cette nouvelle entrevue du prélat italien a été réalisée.
Mgr Viganò couvre dans cette longue entrevue de nombreux aspects de la Grande Réinitialisation, ses liens avec la Chine et ses politiques de confinements sévères ; ses liens avec des acteurs mondiaux clés tels que le Forum économique mondial (FEM), le groupe Bilderberg, les Rockefeller et les Rothschild ; et sa « matrice essentiellement maçonnique ». Comme nous le voyons, il s’agit d’un remplacement du christianisme par une règle mondiale maçonnique qui est similaire à celle des anciennes expériences communistes dans le monde. Ce qui relie les anciennes expériences à cette nouvelle expérience internationale est en effet la franc-maçonnerie.
Mgr Viganò présente le discours d’un ancien franc-maçon français, le Dr Pierre Gilbert qui, il y a 25 ans, avait prédit l’apparition d’une maladie qui serait ensuite utilisée à des fins politiques :
Il existe une déclaration très intéressante et très révélatrice de Pierre J. Gilbert (ici) qui date de 1995 et qui énumère toutes les étapes que nous voyons aujourd’hui se dérouler sous nos yeux avec la farce tragique du Covid : de l’inoculation massive d’un vaccin à la création de camps de détention pour les dissidents. Ce franc-maçon converti a révélé les objectifs de l’infâme secte il y a 25 ans.
Mais à la lumière de ces nouvelles inquiétantes, l’archevêque italien ne nous laisse pas sans espoir ; il fait remarquer que, souvent, ces éléments révolutionnaires se retournent aussi les uns contre les autres, et il ne croit donc pas que le temps soit encore venu de la grande réinitialisation avec ses soubassements maléfiques.
Un signe qu’il pourrait avoir raison est le fait que l’un des principaux chefs de ce programme Corona, Bill Gates, est actuellement très critiqué pour sa proximité avec le délinquant sexuel Jeffrey Epstein, déjà connu à l’époque. De plus en plus d’informations sont actuellement révélées au grand jour, et ces informations sapent sérieusement la crédibilité de Gates.
Lire la suiteMgr Viganò : « c’est le passage du Royaume du Christ au Royaume de l’Antéchrist » — la vérité sur la peur : covid-19, vaccin et grande réinitialisation
Par Mgr Carlo Maria Viganò (LifeSiteNews) — Traduit par Guy Boulianne (Guy Boulianne)
Cette lettre reflète dans une large mesure l’intervention que je vais donner aux participants du prochain sommet « La vérité sur la peur : Covid-19, le vaccin et la grande réinitialisation », du 30 avril au 1er mai 2021, organisé par Patrick Coffin. Cet événement vital met en vedette plus de 20 des meilleurs médecins, chercheurs et avocats du monde, et offrira une approche scientifique et sensée de la pseudo-pandémie. Toutes les personnes ont droit au consentement éclairé.
Ce que nous avons appris jusqu’à présent sur la pseudo-pandémie nous donne l’image d’une réalité inquiétante et d’une conspiration criminelle encore plus inquiétante éclose par des esprits égarés. Cette réalité n’est cependant pas prise en considération par ceux qui, hypnotisés par l’endoctrinement médiatique, persistent à considérer une grippe saisonnière grave comme un fléau pandémique, les traitements connus comme inefficaces, et les soi-disant vaccins qui sont certes inutiles et nocifs comme rien moins que miraculeux.
La réputation des entreprises pharmaceutiques
Nous savons que les géants pharmaceutiques — AstraZeneca, Pfizer, Moderna, Johnson & Johnson — non seulement n’ont pas suivi les protocoles ordinaires de dépistage des drogues, mais ils ont une longue histoire de condamnations pour avoir déjà causé de graves dommages à la population, distribuant des vaccins qui se sont révélés être à l’origine de maladies invalidantes.
Les conflits d’intérêts
On sait quels conflits d’intérêts macroscopiques existent entre les laboratoires pharmaceutiques et les organismes chargés de leur contrôle : dans de nombreux cas, les salariés de ces sociétés sont passés par les entités qui doivent approuver et autoriser l’usage des médicaments, et il est difficile d’imaginer qu’ils — qui continuent souvent d’avoir des liens professionnels avec Big Pharma — auraient la liberté de faire une évaluation juste et prudente. En effet, nous venons de voir récemment avec le cas d’AstraZeneca en Europe que la nocivité évidente du soi-disant vaccin — qui a conduit certaines nations à suspendre sa distribution — n’est pas considérée comme une raison suffisante par l’EMA (Agence européenne des médicaments) pour interdire son adoption. Les découvertes récentes sur les effets secondaires graves ont été conçues pour exclure la majorité des cas et surtout pour ignorer délibérément la relation causale entre l’inoculation avec le vaccin et ses effets secondaires à court ou long terme.
Immunité contre les effets secondaires
Nous savons que, au mépris de tout principe juridique et de la protection de la population, les laboratoires pharmaceutiques ont exigé une immunité totale pour les dommages pouvant survenir aux patients, à qui il est demandé de signer un formulaire de décharge avec leur consentement éclairé. Ainsi, avec les bénéfices scandaleux de la vente des vaccins, les multinationales pharmaceutiques garantissent leur propre impunité pour une opération criminelle, menée avec la complicité des institutions internationales et des gouvernements.
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