Mgr Viganò parle de la grande réinitialisation et donne de l’espoir à la lumière des messages de la Vierge à Fatima
Mgr Carlo Maria Viganó.
Par Maike Hickson — Traduit par Campagne Québec-Vie
19 mai 2021 (LifeSiteNews) — Mgr Carlo Maria Viganò m’a aimablement accordé une entrevue que nous avons réalisée pour Schloss Rudolfshausen, un bel apostolat catholique en Allemagne, dirigé par Mme Hélène Walterskirchen et sa fille, Alexandra. Elles publient des traductions de Mgr Viganò, ainsi que de LifeSite et de bien d’autres. Mme Walterskirchen et sa fille publient également la revue Kultur-Magazin, pour laquelle cette nouvelle entrevue du prélat italien a été réalisée.
Mgr Viganò couvre dans cette longue entrevue de nombreux aspects de la Grande Réinitialisation, ses liens avec la Chine et ses politiques de confinements sévères ; ses liens avec des acteurs mondiaux clés tels que le Forum économique mondial (FEM), le groupe Bilderberg, les Rockefeller et les Rothschild ; et sa « matrice essentiellement maçonnique ». Comme nous le voyons, il s’agit d’un remplacement du christianisme par une règle mondiale maçonnique qui est similaire à celle des anciennes expériences communistes dans le monde. Ce qui relie les anciennes expériences à cette nouvelle expérience internationale est en effet la franc-maçonnerie.
Mgr Viganò présente le discours d’un ancien franc-maçon français, le Dr Pierre Gilbert qui, il y a 25 ans, avait prédit l’apparition d’une maladie qui serait ensuite utilisée à des fins politiques :
Il existe une déclaration très intéressante et très révélatrice de Pierre J. Gilbert (ici) qui date de 1995 et qui énumère toutes les étapes que nous voyons aujourd’hui se dérouler sous nos yeux avec la farce tragique du Covid : de l’inoculation massive d’un vaccin à la création de camps de détention pour les dissidents. Ce franc-maçon converti a révélé les objectifs de l’infâme secte il y a 25 ans.
Mais à la lumière de ces nouvelles inquiétantes, l’archevêque italien ne nous laisse pas sans espoir ; il fait remarquer que, souvent, ces éléments révolutionnaires se retournent aussi les uns contre les autres, et il ne croit donc pas que le temps soit encore venu de la grande réinitialisation avec ses soubassements maléfiques.
Un signe qu’il pourrait avoir raison est le fait que l’un des principaux chefs de ce programme Corona, Bill Gates, est actuellement très critiqué pour sa proximité avec le délinquant sexuel Jeffrey Epstein, déjà connu à l’époque. De plus en plus d’informations sont actuellement révélées au grand jour, et ces informations sapent sérieusement la crédibilité de Gates.
Lire la suiteLes pays que Joe Biden dénonce comme totalitaires…
Joe Biden.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Gage Skidmore/Flickr
Joe Biden, candidat démocrate aux présidentielles américaines, dépeignait lors d’une entrevue avec ABS le 15 octobre le totalitarisme qui sévirait dans certains pays de l’OTAN, comme la Pologne, la Hongrie et la Biélorussie, selon Church Militant :
« Vous voyez tout ce qui se passe de la Biélorussie à la Pologne en passant par la Hongrie et la montée des régimes totalitaires dans le monde », s’est exclamé Biden en faisant référence à l’OTAN. « Ce président [Trump] embrasse tous les voyous du monde ».
Qu’ont donc de particulier ces trois pays ? La Hongrie est dirigée par un gouvernement majoritaire démocratiquement élu. La Pologne également. La situation de la Biélorussie est sans doute beaucoup moins nette sur ce point, mais de là à mettre les deux pays précédents sur le même pied, il y a un très grand pas. Pourquoi donc cette association ? Peut-être parce que les trois pays tiennent une route différente de celle que Biden souhaiterait les voir emprunter.
La Hongrie s’oppose à l’invasion massive et aux machinations LGBT ; la Pologne fait de même et tient une route intéressante sur la question de la vie à naître ; quant à la Biélorussie, elle a signé avec les deux précédents une déclaration (ainsi que 29 autres pays), s’engageant notamment à « réaffirmer qu’il n’existe pas de droit international à l’avortement, ni d’obligation de la part des États de financer ou de faciliter l’avortement, conformément au consensus international établi de longue date selon lequel chaque nation a le droit souverain de mettre en œuvre des programmes et des activités en conformité avec ses lois et politiques ».
Autre chose intéressante sur la Biélorussie, son président Alexandre Loukachenko n’a pas mis son pays en confinement et s’est vu refuser par conséquent des sommes astronomiques, promises par le Fonds monétaire international aux pays plongeant leur population dans les mesures sanitaires radicales (et malsaines). Surprenant, non ! Par ailleurs, après que le président eût refusé les millions du FMI d’étranges manifestations surgirent, que les médias, y compris au Canada, rapportèrent pendant un temps.
Bref, si Joe Biden devient président, il faudra s’attendre à se qu’il cherche à casser les reins des pays comme ceux-là.
Les États-Unis, le Brésil et 30 autres pays signent une déclaration contre l’imposition de l’avortement à l’international
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (rognée) : Freepik
Aujourd’hui, de hauts représentants des États-Unis, du Brésil, de la Pologne, de la Hongrie, de la Biélorussie et 27 autres pays ont signé un document déclarant un engagement à « réaffirmer qu’il n’existe pas de droit international à l’avortement, ni d’obligation de la part des États de financer ou de faciliter l’avortement », entre autres.
Signée par 32 pays, selon le site du Department of Health and Human Services (HHS) :
Le jeudi 22 octobre, le secrétaire d’État Michael R. Pompeo et le secrétaire du HHS Alex Azar ont participé à la signature virtuelle de la Déclaration du Consensus de Genève […] Le document a été coparrainé par les États-Unis, le Brésil, l’Égypte, la Hongrie, l’Indonésie et l’Ouganda, et signé par 32 pays au total, représentant plus de 1,6 milliard de personnes.
Le secrétaire d’État Azar a déclaré lors de l’événement : « La déclaration est bien plus qu’une déclaration de convictions — c’est un outil essentiel et utile pour défendre ces principes dans tous les organes des Nations unies et dans chaque cadre multilatéral, utilisant un langage préalablement accepté par les États membres de ces organes ».
Bien sûr, cette Déclaration de consensus de Genève n’est pas parfaite, et même contient de gros défauts. Par exemple, si elle reconnaît le droit aux pays de légiférer contre l’avortement, elle le leur reconnaît également pour. Le document déclare, selon le HHS :
Lire la suite3. Réaffirmons l’importance fondamentale « de la reconnaissance de la dignité inhérente à tous les membres de la famille humaine », le fait que « le droit à la vie est inhérent à la personne humaine » et l’engagement « [de permettre] aux femmes de mener à bien grossesse et accouchement et [de donner] aux couples toutes les chances d’avoir un enfant en bonne santé » ;
4. Soulignons que « l’avortement ne devrait, en aucun cas, être promu comme méthode de planification familiale » et que « toute mesure ou toute modification relatives à l’avortement au sein du système de santé ne peuvent être arrêtées qu’à l’échelon national ou local conformément aux procédures législatives nationales » ; Réaffirmons que « l’enfant… a besoin de protection spéciale et de soins spéciaux… avant comme après la naissance » et que « des mesures spéciales de protection et d’assistance doivent être prises en faveur de tous les enfants », sur la base du principe de l’intérêt supérieur de l’enfant ;
5. Réaffirmons que « la famille est l’élément naturel et fondamental de la société et a droit à la protection de la société et de l’État », que « la maternité et l’enfance ont droit à une aide et à une assistance spéciales », que « les femmes jouent un rôle critique dans la famille » et qu’il faut souligner « toute l’importance de la contribution que les femmes apportent au bien-être de la famille et au développement de la société » ;
Les 100 « genres » seront-ils, ou non, adoptés à l’ONU ?
Cent « genres » ç'en fait plus que deux...
Par Stefano Gennarini, J.D. (C-Fam) ― Photo : pixel2013/Pixabay
New York, le 8 novembre (C-Fam). La semaine dernière, au quartier général de l’ONU, les nations se sont opposées [les unes aux autres] sur une proposition de traité relative aux crimes contre l’humanité. S’il est adopté, le nouveau traité changera la définition du genre dans le droit international pour y inclure plus de cent genres.
« Alors que le mot “sexe” est employé pour désigner les attributs biologiques, “genre” est maintenant utilisé plus largement pour reconnaître la diversité des identités et des expressions de genre ― homme, femme, les deux ou aucun ―, qui peuvent ou non s’aligner avec le genre typiquement ou socialement associé avec le sexe d’une personne » a dit le délégué du Canada en exprimant sa gratitude devant la décision de la Commission du Droit international de supprimer la définition du “genre” telle qu’elle apparaît dans le Statut de Rome de 1998 de la Cour Pénale Internationale.
La Commission du Droit international a proposé un projet de traité sur l’enquête […] des crimes contre l’humanité [et leur poursuite en justice], qui élimine la définition du genre du Statut de Rome. Le traité de 1998 définit le genre comme « homme ou femme dans le contexte de la société ». L’Assemblée générale doit maintenant décider si elle veut adopter ce projet, et le modifier ou non.
Les pays du nord ont salué la décision de supprimer la définition du genre comme homme et femme dans le droit international. D’autres [pays], principalement d’Afrique, s’opposent à cette modification et certains sont catégoriques sur le fait qu’abandonner cette définition du genre les empêcherait d’adhérer au traité.
[S’exprimant …] par la voix de la Norvège, les pays du nord ont dit que la modification reflétait « les réalités actuelles et le contenu du droit international » et « la construction sociale du genre, avec les rôles, conduites, activités et attributs qui en découlent pour les hommes et les femmes, les garçons et les filles ».
Lire la suite